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Maple Leaf - la Feuille d'érable

Pages 19-20
Maple Leaf, 23 November 2005, Vol. 8, No. 41
la Feuille d'érable, le 23 novembre 2005, vol. 8 no 41

CF makes investigations process better for injured personnel, families

By John Morris

The CF has significantly improved the way it deals with families and injured personnel, and keeps them informed about administrative investigations, says the director of the new Administrative Investigation Support Centre (AISC).

“Bottom line,” says Commander Richard Moller, “over the summer we completed a bow to stern review of the administrative investigation system. How we interact with families was a key area where we realized we needed to do better.”

Now, when an administrative investigation is planned, families and CF personnel who are seriously injured will automatically receive a letter informing them it will take place. They will also receive a point of contact for questions about the investigation, and in most cases, will be invited to attend the proceedings.

“We know that when an administrative investigation is conducted into an injury or death, the injured person or family of the deceased usually wants to be kept informed,” says Cdr Moller. “The policy changes strike a balance between the investigation’s primary purpose of answering questions and providing recommendations to the chain of command, and the desire of injured personnel and families of lost loved ones to be kept informed of the progress of the investigation.”

In the past, the Ombudsman for DND/CF has been critical of the CF for the way they have dealt with injured personnel and families during administrative investigations. Vice-Admiral Greg Jarvis, Assistant Deputy Minister (Human Resources-Military), says the CF agrees with the majority of the Ombudsman’s findings and recommendations in this area.

“I would personally like to thank the Ombudsman’s office for their interest in this matter,” VAdm Jarvis says. “We have been working closely with them to reach the same objective, making the investigations process better for all.”

Over time, ad hoc amendments to the board of inquiry (BOI) process, introduced to address various concerns, have had a negative impact on the results of the Inquiry process. Consequently, the Chief of the Defence Staff established a BOI Review Team to conduct a review of the BOI process.

That review, conducted in 2005, was expanded to look at various types of administrative investigations such as summary investigations. It included an examination of policies, processes and practices in both the CF and other countries, and a study of lessons learned from over 25 past and ongoing investigations.

The results of the review are wide sweeping and do not stop with the standing up of the AISC or with how the CF communicates with families and injured personnel. Upcoming changes include reforms to relevant QR&O and DAOD, along with a manual and training package the AISC will use during required briefings of Presidents and Investigating Officers before they conduct their investigations. As well, the new AISC Web site will offer “one-stop shopping” for information about administrative investigations.

Mr. Morris is with ADM(HR-Mil) Public Affairs.

Les FC améliorent le processus d’enquête pour les militaires blessés et leurs familles

par John Morris

« Les FC ont considérablement amélioré leurs méthodes pour traiter avec les militaires blessés et leurs familles et elles les tiennent informées des enquêtes administratives en cours », a indiqué le directeur du nouveau Centre de soutien pour les enquêtes administratives (CSEA).

« En fait, a déclaré le Capitaine de frégate Richard Moller, au cours de l’été, nous avons procédé à un examen complet du système d’enquêtes administratives. Le principal élément était la façon dont nous interagissons avec les familles et nous avons constaté qu’il y avait matière à amélioration. »

Maintenant, lorsque nous prévoyons une enquête administrative, les militaires gravement blessés et les membres de leurs familles reçoivent automatiquement une lettre les informant de la tenue de l’enquête. La lettre mentionne aussi le nom d’une personne-ressource qu’ils peuvent appeler s’ils ont des questions au sujet de l’enquête et, dans la plupart des cas, ils sont invités à assister aux délibérations.

« Nous savons que si nous menons une enquête administrative concernant des blessures ou un décès, la personne blessée ou la famille de la personne décédée veulent normalement être tenues au courant de la situation, a ajouté le Capf Moller. Les changements à la politique permettent d’établir un juste équilibre entre l’objectif premier de l’enquête qui est de répondre aux questions et de faire des recommandations à la chaîne de commandement et le désir du militaire blessé et des familles des personnes décédées d’être tenus informés de l’évolution de l’enquête. »

Par le passé, l’Ombudsman du MDN et des FC a critiqué les FC quant à leur façon de traiter avec les militaires blessés et les familles lors des enquêtes administratives. Le Vice-amiral Greg Jarvis, sous-ministre adjoint (Ressources humaines – militaires), a déclaré que les FC étaient d’accord avec la plupart des constatations et recommandations de l’Ombudsman à ce sujet.

« Je tiens à remercier personnellement le bureau de l’Ombudsman de l’intérêt qu’il a manifesté à cet égard, a ajouté le Vam Jarvis. Nous avons travaillé en étroite collaboration avec lui en vue d’atteindre le même objectif, c’est-à-dire faire en sorte que le processus d’enquête soit mieux adapté pour le bénéfice de tout le monde. »

Avec le temps, des modifications de circonstance apportées au processus de la commission d’enquête (CE), pour régler diverses préoccupations soulevées, ont eu des effets néfastes sur les résultats du processus d’enquête. Par conséquent, le Chef d’état-major de la Défense a mis en place une équipe d’examen de la CE pour en revoir le processus.

Mené en 2005, le processus d’examen a été élargi pour étudier divers types d’enquêtes administratives, telles que les enquêtes sommaires. Le processus comprenait l’examen des politiques, des méthodes et des pratiques aussi bien au sein des FC que dans d’autres pays, et une étude des leçons retenues à partir de plus de 25 enquêtes menées antérieurement et en cours.

Les résultats de l’examen ont une portée étendue et ne s’arrêtent pas à la mise en place du CSEA ou à la façon dont les FC doivent communiquer avec les familles et les militaires blessés. Les changements à venir comprennent notamment des modifications aux ORFC et aux DOAD pertinentes, ainsi que la préparation d’un manuel et d’une trousse de formation que le CSEA utilisera pour breffer les présidents et les enquêteurs avant que ces derniers procèdent à leurs enquêtes. De plus, le nouveau site Web du CSEA constituera un guichet unique pour obtenir l’information voulue au sujet des enquêtes administratives.

M. Morris est employé au sein des affaires publiques pour le SMA RH-MIL.

Kashechewan impressed by military’s safe drinking water

By Sgt Peter Moon

The CF’ ability to produce safe drinking water from the frigid, tidal waters of the Albany River has impressed the people of Kashechewan, an isolated Cree community on the James Bay coast in Northern Ontario.

The discovery that the community’s water was seriously tainted forced the emergency evacuation of 1 120 of the settlement’s 1 500 residents, the end of October. A CF reverse osmosis water purification unit (ROWPU), was flown to Kashechewan and within a day of its arrival was producing safe drinking water for the people still living in the community and building a reserve stockpile of water for the evacuees’ return.

“Every day the band’s leaders seem to be overwhelmed by the amount of water that’s being produced by the ROWPU,” said Captain Mark Rittwage of 3rd Canadian Ranger Patrol Group. “They are very impressed. Their problem now is finding places to store it all.”

A nine-man engineering team from 4 Wing Cold Lake, and 8 Wing Trenton, is operating the ROWPU. They are living in a modular tent next to their equipment on the edge of the Albany River. “It’s been a challenge, absolutely,” said Sergeant Chris DeCoste, the team leader. “We’ve had to use common sense and some ingenuity. But everyone’s loved it and all the team wants to stay until this operation is over and done. It’s been nice to come and do something for someone in Canada for once.”

“Sgt DeCoste and his crew are doing an outstanding job,” Capt Rittwage said. “The people really appreciate what they are doing for them in difficult circumstances.”

Sgt Moon is the PA Ranger for 3 CRPG at CFB Borden.

Les résidants de Kashechewan impressionnés par l’eau potable produite par les militaires

par le Sgt Peter Moon

La capacité des FC à produire de l’eau potable à partir des eaux froides de marée de la rivière Albany a impressionné la population de Kashechewan, communauté crie isolée de la côte de la baie James, dans le Nord de l’Ontario.

Quand on a découvert que l’eau consommée par cette communauté était fortement contaminée, 1120 des 1 500 résidants ont été évacués d’urgence à la fin d’octobre. Un système de purification d’eau par osmose inverse (SPEOI) a été acheminé par avion à Kashechewan et, moins d’une journée après, il y avait de l’eau potable pour les personnes se trouvant sur les lieux et un stock d’eau était en cours de constitution en vue du retour des personnes évacuées.

« Chaque jour, les chefs de la bande semblaient étonnés de la quantité d’eau produite par le SPEOI », a souligné le Capitaine Mark Rittwage du 3e Groupe de patrouille des Rangers canadiens. « Ils sont fort impressionnés; leur problème, maintenant, est de trouver où stocker toute cette eau. »

Une équipe de neuf techniciens de la 4e Escadre Cold Lake et de la 8e Escadre Trenton fait fonctionner le SPEOI. Ces techniciens vivent dans une tente modulaire, près du SPEOI, sur le bord de la rivière Albany.

« Ce fut tout un défi, d’affirmer le Sergent Chris DeCoste, chef de l’équipe. Il nous a fallu du bon sens et de l’ingéniosité, mais chacun y a mis du sien, et toute l’équipe désire rester jusqu’à ce que tout soit terminé. C’était bien de venir en aide à des Canadiens pour une fois. »

« Le Sgt DeCoste et son équipe font un travail extraordinaire », a mentionné le Capt Rittwage. « Les membres de la communauté apprécient vraiment ce qu’ils font pour eux pendant cette période difficile. »

Le Sgt Moon est chargé des AP pour le 3 GPRC à la BFC Borden.

Water plant transferred to Afghanistan government

By Capt Greg Poehlmann

“Water, water, everywhere, nor any drop to drink”

—“The Rime of the Ancient Mariner” by Samuel Taylor Coleridge.

Water in Afghanistan is a precious resource. In many ways, water here can mean the difference between prosperity and poverty or even life and death.

For the past three years Coalition and Canadian soldiers stationed at Camp Julien have enjoyed the best-bottled water in Kabul. The source of this water was not a “spring” in France, but rather the large aquifer located between the King’s and Queen’s Palaces in the southern sector of Kabul, Afghanistan.

When Canada first developed Camp Julien, it quickly became evident that the requirement for potable water was a key concern. Canadian military authorities decided that the best way to ensure a guaranteed supply at a reasonable cost was to have a water production process at Camp Julien. The Afghan Department of Industry drilled a well that went down 91 metres to the aquifer. The well and pump system are the front end of a water production process that also includes a highly sophisticated filtration system, and bottling plant that includes labelling and boxing. The water treatment plant can produce up to 350 000 litres per day and the bottling plant can produce up to 10 000 one-litre bottles per day.

About 12 personnel running a 12-hour shift daily manage the entire water production process. There is always the capability to increase production by running a second shift if required. At present military and civilian members of the Afghan Ministry of Defence are undergoing on-job-training at both the water treatment and bottling plants. This is in preparation for the transfer of the entire facility to the Afghan government on December 1.

Capt Poehlmann is a PAO in Afghanistan.

Transfert d’une station de production d’eau au gouvernement afghan

par le Capitaine Greg Poehlmann

« De l’eau, de l’eau de toutes parts, et pas la moindre goutte que nous puissions boire »

– The Rime of the Ancient Mariner, de Samuel Taylor Coleridge.

En Afghanistan, l’eau est une ressource précieuse. Elle peut souvent faire la différence entre la prospérité et la pauvreté et même entre la vie et la mort.

Au cours des trois dernières années, les soldats de la Coalition et du Canada stationnés au Camp Julien bénéficient de la meilleure eau embouteillée de Kaboul. Cette eau ne provient pas d’une « source » particulière en France mais plutôt d’un grand aquifère qui se trouve entre les Palais du Roi et de la Reine, dans le secteur sud de Kaboul, en Afghanistan.

Quand le Canada a établi Camp Julien, il est rapidement devenu évident que le besoin d’eau potable était un en-jeu clé. Les autorités militaires canadiennes ont alors décidé que le meilleur moyen d’en garantir l’approvisionnement à prix raisonnable était de produire cette eau au Camp Julien. Le ministère afghan de l’Industrie a foré un puits de 91 mètres pour atteindre l’aquifère. Le système de puits et de pompe est la première étape d’un processus de production d’eau comprenant également un système de filtration hautement sophistiqué et une usine d’embouteillage, qui assure également l’étiquetage et l’encaissage de l’eau. La station de traitement d’eau peut produire jusqu’à 350 000 litres par jour, tandis que l’usine d’embouteillage peut produire quotidiennement jusqu’à 10 000 bouteilles d’un litre.

Quelque 12 personnes travaillant 12 heures par jour suffisent à gérer tout le processus. On peut augmenter la production en introduisant, au besoin, un deuxième quart de travail. Des militaires et des civils rattachés au ministère afghan de la Défense reçoivent présentement une formation en cours d’emploi à la station de traitement et à l’usine d’embouteillage en vue du transfert, le 1er décembre prochain, de ces installations au gouvernement afghan.

Le Capt Poehlmann est OAP en Afghanistan.

Recruiting taken to new heights

By Capt Holly-Anne Brown

Recruiters thrilled downtown Hamiltonians during a rappelling demonstration off the 11-story federal government building October 28. The demonstration, put on by Canadian Forces Recruiting Centre (CFRC) – Hamilton, was aimed at attracting new applicants by presenting some of the challenging, but exhilarating training available.

The office block, which accommodates the recruiting centre, is located across the street from a high school, and many students over their lunch-hour came out to enjoy the show.

The event, organized by Capt Dave Tischhauser, saw about 15 recruiters from CFRC Hamilton, its Detachments from Kitchener and London, and CFRG Headquarters in Borden participating and was a great success. The lion’s share of the credit without a doubt goes to Mountain Operations Instructor Sergeant David Wilson, CFRC – Detachment London. Sgt Wilson, who has 10 years of experience with this type of training, single-handedly ensured the proper set-up and smooth operation of the rappel.

Sommets inégalés pour les recruteurs

par le Capt Holly-Anne Brown

Le 28 octobre, les recruteurs ont épaté les Hamiltoniens en descendant en rappel le long de l’immeuble fédéral du centre-ville. Le Centre de recrutement des Forces canadiennes (CRFC) de Hamilton avait orchestré cette démonstration d’activités d’entraînement stimulantes, mais épuisantes, pour attirer de nouveaux candidats.

L’immeuble à bureaux de 11 étages, où se trouve le CRFC, est situé en face de l’école secondaire Sir John A. Macdonald, et beaucoup d’élèves sont venus assister à la démonstration à l’heure du dîner.

L’activité, organisée par le Capt Dave Tischhauser, réunissait environ 15 recruteurs du CRFC de Hamilton, de ses détachements de Kitchener et de London, et du QG du GCRFC de Borden. Elle a obtenu un franc succès. Le principal artisan en a certainement été l’instructeur d’opérations en montagne, le Sergent David Wilson, du CRFC du détachement de London. En effet, le Sgt Wilson, qui compte dix ans d’expérience de ce genre d’entraînement, a coordonné l’installation sécuritaire de l’équipement et le bon déroulement de l’exercice.

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