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Maple Leaf


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Maple Leaf - la Feuille d'érable

Pages 14-16,
Maple Leaf, 7 September 2005, Vol. 8, No. 30
La Feuille d'érable, le 7 septembre 2005, vol. 8 no 30

FOURTH DIMENSION

By Charmion Chaplin-Thomas

September 6, 1942

In the St. Lawrence estuary off Bic Island, the eight merchant ships of the convoy QS-33 form two columns and join their escorts for the journey to Sydney, Nova Scotia. Led by the Flower-class corvette HMCS Arrowhead on the convoy’s port beam, the escorts are HMCS Truro, a Bangor-class minesweeper on her first mission, on the starboard beam; two Fairmile motor launches at centre front and dead astern; and the armed yacht HMCS Raccoon half a mile astern on the port quarter. At 4:30 p.m., when the convoy plods past Father Point at nine knots, it is already under close surveillance by the Type IXC submarine U-165.

All 13 ships have their lookouts scouring the sea, but visibility is only about half a mile, and after nightfall it is very dark.The convoy’s only other means to detect submerged U-boats is the corvette’s Asdic set, which makes much the same ping for a school of cod or a particularly cold layer of water as it does for a submarine. Consequently, U-165 goes unnoticed as she approaches the convoy’s port column, and at 10:10 p.m. a torpedo smacks into the SS Aeas, the lead ship, which sinks very quickly. HMCS Arrowhead launches a star-shell to light up the area for boats picking up survivors, and her lookouts clearly see Raccoon zigzagging along behind, apparently hunting the U-boat.

HMCS Raccoon is not one of His Majesty’s mightier warships. Once the private yacht Halonia, property of millionaire jeweller R.A. Van Clief of New York, she came into the Royal Canadian Navy on June 22, 1940 with a crew of 33 ratings and four officers, and little more than a machine-gun and a coat of pusser’s paint to prepare her for battle. Of course, in 1940 no-one imagined U-boats sinking ships literally in sight of the St. Lawrence shore, so the Navy’s original idea of using converted pleasure boats like Raccoon as examination vessels and coastal patrol craft was quite sensible. But since the US declared war on Germany, and especially since the ice-free shipping season opened, the U-boat flotillas have been devastatingly effective in North American waters. This campaign has particularly shocked Canada, where the last naval battle was fought in 1813, so the RCN has put all its available vessels to work escorting convoys between Quebec and ports in Nova Scotia and Newfoundland. With the bulk of Canada’s Navy deployed in the north-eastern Atlantic and the Mediterranean, most of the escorts on the Gulf convoys are minesweepers, Fairmiles and armed yachts.

HMCS Raccoon has a depth-charge launcher for attacking submarines, but no radio-telephone; she uses flags and Morse code by Aldis lamp or wireless to communicate with the other ships in the convoy— which means that, at night with a U-boat lurking, she doesn’t communicate at all. The other escorts are busy picking up survivors from the Aeas and not particularly concerned about Raccoon. At 1:12 a.m., when HMCS Arrowhead is sweeping the convoy to port, lookouts aboard several ships see two columns of white water flung into the air, and hear two mighty explosions. The Arrowhead lookouts note that Raccoon is not in her appointed place, and decide hopefully that the noise is the yacht depth-charging the U-boat. In the morning, Arrowhead reports that Raccoon is still missing, and a signal goes out from HMCS Fort Ramsay, the base at Gaspé, demanding that she report her position. Nothing is heard.

The battle for QS-33 is not finished, however, for U-boats do not hunt alone. At 5 p.m. on September 7, the convoy is off Cap des Rosiers in the approaches to Gaspé when Korvettenkapitän Paul Hartwig in U-517, which has been keeping station with U-165, sinks three more of its merchant ships with three torpedoes launched within one minute. Naval Service Headquarters announces the loss of HMCS Raccoon on September 13, after a fruitless search of the convoy’s track by four corvettes from Gaspé. With the loss of half its merchant ships and one escort, QS-33 ranks as Canada’s least successful convoy operation, and one of the lowest points of the naval war.

Sources:

Musée naval de Québec: http://www.mnq-nmq.org/enter.html

Uboat.net: http://uboat.net/boats/u165.htm

Fraser McKee,The Armed Yachts of Canada (Erin, Ontario: Boston Mills Press, 1983).

Michael L. Hadley,U-Boats Against Canada: German Submarines in Canadian Waters (Kingston and Montreal: McGill-Queen’s University Press, 1985).

QUATRIÈME DIMENSION

par Charmion Chaplin-Thomas

Le 6 septembre 1942

Dans l’estuaire du Saint-Laurent, au large de l’île du Bic, huit navires marchands du convoi QS-33 naviguent sur deux colonnes pour rejoindre leurs escorteurs devant les mener à Sydney, en Nouvelle-Écosse. Sous la direction de la corvette de classe Flower NCSM Arrowhead, positionnée par le travers bâbord du convoi, les escorteurs sont le NCSM Truro, un dragueur de mines de classe Bangor qui se trouve pour sa première mission par le travers tribord du convoi, deux vedettes Fairmile placées droit derrière au centre du convoi, ainsi que le yacht armé NCSM Raccoon, à un demi-mille à l’arrière de la hanche bâbord du convoi. À 16 h 30, au moment où le convoi dépasse Pointe-au-Père à neuf nœuds, il est déjà surveillé de près par le U-165, un sous-marin de type IXC.

Les vigies des 13 navires scrutent les flots, mais la visibilité n’est que d’un demi-mille et il fait très noir une fois la nuit tombée. Le seul autre moyen dont dispose le convoi pour détecter les U-boot en plongée est l’asdic de la corvette, qui renvoie à peu près le même écho quand il rencontre un banc de morues, une couche d’eau particulièrement froide ou un sous-marin. C’est pourquoi le U-165 n’est pas repéré lorsqu’il s’approche de la colonne bâbord du convoi. À 22 h 10, une torpille frappe le SS Aeas, le navire de tête, qui sombre très rapidement. Le NCSM Arrowhead tire ensuite un obus éclairant pour aider les bateaux à repêcher les survivants et ses vigies voient clairement le Raccoon manœuvrer en zigzag à l’arrière, apparemment en chasse du U-boot.

Le NCSM Raccoon n’est pas le plus puissant parmi les navires de guerre. Il s’agissait anciennement du Halonia, le yacht privé du millionnaire R.A. Van Clief, un bijoutier new-yorkais. Le 22 juin 1940, il joint les rangs de la Marine royale du Canada avec un équipage de 33 hommes et de 4 officiers. Sa préparation au combat se limitait à un peu plus qu’une mitrailleuse et une couche de peinture. Bien sûr, en 1940, personne n’avait envisagé que des U-boot couleraient des navires si près des côtes du Saint-Laurent. C’est pourquoi l’idée d’employer des bateaux de plaisance convertis tels le Raccoon comme bâtiment d’arraisonnement et de patrouille côtière était sensée. Cependant, après que les États-Unis aient déclaré la guerre à l’Allemagne, et surtout depuis l’ouverture de la saison de navigation, des flottilles de U-boot menaient avec une efficacité redoutable des opérations dans les eaux nord-américaines. Cette campagne causait tout un émoi au Canada qui n’avait pas connu de batailles navales depuis 1813. La MRC a donc affecté tous les navires à sa disposition pour escorter les convois entre Québec et les ports de la Nouvelle-Écosse et de Terre-Neuve. La plupart des bâtiments de la Marine canadienne étant déployés dans le nord-est de l’Atlantique et en Méditerranée, les escorteurs dans le Golfe se composent surtout de dragueurs de mines, de vedettes Fairmile et de yachts armés.

Le NCSM Raccoon est équipé d’un lanceur de grenades sous-marines, mais ne dispose pas de radiotéléphone; son équipage doit communiquer avec les autres navires du convoi avec des pavillons et des signaux en code Morse, transmis par lampe Aldis ou par télégraphe sans fil. La nuit lorsqu’un U-boot rôde dans les parages, le Raccoon ne peut donc pas communiquer. Les autres escorteurs sont occupés à repêcher les survivants du Aeas et ne se préoccupent pas tellement du Raccoon. À 1 h 12, quand le NCSM Arrowhead oriente le convoi sur bâbord, les vigies de plusieurs bateaux aperçoivent deux gerbes d’eau blanche et entendent deux puissantes explosions. Les vigies du Arrowhead constatent que le Raccoon n’est pas à sa position et supposent avec optimisme que ce bruit est celui du yacht lançant des grenades sous-marines. Au petit matin, le Arrowhead rapporte que le Raccoon manque à l’appel et le NCSM Fort Ramsay, la base de Gaspé, lui demande de transmettre sa position. Aucune réponse.

La bataille du QS-33 n’est pas terminée pour autant; les U-boot ne chassent pas seuls. À 17 h, le 7 septembre, le convoi se trouve au large de Cap des Rosiers, à proximité de Gaspé, quand le Korvettenkapitän Paul Hartwig, à bord du U-517, coule trois autres navires marchands à l’aide de trois torpilles lancées en moins d’une minute. Le 13 septembre, le Quartier général du service naval annonce la perte du NCSM Raccoon après de vaines recherches menées par quatre corvettes de Gaspé. Compte tenu de la perte d’un escorteur et de la moitié de ses navires marchands, le QS-33 est un des pires revers de la guerre maritime.

Sources:

Musée naval de Québec : http://www.mnq-nmq.org/enter.html

Uboat.net : http://uboat.net/boats/u165.htm

MCKEE, Fraser.The Armed Yachts of Canada, Boston Mills Press, Erin (Ont.), 1983.

HADLEY, Michael L.U-Boats Against Canada: German Submarines in Canadian Waters, McGill-Queen’s University Press, Kingston et Montréal, 1985.

Media strategy employed depends on those involved

By Capt Mark Giles

Charges laid against members of the general public do not normally generate significant media interest unless they are very serious, of a unique nature or involve a prominent member of the community. But when charges involve police or military personnel, a greater degree of openness and transparency is expected. Commanders, public affairs officers and military police, including investigators with the National Investigation Service, are often faced with decisions regarding what information should be released.

With high-profile issues, potentially affecting public trust and confidence, including those involving serious offences such as sexual assault, drug trafficking, child pornography, large frauds or thefts (indictable offences generally), the public’s expectation of openness and transparency will normally warrant the issue of a news release. With minor offences (generally summary offences such as theft, fraud or property damage under $5 000), a lower-profile approach is normally adequate unless it involves a senior officer or other member in a position of public trust.

“Charges laid in the civilian and military justice systems are normally considered public information,” said Lieutenant- Colonel Rod Lander, deputy provost marshal for police services. “Whether this information is provided by news release, posting to the departmental Web site, or in reaction to a media query, depends on a number of factors.”

Media-relations decisions are normally made on a case-by-case basis, balancing the need for openness, transparency and the maintenance of public confidence, with respect for the privacy rights of individuals, operational security, and the integrity of investigations and the court process. Serious criminal code or other federal charges laid under the civilian justice system or the National Defence Act are usually dealt with using a proactive approach. This involves taking the initiative to advise the media and the public of an incident and any related charges, normally through distribution of a news release. For lowerprofile issues, the options include an active approach—posting charges to a publicly accessible forum (such as a departmental Web site), and a reactive or passive approach, which means that information is not normally distributed publicly, but may be released in response to queries by the media.

The following factors will normally be part of the decision-making process in determining an appropriate media-relations strategy:

  • Seriousness of the charge—the more serious, the more likely a proactive response will be needed;
  • Rank or position of public trust—the more senior the rank or greater the position of public trust (i.e. military police personnel), the greater likelihood that a proactive response will be warranted;
  • Relationship to employment—when the offence is related to the accused’s employment, there is a greater expectation of openness and transparency; and
  • Likely public interest—unique or sensational charges are generally of greater interest to the public. Some issues can generate interest in certain communities or regions.

Web site of the Chief Military Judge

Code of Service Discipline charges scheduled for court martial are normally dealt with using an active approach and posted to the Web site of the Chief Military Judge (www.forces.gc.ca/cmj/). With serious charges or those involving personnel in senior ranks or appointments, the Web site posting will normally be supplemented with a news release. Charges scheduled for summary trial are not posted to the site and are normally dealt with in a reactive fashion.

Although the name of a person charged with a criminal or other federal offence is normally public information, other factors such as privacy for young persons (under 18), court-ordered publication bans or operational security requirements may preclude its release. An accused’s photo is not normally released unless public safety factors override privacy considerations. When information is withheld, military spokespersons should be able to explain why. Information withheld for valid reasons can still be put out later if a situation changes, but once released it is difficult to stop or even limit its distribution.

Sometimes an issue is unique—one not handled in the past. A recent case at CFB Borden, where an HIV-positive woman was alleged to have had unprotected sex without advising her partners of her illness, was the first of its kind handled by military police. Although the accused was a member of the general public, the other factors involved significantly raised the requirement for openness and transparency. Given the unique nature of the case and its public health implications, a very proactive response was initiated. This strategy was explained to both internal and external audiences, including the media.

The right media-relations strategy will balance the need for openness and transparency, the privacy rights of individuals, operational security, and the integrity of investigations and the court process. By adopting an appropriate strategy from the onset, the likelihood of meeting public expectations and operational requirements is improved. This increases public confidence and an organization’s credibility, and allows commanders at all levels to more easily focus on their primary goals and objectives.

Capt Giles is the PAO for the CFPM and NIS.

Stratégie médiatique adaptée aux circonstances

par le Capt Mark Giles

Les accusations portées contre des membres du grand public n’ont pas d’intérêt significatif pour les médias, sauf si elles sont très graves, de nature particulière ou si elles impliquent une personnalité importante. Cependant, quand des accusations sont portées contre un policier ou un militaire, il faut faire preuve d’une grande transparence. Les commandants, les officiers des affaires publiques et les membres de la police militaire, même les enquêteurs du Service national des enquêtes, doivent souvent décider quels renseignements rendre publics.

Pour les cas qui font beaucoup de bruit et qui peuvent influer sur la confiance, notamment les délits graves tels qu’agression sexuelle, trafic de stupéfiants, pornographie juvénile, fraude importante ou vol (généralement des accusations criminelles), le public s’attend à une grande transparence, ce qui justifie la publication d’un communiqué. Dans le cas d’infractions mineures (le vol, la fraude ou les dommages aux biens d’une valeur de moins de 5000 $ p. ex.), il est d’usage d’employer des moyens plus modestes, sauf si l’accusé est un officier supérieur ou une personne occupant un poste de confiance.

Le Lieutenant-colonel Rod Lander, grand prévôt adjoint (Police), affirme que « les accusations portées dans les systèmes juridiques militaire et civil sont normalement considérées comme de l’information publique. De nombreux facteurs entrent en ligne de compte pour déterminer si les renseignements doivent être rendus publics par communiqué, sur le site du Ministère ou à la suite d’une demande de renseignements des médias. »

Les décisions liées aux relations avec les médias sont prises de façon ponctuelle et visent un équilibre entre le besoin de transparence et celui de garder la confiance du public. Il faut aussi respecter les droits de la protection des renseignements personnels, en assurant la sécurité des personnes impliquées et en ne compromettant pas l’enquête et le déroulement du procès. En ce qui a trait aux accusations graves portées en vertu du Code criminel ou aux accusations de droit civil ou portées en vertu de la Loi sur la défense nationale, on adopte habituellement une approche proactive, soit aviser les médias et le public d’un incident et des accusations qui en découlent, normalement par un communiqué. Dans le cas d’infractions mineures, nous pouvons adopter une approche active et publier les accusations sur un forum accessible à tous (comme le site Web d’un ministère), mais nous pouvons aussi adopter une approche réactive ou passive, auquel cas nous ne rendons pas l’information publique, mais nous la communiquons aux médias à la suite d’une demande de renseignements de leur part.

Les éléments suivants entrent en ligne de compte dans le choix de la stratégie de relations avec les médias appropriée :

  • Gravité de l’accusation (plus elle est grave, plus il est probable qu’il faille adopter une approche proactive);
  • Grade ou poste de confiance (p. ex. les membres de la police militaire), il est alors plus probable qu’une approche proactive s’impose;
  • Accusation liée à l’emploi de l’accusé (le public s’attend alors à une grande transparence);
  • Cas suscitant l’intérêt du public (les accusations particulières ou spectaculaires suscitent généralement beaucoup d’intérêt. Certains cas peuvent intéresser particulièrement une région ou une communauté).

Site Web du juge militaire en chef

Quand il s’agit d’accusations portées en vertu du Code de discipline militaire devant être entendues en cour martiale, on adopte normalement une approche proactive et on affiche les renseignements sur le site Web du Juge militaire en chef (www.forces.gc.ca/cmj/). S’il s’agit d’accusations graves ou impliquant hauts gradés ou cadres supérieurs, on publie un communiqué en plus d’afficher les informations sur le site Web. Les renseignements concernant les accusations devant faire l’objet d’un procès sommaire ne sont pas affichés sur le site; on adopte alors une approche réactive.

Même si le nom d’une personne accusée d’une infraction criminelle ou d’une infraction à une loi fédérale relève normalement du domaine public, d’autres éléments comme la protection de la vie privée des mineurs (moins de 18 ans), les ordonnances de non-publication imposées par le tribunal ou les nécessités liées à la sécurité peuvent avoir préséance sur sa divulgation. À moins que la sécurité du public ne le rende nécessaire, la photo de l’accusé n’est pas rendue publique. Quand des informations ne sont pas divulguées, les porte-parole des FC doivent pouvoir expliquer pourquoi. Rien n’empêche de divulguer ultérieurement des renseignements initialement dissimulés pour des raisons valables. Cependant, une fois qu’une information a été rendue publique, il est difficile d’en arrêter ou même d’en restreindre la circulation.

Il arrive que des cas soient uniques; c’est ce qui est arrivé dernièrement à la BFC Borden, où une femme séropositive a été soupçonnée d’avoir eu des relations sexuelles non protégées sans aviser ses partenaires de sa maladie. C’était la première fois que la police militaire devait traiter un cas de ce type. Même si l’accusée faisait partie du grand public, les autres facteurs en cause ont beaucoup rehaussé le niveau de transparence requis. Vu le caractère unique du cas et ses répercussions sur la santé publique, une approche très proactive a été adoptée. Cette stratégie a été expliquée à la fois aux militaires et au grand public, médias inclus.

La stratégie de relations avec les médias choisie doit permettre d’atteindre un équilibre entre le besoin de transparence, la protection de la vie privée et la sécurité sans compromettre l’enquête et le déroulement du procès. L’adoption d’une stratégie appropriée de relations avec les médias dès le début permet de mieux répondre aux attentes du public et d’améliorer les exigences opérationnelles, ce qui augmente la confiance du public ainsi que la crédibilité d’une organisation en plus de permettre aux commandants de se concentrer sur leurs buts et objectifs principaux.

Le Capt Giles est l’OAP du GPFC et du SNE.

Shaving for a good cause

By Capt Judy Patterson

What started as a dare in Petawawa, ended with a glare on August 21, at Camp Julien in Kabul,Afghanistan.The result: two members of the Health Services Support Company (HSS Coy) are a bit balder and the Children’s Wish Foundation (Petawawa Chapter) now has $1 051 to make a few young souls happier.

Lieutenant-Colonel Murray Crawford, commanding officer of 2 Field Ambulance, CFB Petawawa, and his HSS Coy Sergeant- Major, Master Warrant Officer George Frampton announced to the members of the unit a few months ago that they would let them shave their heads if they were able to raise $1 000 for the Children’s wish foundation. The dare came as the unit was preparing to deploy to Kabul, as part of Operation ATHENA.

About half the amount required to send their two fearless leaders to the barber’s chair, was raised by the time the initial contingent of HSS Coy was deployed to Kabul. However, a second effort did the trick shortly after they arrived in-theatre and the members of HSS Coy reached the magic number.

Their most junior member, Private Stephanie Shaw, was entrusted with the blade as LCol Crawford was the first one to “pay up”. Sergeant Mark McLennan was thrilled to have a hand in shaving MWO Frampton’s head, a pleasure he shared with some of his friends!

HSS Coy provides essential medical and dental services to the Canadian members of Joint Task Force Afghanistan and also to the military and civilian personnel from various nations who live at Camp Julien.

Capt Patterson is a medical officer from 1 Fd Amb, CFB Edmonton-currently serving with HSS Coy in Kabul, Afghanistan.

Se raser pour une bonne cause

par le Capt Judy Patterson

Ce qui a débuté par un pari à Petawawa s’est terminé le 21 août par une bonne action au Camp Julien à Kaboul, en Afghanistan. Deux membres de la Compagnie de soutien des services de santé (Cie SSS) sont maintenant chauves et la Fondation Rêves d’Enfants (section Petawawa) dispose de 1051 $ de plus pour apporter du bonheur à quelques enfants.

Il y a quelques mois, le Lieutenantcolonel Murray Crawford, commandant de la 2e Ambulance de campagne de la BFC Petawawa et le sergent-major de sa Cie SSS, l’Adjudant-maître George Frampton, ont annoncé aux soldats de l’unité qu’ils se laisseraient raser la tête si la somme de 1000 $ était remise à la Fondation Rêves d’Enfants. Le pari s’est fait au moment où l’unité se préparait pour le déploiement à Kaboul dans le cadre de l’opération ATHENA.

Environ la moitié de la somme requise pour envoyer les deux chefs audacieux chez le coiffeur a été recueillie avant le déploiement à Kaboul du contingent initial de la Cie SSS. Cependant, une seconde collecte qui a eu lieu peu après l’arrivée de la Compagnie dans le théâtre des opérations a permis d’atteindre le chiffre magique.

Le membre le moins « gradé » de la compagnie, le Soldat Stephanie Shaw, s’est vue remettre le rasoir pour que le Lcol Crawford « passe à la caisse ». Le Sergent Mark McLennan a été très heureux de participer au rasage de l’Adjum Frampton, plaisir qu’il a partagé avec quelques-uns de ses amis!

La Cie SSS fournit des services médicaux et dentaires essentiels aux membres canadiens de la Force opérationnelle interarmées en Afghanistan ainsi qu’au personnel militaire et civil en provenance de différents pays et vivant au Camp Julien.

Le Capt Patterson est médecin militaire au sein de la 1 Amb C de la BFC Edmonton et sert présentement à Kaboul, en Afghanistan, avec la Cie SSS.

National Defence Charitable Campaign

Message from Deputy Minister and CDS

With the close of summer comes an important time for our department—and for the communities in which we live.The 2005 National Defence Charitable Campaign (NDCC), as part of the 2005 Government of Canada Workplace Charitable Campaign (GCWCC) gets underway on September 15 and runs until November 8.The success of this year’s campaign depends on the support of each and every person in this department, military and civilian.

Our slogan “A Tradition in Helping Others” accurately reflects how our generosity can make a difference in our own lives and in our community. The programs that our donations help fund are as diverse as the people who are helped: from isolated seniors who need help at home, to individuals suffering from illness, to a child who needs a nourishing meal before school. In addition to life-changing programs made possible by our gifts, groundbreaking medical research is funded as well. Reaching our goal will help ensure that these programs continue.

Supporting the NDCC gives you the opportunity to maximize the value of your gift by consolidating your charitable giving to the United Way/Centraide, Healthpartners and any other registered charity in Canada. Moreover, the campaign offers the convenience and efficiency of giving through payroll deduction.

It is interesting to note that although federal government personnel represent only 16 percent of the workforce in the National Capital Region, our donations account for 56 percent of all giving to Centraide Outaouais, 80 percent of Healthpartners’ revenues and 44 percent of contributions to United Way/Centraide Ottawa. Because of this amazing level of support, we enjoy a well-earned reputation for our exceptional generosity and volunteering spirit.

We are extremely proud of the contributions we have made to the NDCC throughout the years and are positive that National Defence can go even further this year.Our optimism lies in knowing that we can count on your support to make it happen. When a colleague calls on you to ask you to consider your contribution, we encourage you to respond positively and offer your wholehearted support.Together,we can continue our tradition of helping others in need.

Thank you in advance for your involvement.

W.D.P. Elcock,
Deputy Minister

Gen R. Hillier,
Chief of the Defence Staff

La campagne de charité de la Défense nationale

Message du sous-ministre et du CEMD

À l’approche de la fin de l’été vient une période de l’année importante à notre Ministère et également aux collectivités où nous habitons. La campagne de charité de la Défense nationale (CCDN) de 2005, qui fait partie de la campagne de charité en milieu de travail du gouvernement du Canada (CCMTGC), commencera le 15 septembre et se terminera le 8 novembre. Le succès de la campagne de cette année dépendra de la générosité de chacun, militaire et civil, au sein du MDN.

Notre slogan « Une tradition – Aider les autres » reflète bien comment notre générosité peut faire une différence dans notre propre vie et au sein de nos collectivités. Les programmes financés grâce à nos dons sont aussi diversifiés que ceux à qui ils profitent : gens âgés et isolés ayant besoin d’aide à la maison, personnes malades, enfants ayant besoin d’un repas nourrissant avant de partir pour l’école. En plus de rendre possible de tels programmes, nos dons permettent de financer des recherches médicales de pointe. En atteignant notre objectif, nous ferons en sorte que ces programmes se poursuivent. Votre appui à la CCDN vous donnera la possibilité de maximiser la valeur de votre contribution en consolidant vos dons à United Way/Centraide, Partenairesanté et à d’autres organismes de charité enregistrés au Canada. De plus, la campagne vous offre la commodité et l’efficacité des retenues salariales.

Même si les employés de la fonction publique fédérale ne représentent que 16 % de la population active de la région de la capitale nationale, il est intéressant de noter que nos contributions représentent 56 % de tous les dons à Centraide Outaouais, 80 % des revenus de Partenairesanté et 44 % des contributions à United Way/Centraide Ottawa. Grâce à cet appui étonnant, nous jouissons d’une réputation bien méritée pour notre générosité exceptionnelle et notre esprit d’entraide.

Nous sommes très fiers des contributions que nous avons faites au cours des années antérieures à la CCDN et sommes convaincus que cette année la Défense nationale pourra même se surpasser. C’est avec optimisme que nous comptons sur vous pour réaliser cet objectif. Lorsqu’un collègue viendra vous voir pour vous inviter à contribuer, nous vous encourageons à lui répondre positivement et à donner votre appui sans réserve. Ensemble nous pourrons poursuivre notre tradition d’aider ceux qui en ont besoin.

Merci à l’avance de votre engagement.

W.D.P. Elcock,
sous-ministre

Gén R. Hillier,
chef d’état-major de la Défense

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