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Maple Leaf


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Maple Leaf - la Feuille d'érable

Pages 20-22
Maple Leaf, 24 August 2005, Vol. 8, No. 29
La Feuille d'érable, le 24 août 2005, vol. 8 no 29

The value of a name

By Jillian Van Acker

ATHENA and HALO are two recent examples of names given to Canadian military operations. Choosing an appropriate name could sometimes be as difficult as naming a newborn and it took over half a century to get the formula right.

The Germans were the first to use codenames for military operations, during the First World War, in order to maintain security. The allies used numbers, letters and colours to designate war plans, but switched to codenames at the beginning of the Second World War because of an increased number of operations.

Codenames were randomly chosen, but some were changed because they were considered inappropriate. Op SOAPSUDS was the name given to the attack on the Romanian oil fields in 1943. Winston Churchill thought the name was unsuitable and made light of the situation, so it was later changed to TIDAL WAVE. Some codenames were carefully selected for significant operations. However, the names were classified and were only revealed to the public at a later time.

After the war, unclassified operation names, or nicknames, began being used to inform the public and boost morale while the codenames remained classified.

The CF generally used the same naming practices as those of its allies. From the end of the war until the late 1960s, the CF used nicknames from a list—some reflecting the nature of the operation while others did not. In 1947, operation SNOWFLAKE designated helping the City of Regina after a large snowstorm.

Nicknames for domestic operations were more associative than international missions, but that changed in the late 1980s. Names for international operations started to reflect either the geographic location or the type of mission, like operations MACEDOINE, earthquake relief in Armenia in 1988, and DELIVERANCE, humanitarian assistance to Somalia in 1992.

In 2001, the CF developed Joint Staff SOP 0125, Joint Planning and Operations – CF Operations Name Designation. Deputy Chief of the Defence Staff is in charge of naming CF joint domestic and international operations and a list is kept to prevent nicknames from being repeated. Nicknames must meet three criteria: the first letter of the name should be the same as the geographic area, the spelling must be the same in both official languages and the definition should be similar.

“You wouldn’t believe there are so many names that are spelled the same and mean the same in both French and English. Plus, we have so much leeway with Greek and Roman gods,” says Captain Frank Gadoury, J3 co-ordinator. “I don’t think we’ll run out of names.”

There are approximately 1 000 names on the list.“I can assure you, there’s a lot of thought put in those names. At first, I thought we just pull it off the list and carry-on, but there’s consensus and then approval. It takes a bit more time than one would imagine,” says Capt Gadoury.

Tout est dans le nom

par Jillian Van Acker

ATHENA et HALO sont les noms de deux opérations militaires canadiennes récentes. Il est parfois aussi difficile de nommer une opération que de nommer un nouveau-né, et il a fallu plus de cinquante ans pour que le processus soit bien rodé.

Les Allemands ont été les premiers à donner des noms de code à leurs opérations militaires, pendant la Première Guerre mondiale, pour des raisons de sécurité. Les Alliés utilisaient des chiffres, des lettres et des couleurs pour désigner les plans de guerre; ce n’est qu’au début de la Seconde Guerre mondiale que le nombre accru d’opérations les a forcés à utiliser des noms de code.

Au début, les noms de code étaient choisis au hasard, mais, ayant été jugés inappropriés, certains d’entre eux ont dû être changés. Par exemple, le nom originalement donné à l’attaque des champs de pétrole roumains de 1943 était SOAPSUDS, nom qui, selon Churchill, ne convenait pas, car il ne reflétait pas l’importance de l’opération. Le nom finalement donné à cette attaque est TIDAL WAVE. Certains noms de code d’opérations de grande envergure étaient choisis après mûre réflexion. Il faut cependant mentionner que les noms étaient classifiés et qu’ils n’étaient pas immédiatement révélés au public.

Après la guerre, on a commencé à utiliser les noms ou noms de code d’opérations non classifiés pour informer la population et pour hausser le moral. Les vrais noms de code des opérations n’en restaient pas moins classifiés.

Généralement, les FC nommaient leurs opérations selon le même processus que leurs alliés. Dès la fin de la guerre jusqu’à la fin des années 60, les FC choisissaient les noms de code parmi une liste; certains d’entre eux révélaient la nature de l’opération, d’autres non. Ainsi, en 1947, l’opération d’assistance des FC à la ville de Regina après une importante tempête de neige fut baptisée SNOWFLAKE.

Jusqu’à la fin des années 80, les noms de code donnés aux opérations intérieures étaient plus près de la réalité que ceux des missions internationales. Par la suite, on a commencé à attribuer aux opérations internationales des noms correspondant à l’emplacement géographique ou au genre de mission, ce qui est le cas des opérations MACEDOINE, assistance à la suite d’un tremblement de terre en Arménie, en 1988, et DELIVERANCE, assistance humanitaire en Somalie, en 1992.

En 2001, les FC ont adopté les IPO 0125 de l’état-major interarmées pour s’occuper de planification et d’opérations conjointes ainsi que de la désignation des opérations des FC. Il incombe au sous-chef d’état-major de la Défense de nommer les opérations domestiques et internationales interarmées des FC d’après une liste, pour éviter que le même nom serve deux fois. Les noms de code doivent respecter trois critères : leur première lettre doit être la même que celle de la région géographique où aura lieu l’opération, leur orthographe doit être la même dans les deux langues officielles et la définition du mot doit être similaire dans ces deux langues.

« Vous seriez surpris de voir le nombre de noms qui ont la même orthographe et le même sens en français et en anglais. En plus, nous avons aussi à notre répertoire les divinités grecques et romaines », a confié le Capitaine Frank Gadoury, coordonnateur au J3. « Je ne crois pas que nous manquerons de noms. »

La liste compte environ 1000 noms. Selon le Capt Gadoury, « par exemple, si on baptise une opération POKER, cela pourrait véhiculer un sens caché indésirable, car les soldats ne sont pas des jetons. Je peux vous assurer que nous réfléchissons beaucoup avant de baptiser une opération. Au début, je croyais qu’on se contentait de choisir un nom au hasard, puis qu’on passait à autre chose, mais, en réalité, le nom choisi doit faire l’objet d’un consensus et être approuvé. Il s’agit d’un processus un peu plus long que ce qu’on croit à première vue. »

Reserve finds new life

By 2Lt Chelsea Braybrook

The Princess of Wales’ Own Regiment (PWOR) Pipes and Drums Band has found new life and will return to their roots by wearing the tartan of the Black Watch.

This new life was made possible by private donations of $18 500. In addition to new kilts, the PWOR Pipe Band will also receive new drums and drumming equipment, ten new sets of bagpipes, and practice chanters for new apprentice pipers.

“On behalf of the Regiment, I wish to extend my appreciation to the many donors who gave funds to the band,” said Commanding Officer Lieutenant-Colonel Howard Coombs. “These donations demonstrate the close bond that has formed between the Regiment and the community, and are vital in maintaining that close link in the years to come.”

The PWOR Pipe Band’s lineage is rooted in the proud heritage of the pipe band of the 21st Battalion that formed during the First World War. Resurrected in 1985 as the Sir John A. MacDonald Pipe Band, the PWOR officially brought the pipe band back into the Regimental fold on October 1, 1992.

The band consists of military and civilian volunteers from the greater Kingston area, and is presently supported by the Pipe Major and Drum Instructor from the RMC Band. The Band performs on many occasions, including all major Regimental and Kingston parades, and at a variety of other events.

Un corps de cornemuses de la Réserve peut revivre

par le Slt Chelsea Braybrook

Le corps de cornemuses du Princess of Wales’ Own Regiment (PWOR) peut désormais revivre et il renouera avec ses origines. En effet, ses membres porteront le tartan du Black Watch.

Cette « renaissance » a été rendue possible grâce à des dons de particuliers totalisant 18 500 $. Ainsi, le corps de cornemuses du PWOR recevra de nouveaux kilts, de nouveaux tambours ainsi que du matériel pour en jouer, dix nouveaux ensembles de cornemuse et des chalumeaux de pratique pour les apprentis cornemuseurs.

« De la part du Régiment, je souhaite remercier toutes les personnes qui ont donné des sommes d’argent au corps de cornemuses », a déclaré le Lieutenantcolonel Howard Coombs, commandant du Régiment. « Ces dons témoignent du lien étroit qui unit le Régiment et la collectivité. Ils sont essentiels pour son maintien. »

L’histoire du corps de cornemuses du PWOR est liée au fier patrimoine du corps de cornemuses du 21e Bataillon, créé pendant la Première Guerre mondiale. Recréé en 1985 sous le nom du Corps de cornemuses Sir John A. MacDonald, le PWOR est officiellement devenu un corps de cornemuses régimentaire le 1er octobre 1992.

La fanfare, présentement sous la direction du cornemuseur-major et instructeur des tambours de la Musique du CMR, est constituée de volontaires militaires et civils originaires de la région de Kingston. Elle offre des prestations en de nombreuses occasions, dont les principaux défilés régimentaires, le défilé de Kingston et une variété d’autres manifestations.

The Comm Reserve — Strong, proud and rising to the occasion

By Joe Troxler

The Communications Reserve (Comm Res) is one of four CF Reserve Force organizations. Currently, there are 2 200 members of the Comm Res scattered across 23 units and five geographic regions throughout the country. And there are also 31 members deployed across 17 operational missions around the world.

These Reservists provide support and augment Regular Force operations both at home and abroad. They do this by generating combat capable information technology/management services to the CF, which include communication and information system and by supporting elements of information operation.

The Comm Res is a flexible organization with a wide range of communications skills, as demonstrated in their involvement in both Mercury Surge an employment program, and deployment on Operation DANACA, part of the United Nations Disengagement Observer Force located in the Golan between Israel and Syria.

Mercury Surge created in September 1999 consists of yearlong employment at the CF Joint Signals Regiment (CFJSR) in Kingston, Ont. The goal is to provide members of the Comm Res with a future deployment opportunity. For the CFJSR, the presence of the Comm Res relieves the pressure on Regimental personnel serving extensive deployments overseas.

“Communication Reservists are highly motivated and eager to deploy, consequently this mutual relationship works very well for both our organizations,” says Lieutenant-Colonel Rick Fawcett, commanding officer of the CFJSR.

Since August 2002, the Comm Res has filled 50 percent of the 14 positions per rotation in the Signals Troop for Op DANACA. Their support has been a success story within a success story. It peaked in rotation 73 (August 2002) when the Reservists filled 10 of 13 positions. This is a major accomplishment and a key indicator of the competence and confidence generated by Comm Res personnel. The organization has supported numerous deployed operations worldwide. In the last six years, they have filled 139 positions and are currently occupying 9 positions. And recently, the CFJSR requested 12 signal operators for an upcoming September call for Mercury Surge.

“Our deployment threshold alone (over 50 percent of Mercury Surge participants since the beginning of the program) has been a tremendous achievement on the part of our soldiers, (both individually and collectively) and the Communication Reserve has regularly demonstrated their capability and commitment through their support to the DCDS, other international deployments and to the CFJSR,” says LCol Jim Hoekstra, commander of the Comm Res.“With Mercury Surge,we are fulfilling our mission while providing trained soldiers who are competent in the communications and electronic field. Our main strength is our people. And our key job is training those people while supporting the CF through DCDS, both at home and abroad.” Presently, the Comm Res have eight personnel working in a support sustainment role with the CFJSR.

For more information on the Comm Res, please contact the CF Recruiting Unit nearest you by calling 1-866-303-5333.

Mr. Troxler is a contracted communications/ marketing specialist with Client Relations and Communications in the IM Group.

La Réserve des communications : Forte, fière et à la hauteur des événements

par Joe Troxler

La Réserve des communications (Rés Comm) est l’une des quatre organisations de la Réserve des FC. Elle compte actuellement 2 200 membres répartis dans 23 unités et cinq régions géographiques. En outre, 31 membres sont déployés dans le cadre de 17 missions opérationnelles dans le monde.

Les réservistes appuient les opérations de la Force régulière au pays et à l’étranger, en plus de lui servir de renfort. Pour ce faire, ils offrent des services de technologie/gestion de l’information aptes au combat aux CF, notamment les Systèmes d’information et de communications (CIS), en plus d’appuyer des éléments des opérations d’information (OI).

La Rés Comm est une organisation souple possédant un vaste éventail de compétences en communications. Elle l’a démontré lors de sa participation à Mercury Surge, un programme d’emploi, et à l’opération DANACA dans le cadre de la Force des Nations Unies chargée d’observer le désengagement dans le Golan, entre Israël et la Syrie.

Créé en septembre 1999, Mercury Surge offre de l’emploi pendant toute l’année au sein du Régiment des transmissions interarmées des FC (RTIFC) à Kingston, en Ontario. Son objectif est d’offrir des possibilités d’affectation aux membres de la Rés Comm. Pour le RTIFC, la présence de la Rés Comm aide à soulager l’épuisement des membres du Régiment soumis à de fréquents déploiements à l’étranger.

« Les Réservistes des Communications sont très motivés et ils sont prêts à partir en déploiement, ce qui convient très bien à nos organisations », affirme le commandant du RTIFC, le Lieutenant-colonel Rick Fawcett.

Depuis août 2002, la Rés Comm occupe la moitié des 14 postes de troupe des transmissions par rotation de l’opération DANACA. La participation a atteint un sommet lors de la rotation 73 (août 2002) : les réservistes occupaient alors 10 des 13 postes, ce qui représentait un exploit en soi et qui attestait la compétence du personnel de la Rés Comm et la confiance qui lui est accordée. L’organisation a appuyé nombre d’opérations partout au monde.Au cours des six dernières années, les membres ont comblé 139 postes (9 à l’heure actuelle). Tout récemment le RTIFC a demandé que 12 opérateurs des transmissions soient déployés en septembre dans le cadre de Mercury Surge.

« Notre seuil de déploiement (plus de 50 % de la participation à Mercury Surge depuis le début du programme) représente pour nos membres un accomplissement extraordinaire, à la fois sur le plan individuel et collectif. La Réserve des communications a pu prouver l’ampleur de ses capacités et de son dévouement en appuyant le SCEMD, d’autres déploiements internationaux, ainsi que le RTIFC, affirme le Lcol Jim Hoekstra, commandant de la Rés Comm. « Mercury Surge nous permet de remplir notre mission tout en fournissant des militaires compétents dans les domaines des communications et de l’électronique. Nos gens sont notre principale force. Et notre tâche consiste à les former tout en appuyant les FC et le SCEMD, au pays comme à l’étranger. » Huit membres de la Rés Comm occupent actuellement un rôle de soutien et de maintien en puissance au sein du RTIFC.

Pour obtenir plus de renseignements sur la Rés Comm, communiquez avec votre unité locale de recrutement des FC (1 866 303-5333).

M.Troxler est spécialiste des communications et du marketing à la section des Relations avec les clients et communications du Groupe GI.

DID YOU KNOW...

DND FACT

On August 22, 1945, the Honourable Douglas Charles Abbott was appointed Minister of National Defence.

AIR FORCE FACT

On August 30, 1956, a RCAF Sabre Mk.VI fighter aircraft sets a new record for the flight from Vancouver to Dartmouth.

NAVY FACT

On August 05, 1914, two submarines, the CC-1 and CC-2,were purchased for the Royal Canadian Navy by the Premier of British Columbia.

ARMY FACT

On August 30, 1944 the city of Rouen was liberated by the 2nd Canadian Division after suffering heavy casualties.

SAVIEZ-VOUS QUE...

FAIT DU MDN

Le 22 août 1945, l'honorable Douglas Charles Abbott est nommé ministre de la Défense nationale.

FAIT DE LA FORCE AÉRIENNE

Le 30 août 1956, le chasseur Sabre Mk.VI établit un nouveau record en ce qui a trait à la durée de vol de Vancouver à Dartmouth.

FAIT DE LA MARINE

Le 5 août 1914, le Premier ministre de la Colombie-Britannique achète deux sous-marins pour la Marine royale du Canada, les CC-1 et CC-2.

FAIT DE L’ARMÉE

Le 30 août 1944, Rouen est libérée par la 2e Division canadiene qui a subi de lourdes pertes.

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