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Maple Leaf


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Maple Leaf - la Feuille d'érable

Pages 14-16, Maple Leaf, 8 June 2005, Vol. 8, No. 22
Pages 14-16, la Feuille d'érable, le 8 juin 2005, vol. 8 no 22

Fourth Dimension

June 13, 1941

In St. John’s, the capital of the Crown colony of Newfoundland, Commodore Leonard Warren Murray of the Royal Canadian Navy arrives to take up his new command, the Newfoundland Escort Force. He faces a truly daunting task for, despite its formidable deep-water harbour, St. John’s is a poverty-stricken little city with no port facilities beyond what the fishing industry requires, and no naval establishment. The Newfoundland Escort Force will comprise at least 36 and possibly as many as 80 Canadian and British warships, and whatever it needs—headquarters, barracks, berthing spaces, communications facilities, ammunition storage—Cmdre Murray has to obtain or have built. Fortunately, the Canadian government is so pleased that Canada will control this crucial component of Allied naval operations that it is prepared to pay for the base facilities and worry later about details such as title to the land where it will all be built. In return, Britain has agreed that the Canadian ships currently operating in European waters will join the Newfoundland Escort Force.

Despite the recent victory of the German battleship Bismarck over the British cruiser HMS Hood, the surface phase of the naval war is winding down. The growing threat now is U-boats, which recently began attacking convoys in the waters west of Iceland. Destroyers hunt and kill submarines effectively, but the big engines that give them their speed consume so much fuel that they lack the “legs” to accompany convoys all the way across the North Atlantic. (Unfortunately, the shipyards of Britain and Canada have yet to build enough corvettes, which do have the required range, and the frigates that will eventually dominate the convoy system are still on the drawing board.) The Royal Navy tried staging convoys through Iceland, but the choice of convoy routes from North America to Iceland is so limited that they can be patrolled effectively by a mere handful of U-boats, a fact ably demonstrated by the high loss rate of late winter and spring. Consequently, the Admiralty picked St. John’s as the logical place to put an escort group to shuttle convoys to and from point in mid-ocean, beyond which the merchantmen are escorted by ships based in Britain or Ireland. Iceland will remain on the itinerary as a fuelling base.

The shore establishment at St. John’s, dubbed HMCS Avalon, takes shape slowly; the RCN has a terrible shortage of officers and ratings capable of operational staff work. The shortage of wireless telegraphists and coders is particularly serious, and at first Avalon has trouble relaying crucial intelligence to convoys at sea, with fatal results. Cmdre Murray’s most important subordinates are Captain C.M.R. Schwerdt, RN, as base commander; Commander R.E.S. Bidwell, RCN, as chief of staff; and Capt E.R. Mainguy, RCN, as Capt(D), the officer commanding the flotilla of the Newfoundland Escort Force.

At the Admiralty’s request, the flotilla actually started work at the end of May, when the only operationally ready escorts in the western Atlantic were seven Canadian Flower-class corvettes; on June 2, therefore, HMC Ships Chambly, Orillia and Collingwood set off to rendezvous with HX 129, and on June 6 HMC Ships Alberni, Agassiz and Wetaskawin joined HX 130. Meanwhile, British and Canadian destroyers and corvettes destined for Newfoundland headed west with the convoys. The River-class destroyers HMCS Ottawa, Restigouche and Saguenay arrived in St. John’s between June 7 and June 10 with the Town-class destroyers Columbia, Niagara and St. Clair. Even as the flotilla acquired trained-up, capable escorts, however, the U-boats also multiplied and the merchantmen continued to suffer.

Before each convoy leaves St. John’s, Cmdre Murray attends the briefing held for the merchant skippers and chief engineers. After the war, he writes: “…when sinkings were at their worst, I could see when I told them of the measures by escort and air cover that were being taken for their protection and safety … that they knew very well, and that they knew I knew, in spite of my brave words, that anything up to 25 percent of them would probably not arrive in the UK in their own ships, and that probably half of that number would not arrive in the UK at all. But there was never a waver in their resolve.”

Quatrième dimension

Le 13 juin 1941

À St. John’s, capitale de la colonie de la Couronne de Terre-Neuve, le Commodore Leonard Warren Murray de la Marine royale du Canada (MRC) s’apprête à prendre le commandement de la toute nouvelle Force d’escorte de Terre-Neuve. Le défi qui l’attend en est un de taille puisque malgré la profondeur exceptionnelle de son havre, St. John’s n’est qu’une petite ville minée par la pauvreté ne disposant, en guise d’installations portuaires, que du strict nécessaire pour répondre aux besoins de l’industrie de la pêche. En d’autres mots, elle n’a aucun effectif naval. Or, la Force d’escorte de Terre-Neuve devra compter de 36 à 80 navires de guerre canadiens et britanniques, et absolument tout ce dont elle aura besoin – quartiers généraux, casernes, espaces de mouillage, installations de communication, magasins de munitions – et le Cmdre Murray doit l’obtenir ou le faire construire. Heureusement pour lui, le gouvernement canadien est si heureux d’avoir obtenu le contrôle de cet élément crucial des opérations navales des Alliés qu’il est disposé à absorber tous les coûts associés à la construction des installations, quitte à se préoccuper plus tard des détails, comme les droits de propriété des terres où elles seront situées. En retour, la Grande-Bretagne a consenti à ce que tous les navires canadiens de service dans les eaux européennes se joignent à la Force d’escorte de Terre-Neuve.

Malgré la récente victoire du cuirassé allemand Bismarck sur le croiseur de bataille britannique HMS Hood, la phase « en surface » de la guerre maritime tire à sa fin. C’est désormais de sous les mers que surgit la menace, les U-boot ayant récemment commencé à attaquer les convois au large de la côte ouest de l’Islande. Si les destroyers sont efficaces dans la chasse aux sous-marins allemands, les énormes moteurs qui leur permettent d’acquérir une grande vitesse sont cependant si voraces que les bâtiments ne parviennent pas à escorter les convois pendant toute la traversée de l’Atlantique Nord. (Malheureusement, les chantiers navals du Canada et de la Grande-Bretagne n’ont pas encore construit suffisamment de corvettes qui ont la capacité voulue, ni de frégates qui en viendront à diriger le système de convois mais qui sont actuellement encore à l’étude.) La Marine royale tente de faire passer des convois par l’Islande, mais le choix de routes entre l’Amérique du Nord et l’Islande est si limité que seule une poignée de sous-marins allemands suffit à les patrouiller efficacement, comme le démontrent éloquemment les taux de perte élevés enregistrés par les Alliés à l’hiver et au printemps. C’est la raison pour laquelle l’Amirauté a choisi St. John’s comme endroit stratégique où installer un groupe d’escorte pour accompagner, à l’aller et au retour, les convois jusqu’à un point donné au milieu de l’océan; au-delà de ce point, les navires marchands seront accompagnés par des escorteurs basés en Irlande ou en Grande-Bretagne. L’Islande demeurera aussi à l’itinéraire à titre de point de ravitaillement.

À St. John’s, l’établissement à terre, surnommé HMCS Avalon, prend lentement forme. La MRC du Canada manque cruellement d’officiers et de personnel subalterne capables d’effectuer le travail d’état-major opérationnel. La pénurie de télégraphistes et de codeurs est particulièrement grave, et au début, l’Avalon a de la difficulté à transmettre l’information essentielle à ses convois en mer et les conséquences sont tragiques. Les principaux subordonnés du Cmdre Murray sont le Capitaine C.M.R. Schwerdt, MR, commandant de base; le Capitaine de frégate R.E.S. Bidwell, MRC, chef de l’état-major et le Capt E.R. Mainguy, MRC, Capt(D), commandant de la flottille de la Force d’escorte de Terre-Neuve.

À la demande de l’Amirauté, la flottille commence à fonctionner à la fin de mai, alors que dans l’Atlantique Ouest, sur le plan opérationnel, seules sept corvettes canadiennes de classe Flower sont prêtes à gagner le large. Ainsi, le 2 juin, les NCSM Chambly, Orillia et Collingwood partent à la rencontre du convoi HX-129, et le 6 juin, les NCSM Alberni, Agassiz et Wetaskawin rejoignent le convoi HX-130. Pendant ce temps, les destroyers et les corvettes britanniques et canadiennes affectés à Terre-Neuve se dirigeaient vers l’ouest avec les deux convois. Les destroyers de classe River, les NCSM Ottawa, Restigouche et Saguenay arrivent à St. John’s entre le 7 et le 10 juin, en même temps que les destroyers de classe Town Columbia, Niagara et St. Clair. Cependant, même si la flottille acquiert des escortes perfectionnées et performantes, les sous-marins allemands se multiplient, et la Marine marchande continue de faire les frais des attaques.

Avant que tout convoi ne quitte St. John’s, le Cmdre Murray assiste aux briefings destinés aux capitaines des navires marchands et aux chefs mécaniciens. Après la guerre, il écrira : « Quand les torpillages atteignaient leur pire niveau, je pouvais voir quand je leur parlais des mesures d’escorte et de couverture aérienne qui étaient prises pour leur protection et leur sécurité… je pouvais voir qu’ils savaient très bien et qu’ils savaient que je savais, en dépit de mes paroles courageuses, que pas moins de 25 % d’entre eux n’arriveraient pas au Royaume-Uni à bord de leurs propres navires, et que probablement la moitié de ce nombre n’arriverait jamais au Royaume-Uni. Pourtant, jamais leur résolution n’a chancelé. »

MASOP improving safety of CF test equipment

By Rita Racicot

A torque wrench is an important tool that CF Air, Army and Navy technicians use to ensure equipment is maintained in optimum operating condition. The Materiel Acquisition and Support Optimization Project (MASOP) is implementing a torque wrench user verification program that will provide better service to units, improve the availability of test equipment and be more cost- effective from a calibration perspective.

Quality Engineering Test Establishment (QETE) manages DND’s calibration of test equipment. The torque wrench user verification program is part of MASOP’s test equipment and calibration initiative, one of six initiatives aimed at streamlining the defence supply chain.

“MASOP is giving the department the opportunity to look at innovative ways to provide more effective calibration services for test equipment,” says Declan McEvoy, director, Measurement Sciences, QETE and Test Equipment and Calibration team leader for MASOP. “This program creates a new capability for the Canadian Forces that will improve service delivery and save the department a substantial amount of money for many years to come.”

The calibration of torque wrenches represents 10.4 percent of the more than 40 000 instruments calibrated each year at DND and contractor calibration centres across Canada. Part of MASOP’s mandate is to reduce the calibration workload by 15 percent. The cost-savings from the torque wrench user verification program will contribute to the initiative’s recurring savings target of $1.33 million.

The program will supply units with torque wrench verifiers so they can verify that a torque wrench is serviceable within established tolerances. This new capability will reduce the number of torque wrenches sent for calibration, resulting in recurring annual savings of several hundred thousand dollars. Verifying torque wrenches on site also means that units will always have access to their tools, which will improve operational responsiveness.

MASOP has launched the program with the initial focus concentrating on the Air Force and will be expanding it to the Army and Navy.

“Every nut, bolt and screw of an aircraft has a specified torque value, and failure to apply proper torque to even the smallest of fasteners creates a weak link scenario,” says Captain Kevin Skirrow of the Aerospace and Telecommunications Engineering Support Squadron (ATESS), 8 Wing Trenton. “In an industry where perfection is not simply expected but demanded at every level, it is essential that properly calibrated serviceable equipment, in this case torque wrenches, are provided in order to achieve the required result.

“The program will also standardize the verification of torque wrenches and serve as a baseline development to assist Air Force initiatives, including AF 9000+ and airworthiness programs, designed to bring our maintenance standards to a level of excellence second to none,” says Capt Skirrow.

Ms. Racicot is the MASOP communications officer.

Amélioration de la sécurité de l’équipement d’essai des FC grâce au POASM

par Rita Racicot

Une clé dynamométrique est un outil important qui permet aux techniciens de la Force aérienne, de l’Armée et de la Marine de vérifier l’état de fonctionnement de l’équipement. Or, on mettra bientôt en œuvre dans le cadre du Projet d’optimisation de l’acquisition et du soutien du matériel (POASM) un programme de vérification par les usagers des clés dynamométriques qui visera à améliorer le service aux unités, à accroître la disponibilité de l’équipement d’essai et à améliorer la rentabilité du point de vue de l’étalonnage.

L’étalonnage de l’équipement d’essai du MDN relève du Centre d’essais techniques de la qualité (CETQ). Le nouveau programme de vérification s’inscrit dans le cadre du Programme d’équipement d’essai et d’étalonnage du POASM, l’un des six programmes visant à simplifier la chaîne d’approvisionnement de défense.

« Le POASM donne au Ministère l’occasion de trouver des façons innovatrices d’améliorer les services d’étalonnage de l’équipement d’essai », a expliqué le directeur de la métrologie au CETQ et chef d’équipe de l’équipement d’essai et de l’étalonnage pour le POASM, M. Declan McEvoy. « Ce programme permettra aux Forces canadiennes d’améliorer la prestation de services. Ainsi, le MDN économi-sera considérablement d’argent au cours des prochaines années. »

Des 40 000 instruments étalonnés chaque année par le MDN et par les centres d’étalonnage travaillant pour le compte du MDN partout au Canada, 10,4 % sont des clés dynamométriques. Le POASM vise notamment à réduire de 15 % la charge de travail liée à l’étalonnage. Or, le programme de vérification par les usagers des clés dynamométriques aidera le POASM à réaliser des économies ordinaires de 1,33 million de dollars.

Dans le cadre du programme, les unités logistiques recevront de l’équipement permettant de vérifier si leurs clés dynamométriques sont en bon état de fonctionnement et si elles respectent les tolérances permises et, ainsi, de réduire le nombre de clés envoyées pour étalonnage et de réaliser des économies annuelles de plusieurs centaines de milliers de dollars. La vérification sur place des clés dynamométriques permettra également aux unités de toujours avoir accès à leurs outils, ce qui améliorera leur capacité d’intervention opérationnelle.

Le programme vise d’abord la Force aérienne; il sera offert plus tard à l’Armée et à la Marine.

« Pour chaque écrou, chaque boulon et chaque vis d’un aéronef, il y a une tension de serrage précise. Si la tension du plus petit de ces éléments n’est pas correcte, c’est tout l’appareil qui est à risque », a mentionné le Capitaine Kevin Skirrow de l’Escadron de soutien technique des télécommunications et des moyens aérospatiaux (ESTTMA), de la 8e Escadre Trenton. « Vu que l’industrie exige la perfection à tous les niveaux, il est crucial que l’équipement utilisable – dans ce cas-ci les clés dynamométriques – soit étalonné en bonne et due forme afin d’atteindre les résultats souhaités. »

« Par ailleurs, le programme permettra de normaliser le processus de vérification des clés dynamométriques et aidera des projets de la Force aérienne, dont FA 9000+ et des programmes de navigabilité, à rehausser nos normes d’excellence hors pair », a conclu le Capt Skirrow.

Mme Racicot est agente de communications pour le POASM.

Motivated, enthusiastic and feisty in the corners

By Capt Philippe Sauvé

With only 12 members in Sarajevo,at least half of them show up every Sunday. To play a little street hockey that is…

To help make this happen the Canadian Detachment Sarajevo, part of Task Force Balkans, has donated hockey equipment to an organization dedicated to helping kids in the Sarajevo valley area.

The members of ROTO 0 and 1 of Operation BRONZE/BOREAS completed the work of previous members who had already returned to Canada. Corporal Jeff Cyr was the originator of the donation of hockey equipment. Upon his return to Comox, he managed to get all parties involved to effectively co-ordinate the shipping of the equipment, in less than a month, the equipment was delivered. It has taken a lot of effort and co-ordination from military members in Comox, Trenton, Ottawa, Zagreb, Banja Luka and Sarajevo to accomplish this task. This success shows the continuing Canadian dedicationto making a difference in Bosnia whenever possible.

The organization, Club Illidza 2010, has served to be more than just a hockey program. Brad Collins, Club founder, uses this program to reach out to children of his village and provide them alternatives to life on the streets. He is looking at expanding his organization with the goal of using hockey to teach them leadership, teamwork, the English language, and other skills so they can better contribute to the future of their country. Op Palladium Roto 11 were the first to become active in supporting this program, and Canadian soldiers in the Sarajevo area continueto this day.

“As a member of ROTO 1, I think it is a good feeling to be able to see the smiles on the kids faces when you see them enjoying our national sport as well as we do. It gets our two different communities to form one big union through the sport,” said Master Corporal Guillaume Varin, from Beauport, Que.

Since ROTO 11, every Sunday, soldiers drive to the nearby town of Illidza, where a group of young boys wait for the Canadians to have a fun game of street hockey. Since the kids are quick learners and have been playing for over two years they can definitely challenge the soldiers every week.

They are motivated, enthusiastic, and feisty in those corners so the CF members have to be at their best to compete against them.

Capt Sauvé is LNO MNTF(NW) TO EUFOR HQ.

Motivés, enthousiastes et redoutables dans les coins

par le Capt Philippe Sauvé

Nous sommes seulement 12 soldatscanadiens à Sarajevo et au moins la moitié d’entre nous sommes de la partie chaque dimanche. Une partie de hockey de ruelle…

Pour ce faire, le Détachement des Forces canadiennes à Sarajevo, qui fait partie de la Force opérationnelle dans les Balkans, a offert de l’équipement de hockey à un organisme qui vient en aide aux enfants de la région de la vallée de Sarajevo.

Les membres des rotations 0 et 1 de l’opération BRONZE et de l’opération BOREAS ont complété le travail de leurs prédécesseurs retournés au Canada. Le Caporal Jeff Cyr était l’instigateur de ce mouvement de don d’équipement de hockey. À son retour à Comox, il a réussi à faire participer toutes les parties prenantes afin de coordonner efficacement l’expédition du matériel. En moins d’un mois, l’équipement était livré. C’est grâce aux efforts et à la coordination des militaires de Comox, de Trenton, d’Ottawa, de Zagreb, de Banja Luka et de Sarajevo que ce projet a été couronné de succès. C’est justement une telle réussite qui illustre que les Canadiens continuent à tenter de faire changer les choses en Bosnie dans la mesure du possible.

L’organisme, le Club Illidza 2010, s’est avéré bien plus qu’un programme de hockey. Son fondateur, M. Brad Collins, utilise ce projet pour joindre les enfants de son village et leur offrir une solution de rechange à la vie de la rue. Il chercheà élargir les opérations de l’organisationen utilisant le hockey pour leur apprendre le leadership, le travail d’équipe, l’anglaiset d’autres habiletés qu’ils pourrontutiliser pour contribuer à l’avenir deleur pays. Les membres de la rotation 11de l’Op PALLADIUM ont été lespremiers à participer activementàce programme. Les soldats canadiensaffectés à Sarajevo poursuivent latradition.

« En tant que membre de la rotation 1, je me sens tellement bien lorsque je vois les sourires sur les visages des enfants qui apprécient notre sport national autant que nous. Nos deux collectivités par ailleurs si différentes sont unies dans le sport », a affirmé le Caporal-chef Guillaume Varin, de Beauport (Qc).

Depuis la rotation 11, tous les dimanches, les soldats se rendent à la ville voisine de Illidza, où un groupe de jeunes garçons les attendent pour une partie amicale de hockey de ruelle. Comme les jeunes apprennent vite et qu’ils jouent depuis deux ans, ils livrent une chaude lutte aux soldats chaque semaine.

Les enfants sont motivés, enthousiastes et redoutables dans les coins; les membres des FC doivent redoubler d’ardeur pour les affronter.

Le Capt Sauvé est OL FOMN(NO) au QG de l’EUFOR.

Tournament in support of the blind fund

The Valcartier Garrison played host to first annual Military Police hockey tournament for eastern Canada, in this millennium in early April, with allproceeds going to the MP Blind Children Fund.

This event, which had not taken place for over a decade, the last one took place in Quebec in 1995, when it was held at the Military College at Fort Saint-Jean. With the reduction in personnel and the arrival of new military police, the event got shelved and although mentioned at social gatherings, it seemed everyone was waiting for someone with the right stuff to revive it.

Towards the end of 2004, Sergeant Ben Crête rekindled the old flame with help from Master Seaman Stéphane Gendron and Sgt André Gagnon. And it was decided that the MPs from Valcartier would field two different teams. This brought about the creation of teams from 5MP Platoon and CFNIS Eastern. The other teams in the tournament, were NDHQ Ottawa, Ottawa CFNIS SD, Saint-Jean Garrison and Halifax.

For the round robin, the teams were separated in two divisions in order to guarantee a maximum of games for each team (minimum 4 per team).

During the semi finals, two teams from Valcartier faced each other but the match was inconclusive until the final minutes when 5 MP Platoon scored. That team in turn lost to the tournament champions, Halifax.

At the end of the contest, the Halifax team captain, Petty Officer, 1st Class Sylvain Bolduc, informed the organizing committee that his team was donating $300 for the Blind Children Fund. Major Gilles Sansterre from CFNIS SD, vice president for the fund, received a $1 000 cheque from organizers.

Tournoi de hockey au profit des enfants aveugles

Au début avril, à la garnison Valcartier, s’est tenu le premier tournoi annuel de hockey de la Police militaire de l’est du Canada du nouveau millénaire, au profit du Fonds de la police militaire pour les enfants aveugles (FPMEA).

Cette activité avait été tenue la dernière fois au Québec en 1995 au Campus Fort Saint-Jean du collègemilitaire de l’endroit. Avec les coupures de personnel et l’arrivée de nouveaux policiers militaires, l’événement avait simplement été mis de côté et tout le monde attendait qu’une personne bien intentionnée y pense et l’organise.

Ainsi, à la fin de 2004, le Sergent Ben Crête a fait rejaillir de vieux souvenirs avec l’aide du Matelot-chef Stéphane Gendron et du Sgt André Gagnon, et il a été décidé que les policiers militaires formeraient deux équipes distinctes. Les équipes du 5e Peloton de police militaire (5 PPM) et celle du Service national des enquêtes des Forces canadiennes (SNEFC) de la région de l’est ont alors été créées. Les autres équipes qui ont pris part au tournoi sont : QGDN, SNEFC DS, la garnison Saint-Jean et Halifax.

Lors du tournoi à la ronde, les équipes ont été séparées en deux divisions afin d’assurer un nombre maximal de parties à chaque équipe (minimum de quatre parties par équipe).

Lors des matchs de demi-finales, les deux équipes de Valcartier se sont affrontées et il a fallu attendre les dernières minutes du jeu avant que l’équipe du 5 PPM marque le but décisif. Par la suite, cette équipe a été défaite par les champions du tournoi, soit l’équipe d’Halifax. Il est important de mentionner que cette équipe n’a subi aucun revers lors du tournoi et avait un cumulatif de 21 buts comptés et de 3 buts accordés lors des rondespréliminaires.

À la fin du tournoi, le capitaine de l’équipe d’Halifax, le Matelot de 1re classe Sylvain Bolduc a fait savoir aux organisateurs du tournoi que son équipe faisait un don de 300 $ au FPMEA. Le vice-président du fonds, le Major Gilles Sansterre de l’équipe du SNEFC DS a aussi reçu un chèque de 1 000 $ de la part des organisateurs du tournoi.

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