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Maple Leaf - la Feuille d'érable

Pages 14-16,
Maple Leaf, 14 September 2005, Vol. 8, No. 31
La Feuille d'érable, le 14 septembre 2005, vol. 8 no 31

FOURTH DIMENSION

By Charmion Chaplin-Thomas

September 21, 1940

At Brooklands, the motorsport and aviation centre near Weybridge, Surrey, the saw-tooth plate-glass roof of the Vickers-Armstrong factory (home of the Wellington medium bomber) is under repair by A Company, 1st Canadian Pioneer Battalion, Royal Canadian Engineers, led by Captain D.W. Cunningham and Lieutenant J.M.S. Patton. The roof was damaged on September 4 in a daylight air raid on the cluster of aircraft manufacturers that includes the Hawker plant where the Hurricane fighter is built, and A.V. Roe, which produces the Anson trainer, as well as Vickers-Armstrong. Fifty-five people died that day at Vickers and about 250 more were injured, but the company got off lightly: its valuable equipment was not seriously damaged, and the bombers struck at lunchtime, when most of its employees were away from their benches.

The Canadian engineers’ task is delicate and complicated. They have already removed the mountains of bomb debris from the plant area, and now they have to rebuild the roof without hindering the machinists, sheet metal workers and assemblers on the factory floor. This project includes stripping more than 170 000 square yards of plate-glass panels and replacing them with reinforced rubberoid in wooden frames. Perched on the roof trusses 40 to 50 feet above the floor, sappers hoist and lower the heavy panels with the aid of ropes and pulleys controlled by their comrades at ground level. The job is so demanding that each company in the battalion is rotated after a week at Vickers.

Every day brings more air raids, for the Battle of Britain is still in full swing. London and industrial centres such as Weybridge are now the primary targets, for the Luftwaffe has given up trying to destroy the Royal Air Force by bombing its aerodromes. At 8:30 a.m., the morning shift at Vickers is interrupted by sirens announcing the approach of yet more bombers. The Hawker plant, next door to Vickers, takes the brunt of the attack, with a direct hit on the boiler house. This is not nearly as serious a problem, however, as the unexploded 500-pound bomb that fell through the roof, bounced off the floor, ricocheted through the back wall of the building, and now lies on the pavement outside the erecting shed.

The Canadian engineers have no demolitions experience, but they volunteer to help. The bomb cannot be allowed to explode where it lies, for many of the aircraft essential to the defence of Britain come from the Hawker and Vickers factories. Both the Hurricane and the Wellington are covered partly with canvas, which is “doped”—tightened and waterproofed—with highly flammable materials. This bomb could start a fire that would destroy the entire Hawker plant, and probably Vickers as well, thus halting production of two vitally important aircraft types. Lt Patton, who knows little about bombs except what happens when they go off, runs ahead to assess the situation while Capt Cunningham goes to fetch A Company’s lorry. Disarming the bomb is out of the question; neither officer knows how, and the consequences of error would be utter disaster. Therefore, the only thing to do is to move it to a place where it can explode in relative safety.

Sincerely hoping that the bomb has a long-delay fuse, Lt Patton wrestles it onto a sheet of corrugated iron lying nearby. When Capt Cunningham arrives with the truck, the two officers tie the sheet of iron to the back and simply tow it away from the factory buildings, heading for open ground. In a landscape pocked by a month of bombing, their next step is obvious: they find a nice, deep crater, tumble the bomb into it, and drive away briskly. A few hours later, in complete safety, the bomb finally explodes with great force.

In December 1940, Lt Patton is awarded the George Cross for “most conspicuous gallantry in carrying out very hazardous work”, and Capt Cunningham receives the George Medal. They are the first Canadian soldiers to be decorated for gallantry during the Second World War, and the first “overseas” (i.e., not British) recipients of these decorations, instituted by King George VI to acknowledge brave deeds by both civilians and service personnel that cannot be rewarded by other honours.

Sources:

George Cross Database: www.gc-database.co.uk/recipients/PattonJMS.htm

RAF Battle of Britain Web site: www.raf.mod.uk/bob1940/index.html

Brooklands Museum Web site: www.brooklandsmuseum.com/aviation_history2.cfm

CMHQ Report No 112, “Policy with Respect to Honours and Awards, Canadian Army Overseas, 1939–1944”.

Colonel A.J. Kerry & Major W.A. McDill, The History of the Corps of Royal Canadian Engineers, Volume II: 1936-1946 (Ottawa: The Military Engineers’ Association of Canada, 1966).

QUATRIÈME DIMENSION

par Charmion Chaplin-Thomas

Le 21 septembre 1940

À Brooklands, le centre de sports motorisés et d’aviation près de Weybridge dans le Surrey, la Compagnie A du 1er Bataillon des pionniers canadiens, du Corps royal du génie canadien, sous les ordres du Capitaine D. W. Cunningham et du Lieutenant J.M.S. Patton, s’affaire à réparer la toiture de verre laminé en dent de scie de l’usine Vickers-Armstrong (où l’on fabrique le bombardier moyen Wellington). Le toit a été endommagé le 4 septembre lors d’un raid aérien en plein jour sur le groupe de fabricants d’aéronefs où se trouve l’usine Hawker (fabricant de l’avion de combat Hurricane), l’usine A.V. Roe (l’avion d’entraînement Anson), ainsi que l’usine Vickers-Armstrong. Cinquante-cinq personnes sont décédées ce jour-là à la Vickers et environ 250 personnes ont été blessées. L’entreprise s’en est tout de même bien tirée puisque son précieux équipement n’a pas été gravement endommagé et que les bombardiers ont attaqué à l’heure du lunch, alors que la plupart des employés n’étaient pas à leur poste.

La tâche des ingénieurs canadiens est délicate et compliquée. Ils ont nettoyé tous les débris dans la cour de l’usine et ils doivent maintenant rebâtir la toiture sans déranger le travail des machinistes, des tôliers et des monteurs de l’usine. Le projet comprend le remplacement de plus de 170 000 verges carrées de panneaux de verre laminé par des cadres de bois recouverts d’une membrane de bitume renforcée. De 40 à 50 pieds au-dessus du sol, les sapeurs soulèvent et abaissent les lourds panneaux à l’aide de cordes et de poulies contrôlées par leurs camarades au sol. Le travail est si exigeant que les compagnies du Bataillon font des rotations d’une semaine seulement à l’usine Vickers.

La bataille d’Angleterre bat son plein et des raids aériens ont lieu chaque jour. Londres et les centres industriels comme Weybridge sont les principales cibles de la Luftwaffe, qui a renoncé à détruire les aérodromes de la Royal Air Force. À 8 h 30, le quart de travail du matin est interrompu par les sirènes annonçant l’approche de bombardiers. L’usine Hawker, voisine de la Vickers, absorbe le gros de l’attaque, dont un obus sur sa chaufferie. Mais cela n’est rien comparativement à la bombe de 500 livres non explosée qui a traversé le toit, rebondi sur le plancher puis qui est ressortie par le mur arrière de l’usine, pour s’arrêter sur le pavé à l’extérieur de la remise de construction.

Les ingénieurs canadiens n’ont aucune expérience en destruction mais ils offrent leur aide. La bombe ne doit pas exploser où elle se trouve, puisque bien des aéronefs essentiels à la défense de la Grande-Bretagne proviennent des usines Hawker et Vickers. Les aéronefs Hurricane et Wellington sont recouverts en partie de toiles enduites de matières très inflammables. En explosant, la bombe pourrait causer un incendie capable de détruire l’usine Hawker et Vickers, ce qui freinerait la production de deux types d’aéronefs d’importance cruciale. Le Lt Patton, qui n’est pas ferré en bombes, bien qu’il connaisse les conséquences d’une explosion, se rend rapidement sur place pour évaluer la situation pendant que le Capt Cunningham va chercher le camion de la Compagnie A. Comme ni l’un ni l’autre ne sait comment désarmer une bombe et que les conséquences d’une erreur sont trop risquées, le désamorçage de la bombe est hors de question. Il faut donc la transporter dans un endroit où elle pourra exploser de façon plus sécuritaire.

En espérant ardemment que la bombe soit munie d’un mécanisme de détonation à retardement, le Lt Patton la fait glisser sur une feuille de tôle ondulée. Lorsque le Capt Cunningham revient avec le camion, les deux officiers attachent la feuille à l’arrière du camion et la tirent loin des usines, vers un espace ouvert. La prochaine étape est évidente; dans une zone de bombardements aussi fréquents, ils n’ont aucun mal à trouver un cratère assez profond, à y déposer la bombe et à quitter les lieux illico. Quelques heures plus tard, la bombe explose en toute sécurité.

En décembre 1940, le Lt Patton reçoit la Croix de Georges pour « bravoure manifeste dans l’exécution d’un travail très dangereux » et le Capt Cunningham reçoit la Médaille de Georges. Ce sont les premiers soldats canadiens à être décorés pour bravoure lors de la Deuxième Guerre mondiale et les premiers soldats « outre-mer » (c’est-à-dire non-Britanniques) à recevoir cet honneur, instauré par le roi George VI.

Sources :

Base de données de la Croix de Georges : www.gc-database.co.uk/recipients/PattonJMS.htm

Site Web de la RAF sur la bataille d’Angleterre : www.raf.mod.uk/bob1940/index.html

Site Web du musée Brooklands : www.brooklandsmuseum.com/aviation_history2.cfm

Rapport no 112 du QGMC, « Policy with Respect to Honours and Awards, Canadian Army Overseas, 1939-1944 ».

Colonel A.J. Kerry et Major W.A. McDill, The History of the Corps of Royal Canadian Engineers, Volume II : 1936-1946 (Ottawa: Association canadienne du génie militaire, 1966).

Junior Rangers go to camp

By Sgt Peter Moon

Arecord number of Junior Canadian Rangers (JCR) from 13 First Nations in Northern Ontario went to a wilderness camp this summer as a result of a new approach to providing them with enhanced summer training.

Last year, 105 JCRs went to an elaborate camp near Geraldton. This year, 239 of Northern Ontario’s 600 JCRs were able to go to one of three wilderness camps located on the land of two First Nations. One camp was at Fort Albany on the James Bay coast, and two were held at Mishkeegogamang in Northwestern Ontario.

“What I wanted to do was provide an experience for more Jr Rangers and this was the best way to do it,” said Major Keith Lawrence, 3rd Canadian Ranger Patrol Group’s commanding officer. “The numbers speak to that. We more than doubled the number who were able to attend camp this year.”

Training concentrated on the core values of the JCR program. “We went back to the idea,” Maj Lawrence said, “that the Jr Rangers have to be proficient on the land, they have to be given opportunities to understand their culture a little better, and they have to learn things that are going to be of use to them in their community and be of use to their community.”

“It was good,” said JCR Brett Baxter, 12, of Constance Lake. “The overnight in the bush was the best. There were lots of bugs but it was fun. The drumming was good, too. I made lots of friends from other places. I’d like to come back.”

Thirteen Navy and Army Cadets from Southern Ontario attended two of the camps. “After the initial culture shock they started to understand some of the challenges faced by young Aboriginals in the North,” said Maj Lawrence. “That’s something they can take back with them.”

More than 60 Canadian Rangers from Northern Ontario assisted troops from CFB Borden in running the three camps.

Sgt Moon is the PA Ranger for 3 CRPG, CFB Borden.

Un nombre record de Rangers juniors au camp

par le Sgt Peter Moon

UN nombre record de Rangers juniors canadiens de 13 Premières nations du nord de l’Ontario ont participé à un camp en pleine nature cet été qui avait pour but de leur fournir de l’instruction plus complète.

L’an dernier, 105 Rangers juniors ont participé à un camp complet près de Geraldton. Cette année, 239 des 600 Rangers juniors du nord de l’Ontario ont pu participer à l’un des trois camps en pleine nature sur les terres appartenant à deux Premières nations. Un camp a eu lieu à Fort Albany, sur la côte de la baie James et les deux autres, à Mishkeegogamang, dans le nord-ouest de l’Ontario.

« Je voulais que plus de Rangers juniors puissent vivre cette expérience de la meilleure façon possible », a expliqué le Major Keith Lawrence, commandant du 3e Groupe de patrouilles des Rangers canadiens. « Les chiffres sont éloquents : le nombre de participants a plus que doublé cette année. »

La formation portait principalement sur les valeurs fondamentales du programme des Rangers juniors. « Nous avons repris l’idée que pour que les Rangers juniors soient habiles sur le terrain, ils doivent mieux comprendre leur culture », a expliqué le Maj Lawrence. « On s’est efforcé de leur apprendre comment se débrouiller avec les moyens à leur portée dans la collectivité et comment y contribuer. »

« C’était génial », a déclaré le Ranger junior Brett Baxter, âgé de 12 ans, de Constance Lake. « J’ai surtout aimé la nuit passée dans les bois. Il y avait beaucoup d’insectes mais c’était agréable. Le tambour m’a aussi plu. Je me suis fait plein d’amis de partout. J’aimerais bien y revenir. »

Treize cadets de la Marine et de l’Armée du sud de l’Ontario ont participé à deux des camps. « Après avoir surmonté le choc culturel, ils ont commencé à comprendre les obstacles que doivent affronter les jeunes Autochtones du Nord », a indiqué le Maj Lawrence. « C’est une leçon qu’ils n’oublieront pas. »

Plus de 60 Rangers canadiens du nord de l’Ontario ont collaboré avec les soldats de la BFC Borden pour assurer le fonctionnement des trois camps.

Le Sgt Moon est le Ranger chargé des AP du 3 GPRC, à la BFC Borden.

Selected Reservists entitled to serve within UK

Selected Canadian and UK Reservists will now have the opportunity to pursue their Reserve training and career while overseas for extended periods, thanks to a new memorandum of understanding (MOU) between DND and the UK Ministry of Defence. The MOU, allows a Reserve Force member to continue their military development by joining a unit similar to their own in the UK or Canada (as appropriate), was signed recently. All members of the Primary Reserve or UK Reserve Forces relocating temporarily to either Canada or the UK as a result of a job transfer or secondment with civilian employers, or for purposes of attending an educational institution may apply under the provisions of the MOU through their chain of command. This agreement is a groundbreaking initiative, which is now being considered by many other NATO Nations.

Certains réservistes pourront se joindre à la Réserve du Royaume-Uni

Des réservistes sélectionnés du Canada et du Royaume-Uni pourront désormais poursuivre leur carrière et continuer de s’entraîner pendant leur séjour prolongé à l’étranger grâce à un protocole d’entente signé entre le MDN et le ministère de la Défense du Royaume-Uni. Ce protocole permet aux réservistes de poursuivre leur carrière militaire au sein d’une unité comparable à la leur au Royaume-Uni ou au Canada, selon le cas. Tous les membres de la Première réserve ou de la Force de réserve du Royaume-Uni mutés temporairement au Canada ou au Royaume-Uni pour des raisons professionnelles, suite à leur emploi civil ou pour compléter leurs études, peuvent se prévaloir de l’entente en passant par leur chaîne de commandement. Il s’agit d’une mesure révolutionnaire envisagée par plusieurs pays membres de l’OTAN.

Shearwater Flyers win ball hockey championships

By Kristin Wood

As the small orange ball barrelled into the net at rocket speed for the fifth time, the Shearwater Flyers from 12 Wing Shearwater knew they had secured the 2005 CF National Ball Hockey Championship title.

In an intense, action-packed final game against Valcartier, both teams played hard and gave it their all. “The game started out close,” says Shearwater team captain Master Corporal Rob Sneath. “The first few goals were scored on power plays. Overall, it was a very even match.”

The Flyers pulled up their socks, and finished the game with a 5-3 advantage. This is the third time the Shearwater Flyers have captured the national title.

From August 21 to 25, CFB Borden hosted five regional teams (Shearwater, Valcartier, Trenton, Edmonton, and Esquimalt) from across the country, during the CF National Ball Hockey Championship.

“Edmonton arrived minus seven players, who were recently deployed to Afghanistan,” says MCpl Sneath. “The remainder of the team put their hearts and souls into the game. Their heroic effort got them as far as the semi-finals. They did it for themselves, and for the guys over in Afghanistan.” MCpl Sneath says his team had to ‘empty their gas tanks’ in order to claim their win in the semi-finals against the determined Edmonton players.

The Canadian Forces Personnel Support Agency oversees the CF National Sports Program, and 13 national championships each year.

Ms. Wood is a student working with CFPSA.

Les Flyers de Shearwater remportent le Championnat de hockey-balle

par Kristin Wood

Dès que la petite balle orange est entrée à la vitesse de l’éclair dans le filet pour la cinquième fois, les Flyers de la 12e Escadre Shearwater savaient qu’ils avaient remporté le Championnat de hockey-balle des FC de 2005.

Lors de la finale intense et endiablée, Valcartier et Shearwater ont joué dur et les deux équipes ont tout donné. « Le début de la partie était serré », a expliqué le capitaine de Shearwater, le Caporal-chef Rob Sneath. « Les premiers buts ont été comptés en avantage numérique. Dans l’ensemble, le match était très égal. »

Les Flyers ont retroussé leurs manches et ont remporté la partie 5-3. C’est la troisième fois que les Flyers de Shearwater raflent le titre.

Du 21 au 25 août, la BFC Borden a accueilli cinq équipes régionales (Shearwater, Valcartier, Trenton, Edmonton et Esquimalt) de partout au pays à l’occasion du Championnat de hockey-balle des FC.

« Sept joueurs de l’équipe d’Edmonton ont été déployés récemment en Afghanistan », a expliqué le Cplc Sneath. « Les joueurs qui restaient se sont donnés corps et âme lors des parties. Leur effort héroïque les a menés jusqu’en demi-finale. Ils se sont aussi battus pour leurs collègues en Afghanistan », a expliqué le Cplc Sneath, tout en ajoutant que son équipe a dû mettre les bouchées doubles pour avoir le dessus sur les joueurs d’Edmonton.

L’Agence de soutien du personnel des Forces canadiennes coordonne le programme national des sports des FC et les 13 championnats nationaux qui ont lieu chaque année.

Mme Wood est stagiaire à l’ASPFC.

Land Force Command Coach of the Year—Corporal Frank Boily

This year’s theme of the CF Sports Awards Ceremony (CFPSA), to be held October 15, is Salute to Army Sports. Cpl Boily is the Land Force Command Coach of the Year.

By Amber Schönhaar

One of Cpl Frank Boily’s favourite memories of his Tae Kwon Do career was at the 2000 CISM World Championships in Korea—the birthplace of the sport. “I was really nervous the night before the competition, especially when I saw that I was fighting against a Korean,” explains Cpl Boily. “It’s their national sport, so there was enough reasons to have butterflies in my stomach.”

His coach helped him prepare mentally and he visualized his game plan. Although the Korean won the match, the whole team came out to see Cpl Boily after the match. They had known what a tough fight he was in for. “I learned many things that day,” he adds.

Based at the Valcartier Sports Centre, Cpl Boily is the Land Force Quebec Area regional representative and supervisor for the CF Tae Kwon Do Association, head trainer of the Valcartier competitive team and assistant trainer for the CF CISM team. He conducts training for groups of 10-300 and has successfully achieved his mandate to develop a self-defence training program suitable for all members of the base. A Regular Force member, he also trains competitive athletes, including Team Canada’s Olympic hopefuls, elite athletes at Valcartier and, as a Personal Support Program monitor, designs personal training programs. “I was very surprised,” Cpl Boily said of his nomination. “If I am selected this year, I would accept this recognition with joy.”

CFPSA oversees the CF National Sports program and 13 national championships each year. Read more about the 17th Annual CF Sports Awards Ceremony on-line at www.cfpsa.com.

Ms. Schönhaar is a freelance writer with CFPSA.

Le Cpl Frank Boily, l’entraîneur de l’année du Commandement de la Force terrestre

Le thème de la cérémonie annuelle du mérite sportif des FC de l’ASPFC qui aura lieu le 15 octobre prochain est « Hommage aux sports militaires ». Le Cpl Boily est entraîneur de l’année du Commandement de la Force terrestre.

par Amber Schönhaar

Le Cpl Frank Boily décrit les Championnats mondiaux du Conseil international du sport militaire (CISM) qui ont eu lieu en 2000 en Corée, le berceau du taekwondo, comme son plus beau souvenir sportif. « La veille de la compétition, j’étais très nerveux, surtout lorsque j’ai appris que je devais affronter un Coréen », a expliqué le Cpl Boily. « C’est leur sport national, alors j’avais d’autant plus raison d’avoir des papillons dans l’estomac. »

Avec l’aide de son entraîneur, il s’est préparé mentalement en visualisant ses coups. Même s’il a perdu le match, le Cpl Boily a reçu la visite de toute son équipe après la compétition. Ses coéquipiers savaient quel combat ardu il venait de mener. « J’ai appris beaucoup ce jour-là », a-t-il ajouté.

En poste au Centre des sports de Valcartier, le Cpl Boily est représentant régional du Secteur du Québec de la Force terrestre, superviseur de l’Association de taekwondo des FC, entraîneur-chef de l’équipe de compétition de Valcartier et entraîneur-adjoint pour l’équipe des FC du CISM. Il dirige l’entraînement de groupes de 10 à 300 personnes et il a rempli son mandat qui visait l’élaboration d’un programme d’auto-défense adapté à tous les militaires de la base. Membre de la Force régulière, il est aussi entraîneur d’espoirs olympiques d’Équipe Canada et d’athlètes d’élite à Valcartier. En outre, il élabore des programmes d’entraînement personnalisés à titre de moniteur des programmes de soutien du personnel. « J’ai été très surpris », dit-il au sujet de sa mise en candidature. « Évidemment, si je suis lauréat, j’accepterai cet honneur avec plaisir. »

L’ASPFC supervise le programme des sports nationaux des FC ainsi que 13 championnats nationaux chaque année. Pour des renseignements sur la 17e cérémonie annuelle de mérite sportif des FC, visitez le www.aspfc.com.

Mme Schönhaar est rédactrice pigiste pour l’ASPFC.

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