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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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This page contains both English and French articles.

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Image: Sauvetage en Méditerran;ée;TTOORROONNTTOO CCRREEWW SSAAVVEESS 1133

by/par Kim Cameron

HALIFAX - Thirteen crew members from a Spanish cargo ship owe their lives to sailors and air personnel from NATO's Standing Naval Force Atlantic, currently serving in the Mediterranean. Recently, HMCS Toronto, Canada's contribution to the NATO immediate reaction force, took part in the multinational effort to pluck the survivors out of the water. The last survivor was pulled out on Feb. 3 by a Dutch navy helicopter from the HNLMS Tromp, which is also the force's flagship.

"He was in the water close to 24 hours and he is fine," says Commander Brett Johnson, Toronto's captain. "He was in an immersion suit." Johnson says his crew feels pretty good about their role in the rescue, which saw 13 of 14 crew members survive. "We had our helicopter at the search scene for two missions today, searching for the last missing sailor," Johnson said in an interview minutes after the last survivor was found. "The Dutch helicopter picked up the last survivor about 10 minutes ago."

The ship sank about 400 km southwest of Lisbon, Portugal. "The ship sank in very rough weather," says Johnson. "Winds were from the southwest at 30 to 35 knots, the seas were at 6 metres and the sea temperature was 17C."

Kim Cameron is editor of CFB Halifax's Trident.

HALIFAX - Treize marins d'un cargo espagnol doivent la vie au personnel de la Force navale permanente de l'Atlantique qui se trouve actuellement

en Méditerran;ée.; Le NCSM Toronto, contribution du Canada à la force de réaction; immédiate; de l'OTAN, a récemment; participé à un effort multi- latéral; pour repêcher; les naufragés.; Le dernier marin a ét;é ramené le 3 février; par un hélicopt;ère; de la marine hollandaise du HNLMS Tromp, qui est aussi le navire amiral de la force.

« Il est resté près; de 24 heures dans l'eau, mais il se porte bien, a déclar;é le cdr Brett Johnson, commandant du

Toronto. Il portait une combinaison d'immersion. » Il rapporte que son équipage; était; fort satisfait de sa participation à l'opération; qui a sauvé 13 des 14 membres d'équipage; du navire. « Nous avons envoyé un hélicopt;ère; dans le secteur des recherches à deux reprises pour tenter de trouver le dernier marin manquant à l'appel », a expliqué Johnson aux journalistes quelques minutes après; la découverte; du dernier rescapé.;

Le navire a coulé à environ 400 km au sud-est de Lisbonne (Portugal). « La mer était; très; mauvaise, précise; le cdr Johnson. « Les vents du sudouest atteignaient de 30 à 35 noeuds, les vagues, six mètres;, et la température; de l'eau, 17 °C.; »

Kim Cameron est rédactrice; au Trident de la Base Halifax.

WARSHIP READIES FOR GULF


VICTORIA - HMCS Ottawa will head to the Persian Gulf in May for a six-month tour of duty enforcing United Nations sanctions against Iraq. MARPAC Public Affairs Officer Lieutenant-Commander Dave Scanlon says the deployment is routine and was approved by the government last September.

With Commander Richard Bergeron at the helm, plans call for the Ottawa to be integrated with the USS Abraham Lincoln battle group "to enforce ongoing

UN sanctions as part of the multinational interception force," said Scanlon. She will patrol, see that sanctions are upheld and may be involved in boarding other vessels for inspection on a periodic basis.

The growing crisis in the Middle East centres on Iraq's refusal to give UN arms inspectors searching for chemical and biological weapons complete access to all government sites. The elimination of such weapons from Iraq's arsenal is a condition set by the UN for ending the sanctions imposed on Iraq following its invasion of Kuwait in 1990.

With files from The Victoria Times-Colonist


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



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Photo d'archive : Forces maritimes de l'Atlantique/ File photo: Maritime Forces Atlantic

Le Toronto lance un missile aux installations Atlantique d'entraînement; au tir de la US Navy, au large de Porto Rico.

HMCS Toronto launches missile during training at U.S. Navy's Atlantic Fleet Weapons Taining  
Facility off the coast of Puerto Rico.

LA MARINE FAIT MOUCHE!

MISSILES ON TARGET


HALIFAX - Two warships conducted three successful missile firings February 12 while on a planned exercise in the waters off Puerto Rico. The frigate HMCS Charlottetown fired two Sea Sparrow surface-to-air missiles while the destroyer HMCS Iroquois fired one Standard Mark 2 surface- to-air missile at remote controlled drone targets.

The missile firings were conducted at the U.S. Navy's Atlantic Fleet Weapons Training Facility. Both types of missiles fired are surface-to-air defensive weapons common to the Canadian and U.S. navies.

The exercises provide crew training and confirm that the ships' missile systems are working effectively. They also test for safety standards. After the missile training, the Charlottetown returns to Halifax while the Iroquois heads to Norway's coast to act as the flagship of the Canadian Atlantic task group in Exercise Strong Resolve, a major NATO exercise.

With files from The Halifax Chronicle-Herald. To learn more about navy activities, check out their web site at www.dnd.ca/navy/marcom/

HALIFAX - Deux navires militaires ont procéd;é avec succès; à des tirs de missiles le 12 février; lors d'un exercice régulier; au large de Porto Rico. La frégate; Charlottetown et le destroyer Iroquois ont lancé respectivement deux missiles surface-air Sea Sparrow et un Mark 2 surface-air standard sur des engins-cibles tél;écommand;és.;

Les tirs ont ét;é effectués; aux installations Atlantique d'entraînement; au tir de la U.S. Navy. Les deux types de missile lancés; sont des armes défensives; surface-air courantes à bord des navires canadiens et américains.;

Les exercices permettent de former les équipages; et de confirmer l'état; des systèmes; de missiles des navires. Ils permettent aussi de vérifier; que les normes de sécurit;é sont respectées.; Après; l'entraînement; de tirs de missiles, le Charlottetown rentrera à Halifax et l'Iroquois se dirigera vers la côte; norvégienne;, où il sera navire amiral du groupe opérationnel; canadien pendant l'exercice Strong Resolve, un important exercice de l'OTAN.

Pour en savoir plus au sujet des activités; de la Marine, visitez le site Web www.dnd.ca/navy/marcom/ D'après; un article du Halifax Chronicle-  
Herald.

EN ROUTE VERS LE GOLFE


VICTORIA - Le NCSM Ottawa passera six mois dans le golfe Persique, à compter de mai, alors que son équipage; fera respecter les sanctions imposées; à l'Iraq par l'ONU. Le lcdr Dave Scanlon du service des Affaires publiques des Forces maritimes du Pacifique précise; que ce déploiement; était; prévu; et a ét;é approuvé par le gouvernement en septembre dernier.

Avec le cdr Richard Bergeron à la barre, l'Ottawa se joindra au groupe opérationnel;

du USS Abraham Lincoln « pour faire respecter les sanctions de l'ONU dans le cadre de la mission de la force d'interception multinationale », affirme le lcdr Scanlon. Il effectuera des patrouilles, surveillera l'application des sanctions et participera peut-être; à l'arraisonnement de navires.

La crise au Moyen-Orient s'articule autour du refus de l'Iraq à laisser les inspecteurs de l'ONU visiter tous les sites iraquiens pour y

chercher des armes chimiques et biologiques. La destruction de ces armes de l'arsenal iraquien est une condition imposée; par l'ONU à la suite de l'invasion du Koweït;, en 1990.

D'après; un article du Victoria Times Colonist

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Vol. 1, No. 2 1998



Un


espoir


par/by Melissa Atkinson


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ICTORIA - Huit adolescentes maltraitent et tuent une de leurs camarades. Un homme sur le point d'être; père; est poignardé à mort par un jeune dans le centre-ville. Un adolescent est atteint d'une balle après; une folle poursuite en voiture. Des centaines d'adolescents, souvent sans domicile fixe, traînent; chaque jour dans les rues. L'augmentation apparente de la criminalité juvénile; inquiète.; La Baron's Organization and Involvement Society (BOIS) est l'un des groupes qui s'efforcent d'atténuer; les problèmes; de la jeunesse.

Actuellement, BOIS compte quatre membres : Vicki Patterson, Steve Cox, Dave Clearwater et Rob Barr, qui ont aussi une famille et une carrière; mais qui tiennent quand même; à assurer l'avenir de leur organisation. Trois d'entre eux sont militaires. Ils peuvent donc être; déploy;és; ou  
envoyés; à l'instruction, ce qui freine la croissance de l'orga  
nisation qui aide les jeunes à monter des concerts. Les adolescents engagent des groupes et apprennent les techniques de collecte de fonds. L'argent recueilli est  
donné à des organisations caritatives pour la jeunesse.

« Les jeunes s'écartent; du droit chemin sans qu'on s'en aperçoive.; On l'apprend par les journaux. Les enfants sont protég;és;, il existe des refuges pour les femmes et des centres de désintoxication; pour les toxicomanes, mais que se passe-t-il pendant cette période; où vous n'êtes; plus vraiment un enfant mais pas encore adulte? Les jeunes en difficulté  
vont jusqu'au bout ou ils se retrouvent dans un refuge ou un centre de désintoxication.;

C'est le cercle vicieux que nous voulons briser », affirme M. Clearwater.

M. Barr a fondé l'organisation en 1989 à Toronto, avec une poignée; de jeunes. Parce qu'ils habitaient au centre-ville, la plupart des membres connaissaient bien le problème; des jeunes et des gangs. Ils ont décid;é de s'y attaquer en formant un club de fléchettes; baptisé The Boys and Girls of Oi. Par la suite le nom du groupe est devenu BOIS.

« Pendant qu'ils organisaient des concerts, les jeunes ne faisaient pas de bêtises.; L'atmosphère; était; bonne et il n'y avait ni drogue ni alcool, c'était; beaucoup mieux que de traîner; en ville. J'ai vraiment l'impression que nous avons porté un dur coup aux gangs. Deux d'entre eux ont disparu parce que leurs membres sont venus chez nous », soutient  
M. Barr. MM. Barr et Clearwater ont tous deux quitté le foyer familial très; tôt; et ils ont rapidement fait l'expérience; des drogues, de l'alcool et de la vie dans la rue.

« Je sais d'où viennent ces jeunes. Je sais ce qui leur paraît; 'cool'. Les vêtements; et la musique changent peut-être;, mais pas les gens », ajoute Rob Barr.

Dave Clearwater a vu un de ses amis mourir d'une overdose et il s'est demandé pourquoi personne ne l'avait aidé.; Plutôt; que d'adopter des lois qui interdisent de s'asseoir dans certaines rues ou de jeter quelques pièces; dans un chapeau, pourquoi ne pas s'impliquer?

« Ce que nous voulons, au fond, c'est ouvrir des horizons. Pousser les jeunes à entrer dans un club, les faire organiser des concerts. Les organismes de charité en profitent, les groupes aussi. Tout le monde y gagne », affirme M. Barr.

Paru dans le Lookout de la Base Esquimalt. Lisez le journal sur le Web à www.horizon.bc.ca/~lookout/

ICTORIA - Eight teenage girls brutalize and kill another. A young father- to-be is stabbed to death by a youth on a downtown street. A teenager is shot after a high speed car chase; and hundreds of teens, many of them homeless, loiter on Victoria street corners day after day. The apparent increase in youth crime has many people worried, and the Baron's Organization and Involvement Society (BOIS) is one group that's very dedicated to whittling away the youth problem. If only they could get their wings off the ground.

Right now, there are four committed members, Vicki Patterson, Steve Cox, Dave Clearwater and Rob Barr, all juggling family and careers while trying to get the youth organization started. Three of the four are military members who have deployments and courses to work around, which has hindered the growth of BOIS. The philosophy of BOIS is to let youths put on concerts under its guidance. The teens hire bands and learn the ropes of fundraising. The money raised then goes to local youth charities.

"Kids; get dropped by the wayside and you don't really notice it until one day you see it in the paper. The children are well covered, there are women's shelters and places for addicts, but there's that point when you go from children to ...where? Troubled youths either hit rock bottom or end up in a shelter or an addiction centre. We're trying to stop that," said Clearwater

This is not the first league of BOIS. It began in 1989 in Toronto when Barr and a handful of young people formed a dart club. Living downtown meant most members were well acquainted with the youth and gang problem. So under Barr's leadership they decided to tackle the crisis by forming a youth club called The Boys and Girls of Oi. Later the title changed to BOIS deriving its name from Barr's street name Baron.

"There; were youths putting on concerts which kept them out of trouble.

It provided a good atmosphere free of drugs and alcohol to play around in rather than hanging around downtown Toronto," said Barr.

"I; really feel we put a damper on a lot of the gang activity. Two of the main gangs got crushed because we stole their members."

Both Barr and  
Clearwater left home at an early age and soon became all too familiar with drugs, alcohol and street life.

"I; know where these kids are coming from. I know what they think is cool. The dress and music may change but the people stay the same, " said Barr.  
Clearwater saw a friend die of a drug overdose and wondered why no one lent a hand. Instead of passing laws making it illegal to sit on certain streets or tossing a few coins into a hat, why not get involved? he asked. "What; we want to do in the end is provide opportunities.

Have kids join our society as a youth club, get them employed in setting up these concerts themselves. Charities will benefit from it, bands will benefit and everybody wins. Nobody loses," said Barr.

Melissa Atkinson wrote this story for CFB Esquimalt's The Lookout. Read the newspaper on the web at http://www.horizon.bc.ca/~lookout/

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The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Image: NATO  
NAVAL FORCE ARRIVES IN MAYVISITE DE  
L'ESCADRE DE  
L'OTAN EN MAI

NATO's Standing Naval Force Atlantic (STANFORLANT) will pay an extensive visit to eastern Canada before taking part in Exercise MARCOT off the coasts of Nova Scotia and Newfoundland. The seven ships of NATO's immediate-reaction force are scheduled to visit St. John's, Nfld., in early May, followed by stops in Quebec City and Montreal before a two-week maintenance visit to Halifax.

The NATO force typically sails over 90,000 kilometres a year, participating in training exercises to improve naval skills, tactics and solidarity among NATO partners. The fleet also conducts frequent port visits to remain fully stocked with fuel and other provisions and to inform the general public about NATO by holding tours of the vessels. Look for more comprehensive D-News coverage after the fleet arrives.

L'escadre de l'OTAN, la Force navale permanente de l'Atlantique, fera un long séjour; dans l'Est canadien avant de prendre part à l'exerci

ce MARCOT, au large des côtes; de la Nouvelle- Écosse; et de Terre-Neuve. Les sept navires de la force de réaction; rapide de l'OTAN sont attendus à St. John's (T.-N.) début; mai. Ils se rendront à Québec; et à Montréal; par la suite, avant de faire relâche; à Halifax pour une période; de maintenance de deux semaines.

L'escadre de l'OTAN parcourt chaque année; quelque 90 000 km pour participer à des exercices d'entraînement; visant à améliorer; le savoir-faire, la tactique et la solidarité des pays membres de l'OTAN. La flotte effectue aussi de nombreuses escales de ravitaillement et de courtoisie pour faire connaître; l'OTAN à la population en accueillant des visiteurs à bord. D-Nouvelles publiera d'autres articles après; l'arrivée; de la flotte multinationale.

The Canadian navy's Gun Run team has inspired Ryan Craig to become a navy league cadet. Craig's first encounter with the navy occurred in Windsor, Ont., when he and his father saw the Gun Run team perform. Impressed with their equipment and uniforms, Craig introduced himself to Lieutenant Doug Wright, the team's trainer, who told him about sea cadets.

The next performance, father and son returned to see Wright where he asked the boy if he wanted to fire the cannon. Craig was then given a Gun Run hat and introduced to the spectators as an honorary gun runner. Craig was hooked.

"This; is the best part about the job," Wright says. "You; get to meet young people and hopefully have an impact on their future."

The Craig family now resides in  
Burnaby, B.C. but Wright and Craig exchange letters and his enthusiasm for the navy has not diminished.

"My; dad took Laura and me to a  
Remembrance Day service and I saw navy league cadets marching, and I noticed some of the cadets marching seemed to be around my age," wrote Craig. "So; I asked my dad to call to see if I could join and I was so happy to find out I could!"

This story first appeared in Trident, the newspaper of CFB Halifax.  
Vol. 1, No. 2 1998

L'

équipe; de la course de canons de la

Marine a inspiré Ryan Craig à joindre les cadets de la ligue navale. Ryan l'a vue pour la première; fois à Windsor (Ont.), avec son père.; Impressionné par le matériel; et les uniformes, il s'est présent;é à l'entraîneur; de l'équipe;, le lt Doug Wright, qui lui a parlé des cadets de la marine.

La course suivante, père; et fils sont retournés; voir le lt Wright, qui a alors proposé au garçon; de tirer le canon. Coiffé d'un casque, Ryan a ét;é présent;é aux spec- tateurs comme un membre d'honneur de l'équipe; de la course de canons. Ça; a ét;é le coup de foudre. « C'est la partie la plus palpitante de mon travail, explique le lt Wright. Je peux rencontrer des jeunes et leur apporter quelque chose. »

Aujourd'hui, Ryan continue de correspondre avec le lt Wright, même; s'il vit maintenant à Burnabay (C.-B.) avec sa famille. Son enthousiasme envers la Marine est toujours aussi vif. « Un jour, mon père; nous a emmenés;, Laura et moi, à une cér;émonie; du Jour du souvenir. En regardant marcher les cadets de la marine, j'ai remarqué que certains d'entre eux avaient mon âge;, écrit; Ryan. À ma demande, mon père; a vérifi;é si je pouvais faire partie des cadets. J'ai ét;é emballé d'apprendre que c'était; possible! »

Paru dans le Trident de la Base Halifax.

Inspiration by Gun Run

Inspiré par la course de canons


by/par Jeri Grychowski

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Image: Un grand voilierOriole top tall ship

Le 26 janvier, le NCSM Oriole était; le premier grand voilier à la ligne d'arrivée; de la course Sydney-Hobart, en Australie.

Seulement 12 des 39 navires et yachts inscrits ont terminé la course de 760 miles marins avant l'éch;éance; du 1er février.;

Le bâtiment; de 92 tonnes, long de 30 mètres; et gréé en ketch, s'est classé sixième;, mais il était; le premier des grands voiliers. Selon le lcdr Michael

Brooks, il s'agit d'une épreuve; de matelotage exténu-; ante. « Nous n'avons pas eu un instant de répit.; Les vents, qui étaient; de 55 noeuds dans le détroit; de Bass, sont tombés; 14 heures avant que nous touchions la ligne d'arrivée;, au fleuve Derwent ».;

L'Oriole a quitté Esquimalt le 14 octobre pour arriver à Sydney le 21 décembre.; Il entreprendra son voyage de retour le 3 mars et est attendu à son port d'attache le 13 mai.

Suivez les activités; de l'Oriole sur le Web : www.dnd.ca/navy/marpac/site1/frn/marpac/fleet/ oriole/current.htm

HMCS Oriole was the first tall ship to cross the finish line at the Sydney-to-Hobart race held in Australia on January 26. Only 12 of 39 ships and yachts finished the race by the qualifying date of February 1.

The 92-tonne, 30-metre ketch-rigged sailing yacht completed the 760-nautical mile race in sixth place, but was the first of the "proper tall ships" according to an Australian news report. Lieutenant Commander Michael Brooks said the race was a grueling test of seamanship. "It was a fight the whole way. There were 55-knot winds in the Bass Strait and calm for the last 14 hours before we reached the Derwent River finish line," said Brooks.  
HMCS Oriole left Esquimalt October 14 and arrived in Sydney on December 21. It will begin its return voyage March 3 and arrive home May 13. Learn about the activities of HMCS Oriole on  
the web at: www.dnd.ca/navy/marpac/  
site1/frn/marpac/fleet/oriole/current.htm

CHRISTINA

EST DE RETOUR


NAVY CORVETTE MAKING

LUXURIOUS

COMEBACK


HALIFAX - HMCS Yellowknife has begun its journey to CFB Esquimalt. The Kingston-class vessel left CFB Halifax January 30 and is expected to arrive on the West Coast March 20, following stops in Florida, Grand Cayman Islands, Panama, Mexico and California. After completing a period of vessel evaluation and crew training, Yellowknife is scheduled to be commissioned as an active unit of MARPAC on April 18.

Selon The London Times, une corvette de la Marine canadienne datant de la Deuxième; Guerre mondiale s'apprête; à renaître; dans le luxe. Après; la guerre, Christina a transporté la crème; de la sociét;é, avant de servir de monnaie d'échange; lors d'une transaction fiscale et d'être; mise au rancart par le gouvernement grec.

C'est en 1953 que le navire de 98 m et de 1774 tonnes a ét;é acheté par le milliardaire grec Aristotle Onassis. Il a ét;é remis à neuf en 1954 et, pendant plus de 20 ans, des personnalités; comme Winston Churchill et Jacqueline Kennedy se sont assises sur ses tabourets de bar en scrotum de baleine et se sont prélass;ées; dans ses salles de bain de marbre et d'or.

Christina Onassis l'a abandonné en 1975 pour régler; les droits de succession de son père.; Le navire, que le gouvernement grec laissait pourrir dans un bassin, a ét;é vendu pour la somme de 12 millions de dollars à un acheteur inconnu qui prévoit; investir 2 millions de dollars pour le transformer en un navire de croisière; de grand luxe.

Yellowknife goes west L'Ouest, c'est par là?


ACanadian navy corvette that did service in the Second World War, played host to the jet set, then was given away in a tax deal and left to rot by the Greek government is making a luxury comeback reports The London Times.

The Christina was purchased by Aristotle Onassis in 1953. The 320-foot, 1,774 tonne yacht was refurbished in 1954 and for more than 20 years, it was where the likes of Sir Winston Churchill and Jacqueline Kennedy sat on its whale scrotum bar stools or soaked in champagne marble and gold bathrooms.

Christina Onassis gave it up to pay 1975 death duties on her inheritance from her father and the Greek government let it crumble in dock. It has now been sold to an undisclosed interest for $12 million, who plans a $2 million refit to convert it to a super-luxury cruise liner.

HALIFAX - Le NCSM Yellowknife a quitté la Base Halifax à destination d'Esquimalt le 30 janvier. Le navire de défense; côti;ère; devrait atteindre la côte; ouest le 20 mars, après; avoir fait escale en Floride, aux îles; Caïman;, au Panama, au Mexique et en Californie. À la fin de sa période; d'évaluation; et de formation de l'équipage;, le Yellowknife deviendra partie intégrante; des Forces maritimes du Pacifique.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



by/par Cyril F. Marshall


Image: Photo by/par Bernard Potvin

das Boot


Capturing a U-boat's surrender on film


Le photojournaliste à la retraite Cyril  
F. Marshall admire ses collages de la Deuxième; Guerre mondiale dans sa maison d'Alexandria (Ont.), en compagnie de sa meilleure amie Sandy.

Retired photojournalist Cyril F. Marshall, and his dog Sandy, admire his Second World War collage at his home in Alexandria, Ont.

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Reddition d'un U-boot


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Le 12 mai 1945 est une date mémorable;, d'autant plus qu'elle est immortalisée...; sur pellicule. J'étais; rédacteur; et photojournaliste à la pige sur la côte; est à l'époque; où j'ai reçu; un message du responsable des nouvelles au Toronto Star. On m'informait que la Marine canadienne remorquait un sous-marin allemand (le U-190) vers le port de Bay Bulls (T.-N.) et on me demandait de couvrir l'év;énement.;

Albert Walsh, ministre de la Défense; de Terre-Neuve, m'a envoyé chercher. Un groupe de fonctionnaires et de militaires étaient; réunis; chez lui, et des renseignements ultra-secrets ont ét;é communiqués.; Nous nous sommes entendus sur l'exclusivité, à condition que j'accepte de garder le silence jusqu'à la fin de l'opération.;

Le lt Scott Young (qui s'est ensuite fait connaître; comme journaliste sportif et auteur) me servait d'escorte. Nous sommes montés; à bord du U-190, à 150 km au large du port de Bay Bulls.

Nous avons pris des photos à bord et pendant le remorquage dans le port de St. John's. La Marine a saisi toutes mes photos pour les montrer aux censeurs, mais elle me les a rendues accompagnées; de légendes; autorisées.;

Le U-190 était; le premier sous-marin équip;é d'un schnorchel. La Marine en a fait l'essai et, en 1947, elle l'a coulé à coups de canon au large des côtes; de Terre- Neuve. Le U-190 a peut-être; disparu, mais son importance historique est préserv;ée; grâce; aux nombreuses images qui défieront; le temps.

M. Marshall, originaire de Terre-Neuve, a maintenant 76 ans. Il a réalis;é des photographies pour le compte de la U.S. Navy et du U.S. Corps of Army Engineers sur les bases d'Argentia et de Fort Pepperrell (T.-N.) pendant la Deuxième; Guerre mondiale. Il savoure maintenant sa retraite avec son épouse;, Ruth, à Alexandria (Ont.). Pour en savoir plus au sujet des U-boot, visitez le site uboat.net sur le Web.

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The evening of May 12, 1945 will not be forgotten, but remembered forever on film. As a freelance writer and photojournalist operating out of the East Coast, a message arrived from the Toronto Star's wire editor with news that the first German submarine (U- 190) to surrender was being towed by the Canadian navy into Newfoundland's Bay Bulls harbour. The assignment was to cover the story "picture wise." Confirmation of the event was obtained through Albert Walsh,

Newfoundland's defence minister, who sent for me. A group of government officials and military personnel assembled at his home where top secret information was presented. Exclusive coverage was agreed to on the basis that I would be held incommunicado until the conclusion of events.

Lt Scott Young (who became a famous sports journalist and author) was assigned as an escort during the unfolding event. We boarded the U-190, 150 kilometres out of Bay Bulls harbour.

Pictures were taken on board and later while the U-boat was being towed into St. John's harbour. All photos were impounded by the navy for censorship but returned with approved caption material for publication.

The U-190 was known as the first submarine to be equipped with snorkel equipment and the Navy continued to test it after its capture. In 1947, the U-boat was sunk by gunfire off the Newfoundland coast. While the U-190 evaporated from duty, its historical significance lives on in many timeless images.

Marshall, a 76-year-old native of  
Newfoundland, was project photographer for the U.S. navy and the U.S. Corps of Army Engineers on bases at Argentia and Fort Pepperrell during World War II. He now lives in retirement with his wife Ruth in Alexandria, Ontario. For more information about U-boats, check out uboat.net/ on the world wide web.

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Bottom to top: 1) U-190 in St. John's Harbour, with Ensign and Swastika flying. 2) Crew of U-190 on R.N TVA at Bay Bulls. 3) & 4) U-190 crew being mustered and disembarking at Bay Bulls. Germans were interned at Gravenhurst, Ontario before being returned to Germany.

De bas en haut : 1) Le U-190 dans le havre de St. John's. 2) L'équipage; du U-190 à Bay Bulls.  
3) et 4) Débarquement; et rassemblement de l'équipage; du U-190 à Bay Bulls. Les prisonniers ont ét;é internés; à Gravenhurst (Ont.) avant de retourner en Allemagne.

Vol. 1, No. 2 1998


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