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Maple Leaf


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Maple Leaf - la Feuille d'érable

Pages 14-16, Maple Leaf, 22 June 2005, Vol. 8, No. 24
Pages 14-16, la Feuille d'érable, le 22 juin 2005, vol. 8 no 24

Fourth Dimension

June 25, 1942

At RAF Station Dishforth, an aerodrome on the Great North Road three miles north of Boroughbridge, Yorkshire, Bomber Command is forming a Francophone squadron, its first non-Anglophone unit. Fighter Command has had Polish, Czechoslovak, Norwegian, Dutch and Free French squadrons since 1940, but the operational problems of bomber squadrons are so much more complex than those of fighter units that, until now, the RAF has preferred not to add foreign languages to the long list. The Air Ministry desperately needs aircrew candidates from British Commonwealth Air Training Plan (BCATP) schools, but about half of them come from Canada, and the Canadian government will not release them to the RAF without a guarantee that they will eventually serve under Canadian command. This “Canadianization” policy has brought the RAF to the point of creating No. 6 (RCAF) Group in Bomber Command, and of forming No. 425 Squadron to offer opportunities for French-speaking Canadians, thus achieving important political goals for the government.

In a letter to the Air Ministry written in November 1941, Air Vice-Marshal L.F. Stevenson, the senior RCAF officer in Britain, noted that squadrons “identified with racial or other groups” would increase support for the war effort, but went on to complain that “this one golden opportunity to weld French and English Canada closer together is being thrown away,” and to warn that “if the French Canadian squadron meets with hard luck the repercussions may be far-reaching.” In December 1941, Air Marshal Harold Edwards assumed the position of A/V/M Stevenson in London to offer more support to the formation of the squadron.

At the time, the Air Ministry thought the project more trouble than it was worth. French-speaking Canadian aircrew and technicians must be identified and located—quite a challenge, for RAF and RCAF personnel records do not usually contain information about language skills—and then they must be persuaded to go to the new squadron. Air Force personnel of all ranks, but especially aircrew, are notoriously unwilling to leave a squadron where they are settled and doing well, and some French-Canadian pilots have expressed objections to being posted to a squadron where they will be “segregated” and “put on the spot”. A major diplomatic effort was required at many levels to move No. 425 Squadron from theory to reality.

No. 425 Squadron’s first commanding officer is Wing Commander J.M.W. St-Pierre, who commanded No. 11 Elementary Flying Training School in Cap-de-la-Madeleine, Quebec, until February, when he proceeded overseas. Given a free hand to choose his own personnel because of his years of experience in the pre-war RCAF Auxiliary and the BCATP, W/C St-Pierre spent the spring and early summer visiting bomber squadrons and operational training units in search of Francophone crews. When considering candidates for No. 425 Squadron, he did not rely on his own interpretation of their statements and apparent reactions, but consulted the censors who read the airmen’s mail. “[T]he formation of 425 Squadron has provoked what appears to be joy unconfined among the French Canadians,” said one censor’s report. “Men promised a posting to 425 find the prospect alluring, and letters from men already embodied reveal excellent morale …There are some adverse comments, one regretting that in a French Canadian Squadron he will forget his English. Many object to posting to 425 because they have French names, and some suspect the purpose of the formation of the Squadron to be purely propagandist.”

With 20 five-man crews and 20 Vickers Wellington Mk III aircraft, No. 425 Squadron stands up in No. 4 Group, Bomber Command, as the fifth Canadian heavy bomber squadron to be formed overseas. Flying begins in August, and the squadron goes operational on the night of October 5, 1942.

Quatrième dimension

le 25 juin 1942

À la station Dishforth de la RAF, aérodrome situé sur la Great North Road trois milles au nord de Boroughbridge, dans le Yorkshire, le Bomber Command a décidé de mettre sur pied un escadron francophone, sa toute première unité non anglophone. Depuis 1940, le Fighter Command dispose d’escadrons polonais, tchécoslovaque, norvégien, hollandais et même des « Forces françaises libres », mais les problèmes opérationnels des escadrons de bombardiers sont tellement plus complexes que ceux des unités d’aviation de chasse que, jusqu’à présent, la RAF a préféré ne pas ajouter à la longue liste de difficultés celle des langues étrangères. Cependant, le ministère de l’Air a désespérément besoin de candidats pour les écoles du Programme d’entraînement aérien du Commonwealth britannique (PEACB), et la moitié de ceux qu’il parvient à enrôler sont Canadiens. Or, le gouvernement du Canada refuse de les laisser s’enrôler dans la RAF sans d’abord obtenir la garantie qu’ils pourront éventuellement servir sous un commandement canadien. Cette politique de « canadianisation » a même mené la RAF à créer le Groupe de bombardement canadien n° 6 de l’ARC dans le Bomber Command et à former le 425e Escadron, destiné aux Canadiens français, permettant par le fait même au gouvernement de réaliser certains objectifs politiques importants.

Dans une lettre datée de novembre 1941 destinée au ministère de l’Air, le Vice-maréchal de l’air L.F. Stevenson, officier supérieur de l’ARC en Grande-Bretagne, fait remarquer que des escadrons « assimilés à des groupes raciaux ou autres » serviraient bien l’effort de guerre, mais que « l’on anéantit ainsi une occasion en or de rapprocher le Canada anglais et le Canada français ». Il poursuit en prévenant que « si l’escadron canadien-français devait se heurter à des difficultés, cela pourrait avoir de très graves répercussions ». En décembre 1941, le Maréchal de l’air Harold Edwards prend la relève du V/M/Air Stevenson à Londres pour offrir plus d’aide lors de la mise sur pied de l’escadron.

À ce moment-là, le ministère de l’Air considère que le projet causera trop de problèmes par rapport à ce qu’on peut en tirer. En effet, il faut identifier et trouver des membres d’équipage et des techniciens canadiens-français, ce qui représente un défi de taille puisque les dossiers personnels de la RAF et de l’ARC ne contiennent normalement aucun renseignement sur les compétences linguistiques. Par ailleurs, il faut persuader ces gens de se joindre au nouvel escadron. Il est reconnu que les membres de tous rangs de l’aviation, mais plus particulièrement les membres d’équipage, sont réticents à quitter un escadron dans lequel ils se sont établis et se plaisent, et certains pilotes canadiens-français font même part de leur objection, refusant d’être affectés à un escadron où ils seraient « mis à part » et « placés dans une situation difficile ».

Le premier commandant du 425e Escadron est le Lieutenant-colonel d’aviation J.M.W. St-Pierre, qui a été aux commandes de l’école élémentaire de pilotage du Cap-de-la-Madeleine (Québec) jusqu’en février 1942, avant d’être dépêché outre-mer. Libre de choisir son personnel en raison de ses années d’expérience d’avant-guerre dans l’ARC (Force auxiliaire) et avec le PEACB, le Lcol avn St-Pierre passe le printemps et le début de l’été à visiter des escadrons de bombardement et des unités d’entraînement opérationnel, à la recherche de militaires francophones. Au moment d’évaluer les candidats pour le 425e Escadron, il ne se fie pas seulement à son interprétation de leurs déclarations, mais consulte aussi les examinateurs à la censure, qui lisent le courrier des aviateurs. « La formation du 425e Escadron semble transporter de joie les Canadiens français », peut-il lire dans un rapport d’examinateur à la censure. « Les hommes à qui l’on a promis un poste trouvent la perspective séduisante, et les lettres de ceux qui sont déjà enrôlés révèlent un excellent moral… Certains commentaires négatifs ont toutefois été formulés. Par exemple un aviateur craint que le fait d’évoluer au sein d’un escadron francophone va lui faire perdre son anglais. En outre, bon nombre refusent aussi d’être affectés au 425 parce qu’ils ont un nom français, et certains croient que le but de la mise sur pied de l’escadron n’est que purement propagandiste. »

Le 425e Escadron, qui compte vingt équipages de cinq hommes et vingt aéronefs Wellington de Vickers Mk III, entre ainsi au service du Groupe 4 du Bomber Command à titre de cinquième escadron canadien de bombardiers lourds à être formé outre-mer. L’escadron commence à voler en août et devient opérationnel la nuit du 5 octobre 1942.

Military themes for postage stamps

By Richard Larouche

What do Billy Bishop, the Royal Military College of Canada, Search and Rescue, the CF-100 and the Battle of the Atlantic have in common?

They have been the subject of at least one postage stamp.

Canadian military history and heritage are frequently featured on Canadian stamps. Whether to honour the exploits of famous people, celebrate anniversaries of regiments, illustrate forts or aircraft, or commemorate Canadian participation in the great wars, stamps regularly picture military subjects.

Recently a stamp was issued in honour of the Battle of the Atlantic. Another was issued for the opening of the new Canadian War Museum. A set of four stamps salutes search and rescue operations. In addition, Canadian war brides and the Royal Regiment of Canadian Artillery will be featured on commemorative envelopes.

You may have wondered how a specific object or person came to be chosen as the subject of a postage stamp or commemorative envelope. Any individual or organization may submit suggestions for stamp subjects.

Each year, Canada Post’s stamp program consists of about 20 broad subjects or themes covering some 60 individual stamps. A national Stamp Advisory Committee guides Canada Post in selecting stamp subjects. The committee is made up of leading Canadians from across the country selected for their general and philatelic knowledge.

As Jim Philips, director of Philatelic Products, explained in Canada Post’s last issue of its quarterly Stamp Details, the committee must put forward a balanced program that will have regional and cultural appeal to a wide-ranging public. Subjects should be based on our history, heritage and traditions, in short, everything that makes Canadians what they are.

The Committee evaluates all suggestions received on the basis of their contributions to celebrating and promoting Canada—our heroes, leading personalities, heritage, traditions and achievements, as well as their potential to appeal to Canadians. In addition, Canada Post makes every effort to maintain regional and cultural balance in selecting subjects so that stamps appropriately reflect all aspects of our nation.

To allow for the time needed to review the many suggestions received, conduct the research and selection progress, and design, produce and promote stamps, those who wish to propose stamp subjects should submit their suggestions a minimum of two years before the beginning of the desired year of issue.Suggestions must include a brief description of the subject, its importance in the Canadian context, and any significant anniversaries or upcoming events. For more information on this subject, go to www.canadapost.ca/personal/collecting/default-e.asp?stamp=stamppolicy.

Many organizations whose suggestions for commemorative stamps are not accepted by the advisory committee turn to commemorative envelopes. As a limited edition collectible, the commemorative envelope has a symbolic value for the organization. With a few thousand copies printed, these envelopes are collector’s items.

Theme collectors will be pleased to learn that some 175 Canadian stamps, approximately 8 percent of all stamps issued by Canada, can be found under the overall theme of “military”. Some 50 vignettes came out of the Second World War, with the second most popular sub-theme being military airplanes, followed by forts and fortifications, which both have about 30 stamps.

La thématique militaire sur les timbres-poste

par Richard Larouche

Qu’ont en commun Billy Bishop, le Collège militaire royal du Canada, la recherche et sauvetage, le CF-100 et la bataille de l’Atlantique?

Ces sujets militaires ont tous fait l’objet de l’émission d’au moins un timbre-poste.

L’histoire et le patrimoine militaires du Canada sont omniprésents sur les timbres-poste canadiens. Que ce soit pour rappeler des hauts faits de personnages, célébrer des anniversaires de régiments, illustrer des forts ou des avions, commémorer la participation canadienne aux grandes guerres, des sujets militaires sont régulièrement retenus pour illustrer des timbres-poste.

Récemment, un timbre a été émis en hommage à la bataille de l’Atlantique. Un autre a été émis à l’occasion de l’ouverture du nouveau Musée canadien de la guerre. Enfin, une émission de quatre timbres vient saluer les opérations de recherche et sauvetage. En outre, les épouses de guerre canadiennes et le Régiment royal de l’Artillerie canadienne ont fait l’objet d’émissions d’enveloppes commémoratives.

Vous êtes-vous déjà demandé comment un sujet particulier en vient à faire l’objet d’un timbre-poste ou d’une enveloppe commémorative?

Tous, individus ou organisations, peuvent soumettre des suggestions de sujets de timbres-poste. Chaque année, dans le cadre de son programme des timbres-poste, Postes Canada émet une soixantaine de timbres portant sur une vingtaine de sujets ou thèmes généraux. Dans son choix de sujets, Postes Canada est guidée par le Comité consultatif sur les timbres-poste, composé d’une douzaine de Canadiens de partout au pays choisis pour leurs connaissances, tant générales que philatéliques.

« Le comité doit proposer un programme équilibré susceptible d’intéresser un large public par ses attraits régionaux et culturels. Les sujets doivent s’inspirer de notre histoire, de notre patrimoine et de nos traditions; bref, de tout ce qui fait des Canadiens ce qu’ils sont », explique Jim Philips, directeur des Produits philatéliques dans le dernier numéro de la publication trimestrielle En détail de Postes Canada.

Le site Web de Postes Canada nous apprend que le Comité évalue toutes les suggestions reçues. Il détermine dans quelle mesure ces suggestions mettent le Canada en valeur – en parlant de ses personnalités marquantes ou héros, de son patrimoine, de ses traditions et de ses réalisations – et si les sujets proposés sont susceptibles d’intéresser la population. Postes Canada veille aussi à maintenir un équilibre d’ordre régional et culturel en choisissant des sujets représentatifs de l’ensemble de la mosaïque du pays. En raison des nombreuses suggestions à évaluer, des recherches requises, du processus de sélection et des délais nécessaires pour concevoir et produire les timbres et en faire la promotion, les personnes ou organisations intéressées à suggérer un sujet doivent le faire au moins deux ans avant le début de l’année d’émission visée.

Les suggestions doivent comprendre une brève description du sujet et de l’importance qu’il revêt dans le contexte canadien, et souligner les anniversaires ou événements pertinents rattachés au sujet. Pour en savoir davantage, consultez www.postescanada.ca/personal/collecting/default/f.asp?stamp=stamppolicy.

De nombreuses organisations dont les suggestions pour l’émission d’un timbre commémoratif ne sont pas acceptées par le Comité consultatif se tournent vers les enveloppes commémoratives. Article de collection à tirage limité, l’enveloppe commémorative constitue une valeur symbolique pour l’organisation. Tirées à quelques milliers d’exemplaires, ces enveloppes sont un hommage philatélique, en quelque sorte, et constituent des pièces de collection.

Les collectionneurs thématiques seront heureux d’apprendre qu’ils peuvent regrouper environ 175 timbres canadiens, soit environ 8 % de l’ensemble des timbres émis par le Canada, sous le grand thème « militaire ». La Deuxième Guerre mondiale offre une cinquantaine de vignettes, alors que les plus nombreux sous le même sous-thème sont ensuite l’aviation militaire ainsi que les forts et fortifications, qui ont tous deux une trentaine de timbres.

The Battle of the Atlantic

Throughout the six long years of the Second World War, the Canadian Navy was one of the main protagonists in the Battle of the Atlantic waged in the harsh waters of the North Atlantic. The survival of allied troops and the liberation of Europe depended on the convoys of merchant marine ships that carried troops and supplies from North America, and had to face convoys of enemy submarines and rough seas. The sacrifice of our sailors who fought during the Battle of the Atlantic is commemorated each year on the first Sunday in May. This stamp was issued on April 29, to honour the men who fought in one of the longest and hardest battles of the Second World War.

Watch upcoming issues for more on the new military theme stamps.

La bataille de l’Atlantique

Pendant toute la durée de la Deuxième Guerre mondiale, soit six longues années, la Marine canadienne a été l’un des principaux protagonistes de la bataille de l’Atlantique dans les eaux hostiles de l’Atlantique Nord. La survie des troupes alliées et la libération de l’Europe dépendaient des convois de navires marchands qui transportaient des troupes et des approvisionnements depuis l’Amérique du Nord, et qui devaient affronter les escadrilles de sous-marins des pays de l’Axe et dominer le tumulte des flots. Le sacrifice de nos marins qui ont combattu pendant la bataille de l’Atlantique est commémoré chaque année le premier dimanche de mai. Ce timbre a été émis le 29 avril 2005 en hommage à l’une des plus longues et des plus dures batailles de la Deuxième Guerre mondiale.

Surveillez les prochains numéros pour en savoir davantage sur les nouveaux timbres à thématique militaire.

Your insurance plan is changing—Are you affected?

By Lee Howard

“Canada Day 2005 is an important day for SISIP Financial Services (SISIP FS) term life insurance participants,” says Pierre Lemay, president of SISIP FS. “On that day, the optional group term insurance (OGTI) and the Reserve term insurance plan (RTIP) will have their premiums reduced for some age groups.”

“A new Accidental Dismemberment coverage will also be added to the policy free of charge!” says Mr. Lemay.

If you are a non-smoker between the ages of 35-59, or a smoker between 35-49, your premiums will be reduced anywhere from five to 80 cents per month for each $10 000 of coverage.

The Accidental Dismemberment coverage provides benefits for:

  • Members whose injuries are “non-attributable to military service” to a maximum of their life coverage in force at the time of the accident.
  • Insured spouses to a maximum of their life coverage in force at the time of the accident.
  • Dependant children to a maximum of $10 000.

“With these changes, SISIP FS continues to offer premiums that are among the lowest in the insurance marketplace for comparable coverage,” says Mr. Lemay. “In fact, on a weighted average basis, the serving members premium rates are 8 percent to 15 percent lower than the lowest comparable rates in the industry.”

Some other benefits included in the OGTI/RTIP are:

  • No war or terrorism exclusion clause
  • No exclusions for dangerous occupations, hobbies, volunteer activities, or sports
  • Less stringent medical underwriting requirements
  • Life insurance for dependent children for an amount of $10 000

For Regular Force members, the changes in premiums will take effect automatically within the pay system. Reserve Force members who are paying by electronic fund transfer or pension deduction will automatically be debited the appropriate amount. If a member already paid the entire premium for the year, a reimbursement for the difference, if applicable, will be mailed by Manulife Financial before the end of July 2005.

SISIP FS licensed insurance representatives are available to answer your questions in regards to these improvements to your SISIP FS life insurance plans.

You can contact your local SISIP FS insurance representative in one of the 18 offices throughout Canada, call 1-800-267-6681 (233-2177 in Ottawa), or visit www.sisip.com.

Votre régime d’assurance est en plein changement

par Lee Howard

« La Fête du Canada 2005 est une journée importante pour les participants du régime d’assurance-vie temporaire des Services financiers du RARM (SF RARM) », a indiqué M. Pierre Lemay, président des SF RARM. « En effet, à cette date, les primes de l’assurance collective facultative temporaire (ACFT) et du Régime d’assurance temporaire de la Réserve (RATR) seront diminuées pour certains groupes d’âges. »

« Une nouvelle assurance mutilation accidentelle sera ajoutée gratuitement à la police générale », a ajouté M. Lemay.

Si vous êtes un non-fumeur âgé de 35 à 59 ans ou un fumeur âgé de 35 à 49 ans, vos primes seront réduites d’un montant se situant entre 5 et 80 cents par mois pour chaque tranche de couverture de 10 000 $.

  • L’assurance mutilation accidentelle prévoit des indemnités pour les personnes suivantes :
  • Les militaires dont les blessures « ne sont pas attribuables au service militaire », jusqu’à concurrence d’un montant égal à celui de leur couverture d’assurance-vie en vigueur au moment de l’accident.Les conjoints assurés jusqu’à concurrence du montant de leur couverture d’assurance-vie en vigueur au moment de l’accident.
  • Les enfants à charge, jusqu’à concurrence d’un montant de 10 000 $.

« Grâce à ces modifications, les SF RARM continuent d’offrir, pour une protection comparable, des primes parmi les plus basses du marché de l’assurance », a poursuivi M. Lemay. « Si on fait la moyenne pondérée des primes payées, les taux de prime des militaires en poste sont inférieurs de 8 à 15 % aux taux comparables les plus bas dans l’industrie. »

Autres avantages de l’ACFT et du RATR :

  • Pas de clause d’exclusion liée à la guerre ou au terrorisme.
  • Pas de clauses d’exclusion liées à un métier, à des passe-temps, à des activités bénévoles ou à des sports dangereux.
  • Exigences d’ordre médical à la souscription moins strictes que d’autres régimes.
  • Assurance-vie d’un montant de 10 000 $ pour les enfants à charge.

Le système de rémunération ajustera automatiquement les primes des membres de la Force régulière. Les membres de la Réserve qui paient leurs primes par transfert électronique de fonds ou par retenues sur leurs chèques de pension n’auront pas à intervenir pour que les montants appropriés soient prélevés. Les membres ayant déjà payé leur prime annuelle en entier recevront, le cas échéant, un remboursement par la poste de la Financière Manuvie d’ici la fin du mois de juillet 2005.

Des représentants en assurance agréés des SF RARM sont à votre disposition pour répondre aux questions liées aux nouvelles améliorations apportées à vos régimes d’assurance-vie des SF RARM.

Vous pouvez communiquer avec un représentant en assurance à l’un des 18 bureaux canadiens des SF RARM en composant le 1 800 267-6681 (à Ottawa, le 233-2177), ou vous pouvez visiter le www.sisip.com.

Canadians run half marathon in Kabul

By Kirsten MacFadyen

KABUL, Afghanistan — Twenty Canadian military and civilian personnel from Camp Julien in Kabul, headed to US Camp Phoenix in early May to run a half marathon amongst 268 multinational runners.

The 21.1 km race was run at the American camp in conjunction with the annual “One America 500 Festival Mini Marathon” held in Indianapolis, Indiana.

The runners arrived at Camp Phoenix during the onset of a torrential downpour. While everyone stood around waiting for the rain to stop and mused if the race would still be on. However, with the help of vacuum trucks, enough water was pumped off the course once the rain stopped, and the race began.

Runners took off late in the afternoon and were required to complete just over nine laps of the course around the defensive perimeter of Camp Phoenix. Unfortunately, the rain returned approximately halfway through the race, forcing people to run through water, ankle-deep at times.

All Canadian runners persevered and finished the race with impressive results. Private Stephen Shears, with Task Force Kabul (TFK) National Support Element (NSE), finished fourth overall and first in his age group. Corporal Szymon Janicki from the TFK Force Protection Company (FP Coy) finished ninth overall and third in his age group. Cpl Bruno Larose from the NSE Maintenance Platoon finished 13th overall and Warrant Officer Greg Snyder from the FP Coy finished 19th.

Ms. MacFadyen is a fitness, sports and recreation co-ordinator at Camp Julien.

Des Canadiens participent à un demi-marathon à Kaboul

par Kirsten MacFadyen

KABOUL (Afghanistan) — Au début de mai, 20 membres du personnel militaire et civil canadien du Camp Julien, à Kaboul, se sont rendus au Camp Phoenix de l’armée américaine pour participer à un demi-marathon en compagnie de 268 autres coureurs de divers pays.

La course de 21,1 km a été organisée au camp américain en même temps que l’événement « One America 500 Festival Mini Marathon » tenu à Indianapolis (Indiana).

Lorsque les coureurs sont arrivés au Camp Phoenix, une pluie diluvienne s’abattait sur les lieux. Au début, tout le monde se demandait si le temps allait finir par s’éclaircir afin que la course puisse avoir lieu. Dès que la pluie a cessé, on a utilisé des camions aspirateurs pour enlever une bonne partie de l’eau du parcours, et la course a enfin pu débuter.

Ainsi, les coureurs ont pris le départ tard en après-midi; ils ont dû parcourir neuf fois le tour du périmètre défensif du Camp Phoenix. Malheureusement, la pluie a repris au beau milieu de la course, forçant les athlètes à courir parfois jusqu’à mi-cheville dans l’eau.

Tous les coureurs canadiens ont persévéré et terminé la course dans des temps exceptionnels. Le Soldat Stephen Shears, de l’Élément de soutien national (ESN) de la Force opérationnelle à Kaboul (FO Kaboul), a terminé quatrième au classement général et premier dans son groupe d’âge. Pour leur part, le Caporal Szymon Janicki, de la Compagnie de protection (Cie PF) de la FO Kaboul a fini au 9e rang du classement général et au 3e rang dans son groupe d’âge. Le Cpl Bruno Larose, du peloton de maintenance de l’ESN a terminé au 13e rang du classement général et l’Adjudant Greg Snyder, de la Cie PF, au 19e rang.

Mme MacFadyen est coordonnatrice en conditionnement physique, en sports et en loisirs au Camp Julien.

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