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Maple Leaf


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Maple Leaf - la Feuille d'érable

Pages 14-16
Maple Leaf, 16 November 2005, Vol. 8, No. 40
la Feuille d'érable, le 16 novembre 2005, vol. 8 no 40

Fourth Dimension

By Charmion Chaplin-Thomas

November 16, 1869

At Fort Garry in the Red River settlement, part of the Hudson’s Bay Company territory of Rupert’s Land, 12 representatives of the little colony’s Gaelic- and English-speaking parishes arrive at the court house to sit down with 12 representatives of French-speaking parishes to discuss the colony’s absorption into the Dominion of Canada. The change of jurisdiction was promoted by a small minority of Canadian settlers in the Red River community, and the decision was made in London. The colony’s mostly Scots and Métis people only learned the deal was done when Lieutenant-Colonel Stoughton Dennis arrived from Toronto with a survey crew and began dividing up Métis grazing land south of the Assiniboine River into farm lots. LCol Dennis halted the survey on October 11, when 17 Métis led by a young man named Louis Riel stood on the measuring chain and threatened violence if the survey continued without a guarantee of Métis land rights from Ottawa.

The incident with the surveyors’ chain made Louis Riel a local hero, but the events that followed made him a leader. In meetings with William McTavish, the Hudson’s Bay Company governor, and Dr. William Cowan, the deputy governor, Mr. Riel brushed off threats of prosecution and stated that the Canadian government had no right to survey the district without the permission of its people—all its people. A haughty complaint from LCol Dennis only strengthened Mr. Riel’s argument, for it forced Dr. Cowan to admit that the transfer of jurisdiction does not take effect until December 1. When the Métis community heard that William McDougall, the new Canadian governor, was on his way from Toronto, they formed the Comité national des Métis, with Mr. Riel as secretary and John Bruce as president. Mr. McDougall has never been to the Red River settlement, but the newspaper he owns is strongly in favour of direct annexation of the colony by Ontario. The Comité national des Métis is determined that Red River shall remain British until their views are taken into consideration. The hard part is getting the attention of far-away politicians.

Acting more like a president than a secretary, Mr. Riel despatched horsemen to intercept Mr. McDougall and give him a note: “Le Comité national des Métis de la rivière Rouge intime à Monsieur Wm. McDougall l’ordre de ne pas entrer sur le territoire du Nord-Ouest sans une permission spéciale de ce Comité.” On November 2, he sent several hundred Métis to cross the Assiniboine River and take Upper Fort Garry, the old Hudson’s Bay Company base, which fell into their hands without a shot fired. To avoid looking like a rebel, Mr. Riel keeps careful track of how much ammunition and food from the fort’s stores his men use. His next move was to summon the parish representatives to Fort Garry. In the interim, LCol Dennis wrote to Mr. McDougall, who is in Pembina, Minnesota, and William McTavish made a proclamation accusing the Comité national des Métis of rebellion.

The mood of the convention is set by the guard of 150 armed Métis around the court house, firing a feu-de-joie, and the 24-gun salute fired from the fort; clearly, the French faction will have their say. James Ross of Kildonan Parish assumes the leadership of the Gaelic-English delegates, and Mr. Riel is the uncontested leader of the French-speakers. No less than six alternatives to absorption into Ontario are on the table, including annexation by the US, but serious discussion does not begin until November 22, when Thomas Bunn of St. Clement’s Parish rises to say that he thinks Mr. McDougall should be allowed to enter the colony and get on with setting up a Canadian administration. He then bluntly demands what, precisely, the French delegates want. In response, Mr. Riel declares that Mr. McDougall will not enter the Red River district as either a private citizen or a governor. The other Métis delegates shout that Mr. McDougall will come to Fort Garry over their dead bodies.

On November 23, Mr. Riel seizes the Hudson’s Bay Company records and accounts, and announces to the convention that he will form a provisional government to negotiate with the Dominion of Canada.

Sources
Erwin E. Kreutzweiser, The Red River Insurrection: Its Causes and Events (Gardenvale, Quebec: Garden City Press, 1936).
George F.G. Stanley, Toil and Trouble: Military Expeditions to Red River (Toronto: Dundurn 1989).

Quatrième dimension

par Charmion Chaplin-Thomas

Le 16 novembre 1869

À Fort Garry, sise au cœur de la colonie de la rivière Rouge, qui fait partie de la Terre de Rupert appartenant à la Compagnie de la Baie d’Hudson, 12 représentants des paroisses gaéliques et anglophones du patelin se réunissent au palais de justice pour discuter, avec 12 envoyés des paroisses francophones, du rattachement de la colonie au Dominion du Canada. Une infime minorité des colons canadiens de la rivière Rouge préconise ce changement d’administration, et la décision finale a été prise à Londres. Le reste de la colonie, peuplée surtout d’Écossais et de Métis, apprend ce fait accompli quand le Lieutenant-colonel Stoughton Dennis et une bande d’arpenteurs arrive de Toronto pour morceler en lots de ferme les pâturages des Métis longeant la rive sud de la rivière Assiniboine. Le 11 octobre, le Lcol Dennis suspend les travaux quand 17 Métis menés par un dénommé Louis Riel se placent sur la chaîne de mesure et menacent d’user de violence si Ottawa ne garantit pas le droit des Métis à la propriété.

Cet incident fait de Louis Riel un héros, mais les événements qui suivent en feront un chef. Lors des pourparlers avec le gouverneur et le sous-gouverneur de la Compagnie de la Baie d’Hudson, William McTavish et le Dr William Cowan, Louis Riel écarte les menaces de poursuites qu’on lui fait en prétendant qu’il est interdit au gouvernement du Canada d’arpenter le district sans la permission des gens – de tous les gens – qui l’habitent. Une plainte hautaine du Lcol Dennis apporte de l’eau au moulin de Louis Riel, car elle force le Dr Cowan à admettre que le transfert de pouvoirs n’entrera en vigueur qu’à compter du 1er décembre. Lorsque la communauté métisse apprend que le nouveau gouverneur canadien, William McDougall, a quitté Toronto pour venir à la colonie de la rivière Rouge, elle forme le Comité national des Métis, en y nommant Louis Riel comme secrétaire et John Bruce comme président. M. McDougall n’a jamais mis les pieds à la rivière Rouge, mais le journal dont il est le propriétaire défend ardemment l’annexion de la colonie par l’Ontario. Le Comité tient à ce que la rivière Rouge demeure sous l’égide de l’Angleterre jusqu’à ce que ses arguments soient entendus. Le hic, c’est d’attirer l’attention des politiciens situés à l’autre bout du pays.

Agissant comme président plutôt que secrétaire, Louis Riel charge des cavaliers d’aller au-devant de M. McDougall pour lui remettre la note suivante :  « Le Comité national des Métis de la rivière Rouge intime à Monsieur Wm. McDougall l’ordre de ne pas entrer sur le territoire du Nord-Ouest sans une permission spéciale de ce Comité ». Le 2 novembre, il ordonne à des centaines de Métis de traverser la rivière Assiniboine pour prendre Upper Fort Garry. L’ancienne base de la Compagnie de la Baie d’Hudson tombe entre leurs mains sans qu’un seul coup de feu ne soit tiré. Pour ne pas avoir l’air d’un rebelle, Louis Riel note soigneusement les quantités de munitions et de vivres en provenance des magasins du fort que ses hommes dépensent. Sa prochaine tactique consiste à convoquer les représentants paroissiaux à Fort Garry. Entre-temps, le Lcol Dennis écrit à M. McDougall, qui se trouve à Pembina, au Minnesota, et William McTavish rédige une proclamation accusant le Comité national des Métis de rébellion.

Le ton de la convention est donné par la garde de 150 Métis qui entourent le palais de justice, tirant une salve, et par une salve de 24 coups d’artillerie en provenance du fort. Il n’y a pas de doute : la faction française aura son mot à dire. James Ross, de la paroisse de Kildonan, prend la tête de la délégation anglo-gaélique, et Louis Riel devient le porte-parole incontesté des francophones. Pas moins de six solutions de rechange à l’annexion sont présentées, y compris le rattachement aux États-Unis, mais les vrais pourparlers ne sont entamés que le 22 novembre, quand Thomas Bunn, de la paroisse de St. Clement, propose qu’on autorise M. McDougall à entrer dans la colonie afin d’y établir une administration canadienne. Ensuite, il demande carrément ce que les délégués français veulent. M. Riel répond que M. McDougall ne mettra jamais les pieds dans le district de la rivière Rouge, ni comme citoyen, ni comme gouverneur. Les autres délégués métis hurlent : « Plutôt mourir que de laisser McDougall venir à Fort Garry. »

Le 23 novembre, Louis Riel saisit les dossiers et les comptes de la Compagnie de la Baie d’Hudson et annonce à la convention qu’il formera un gouvernement provisoire pour négocier avec le Dominion du Canada.

Sources
Kreutzweiser, Erwin E. The Red River Insurrection: Its Causes and Events, Gardenvale (Québec), Garden City Press, 1936.
Stanley, George F.G. Toil and Trouble: Military Expeditions to Red River, Toronto, Dundurn, 1989.

Emmtap?… oh, MTAP!

By Maj Mike Calnan

Not just another acronym; MTAP, the Military Training Assistance Programme, is an important part of Canada’s defence diplomacy.

MTAP originated in the early 1960’s with a mandate to provide military advisors and training assistance to newly independent non-NATO Commonwealth countries. The current director, Andrew Rasiulis, a former armoured recce and guards officer, is responsible to Rear-Admiral Drew Robertson, Director General International Security Policy, Ottawa.

MTAP training builds key security sector capacities in member countries, advances Canadian interests and promotes democratic values. Our three main pillars are professional development for officers, peacekeeping training and language training.

It might surprise you to learn that 66 countries from Argentina to Zambia participate in MTAP activities including 13 Partnership for Peace countries and another six Balkan countries that were part of the Canadian Regional Training and Support Project. This year a number of countries joined the program including Mongolia and Senegal. Over the last year 1 260 foreign military personnel received training through MTAP, here in Canada and overseas.

Working with partners such as the CF College, the Peace Support Training Centre, the Pearson Peacekeeping Centre and the CF Language Schools, DMTAP sponsors a wide range of courses and projects including foreign students on senior Canadian courses, the highly successful Caribbean Junior Command and Staff Course and a great deal of language training at the Borden and Saint-Jean language schools.

The 14-week-long Junior Command and Staff Course (JCSC) conducted twice a year in Aldershot, N.S., is another jewel in the MTAP crown. Designed to give lieutenants and captains the command and staff skills to work at a unit or brigade level headquarters, the JCSC is run entirely by Reservists from the commandant to the youngest driver/storeman. Most of the directing staff (DS) come from Land Force Area Atlantic, however, MTAP is looking to expand the pool of instructors to better represent a cross section of Canada.

The 39 students and four guest DS represent 31 different countries as widely spread as Mongolia and Paraguay. “Conducting a course like JCSC is not without its challenges,” says Major Rod MacKay, head of Command and Staff Training for MTAP. “Invitations to MTAP countries go out almost a year in advance; identifying suitable Reserve majors and lieutenant-colonels as DS can take months of negotiation with their parent commands and formations, but its all worth it in the end.”

Pain?… Non, PAIM!

par le Maj Mike Calnan

Bien plus qu’un simple acronyme, PAIM, le Programme d’aide à l’instruction militaire, est une composante importante de la diplomatie en matière de défense au Canada.

Le PAIM a pris naissance au début des années 1960 avec comme mandat d’offrir les services de conseillers militaires ainsi que de la formation aux pays du Commonwealth nouvellement indépendants et non membres de l’OTAN. Le directeur actuel, Andrew Rasiulis, un ancien officier de reconnaissance des blindés et membre de la garde d’officiers, relève du Contre-amiral Drew Robertson, directeur général, Politique de sécurité internationale, à Ottawa.

La formation du PAIM permet de doter les pays membres de capacités clés dans le secteur de la sécurité, de mettre en valeur les intérêts canadiens et de promouvoir les valeurs démocratiques. Les trois principaux piliers du PAIM sont le perfectionnement professionnel des officiers, la formation en maintien de la paix et la formation linguistique.

Vous pourriez être étonnés d’apprendre que 66 pays, de l’Argentine à la Zambie, participent aux activités du PAIM, dont 13 pays du Partenariat pour la paix et 6 pays des Balkans, qui ont participé au Projet canadien de formation et de soutien au niveau régional. Cette année, bon nombre de pays se sont joints au programme, entre autres la Mongolie et le Sénégal. Au cours de la dernière année, 1260 militaires étrangers ont suivi de la formation au Canada ou à l’étranger grâce au PAIM.

En collaboration avec le Collège des Forces canadiennes, le Centre de formation pour le soutien de la paix, le Centre Pearson pour le maintien de la paix et les écoles de langues des FC, la DPAIM parraine une panoplie de cours et de projets, y compris la formation canadienne avancée aux étudiants étrangers, le cours élémentaire de commandement et d’état-major pour les Caraïbes et toute une gamme de cours offerts aux écoles de langue de Borden et de Saint-Jean.

Le cours élémentaire de commandement et d’état-major (JCSC), qui a lieu deux fois l’an à Aldershot, en Nouvelle-Écosse, est une autre perle du PAIM. Conçu pour permettre aux lieutenants et aux capitaines d’acquérir les compétences leur permettant de travailler aux quartiers généraux de brigades ou d’unités, le JCSC est dispensé au complet par des réservistes, du commandant au plus novice des conducteurs ou magasiniers. La plupart du personnel d’instruction vient du Secteur de l’Atlantique de la Force terrestre; cependant, le PAIM cherche à élargir son bassin d’instructeurs afin d’assurer une meilleure représentation du Canada.

Les 39 étudiants et les 4 membres du personnel d’instruction invités représentent 31 pays différents, de la Mongolie au Paraguay. « Un cours comme le JCSC comporte sa part de défis », a affirmé le Major Rod MacKay, chef de la formation de commandement et d’état-major du PAIM. « Il faut envoyer les invitations aux pays participant au PAIM près d’un an à l’avance. En outre, il faut trouver des majors et des lieutenants-colonels de la Réserve qualifiés. Pour ce faire, on peut négocier pendant des mois avec leurs commandements et leurs formations d’attache pour qu’ils puissent faire partie du personnel d’instruction. Mais en bout de ligne, le jeu en vaut la chandelle. »

Who wants to be a recruiter for a day?

By Capt Holly-Anne Brown

Have you ever thought about getting involved in recruiting, but have not been able to get a posting into a recruiting centre? There are several ways you can share your passion for your career in the CF with other Canadians, and participate in various recruiting events without having to make a full-time commitment.

For example, our recruiting centres and detachments are always looking for members from a wide range of occupations who are willing to speak to potential applicants about possible career options, whether during a visit within a Canadian Forces Recruiting Centre (CFRC), during a school visit or career fair.

If you are a CF member who belongs to the one or more of the designated employment equity groups—women, Aboriginals, visible minorities—then there is another way to get involved: October 31, Canadian Forces Recruiting Group (CFRG) launched a new program called “Recruiter for a Day”. This initiative is open to all soldiers, sailors, airmen and airwomen who belong to a designated employment equity group and who are committed to helping the military in achieving a workforce that is fully representative of the Canadian labour force.

Recruiter for a Day is open to both Regular and Reserve Force members. You can volunteer your support: by assisting recruiters at career fairs or other events; taking part in an occupational photo or video shoot; providing a testimonial for Recruiting Information Aids; or simply by being available to answer a potential applicant’s questions about life in the CF.

Recruiter for a Day is just one initiative that CFRG is implementing to help attract more applicants. “I am confident that we will achieve our recruiting targets,” says Colonel Kevin Cotten, commander CFRG. “Getting the support and participation from other members of the Forces will only make our job easier.”

CFRG has developed a Web site to assist recruiters and CFRG staff in finding CF members belonging to one of the designated employment equity groups and who are interested in supporting their efforts. If you think you might be interested in participating in this exciting new program, check it out at: http://www.recruiting.forces.gc.ca/engraph/
recruiterforaday/index_e.aspx
.

Capt Brown is CFRG PAO.

Qui veut être recruteur d’un jour?

par le Capt Holly-Anne Brown

Vous avez déjà pensé à participer au recrutement, mais vous n’avez pas pu être envoyé dans un centre de recrutement? Il y a plusieurs façons de partager sa passion pour sa carrière militaire avec les Canadiens et de participer à des activités de recrutement sans pour autant prendre un engagement à temps plein.

Par exemple, les centres de recrutement et les détachements sont constamment à la recherche de militaires ayant diverses occupations qui sont prêts à parler à des candidats potentiels à propos des diverses options de carrière, que ce soit lors de visites au Centre de recrutement des FC ou de visites dans des écoles ou des salons de l’emploi.

Par ailleurs, si vous êtes militaire et que vous appartenez à un ou à plusieurs groupes désignés – les femmes, les Autochtones ou les minorités visibles – une autre occasion de participer au recrutement s’offre à vous. En effet, le 31 octobre, le Groupe de recrutement des Forces canadiennes (GRFC) a lancé le nouveau programme « Recruteur d’un jour ». Ce programme s’adresse à tous les soldats, marins et membres de la Force aérienne faisant partie d’un groupe désigné et prêts à aider les FC à se doter d’un effectif pleinement représentatif de la main-d’œuvre du Canada.

Le programme « Recruteur d’un jour » est ouvert aux membres de la Force régulière et de la Réserve. Vous pouvez offrir votre appui de plusieurs façons : en aidant les recruteurs dans les salons de l’emploi ou dans d’autres activités; en participant aux séances de photo et aux tournages de vidéos sur les occupations; en fournissant votre témoignage pour les Documents d’information sur le recrutement ou tout simplement en répondant aux questions d’un candidat potentiel sur la vie dans les FC.

Le programme « Recruteur d’un jour » est une mesure mise en place par le GRFC visant à attirer plus de candidats. « Je suis convaincu que nous pourrons atteindre nos objectifs de recrutement  », affirme le Colonel Kevin Cotten, commandant du GRFC. « L’appui et la participation des autres membres des FC nous facilitera la tâche. »

Le GRFC a mis sur pied un site Web visant à aider les recruteurs et les membres du GRFC à trouver des membres des FC qui appartiennent à l’un des groupes désignés et qui sont prêts à appuyer leurs efforts. Si vous êtes intéressé à participer à ce nouveau programme fascinant, consultez le http://www.recruiting.forces.gc.ca/frgraph/
recruiterforaday/index_f.aspx
.

Le Capt Brown est OAP du GRFC.

…Worth a thousand words

By Jillian Van Acker

Two teams are playing rugby. One team is wearing navy blue jumpers, while the other team is wearing red. To the left is a cluster of blue players trying to get in position for the ball. To the right, two red players are launching a third by his shorts to catch the incoming ball that is soaring towards them. “Throwing Gilbert”, by Corporal Bruno Turcotte, is one of the many winners of the 2005 DND Photography Contest.

“Look at the expression he captured. It’s great,” says Libby Macleod, business development manager with Canadian Defence Community Banking (CDCB). Walking through the concourse of NDHQ October 31, Ms. Macleod takes her time while looking at the display of winning photographs and those that received honourable mentions. Of the images displayed, “Throwing Gilbert” is one of Ms. Macleod’s favourites. “I had no idea how beautiful the photographs are.”

A new banking program available to CF/DND employees and their families, CDCB was one of the top three sponsors for this year’s contest. Sponsorship Specialist (Central Region) with the Canadian Forces Personnel Support Agency (CFPSA) Jacques Adam says there were eight sponsors, which helps bring consistency and value to the contest. “It was well supported by the sponsors this year,” says Mr. Adam. “They like to help the contest grow and I think it then gives us confidence that we’re going in the right direction with the photo contest.”

Organized by the Canadian Forces Joint Imagery Centre and CFPSA, this year’s contest received 838 submissions from 204 participants. And while 140 of the contestants are amateurs, Mr. Adam wants to emphasise that all DND personnel are encouraged to participate. “A lot of people see it as a strictly military photo contest because of the venue I guess where we’re showing it, but it’s definitely a DND photo contest. Retired members, family—everybody is allowed to participate and that’s something we want to promote a little bit more.”

Aila Gardner, a multi-media developer at CFB Gagetown, did not know about the contest until people she worked with asked her is she was entering. This was her first year participating and she took top place in the amateur portrait category, as well as the Environment Category Award. She says she was really surprised at how well she did, and is pleased with the result. “It’s like a little pat on the back.”

With over 800 submissions, deciding the winners and honourable mentions can take a long time. There were a lot of divergent submissions this year, says Lyndon Goveas, one of this year’s three judges and a professional photographer. “It was interesting to see a lot of good classic photography that really sort of embraced storytelling,” he says, adding that even digital work is going back to the roots of photography and becoming more mature.

And while a picture is worth a thousand words, or so the saying goes, Mr. Goveas wanted them to be interesting words that were part of a bigger story. “I looked for people who were telling stories in profound ways.” The two images that really moved him personally were “Tribute to Smokey” by Master Corporal Tim Jordan and “An Adventure Begins” by Corporal Norm McLean.

To see all the winning entries and honourable mentions, visit http://www.forces.gc.ca/site/gallery/contest/index_e.asp.

Une image vaut mille mots

par Jillian Van Acker

Deux équipes de rugby. Une équipe vêtue de bleu marine, l’autre, de rouge. À gauche, un groupe de joueurs en bleu tente de se mettre en position pour recevoir le ballon. À droite, deux joueurs au maillot rouge lancent un troisième joueur par les culottes pour attraper le ballon qui se dirige vers eux. « Lancer Gilbert », par le Caporal Bruno Turcotte, est l’une des photos gagnantes du Concours de photographie du MDN 2005.

« Regardez l’expression du sujet croquée sur le vif. C’est super », affirme Libby Macleod, gestionnaire – développement commercial, à Services bancaires Communauté de la Défense canadienne (SBCDC). En déambulant dans le hall du QGDN le 31 octobre, Mme Macleod prend le temps d’admirer les photographies gagnantes et les mentions honorables. « Lancer Gilbert » est l’une de ses photos préférées. « J’ignorais à quel point les photos sont magnifiques. »

SBCDC, un nouveau programme de services bancaires offert aux militaires et aux employés du MDN et à leurs familles, faisait partie des trois principaux commanditaires du concours de cette année. Jacques Adam, expert en parrainage (région du Centre) à l’Agence de soutien du personnel des Forces canadiennes (ASPFC), a mentionné que les huit commanditaires apportaient uniformité et valeur au concours. « Les commanditaires ont bien appuyé le concours cette année », affirme M. Adam. « Ils aiment à promouvoir l’expansion du concours et je crois que cela nous confirme que nous allons dans la bonne direction. »

Organisé par le Centre d’imagerie interarmées et l’ASPFC, le concours a attiré 204 participants, qui ont présenté 838 photos. Bien que 140 participants soient des amateurs, M. Adam tient à souligner que tous les membres du personnel du MDN sont invités à participer. « Beaucoup de gens envisagent le concours comme un concours de photos strictement réservé aux militaires, peut-être à cause de l’endroit où on expose les photos gagnantes, mais il s’agit d’un concours à l’échelle du MDN. Les anciens militaires, les familles, tout le monde peut participer et c’est une particularité que nous voulons faire connaître un peu mieux. »

Aila Gardner, conceptrice multimédia à la BFC Gagetown, ignorait l’existence du concours jusqu’à ce que ses collègues lui demandent si elle allait y participer. Dès sa première année de participation, elle a remporté le premier prix dans la catégorie amateurs, portrait et environnement. Elle affirme avoir été fort surprise de son succès et elle en est très fière. « C’est comme une petite tape dans le dos. »

Le choix des gagnants et des mentions honorables peut prendre du temps, surtout lorsqu’on reçoit plus de 800 photos. Les images proposées étaient très disparates, précise Lyndon Goveas, photographe professionnel et un des trois juges de cette année. « C’était intéressant de voir de la photographie classique de qualité qui raconte une histoire », dit-il en ajoutant que même les photos numériques retournent aux sources de la photographie et ont plus de profondeur.

Et si, comme le veut le dicton, une image vaut mille mots, M. Goveas avoue qu’il souhaitait que les images représentent des mots intéressants faisant partie d’une histoire plus globale. « Je cherchais les gens qui allaient au plus profond de l’histoire. » Deux images l’ont beaucoup touché sur le plan personnel « Hommage à Smokey », par le Caporal-chef Tim Jordan et « Le début d’une aventure », par le Caporal Norm McLean.

Pour admirer les photos gagnantes et les mentions honorables, consultez le http://www.forces.gc.ca/site/gallery/contest/index_f.asp.

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