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Maple Leaf


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Maple Leaf - la Feuille d'érable

Pages 1-4, Maple Leaf, 15 June 2005, Vol. 8, No. 23
Pages 1-4, la Feuille d'érable, le 15 juin 2005, vol. 8 no 23

Diving field trials turned into real life rescue

By Nena Snyder

Divers from the Experimental Diving Unit (EDU) at Defence R&D Canada–Toronto got a little more action than they planned for on May 24, when they rescued two boaters from the chilly waters of Lake Simcoe, north of Toronto.

The Navy divers were on-site doing re-breather proficiency dives in preparation for underwater navigation system field trials, when crew members heard whistles coming from somewhere on the lake. Seeing nothing, they continued with the dive, upon hearing the whistle again, they scanned the lake again, this time spotting something in the distance, so they went to investigate.

What they found were two men and a capsized boat about one kilometre from shore. After pulling them to safety, divers learned the men had been waiting for over an hour in 9°C water. “The men were lucky we found them when we did. There had only been two or three other boats on the lake all day, and we were leaving after that last dive. They could not have swam to shore, so they would have been in trouble,” said Lieutenant-Commander Leanne Crowe, CFEME diving officer.

A police marine unit was called and they transported the sailors to hospital, as the EDU team dismantled the mast and sail to right the small craft and divers towed the damaged boat to shore.

“I definitely have a new respect for marine whistles,” said LCdr Crowe, “I now know why they are on all the marine and air life vests. They definitely made the difference today.”

DRDC–Toronto's EDU conducts research and development in direct support of the CF underwater capability. EDU's efforts help ensure diver safety, as well as the security and availability of the fleet, selected army units and search and rescue operations.

Their work also includes the development and acquisition of diving equipment; development of procedures and tools to enhance the safety and effectiveness of diving operations; and the integration of divers and unmanned systems.

Members of EDU and Diving Operations who helped with the rescue were: LCdr Leanne Crowe, Lt(N) John Keenan, LCdr Andy Ward, Lt(N) Gary Bures, PO 1 Charley Trombley, CPO 2 André Fortin, MWO Marcel Pigeon, PO 2 Sandy MacNeish, PO 2 Craig Shannon, LS Marc Essertaize, LS Sean O’Brien.

Ms. Snyder is a communications officer at Information Service DRDC–Toronto.

Un exercice de plongée se transforme en une véritable opération de sauvetage

par Nena Snyder

Des plongeurs de l’Unité de plongée expérimentale (UPE) de R et D pour la défense Canada (RDCC) – Toronto ont eu une journée plus mouvementée que prévu le 24 mai dernier lorsqu’ils ont rescapé deux plaisanciers des eaux glacées du lac Simcoe, au nord de Toronto.

Les plongeurs de la Marine étaient sur place pour faire des plongées de vérification avec l’appareil de respiration à circuit fermé en prévision d’essais d’un système de navigation sous-marine, lorsqu’ils ont entendu des coups de sifflet. Comme ils ne voyaient rien de particulier, ils ont poursuivi la plongée. Cependant, en entendant d’autres coups de sifflet, ils ont de nouveau balayé le lac du regard et cette fois, ils ont aperçu quelque chose au loin. Ils ont donc décidé d’aller y voir de plus près.

C’est alors qu’ils ont aperçu deux hommes et un voilier renversé dans l’eau, à environ 1 km de la rive. Après les avoir sortis de l’eau, les plongeurs ont appris que les plaisanciers attendaient depuis plus d’une heure dans des eaux glaciales, à 9°C. « Ils ont eu beaucoup de chance que nous les ayons trouvés à ce moment », a expliqué le Capitaine de corvette Leanne Crowe, officier de plongée au Centre de médecine environnementale des FC. « Il y avait à peine deux ou trois autres bateaux sur le lac ce jour-là, et nous allions partir après cette dernière plongée. Comme ils n’auraient pas pu nager jusqu’à la rive, ils auraient été en mauvaise posture. »

Une unité nautique de la police est arrivée pour transporter les plaisanciers à l’hôpital, tandis que l’équipe de l’UPE a démantelé le mât et la voile du bateau afin que celui-ci puisse être redressé. Elle a par la suite remorqué l’embarcation endommagée jusqu’à la rive.

« J’ai certainement acquis du respect pour les sifflets nautiques », a déclaré le Capc Crowe. « Je sais maintenant pourquoi on en trouve sur tous les gilets de sauvetage. Manifestement, ils ont été très utiles aujourd’hui. »

L’UPE de RDDC – Toronto effectue des travaux de recherche et développement à l’appui direct de la capacité sous-marine des FC. Les efforts de l’UPE contribuent à assurer la protection des plongeurs ainsi que la sécurité et la disponibilité de la flotte, d’unités désignées de l’Armée et des opérations de recherche et sauvetage.

Les travaux de l’UPE comprennent aussi le développement et l’acquisition d’équipement de plongée, l’élaboration de procédures et d’outils visant à améliorer la sécurité et l’efficacité des opérations de plongée et l’intégration des plongeurs et des systèmes sans équipage.

Les membres de l’UPE et des opérations de plongée qui ont pris part au sauvetage sont : le Capc Leanne Crowe, le Ltv John Keenan, le Capc Andy Ward, le Ltv Gary Bures, le M 1 Charley Trombley, le PM 2 André Fortin, l’Adjum Marcel Pigeon, le M 2 Sandy MacNeish, le M 2 Craig Shannon, le Mat 1 Marc Essertaize et le Mat 1 Sean O’Brien.

Mme Snyder est agente des communications au Service d’information de RDDC – Toronto.

Rangers hold their largest exercise ever in Ontario

By Sgt Peter Moon

A total of 57 Rangers from 13 remote First Nations in Ontario braved May temperatures from –10oC to +10oC, as well as rain, sleet and snow to complete their largest joint exercise ever on an uninhabited island on the Albany River in the province’s Far North.

The Canadian Rangers reached Cheepay Island after two days travelling by freighter canoe from two starting points—Constance Lake near Hearst and Fort Albany on James Bay.

The Rangers, either Cree, Oji-Cree or Ojibway, were joined on the seven-day exercise by two Junior Canadian Rangers, three Reserve Force members from The Queen’s York Rangers (1st American Regiment) (RCAC), two CIC officers and 11 staff from 3rd Canadian Ranger Patrol Group (3 CRPG) at CFB Borden, as well a reporter and photographer from the Toronto Star.

They competed in team events involving shooting, use of freighter canoes to save lives, navigation, using pulleys to recover canoes, first aid and a variety of traditional skills like building hunting blinds, and bannock and tea making.

“A lot of hard work went into planning this exercise, but more hard work went into executing it,” said Major Keith Lawrence, 3 CRPG, commanding officer. “I’m intensely proud of the work you guys have done. I’m fiercely proud of the spirit, both team and competitive, everyone here put into it.”

Maj Lawrence said the exercise tested the Rangers’ skills while working with Rangers from other communities and provided the Reservists, Junior Rangers and the CIC officers an opportunity to work with Rangers as well.

“This was the largest exercise yet, much bigger than anything else we have done,” said Master Corporal Stanley Stephens of Constance Lake. “It refreshes your training and you learn from meeting new people.”

“The Canadian Rangers are extraordinary people,” said Corporal Robert Edhouse of The Queen’s York Rangers (1st American Regiment) (RCAC). “They know their skills and they know their job. They are very good at it. But they are very humble people. They never brag. Would I work with them again? Oh, definitely.”

Sgt Moon is the PA Ranger, 3 CRPG at CFB Borden.

Les Rangers tiennent le plus important exercice jamais mené en Ontario

par le Sgt Peter Moon

Au mois de mai, un groupe de 57 Rangers provenant de 13 Premières nations éloignées en Ontario ont bravé des températures de –10 oC à +10 oC, sans compter la pluie, le verglas et la neige dans le cadre du plus important exercice conjoint à avoir lieu sur une île inhabitée de la rivière Albany, dans le nord de la province.

Les Rangers canadiens sont arrivés à l’île Cheepay après deux jours de voyage à bord de canots de fret depuis Constance Lake, près de Hearst, et de Fort Albany à la baie James.

Des Rangers, Cris, Oji-Cris et Ojibways, deux Rangers juniors canadiens, trois membres de la Réserve provenant des Queen’s York Rangers (1st American Regiment) (CBRC), deux officiers du CIC et 11 membres du personnel du 3e Groupe de patrouilles des Rangers canadiens (3 GPRC) de la BFC Borden, ainsi qu’un journaliste et un photographe du journal Toronto Star ont pris part à l’exercice d’une durée de sept jours.

Le groupe a participé à des activités en équipe, notamment des compétitions de tir, des exercices de sauvetage à bord de canots de fret, des exercices de navigation, d’utilisation de poulies pour la récupération de canots, de premiers soins, ainsi que diverses activités traditionnelles telles que la construction de caches et la préparation de pain bannock et de thé.

« Il a fallu consacrer beaucoup d’effort à la planification de l’exercice, mais encore plus à son exécution », a indiqué le Major Keith Lawrence, commandant du 3 GPRC. « Je suis très fier du travail que vous avez accompli. Je le suis davantage de l’esprit d’équipe et de compétition dont chacun de vous a fait preuve. »

Le Maj Lawrence a mentionné que l’exercice avait mis à l’épreuve les compétences des Rangers à travailler avec des collègues Rangers provenant d’autres communautés. L’exercice a aussi donné l’occasion aux réservistes, aux Rangers juniors et aux officiers du CIC de travailler de concert avec les Rangers.

« Ce fut l’exercice le plus important qui a été mené, bien plus gros que ce que nous avons fait jusqu’à présent », a précisé le Caporal-chef Stanley Stephens de Constance Lake. « Cela ravive notre formation et nous permet d’acquérir des connaissances au contact des personnes que nous rencontrons. »

« Les Rangers canadiens sont des personnes extraordinaires », a indiqué le Caporal Robert Edhouse, des Queen’s York Rangers (1st American Regiment) (CBRC). « Ils connaissent leurs aptitudes et leur travail. Ils sont très bons dans ce qu’ils font. Mais ces personnes demeurent très humbles et ne se vantent jamais. Est-ce que je travaillerais encore avec les Rangers? Bien sûr, sans aucune hésitation. »

Le Sgt Moon est le Ranger responsable des affaires publiques du 3 GPRC à la BFC Borden.

National Aboriginal Awareness Week: “The circle is strong”

By Kristina Davis

Sergeant Tommy Prince, one of Canada’s most decorated Aboriginal veterans, was his great uncle. Now, Sgt Ron Leblanc is carrying on his tradition as a CF Aboriginal recruiter.

A keen supporter of the CF as a viable option for Aboriginal youth, National Aboriginal Awareness Week (AAW), held across Canada from May 24 to 27, presented Sgt Leblanc with a unique occasion to share his culture more broadly, with both serving CF members and even veterans.

“It’s a good opportunity,” he says, “to show my co-workers about my culture.”

In Ottawa, AAW, based on the theme, “The circle is strong”, saw a vast array of events, culminating with the closing ceremonies at the National Aboriginal Veterans Monument. There, James Eagle, an Aboriginal Veteran spoke and Nukariik, a sister group of Inuit Throat Singers performed.

For Sgt Leblanc, now living and working in Vancouver, B.C., the CF is making huge efforts to promote the military to Aboriginal peoples and to truly embrace their culture. He has even participated in a “sweat” on base—something he calls previously “unheard of”.

Sgt Leblanc cautions, though, that more cultural education, even within the Aboriginal community itself, is necessary. He points to the CF Aboriginal Entry Program and specifically the pre-recruit training course, where potential new recruits are given a taste of the military and attend cross-cultural awareness sessions. At these sessions, some youth are learning about other cultures and sometimes even their own for the very first time.

But the recruiting process is working, he says. This year alone saw more than 200 applicants from Aboriginal communities across B.C. And for the first time, applications were even processed on Nisga’a land.

For more on AAW, visit: www.aaw-ssca.gc.ca.

Semaine de sensibilisation aux cultures autochtones :« La force du cercle »

par Kristina Davis

Le Sergent Tommy Prince, l’un des anciens combattants autochtones les plus décorés au Canada, était son grand-oncle. Aujourd’hui, le Sgt Ron Leblanc perpétue la tradition en tant que recruteur des Autochtones des FC.

Fervent partisan des FC comme choix de carrière pour les jeunes Autochtones, le Sgt Leblanc a eu l’unique occasion de promouvoir sa culture auprès de membres des FC et d’anciens combattants dans le cadre de la Semaine nationale de sensibilisation aux cultures autochtones (SSCA), qui s’est tenue du 24 au 27 mai à travers le pays.

« C’est une excellente occasion de faire connaître ma culture à mes collègues », a mentionné le Sgt Leblanc.

À Ottawa, cette semaine a été ponctuée de nombreuses activités sous le thème « La force du cercle », pour se terminer en grand avec la cérémonie de clôture tenue au Monument à la mémoire des anciens combattants autochtones du Canada. Cette cérémonie comprenait un exposé de James Eagle, ancien combattant autochtone et une prestation du groupe Nukariik, composé de sœurs inuites interprétant le chant guttural.

Selon le Sgt Leblanc, qui habite et travaille maintenant à Vancouver (C.-B.), les FC font d’énormes efforts pour promouvoir la carrière militaire au sein des peuples autochtones et pour appuyer entièrement leur culture. Il a même participé à une cérémonie de suerie sur la base – une première dans une base!

Le Sgt Leblanc précise cependant qu’il faut faire davantage de sensibilisation culturelle, même au sein de la communauté autochtone elle-même. Il attire l’attention sur le Programme d’enrôlement des Autochtones des Forces canadiennes et particulièrement sur le Cours de formation préalable au recrutement, où les recrues potentielles se familiarisent avec la vie militaire et assistent à des séances de sensibilisation aux différences culturelles. Lors de ces séances, certains jeunes en apprennent sur les autres cultures, et il arrive même qu’ils en apprennent sur leur propre culture.

Le processus de recrutement est efficace, estime-t-il. Cette année seulement, plus de 200 demandes ont été reçues des communautés autochtones de partout en C.-B. Pour la première fois, les demandes ont été traitées sur des terres Nisga’a. Pour obtenir plus de détails sur la SSCA, consultez le site www.aaw-ssca.gc.ca.

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