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Maple Leaf


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Maple Leaf - la Feuille d'érable

Pages 14-16, Maple Leaf, 13 April 2005, Vol. 8, No. 14
Pages 14-16, la Feuille d'érable, le 13 avril 2005, vol. 8 no 14

Fourth Dimension

April 15, 1945

In Sneek, a town in the western Dutch province of Friesland near the coast, it is early on a fine spring Sunday and 13-year-old Dirk Marinus, son of the station-master, goes out to join his friends. The boys are acutely aware that something very important is happening, for most of the local German occupation troops have vanished. At first they see only one or two old folks on the street, but at the grammar school, which the Germans took over months ago, they see men going inside—neighbours, and a teacher who tells them to go home. They nod politely, but carry on downtown, intrigued by the deep silence. No one is at the fire station or in the shopping street, but at the cinema (closed to Dutch civilians for months) they meet a couple of young men—rare in Sneek, where people likely to be picked up for forced labour are in hiding—who also tell the boys to go home. Now thoroughly determined to find out what is going on, the boys say they are on their way.

At that moment, a German armoured personnel carrier loaded with heavily armed soldiers roars around the corner, heading for the garrison stores depot at the Waag Gebouw [Scales Building]. Some of the soldiers go inside, leaving a guard who tells the boys to make tracks, there is going to be a lot of shooting. Then an explosion goes off inside the Waag Gebouw, and flames burst through the roof. The other soldiers race out and jump into the carrier, and as the vehicle moves off they wave at the boys and shout, "Go home!" The carrier clanks away toward the Afsluitdijk, the causeway that leads to Noord Holland across the mouth of the IJsselmeer.

Finally alarmed, Dirk and his friends leave the fiercely burning Waag Gebouw and head for home. On the way, they meet a police constable, Mr. Brouwer, who tells Dirk that his father is waiting for him, and a group of men in blue coveralls, a group that includes the teacher they saw earlier at the grammar school. The men all have Sten guns, and armbands with the initials NBS—Nederlandse Binnenlandse Strijdkrachten [Dutch Interior Forces], the Dutch resistance army. When Dirk gets home, he finds his father also armed, ready to hold the railway station until the allies arrive.

Dirk spends a few hours at home, boiling with excitement that rises a little higher with every new rumour. At about 4 p.m., however, he hears someone running down the street, calling out that the Canadians have arrived, and tears out of the house again. Turning the corner, he sees hundreds of people shouting and clapping in the street. Squeezing through to the front, he finally glimpses military vehicles and men in strange uniforms, totally overwhelmed by the crowd.

The soldiers in Sneek belong to the 3rd Canadian Infantry Division (Major-General R.H. Keefler), on the left flank of First Canadian Army. Their drive to the coast began on April 9, when they crossed the Schipbeek Canal and attacked the bitterly held town of Deventer. Except for an attack with artillery and armour turned back by the Stormont, Dundas and Glengarry Highlanders at the Overijsselsch Canal, the Canadians' view of Friesland consists mostly of citizens celebrating their liberation, and resistance fighters hauling in hundreds of prisoners of war and collaborators to be consigned to allied custody.

Sources:
Dirk Marinus, a contributor to the BBC World War 2 Web site: www.bbc.co.uk/dna/ww2/A1074782
The Juno Beach Centre Web site: www.junobeach.org/e/2/can-eve-rod-rhi-e.htm
Copp, Terry and Robert Vogel. 1988.
Maple Leaf Route: Victory. Alma, Ontario: Maple Leaf Route.
Stacey, C.P. 1966 (2nd edition).
Official History of the Canadian Army in the Second World War, Volume III:
The Victory Campaign. Ottawa: The Queen’s Printer.

Quatrième dimension

le 15 avril 1945

Tôt le matin, par un beau dimanche du printemps, à Sneek, une ville située dans l'ouest des Pays-Bas, dans la province de Friesland, près de la côte, Dirk Marinus, le fils de 13 ans du chef de gare, sort rejoindre ses amis. Les garçons sentent bien qu'il se passe quelque chose de très important, car la plus grande partie des forces d'occupation allemandes locales ont disparues. Ils ne rencontrent d'abord qu'une ou deux personnes dans la rue, mais une fois rendus devant le lycée, dont les Allemands ont pris le contrôle il y a plusieurs mois, ils remarquent que des hommes pénètrent à l'intérieur : ce sont des voisins et un professeur, qui leur dit de rentrer chez eux. Ils acquiescent poliment, mais poursuivent leur chemin vers le centre-ville, intrigués par le profond silence qui règne. La caserne des pompiers et la rue commerçante sont désertes, mais lorsqu'ils atteignent le cinéma (interdit aux civils néerlandais depuis des mois), deux jeunes hommes se dressent devant eux. C'est une rencontre plutôt rare à Sneek, les gens susceptibles de se faire embarquer pour effectuer des travaux forcés se cachent. Les deux hommes leur recommandent eux aussi de rentrer chez eux. Plus que jamais déterminés à découvrir ce qui se passe, les garçons leur répondent qu'ils s'y rendent justement.

À ce moment, un véhicule de transport de troupes blindé allemand bondé de soldats lourdement armés tourne le coin en vrombissant et se dirige vers l'entrepôt de fournitures de la garnison, dans le Waag Gebouw, l'édifice de pesage. Des soldats entrent en laissant un garde à l'extérieur. Ce dernier recommande aux enfants de s'éloigner, car il va y avoir beaucoup de coups de feu. C'est alors qu'une explosion se produit à l'intérieur et que des flammes jaillissent du toit du Waag Gebouw. Les autres soldats sortent en courant et sautent dans le véhicule. Une fois en route, ils font signe aux garçons et leur crient de retourner chez eux. Le camion se dirige ensuite bruyamment vers le Afsluitdijk, le chemin ponté qui traverse l'embouchure de l'IJsselmeer et qui mène à la province de NoordHolland.

Désormais inquiets, Dirk et ses amis quittent le Waag Gebouw en flammes et prennent le chemin de la maison. En route, ils rencontrent l'agent de police Brouwer qui informe Dirk que son père l'attend. Ils croisent ensuite un groupe d'hommes portant des combinaisons de travail auquel s'est joint le professeur qu'ils ont vu plus tôt au lycée. Les hommes sont armés de pistolets-mitrailleurs Sten et ils portent un brassard où sont brodées les lettres NBS – Nederlandse Binnenlandse Strijdkrachten, la force de résistance néerlandaise. En entrant à la maison, Dirk découvre que son père est armé lui aussi et qu'il est prêt à défendre la gare jusqu'à l'arrivée des Alliés.

Dirk passe quelques heures à la maison, chaque nouvelle rumeur ajoutant un peu à son excitation. Vers 16 h, il entend quelqu'un dévaler la rue en criant que les Canadiens sont arrivés. Il sort précipitamment et, en tournant le coin de la rue, il tombe sur des centaines de personnes qui crient et battent des mains au milieu de la rue. Il se faufile entre les gens et aperçoit finalement les véhicules militaires et des hommes portant d'étranges uniformes militaires, complètement submergés par la foule.

Les soldats qui viennent d'arriver à Sneek appartiennent à la 3e Division d'infanterie canadienne (Major-général R.H. Keefler) et constituent le flanc gauche de la 1re Armée canadienne. Ils ont entrepris leur marche vers la côte le 9 avril, en traversant le canal Schipbeek et en attaquant la ville de Deventer, âprement tenue par l'ennemi. À l'exception d'une attaque menée par l'artillerie et les blindés ennemis qui a été repoussée par les membres du Stormont, Dundas and Glengarry Highlanders au canal Overijsselsch, la route des Canadiens dans Friesland était essentiellement parsemée de citoyens célébrant leur libération et de combattants de la résistance traînant avec eux des centaines de prisonniers de guerre et de collaborateurs afin de les confier à la garde des Alliés.

Références :
Dirk Marinus, collaborateur au site Web de la BBC sur la Deuxième Guerre mondiale : www.bbc.co.uk/dna/ww2/A1074782
Site Web du Centre Juno Beach : www.junobeach.org/f/2/can-eve-rod-rhi-f.htm
Copp, Terry et Robert Vogel,
Maple Leaf Route: Victory. Alma, Ontario: Maple Leaf Route, 1988.
Stacey, C.P. (2e édition).
Histoire officielle de la participation de l’Armée canadienne à la Seconde Guerre mondiale, Volume III : La campagne de la Victoire. Ottawa: Imprimeur de la Reine, 1966.

Ever vigilant

By Pte Michael Freeman

CAMP JULIEN — The Islamic call to prayer resonates on the evening breeze as a section of soldiers from the Task Force Kabul (TFK) Force Protection Company (FP Coy) prepare to head out on patrol. Equipment is checked and rechecked, weapons are loaded, night vision devices are adjusted, and once orders are issued the section heads out the gate.

The protection and security is a responsibility that is taken very seriously by these soldiers, and they are all only too aware of the trust that is placed in them by their colleagues and friends in Camp Julien.

The mission on this particular night is relatively simple. The section is to conduct a foot patrol in the neighbourhoods immediately surrounding the camp. It is a good way to interact with the local population and make them aware of our presence. By talking to local Afghans, the section can find out how things are going in the city, and also gather information that can be used to assess threats against the various International Security Assistance Force (ISAF) contingents.

The streets are usually quiet at night, with only the occasional Kabul City Police patrol or passer-by to break the silence. Dogs bark in the distance, and once in a while a starved, mangy looking mutt slinks across the road and into the night, hardly sparing us a curious glance.

These patrols are a typical duty for members of the FP Coy. Other tasks for these soldiers include gate security, perimeter security, as well as manning the camp's Quick Reaction Force.

Soldiers of the FP Coy are members of the Duke of Edinburgh Company from CFB Petawawa. They are well-trained, well-motivated and ever vigilant against the threats that ISAF forces face in this potentially dangerous land.

These soldiers are proud of their professionalism and strive to be worthy of the confidence and trust that all Canadians place in the members of the CF deployed on Operation ATHENA in Afghanistan.

Pte Freeman is an infantryman with the FP Coy.

Toujours vigilants

par le Sdt Michael Freeman

CAMP JULIEN — Le son de l'appel à la prière islamique a retenti dans la brise du soir, alors qu'une section de soldats de la Compagnie de protection de la force (Cie PF) de la Force opérationnelle à Kaboul (FO Kaboul) se prépare à partir en patrouille. Les soldats vérifient et revérifient l'équipement, chargent les armes, règlent les dispositifs de vision nocturne et, aussitôt que les ordres sont lancés, ils franchissent la barrière.

La protection et la sécurité est une responsabilité que ces soldats prennent très au sérieux, n'étant que trop conscients de la confiance que leur témoignent leurs collègues et amis du Camp Julien.

Au cours de cette nuit particulière, la mission est relativement simple. La section doit patrouiller à pied les alentours immédiats du camp. C'est une bonne façon d'interagir avec la population locale et de la sensibiliser à la présence de nos soldats. En parlant aux Afghans qu'ils rencontrent, les membres de la section peuvent savoir ce qui se passe en ville et recueillir des renseignements qui serviront peut-être à évaluer les menaces contre les divers contingents de la Force internationale d'assistance à la sécurité (FIAS).

La nuit, les rues sont ordinairement tranquilles. Seuls les occasionnelles patrouilles de la police de Kaboul ou quelques passants brisent le silence. Au loin, des aboiements se font entendre et, de temps à autre, un chien errant, affamé et l'air galeux, fait une apparition furtive pour disparaître aussitôt dans la nuit, nous accordant à peine un regard curieux.

Ces patrouilles font partie des tâches normales des membres de la Cie PF, qui sont également chargés entre autres, des barrières et du périmètre de sécurité et qui forment également l'effectif de la Force de réaction rapide du Camp.

Les soldats de la Cie PF sont des membres de la Compagnie « Duke of Edinburgh » de la BFC Petawawa. Ils sont bien entraînés, très motivés et toujours vigilants à l'égard des menaces auxquelles sont confrontés les contingents de la FIAS en mission sur une terre lointaine et dangereuse.

Ces soldats sont des professionnels et s'efforcent de mériter la confiance que l'ensemble des Canadiens témoignent aux membres des FC en mission dans le cadre de l'opération ATHENA, en Afghanistan.

Le Sdt Freeman est fantassin au sein de la Cie PF.

Canadians raise over half a million dollars for cancer research

By Capt Sheena Carrigan

Once again the Canadian's at Casteau SHAPE (Supreme Headquarters Allied Powers Europe) placed first among 52 nations in raising money for cancer research. The Canadian community presented a cheque to the Fédération belge contre le cancer for 310 000 Euros ($502 000 CAD) on March 16.

The money was raised during the last Terry Fox Run and through various other fundraising activities such as t-shirt sales, a fun fest, and sales from maple syrup—a favourite among the international community.

"The Terry Fox Run is no longer just a Canadian event," said Major Hamid Birdjandi, president of the Terry Fox Committee 2004. "It is an international awareness to find the cure for cancer."

Paul Jacquet de Haveskercke, the federation's director general, agreed: "Cancer is an international matter, not a local matter. The number of participants (in the Terry Fox run) is increasing."

In addition to the activities at SHAPE, the Chargé d'Affaires at Canada's Embassy in Brussels sent out a letter to 200 000 Belgian households urging them to donate to the cause. This letter campaign generated 292 000 Euros ($473 040 CAD) of the total amount.

Canada's National Military Representative to SHAPE, Colonel Chris Henneberry, reiterated the pride that was evident as the amount of the cheque was unveiled.

Last year (2003-2004 campaign), Casteau SHAPE raised 243 000 Euros ($406 640 CAD). The Terry Fox Run started in Mons, Belgium 17 years ago, and three years ago the event moved to the base at SHAPE to help increase participation and awareness within the international community. The year 2005 marks the 25th anniversary of the start of the Marathon of Hope.

Capt Carrigan is a Reservist at SHAPE.

Les Canadiens recueillent plus d'un demi-million de dollars pour la recherche sur le cancer

par le Capt Sheena Carrigan

Encore une fois, les Canadiens du SHAPE (Grand Quartier général des Puissances alliées en Europe) à Casteau se sont classés premiers, parmi 52 pays, dans la collecte de fonds pour la recherche sur le cancer. Le 16 mars dernier, la communauté canadienne a présenté un chèque de 310 000 euros (502 000 $ CAN) à la Fédération belge contre le cancer.

Les sommes d'argent ont été recueillies pendant la plus récente course Terry Fox et grâce à diverses autres activités de collecte de fonds : vente de t-shirts, Fun Fest et vente de sirop d'érable – très apprécié par la communauté internationale.

« La course Terry Fox n'est plus un événement strictement canadien », a indiqué le Major Hamid Birdjandi, président du Comité Terry Fox 2004. « C'est un événement international de sensibilisation à la lutte contre le cancer. »

Paul Jacquet de Haveskercke, directeur général de la Fédération belge contre le cancer, partage cet avis : « Le cancer est un problème international et non une affaire locale. Le nombre de participants (à la course Terry Fox) est en hausse. »

En plus de parrainer les activités du SHAPE, le chargé d'affaires de l'Ambasssade du Canada à Bruxelles a envoyé une lettre à 200 000 foyers belges pour demander aux gens d'appuyer la recherche sur le cancer. Cette campagne épistolaire a permis de recueillir 292 000 euros (473 040 $ CAN) du montant total.Lorsque le montant du chèque a été dévoilé, le représentant militaire du Canada auprès du SHAPE, le Colonel Chris Henneberry, a exprimé le sentiment de fierté qu'éprouvaient tous les Canadiens présents à la cérémonie.

L'an dernier (campagne de 2003-2004), les Canadiens du SHAPE à Casteau ont recueilli 243 000 euros (406 640 $ CAN). La première course Terry Fox a eu lieu à Mons (Belgique) il y a 17 ans, et l'événement a été déménagé au SHAPE il y a trois ans afin d'augmenter le taux de participation et de solliciter l'appui de la communauté internationale. L'année 2005 marque le 25e anniversaire de la création du Marathon de l'espoir.

Le Capt Carrigan est réserviste et travaille au SHAPE.

Quebec region holds it together in close finish

By Lee Howard

It looked like the 2005 CF National Basketball Championship was all wrapped up for the Quebec region, which had a commanding 19-point lead over team Atlantic going into the fourth quarter, but the fight for the championship had just begun.

At the beginning of the fourth quarter, with the score 43-24, the Atlantic team started a run of three-pointers to bring them back into the game. "Everything they shot went in," says George Mooney, coach of team Quebec. "It didn't matter where they were shooting from, everything was falling."

"I called a time-out and told my guys not to panic," says Mr. Mooney. "I knew we had the better players, and we had the clock on our side."

Team Quebec held their ground as they beat team Atlantic 64-56 to win the 2005 CF National Basketball Championship, their first since 1996. "We're happy to be back on top," says Mr. Mooney in an excited tone of voice. "We've been real close the past couple of years, but now we're there!"

Commander Chris Persson, who scored 12 points in the final game was presented the Dedication to CF Sports Award. This award is presented to an athlete, coach, official, or athletic trainer who best exemplifies the qualities of strong commitment and support to the CF Basketball Program.

Two players from the Quebec region received awards for their efforts during the five-day tournament. Damon Wilson won the MVP for the final game, posting 11 points in the victory and Sub-Lieutenant Bayo Ajayi, the team's leading scorer in the final with 13 points, was awarded the tournament MVP, as well as being named to the tournament all-star team.

Mr. Howard is a student with the Directorate of Communications at CFPSA.

La région du Québec l'emporte lors d'une finale serrée

par Lee Howard

Tout juste avant le quatrième quart, le titre du championnat national de basket-ball des FC de 2005 semblait pratiquement acquis à l'équipe de la région du Québec, avec une confortable avance de 19 points sur l'équipe de la région de l'Atlantique. Mais la lutte ne faisait que commencer.

En effet, l'équipe de l'Atlantique, traînant derrière avec un score de 43-24, a commencé le quatrième quart en enfilant une série de tirs à trois points, ce qui leur a permis de revenir dans le match. « Chaque tir a atterri dans le panier », a déclaré George Mooney, entraîneur de l'équipe du Québec. « Peu importe d'où ils tiraient, tout tombait au bon endroit. »

« J'ai demandé un temps d'arrêt et j'ai dit à mes joueurs de ne pas paniquer », a-t-il poursuivi. « Je savais que mes joueurs étaient meilleurs et que le chrono était de notre côté. »

Pour la première fois depuis 1996, l'équipe du Québec a tenu son bout et a réussi à battre l'équipe de l'Atlantique 64-56, pour gagner le championnat national de basket-ball des FC de 2005. « Nous sommes contents de nous retrouver en tête », a commenté avec excitation M. Mooney. « Nous y étions presque parvenus ces deux dernières années, mais maintenant, c'est chose faite! »

Le Capitaine de frégate Chris Persson, qui a marqué 12 points dans le match final, a reçu la récompense sportive des FC qui est décernée à un athlète, à un entraîneur ou à un officiel qui illustre le mieux les qualités d'engagement et de soutien solides envers le programme de basket-ball des FC.

Deux joueurs de la région du Québec ont remporté un prix pour leurs efforts au cours du tournoi de cinq jours. Damon Wilson a été désigné le joueur le plus utile lors du dernier match, comptant onze des points de la victoire, tandis que le Sous-lieutenant Bayo Ajayi, le meilleur marqueur de l'équipe en finale, avec treize points, a été reconnu le joueur le plus utile du tournoi, en plus d'accéder à l'équipe des étoiles du tournoi.

M. Howard est stagiaire à la Direction des communications de l'ASPFC.

Interim Ombudsman takes Office

Defence Minister Bill Graham, announced March 31, Barbara Finlay, former Director General of Operations for the Ombudsman office, has been appointed the Interim Ombudsman. Ms. Finlay takes over for André Marin.

"It is an honour to continue the work that Mr. Marin began seven years ago. I am proud of the positive changes that this office has been able to achieve in the lives of members of the defence community," Ms. Finlay said, "and I am looking forward to leading this office until a new Ombudsman is appointed."

Ms. Finlay has been with the office since its inception in 1998 as senior policy advisor. Prior to joining the Ombudsman's office, she was an Assistant Crown Attorney in Ottawa, where she prosecuted all types of criminal code offences and provided advice to police investigators at all stages of their investigations. She graduated from the University of Ottawa Common Law Program in 1992 and has been a member of the Ontario Bar since 1994. She has been a part-time professor with the Faculty of Law at the University of Ottawa and has lectured in criminal and civil law at the Algonquin College Police Foundations Program.

L'Ombudsman intérimaire entre en fonction

Le 31 mars, le ministre de la Défense nationale, M. Bill Graham, a annoncé la nomination de Mme Barbara Finlay, ex-directrice générale des Opérations du Bureau de l'Ombudsman, à titre d'Ombudsman intérimaire. M. André Marin lui a remis le flambeau.

« C'est un honneur de poursuivre le travail que M. Marin a entrepris il y a sept ans. Je suis fière des changements positifs que le Bureau a pu apporter dans la vie des militaires », a indiqué Mme Finlay. « J'ai hâte de diriger ce Bureau jusqu'à la nomination d'un nouvel Ombudsman. »

Mme Finlay a travaillé au Bureau de l'Ombudsman depuis sa création en 1998 en qualité de conseillère principale en politiques. Avant d'entrer au service du Bureau de l'Ombudsman, Mme Finlay était procureure adjointe de la Couronne à Ottawa, où elle a poursuivi en justice des gens pour toutes sortes d'infractions au Code criminel et conseillé des enquêteurs de police à toutes les étapes de leurs enquêtes. En 1992, elle a obtenu un diplôme en common law de l'Université d'Ottawa, et, en 1994, elle est devenue membre du Barreau de l'Ontario. Elle a été professeure à temps partiel à la faculté de droit de l'Université d'Ottawa, et elle a également donné des cours en droit pénal et civil dans le cadre du programme de techniques policières du Collège Algonquin.

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