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Maple Leaf


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Maple Leaf - la Feuille d'érable

Pages 6-7 Maple Leaf, 18 January 2006, Vol. 9, No. 03

la Feuille d'érable, le 18 janvier 2006, vol. 9 no 03

Family tradition continues: Third member of same family recipient of O.M.M.

By Kristina Davis

And brother makes three...
The day before Remembrance Day, Chief Warrant Officer Kevin Patterson was made a Member of The Order of Military Merit (O.M.M.)—the third member of his family to receive the honour. So while his father is a retired master warrant officer living in British Columbia, his brother CWO Mike Patterson calls CFB Kingston and the Land Force Doctrine and Training Headquarters home.

All a bit confusing, they admit, for someone looking for CWO Patterson. CWO Kevin Patterson posted to 2 Combat Engineer Regiment at CFB Petawawa, joined the Army five years after his brother in 1979. With the Airborne Regiment he went to the Golan Heights and Somalia. After the Regiment disbanded, he went to Bosnia, was posted around the country and eventually ended up in Petawawa when he was promoted to his current rank.

“When I first got promoted,” he says with a chuckle, “I got tonnes of his e-mail.” While things have since settled down, he says he was both excited and honoured by the O.M.M. “I’m honoured to join that select group,” he says.

CWO Kevin Patterson says his father is very proud of them both and thinks he always expected him to go the military route. Given that his brother is just a few hours away in Kingston, he admits they have more opportunities to see one another, something that did not happen that often in the past. “We’ve gone years and years without seeing one another,” he says.

In his current job, he says he sometimes feels like a bit of a police officer, with soldiers turning up in his office after finding themselves in some trouble. “I’ve never, though, had soldiers in my office who have been doing too much hiking or camping.”

And for those young soldiers he tells them they are embarking on a great job—if they want it.

At CFB Kingston, CWO Mike Patterson describes himself as fortunate. Born in Calgary, he says he has been everywhere. In for some 30 years, and from a military family, he says it was just the natural thing to do. And while his Dad doesn’t talk much about his own military career, he is a Korean vet; he does talk about his kids. “And he gives us a bit of a hard time,” he says.

Ironically, the brothers have never been posted to the same base, although in 1985 they were part of the same exercise. And he was on-hand for his change of command parade and when CWO Kevin Patterson received the O.M.M. from Governor General Michaëlle Jean.

CWO Mike Patterson has a son and daughter at home. Asked if they might follow in the family footsteps he says: “Well, it’s a bit hard to tell. My son is only 14 years old and right now computer games are cool.”

But if they do decided that the CF is where they want to be, he says it has much to offer. “The Canadian Forces and the Army holds tremendous opportunities if you work hard.”

La tradition familiale se poursuit : un troisième membre d’une famille est reçu au sein de l’O.M.M.

par Kristina Davis

Et de trois...
La veille du jour du Souvenir, l’Adjudant-chef Kevin Patterson a été fait membre de l’Ordre du mérite militaire (O.M.M.). C’est le troisième membre de sa famille à recevoir cet honneur. Son père est un adjudant-maître à la retraite qui habite en Colombie-Britannique et son frère, l’Adjuc Mike Patterson, est basé au Quartier général de la doctrine et de l’instruction de la Force terrestre à la BFC Kingston.

Cette situation peut porter à confusion pour quelqu’un qui cherche l’Adjuc Patterson. L’Adjuc Kevin Patterson, en poste au 2e Régiment du génie à la BFC Petawawa, s’est enrôlé dans l’Armée en 1979, cinq ans après son frère. Au sein du Régiment aéroporté, il est allé au Golan et en Somalie. Après le démantèlement du Régiment, il est allé en Bosnie, il a été affecté un peu partout au pays, puis il est arrivé à Petawawa, où il a été promu à son grade actuel.

« Au début, quand j’ai été promu, j’ai eu plein de courriels qui étaient destinés à mon frère », explique-t-il en riant. Les choses se sont rétablies depuis et il affirme avoir été ravi et honoré d’avoir été nommé dans l’O.M.M. « Quel honneur de faire partie de ce groupe exclusif », ajoute-t-il.

L’Adjuc Kevin Patterson affirme que son père, qui est très fier de son frère et de lui, a toujours su que Kevin serait militaire. Son frère étant maintenant à quelques heures de route à Kingston, il est désormais plus facile pour eux de se fréquenter qu’autrefois. « Nous avons passé des années sans pouvoir nous voir », précise-t-il.

Dans son poste actuel, l’Adjuc Kevin Patterson a l’impression de jouer au gendarme lorsque les soldats se retrouvent dans son bureau après avoir commis quelque bévue. « Pourtant, je n’ai jamais rencontré de soldat qui avait fait trop de randonnée ou de camping. »

Aux jeunes soldats, il déclare qu’ils peuvent avoir une merveilleuse carrière – s’ils sont prêts à travailler pour l’obtenir.

L’Adjuc Mike Patterson de la BFC Kingston se trouve chanceux. Il affirme qu’après être né à Calgary, il s’est promené partout. Membre des FC depuis une trentaine d’années et issu d’une famille militaire, l’Adjuc Mike Patterson affirme que la carrière militaire était toute désignée pour lui. Leur père, s’il n’est pas très loquace quant à sa propre carrière militaire – c’est un ancien combattant de la guerre de Corée – est beaucoup plus volubile lorsqu’il s’agit de ses fils. « Et il nous malmène un peu », ajoute-t-il.

Étrangement, les deux frères n’ont jamais été affectés à la même base en même temps. Par contre, en 1985, ils ont participé au même exercice. L’Adjuc Mike Patterson a assisté au défilé de passation de commandement et à la cérémonie lors de laquelle la gouverneure générale Michaëlle Jean a remis l’O.M.M. à son frère.

L’Adjuc Mike Patterson a un fils et une fille. Feront-ils aussi une carrière militaire? « Difficile à dire. Mon fils n’a que 14 ans – pour l’instant, ce sont les jeux vidéo qui ont la cote. »

Si ses enfants décident de choisir les FC comme carrière, l’Adjuc Mike Patterson affirme qu’ils y trouveront une foule d’occasions. « Les Forces canadiennes et l’Armée offrent des possibilités infinies à ceux qui travaillent fort. »

Order of Military Merit

The Order of Military Merit (O.M.M.) was created in 1972, to recognize meritorious service and devotion to duty by members of the CF. The Order has three levels of membership: commander (C.M.M.), officer (O.M.M.) and member (M.M.M.). Many have demonstrated dedication and devotion beyond the call of duty, and the Order honours them for their commitment to Canada.

The badge of the Order is a blue-enamelled, straight-end cross (four arms, narrow at the centre, wider at the ends) with an annulus in red surmounted by St. Edward’s Crown. The annulus bears the inscription MERIT.MÉRITE.CANADA.

The insignia is worn around the neck, suspended from a blue ribbon, 1.5 inches wide, with gold edges (0.1875). The lapel badge, a blue cross with a red maple leaf centre, is worn on the undress ribbon. Elevations within the order are indicated by the wearing of the lapel badge of the current and previous levels on a single ribbon.

Ordre du mérite militaire

L’Ordre du mérite militaire a été crée en 1972 en reconnaissance du service méritoire et de l’attachement au devoir de membres des FC. L’ordre comprend trois grades : commandeur (C.M.M.), officier (O.M.M.) et membre (M.M.M.). Beaucoup ont fait preuve d’un dévouement et d’une assiduité bien au-delà de ce que le devoir leur commandait. L’Ordre du mérite militaire sert à souligner leur dévouement exemplaire envers le Canada.

L’insigne est une croix pattée droite (quatre branches étroites au centre et s’élargissant vers les extrémités) de couleur bleu émail. L’insigne est bordé d’or et porte en son centre un anneau rouge arborant l’inscription MERIT MÉRITE CANADA, le tout surmonté de la couronne de saint Édouard.

L’insigne est suspendu autour du cou à un ruban bleu (1,5 po) aux bords dorés (0,1875). L’insigne boutonnière, une croix bleue avec une feuille d’érable rouge, est porté sur le ruban de petite tenue. Les promotions dans l’Ordre sont indiquées par le port de l’insigne boutonnière du grade actuel et des grades antérieurs sur le même ruban.

New chairman for the MPCC

By Philippe Laroche

The Military Police Complaints Commission (MPCC) has a new chairman at its helm, as of December 12, 2005. Peter A. Tinsley, who, until just recently, was working in Bosnia and Kosovo, where he investigated and prosecuted war crimes and participated in efforts to rebuild the local justice systems.

Mr. Tinsley succeeds Henry Kostuck who held the position in an acting capacity since the departure of Louise Cobetto, the Commission’s first chairperson.

“I am very honoured to have been appointed to the position of chairman of the MPCC, and intend to work at making the process of reviewing complaints about the military police more transparent and accountable to the Canadian public,” said Mr. Tinsley.

In addition to his recent work in Europe, Mr. Tinsley has been director of Ontario’s Special Investigations Unit, an independent civilian oversight agency for police forces in Ontario, which was created in 1990. He also served many years in the CF, first as a military police officer and then as a lawyer.

Mr. Tinsley has also been a member of the Board of Directors of the Canadian Association for Civilian Oversight of Law Enforcement, and a member of the advisory committee of Ontario’s Centre of Forensic Sciences. He has made many speeches, in Canada and abroad, on the rule of law and the civilian oversight of security forces. Since 1992, he has spoken in Nicaragua, Guatemala, El Salvador, Cuba, Romania, Brazil, Northern Ireland, Kosovo and Portugal.

The MPCC is a federal independent, quasi-judicial agency, established by the Parliament of Canada. It was created to render the handling of complaints about the CF military police more transparent and accessible, and to ensure both complainants and members of the military police are dealt with fairly and impartially. Since its foundation in 1999, it has provided civilian oversight for almost 300 investigations and issued over 700 recommendations in a conciliatory and constructive process.

For more information on the MPCC, visit their Web site at www.mpcc-cppm.gc.ca.

Mr. Laroche is a communications officer at the MPCC.

Un nouveau président à la CPPM

par Philippe Laroche

La Commission d’examen des plaintes concernant la police militaire (CPPM) a un nouveau président depuis le 12 décembre 2005. Il s’agit de M. Peter A. Tinsley, avocat de formation qui, jusqu’à tout récemment, œuvrait en Bosnie et au Kosovo où il a enquêté et engagé des poursuites relativement à des crimes de guerre et participé à la reconstruction des systèmes judiciaires locaux. M. Tinsley succède ainsi à M. Henry Kostuck, qui assurait l’intérim depuis le départ de Mme Louise Cobetto, première présidente de la Commission.

Réagissant à sa récente nomination, M. Tinsley a déclaré : « Je suis très honoré d’avoir été nommé au poste de président de la CPPM. Je travaillerai à rendre la surveillance du traitement des plaintes concernant la police militaire davantage transparente et imputable envers la population canadienne. »

En plus de son récent travail en Europe, M. Tinsley a occupé le poste de directeur de l’Unité des enquêtes spéciales de l’Ontario, un organisme de surveillance civile des corps policiers ontariens créé en 1990. Le nouveau président de la Commission compte également à son actif plusieurs années de service au sein des FC, d’abord à titre de policier militaire et ensuite en tant qu’avocat militaire.

M. Tinsley a également été membre du conseil d’administration de l’Association canadienne de surveillance civile du maintien de l’ordre et membre du comité consultatif du Centre des sciences judiciaires de l’Ontario. Il a prononcé de nombreux discours, tant au Canada qu’à l’étranger, sur la primauté du droit et la surveillance civile des forces de sécurité. Depuis 1992, il a été conférencier au Nicaragua, au Guatemala, en El Salvador, à Cuba, en Roumanie, au Brésil, en Irlande du Nord, au Kosovo et au Portugal.

La CPPM est un organisme de surveillance civile fédéral, indépendant et quasi-judiciaire constitué par le Parlement canadien. Elle a été créée afin de rendre plus transparent et plus accessible le traitement des plaintes concernant la police militaire des FC et pour veiller à ce que plaignants et policiers militaires reçoivent un traitement impartial et équitable. Depuis sa création en 1999, elle a exercé une surveillance civile sur presque 300 enquêtes et a formulé plus de 700 recommandations dans un but constructif et conciliatoire.

Pour plus de renseignements sur la CPPM, veuillez visiter le www.mpcc-cppm.gc.ca.

M. Laroche est agent des communications à la CPPM.

Talk Back - Reservist should be considered

In reference to a Talk Back letter in Vol. 8, No. 43 (December 7)

As a Reservist, for 14 years, I have never received the CUA (Clothing Upkeep Allowance). From my understanding this allowance, for Regular Force, was strictly to offset the cost of purchasing DEU items and as required work dress i.e. short sleeve blue Air Force shirt, Reservists were allowed to exchange clothing. If the intent for CUA was also for dry-cleaning, shoe polish, boot brushes and general items to maintain ones uniform, then I believe that Public Fund owes me a very hefty amount of money. If a Reservist, who makes 15 percent less then the Regular Force, can afford these expenses out of their pocket than I am sure that the Regular Force member should also be able to afford these expenses.

However, if a similar allowance is going to be introduced to offset these expenses the Reservist then should also be considered.

MCpl R. Gelinas

Response to the letter:

CFAO 205-2 states that the Clothing Upkeep Allowance (CUA) was financial compensation to replace worn out Distinctive Environmental Clothing (Permanent Kit). Distinctive Environmental Clothing is entitled clothing and accoutrements, which are initially issued free to all ranks of the Regular Force, but are maintained at the individual’s expense. CUA was intended to cover DEU replacement items such as tunics, oxford dress shoes, black dress socks, and berets. Haircuts, shoe polish, and dry-cleaning services were not part of the funding formula approved by the Treasury Board in 1992.

www.forces.gc.ca/admmat/cosmat/ masop/index_e.htm
http://dglepm.ottawa-hull.mil.ca/ dsspm/projects/clothing_online/ index_e.htm

Bud Merritt
MASOP Clothing Team Leader

À vous la parole - Il ne faudrait pas oublier les réservistes

Renvoi à la rubrique « À vous la parole » (Vol. 8, no 43, le 7 décembre 2005)

En tant que réserviste pendant 14 ans, je n’ai jamais reçu d’IEH (indemnité d’entretien de l’habillement). À ce que je comprends, cette indemnité, pour la Force régulière, servait strictement à compenser les coûts d’achat d’articles de l’UDE et de la tenue de travail requise, par exemple la chemise bleue à manches courtes de la Force aérienne. Les réservistes étaient autorisés à remplacer des articles d’habillement. Si l’IEH devait aussi servir à défrayer les coûts du nettoyage à sec, du cirage à chaussures, des brosses pour les bottes et d’articles généraux d’entretien de l’uniforme, je pense que les fonds publics me doivent une somme d’argent plutôt substantielle. Si un réserviste dont la solde est inférieure de 15 % à celle d’un militaire de la Force régulière est en mesure d’absorber lui-même ces dépenses, je ne vois pas pourquoi le militaire de la Force régulière ne pourrait pas le faire.

Toutefois, si on a l’intention d’instaurer une indemnité semblable pour compenser ces dépenses, il conviendrait de tenir compte des réservistes. Cplc R. Gelinas

Réponse à la lettre :

Selon l’OAFC 205-2, l’indemnité d’entretien de l’habillement (IEH) constituait une compensation financière versée pour remplacer les effets permanents d’habillement usés (de l’uniforme distinctif des trois éléments). L’uniforme distinctif des trois éléments est l’habillement et les attributs autorisés, qui sont initialement distribués gratuitement à tous les rangs de la Force régulière, mais qui sont ensuite entretenus aux frais de l’individu. L’IEH visait à couvrir le remplacement d’articles tels que la tunique d’UDE, les chaussures oxford, les chaussettes noires et le béret. Dans la formule d’aide financière approuvée par le Conseil du Trésor en 1992, la coupe de cheveux, le cirage à chaussures et le nettoyage à sec ne faisaient pas partie des dépenses prévues.

www.forces.gc.ca/admmat/cosmat/ masop/index_f.htm
http://dglepm.ottawa-hull.mil.ca/ dsspm/projects/clothing_online/ index_f.htm

Bud Merritt
Chef d’équipe – Vêtements, POASM

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