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National Defence / Défense Nationale



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Maple Leaf


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VICTORIA

by/par : Erin Maconachie

Years of budget cuts have MARPAC staff brainstorming, analyzing and reviewing plans. Senior staff members met recently to review results from a planning session held last September.

"It; was a major change in focus," said Cdr Doug Peterman, the Assistant Chief of Staff from Resource Management at MARPAC headquarters. "Up; until then, the meetings had focussed on how the business plan was working in the formation. The September session was put together to try and come up with savings across the formation."

The formation includes MARPAC headquarters, CFB Esquimalt, the Fleet Maintenance Facility, the two schools and the fleet. At the autumn planning session, RAdm Russell Moore said he was concerned future budget cuts would compromise MARPAC's ability to accomplish its mission. Cdr Peterman said RAdm Moore and senior staff members participated in "no-holds-barred; brainstorming" looking for ways MARPAC could fulfill its mission with fewer resources.

Depuis plusieurs années;, en raison des compressions budgétaires;, le personnel du MARPAC se livre à des remue-méninges;, à des analyses et à des révisions; de plans. Les hauts responsables se sont récemment; réunis; pour revoir les résultats; de la séance; de planification de septembre dernier.

« Nous avons radicalement changé d'orientation », déclare; le cdr Doug Peterman, chef d'état-major; adjoint responsable de la gestion des ressources au QG du MARPAC. « Auparavant, les réunions; portaient sur le déroulement; du plan d'entreprise au sein de la formation. La séance; de septembre avait pour objet de trouver des possibilités; d'économies; dans toute la formation ».;

La formation comprend le QG du MARPAC, la Base Esquimalt, les installations de maintenance de la flotte, les deux écoles;, ainsi que la flotte. Lors de la séance; de planification, le cam Russell Moore disait s'inquiéter; que d'éventuelles; coupures budgétaires; compromettent la capacité du MARPAC de mener à bien sa mission. Le cdr Peterman a déclar;é que le cam Moore et les hauts responsables avaient participé à une séance; de remue-méninges; « tous azimuts », pour trouver des façons; de réaliser; la mission du MARPAC avec des ressources réduites.;

« Lors de la séance; de planification du  
MARPAC, toutes sortes d'idées; ont ét;é

VICTORIA

MARPAC COMMITTED TO SAVINGS

LE MARPAC SE FAIT ÉCONOME;


"At; the MARPAC Planning Session, there were all kinds of ideas generated," said Cdr Peterman. "As; a result, a very long list (of changes) was proposed. Some of the ideas have value and some don't. Since that first session, a number of ideas have been culled." He said the Formation Resource Management Board is focussing on "ideas; that show potential for good payback with reasonable investment." At the update meeting, planners "tabled; and put into action" a proposal to purchase telephone switching units from B.C. Tel, generating a recurring annual savings for MARPAC of $250,000.

Cdr Peterman said other ideas generated from the session that are being considered include proposals for cleaning base buildings, the level of gardening support, and the relative utility and cost of miscellaneous vessels. He said some proposals are being handled by other organizations, such as the scheduling of ship maintenance. "The; impact has been fairly small so far," said Cdr Peterman. "But; the potential is big."

Erin Maconachie writes for CFB Esquimalt's The Lookout. Read the newspaper online at www.horizon.bc.ca/~lookout/

émises;, signale le cdr Peterman. Résultat;, une liste exhaustive de changements a ét;é proposée.; Certaines de ces idées; sont intéressantes;, d'autres moins. Depuis cette première; séance;, un certain nombre d'idées; ont ét;é retenues ».; Il affirme que le Comité de gestion des ressources à la formation s'intéresse; « aux idées; qui ouvrent des perspectives de recouvrement intéressant; pour un investissement raisonnable ».; Lors de la réunion; de mise à jour, les planificateurs ont donné suite à la proposition d'acheter des centres de commutation tél;éphonique; de B.C. Tel; le MARPAC réalisera; ainsi des économies; annuelles de l'ordre de 250 000 $.

Le cdr Peterman ajoute que l'on envisage d'autres idées; avancées; lors de la séance;, y compris des propositions pour l'entretien des édifices; de la base, l'entretien paysager et une évaluation; de l'utilité relative et des coûts; des

divers navires. Il indique que certaines propositions sont traitées; par d'autres organisations, notamment le calendrier de maintenance des navires. « Les répercussions; ont ét;é jusqu'ici assez limitées.; Cependant, le potentiel est énorme; ».;

Erin Maconachie écrit; des articles pour The Lookout. Lisez le journal de la Base Esquimalt en ligne à : www.horizon.bc.ca/~lookout/

Image: Photo : Cpl Troels Hoe/OTAN

Just like her motto, 'all challenges squarely met', HMCS Charlottetown takes every challenge NATO's largest exercise can give her. Seen here sailing past the German frigate, FGS Mechlenburg-Vorpommern in the Andfjord strait, northern Norway, HMCS Charlottetown, and her crew of 225, is participating in Exercise Strong Resolve 98, along with some 5,000 other sailors from eight other nations. The naval component of the exercise includes crisis management and regional defence operations. As part of Standing Naval Force Atlantic, she remained in Norwegian waters until March 21.

LE NCSM CHARLOTTETOWN NAVIGUE À PROXIMITÉ DE LA FRÉGATE; ALLEMANDE FGS MECHLENBURG-VORPOMMERN DANS LE DÉTROIT; DE ANDFJORD, AU NORD DE LA NORVÈGE.; FIDÈLE; À SA TRADITION, LE NAVIRE ACCEPTE DE RELEVER TOUS LES DÉFIS; QUE LUI PROPOSE LE PLUS GRAND EXERCICE ORGANISÉ PAR L'OTAN. LE CHARLOTTETOWN ET LES 225 MEMBRES DE SON ÉQUIPAGE; PARTICIPENT À L'EXERCICE MULTINATIONAL STRONG RESOLVE 1998, AVEC 5000 AUTRES MARINS DE HUIT PAYS. LE VOLET MARITIME DE L'EXERCICE PORTE ENTRE AUTRES SUR LA GESTION DE CRISE ET LES OPÉRATIONS; DE DÉFENSE; RÉGIONALES.; LE NAVIRE EST DEMEURÉ DANS LES EAUX NORVÉGIENNES; JUSQU'AU 21 MARS EN TANT QU'ÉL;ÉMENT; DE LA FORCE NAVALE PERMANENTE DE L'ATLANTIQUE.


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Image: Photos: Erin Maconachie

by/par Erin Maconachie

SIMULATION DE DÉFENSE; PORTUAIRE


VICTORIA

NAVAL  
RESERVES FOCUS

ON TEAMWORK


Huit canots pneumatiques à coque rigide ont sillonné l'entrée; du port de Victoria le 14 février; dernier, dans le cadre d'une simulation d'intervention de la Réserve; navale à la suite d'un ouragan. En tout, 128 réservistes; de six unités; de l'Ouest se sont rendus à Victoria pour participer à cet exercice de deux jours organisé par le NCSM Malahat. « Tout s'est très;  
bien déroul;é, affirme le lt(M)

Lisa Zezza. Les participants ont beaucoup appris. »

L'instruction portait sur les opérations; d'une unité de défense; portuaire dans une zone de conflit de faible intensité, avec l'appui d'un service logistique avancé.; D'après; le scénario;, la population de l'île; Omega venait d'être; victime d'un ouragan. Les Nations Unies avaient demandé au Canada de dép;êcher; une unité de défense; portuaire pour collaborer à la remise en état; du port et fournir une aide humanitaire.

L'exercice a permis aux plongeurs d'inspecter le havre, à des équipes; de surveillance et de communications d'assurer la sécurit;é dans le port, et aux membres d'équipage; de pratiquer les accès; aux aires de mouillage et de jeter l'ancre. La défense; portuaire constitue la première; mission de la Réserve; navale.

Les exercices ont lieu trois fois l'an, et l'instruction de défense; portuaire porte sur trois él;éments; : les habiletés; individuelles, le travail en équipe;, et la simulation d'une vaste opération; nécessitant; la participation de divers groupes d'intervention. L'exercice de février; a mis l'accent sur le travail en équipe.; « Il s'agissait d'instruction en équipe; plutôt; que d'instruction individuelle, a précis;é le lt(M) Zezza. Après; l'instruction en équipe;, nous pouvons passer à des opérations; comme celles liées; à l'APEC. »

Malahat est l'une des 24 divisions de la réserve; navale du Canada. Son effectif est de 210 personnes qui travaillent à temps partiel. Même; s'il s'agissait d'une simulation, le lt(M) Zezza rappelle que les membres de la Réserve; navale ont exécut;é certaines tâches; similaires à Winnipeg, pendant les inondations du printemps dernier, et à Vancouver, où ils ont aidé la GRC à assurer la sécurit;é du port pendant la conférence; de l'APEC, à l'automne.

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Rigid Hull Inflatable  
Boats (RHIBs) criss-crossed Victoria's Inner Harbour February 14 as part of a mock hurricane relief effort by the Naval Reserves. A total of 128 naval reservists representing six units from across western Canada travelled to Victoria to take part in the two-day defence exercise organized by HMCS Malahat. "I; think it went really well," said Lt(N) Lisa Zezza. "There; was a good learning curve for the troops."

The training centred on operations conducted by a harbour defence unit with support from a forward logistical site in a low-intensity conflict. The scenario involved the island nation of Omega, which was recovering from a hurricane. Through the United Nations, Canada sent a harbour defence unit to assist in re-opening

and securing Omega's harbour and providing humanitarian aid.

The exercise involved port inspection diving teams, surveillance and communications to provide security at the harbour, anchorages and their approaches. Participants worked in eight RHIBs at the entrance to Victoria Harbour. Harbour defence is the primary mission of the Naval Reserves.

Training exercises are held three times each year. Harbour defence training takes place in three phases. Phase one focuses on individual skills; phase two centres on team work; and phase three is a major operation which incorporates many additional elements. This event was phase two training. "It;'s team training as opposed to individual skill training," said Lt(N) Zezza. "Once; we get this team training, we can go on and do operations like APEC, for example."

Malahat is one of 24 Naval  
Reserve divisions across Canada, with a strength of 210 people who work on a part-time basis. Although this exercise was a simulation, Lt(N) Zezza said members of the Naval Reserves completed some similar tasks in Winnipeg during the floods last spring, and in Vancouver when they assisted the RCMP in securing the harbour for the APEC conference in the fall.

VICTORIA

Vol. 1, No. 3 1998



Image: VICTORIAOn n'est jamais aussi bien que chez soi

by/par: Melissa Atkinson

New school venture


Un partenariat entre deux écoles; fait le bonheur de nombreux marins de la côte; ouest en leur permettant de poursuivre leur formation théorique; chez eux et en donnant la possibilité à une poignée; d'étudiants; civils de se rapprocher de la marine. Les marins n'ont plus à traverser le pays pour suivre des cours d'électrotechnicien;, d'électronicien; naval et de technicien d'armes navales : des instructeurs civils de l'École; navale des FC (ÉNFC;) à Esquimalt leur dispensent ces cours dans un collège; local. En échange;, un instructeur des FC donne un cours en réfrig;ération; commerciale à des civils.

Au départ;, ces cours étaient; offerts dans le cadre d'un projet pilote visant à former sur place les marins de la côte; ouest. Le projet a tellement bien réussi; qu'un contrat de formation de 900 000 $ a ét;é officiellement confié au cam Russell Moore, en octobre dernier. « Le moral et la qualité de vie des marins étaient; loin d'être; extraordinaires. Ils étaient; affectés; à un navire pendant deux ou trois ans en début; de carrière.; Ils devaient ensuite se rendre à Halifax pour pour- suivre leur formation afin de pouvoir relever de plus grands défis.; Bon nombre de ces marins laissaient leur famille sur la côte;  
ouest. Au terme de leur formation sur la côte;  
est, ils revenaient pratiquer les rudiments de leur métier; en mer sur la côte; ouest », explique le cdr Paul Maddison, ancien commandant de l'ÉNFC; à Esquimalt.

La marine cherchait un moyen de former des marins sur la côte; ouest. Des instructeurs de l'ÉNFC; à Halifax sont donc venus à Victoria négocier; un contrat de cinq ans avec le collège; Camosun. La marine économise; ainsi entre deux et trois millions de dollars par année;, surtout du fait de ne pas avoir à débourser; les quelque 5 000 $ nécessaires; pour envoyer chaque marin à Halifax. « Cette initiative visait simplement à améliorer; la qualité de vie des marins de la côte; ouest. Elle a en outre permis au ministère; d'économiser; quelques millions de dollars en cinq ans », raconte le cdr Maddison.

Les négociations; du projet de la côte; ouest ont donné naissance à un autre projet pilote, dans le cadre duquel le m 1 Marlowe Fraser utilise le simulateur de réfrig;ération; de l'ÉNFC; à Esquimalt pour donner des cours pratiques à des étudiants; civils. Le m 1 Fraser est certifié dans le domaine de la réfrig;ération; et de la climatisation et il possède; des compétences; en enseignement dans le domaine des substances appauvrissant la couche d'ozone. Il enseigne la réfrig;ération; depuis quatre ans.

Melissa Atkinson est une ancienne rédactrice; du Lookout, Base Esquimalt.

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The partnership between two schools is keeping many West Coast sailors home and happy during their academic training, and a handful of civilian students in touch with the navy. Instead of travelling across the country for their academic training, a local community college has civilian instructors teaching sailors, from the CF Fleet School in Esquimalt, the electrical technician, naval electronics and naval weapons technician courses. On the reciprocating end, a CF instructor is teaching a commercial refrigeration course to civilians at CF Fleet School Esquimalt.

West Coast Option was a pilot project initiated to train sailors at home. It proved so successful that a $900,000 training contract was officially endorsed by Rear-Admiral Russell Moore last October. "As; far as their morale and quality of life was concerned, it wasn't great. Sailors were going out to sea (on the West Coast) for two or three years as leading seamen and working really hard, then coming ashore and going to Halifax for more training to prepare them for greater challenges in the future, and in many cases leaving their families here, only to come back off training and out to sea to apply their trade," said Commander Paul Maddison, former commander of CF Fleet School Esquimalt.

The navy was looking for a solution to bring the training to the West Coast. Instructors from the Naval Engineering School in Halifax came out to Victoria to negotiate a five-year contract with Camosun College. The savings to the navy are estimated at $2 to 3 million annually, with the majority coming from not having to pay out the more than $5,000 it costs to post a sailor to Halifax. "It;'s simply an initiative that is dedicated to enhancing the quality of life of West Coast sailors and it just so happens it's saving the department and the taxpayer a couple million dollars over five years," said Cdr Maddison.

The offshoot from the West Coast Option negotiations is a not-for-credit pilot project being taught by PO1 Marlowe Fraser, who uses the Fleet School refrigeration simulator for hands-on learning to teach the civilian students. Fraser is a certified civilian journeyman in refrigeration and air conditioning, and has instructor qualifications in ozone depleting substances. He's taught refrigeration for four years on both coasts.

Melissa Atkinson was a reporter with CFB Esquimalt's The Lookout.

VICTORIA

Image: The Maple Leaf / La Feuille d'érablePhoto; : MCpl/cplc Pierre Vaudry

CAMOSUN COLLEGE INSTRUCTOR JOYCE VANDE VEGTE MONITORS LEADING SEAMEN JASON MILLER AND KEN HAYES AS THEY TEST A CIRCUIT BOARD. THE NAVAL ELECTRONICS STUDENTS ARE PARTICIPATING IN THE WEST COAST OPTION, A PROGRAM DESIGNED TO TRAIN SAILORS AT HOME.

L'INSTRUCTEUR JOYCE VANDE VEGTE, DU COLLÈGE; CAMOSUN, REGARDE LES MATELOTS-CHEFS JASON MILLER ET KEN HAYES FAIRE LA VÉRIFICATION; D'UNE PLAQUETTE DE CIRCUIT. CES ÉTUDIANTS; EN ÉLECTRONIQUE; NAVALE PARTICIPENT AU PROGRAMME DE LA CÔTE; OUEST, QUI PERMET AUX MARINS D'ÊTRE; FORMÉS; DANS LEUR RÉGION.;



by/par Lt(N)/lt(M) Jacques Fauteux

NO TIME FOR


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Coffee Breaks


IN THE GULF


Pas de répit;


POUR L'ÉQUIPAGE; DU TORONTO


HMCS TORONTO - Some members of this ship's crew admit that the last few weeks have been hectic. "The last 16 days (before arriving in Bahrain) have been like a huge and long set of work-ups," says Captain Lise Bourgon, a member of HMCS Toronto's helicopter detachment. "The training was good. We are now prepared to face a multitude of scenarios that involve our Sea Kings during maritime interdiction operations and boarding party support."

Helicopters have been operating in the northern Arabian Gulf as HMCS Toronto patrols the area in support of the UN embargo against Iraq. The Sea King from 423 Squadron in Shearwater, N.S., acts as the eyes of the ship. It approaches and identifies merchant ships as well as providing security when members of HMCS Toronto conduct boardings.

"I believe that the ship is ready for pretty much anything," said Cdr Brett Johnson, the ship's commanding officer, during an address to the crew. "We have to be sharp and make sure we get the job right the first time. He also gave a vote of confidence to those on board and reminded them that the ship was one of the most technologically advanced vessels in current operation. The 4700-tonne frigate is equipped with a multitude of sensors and defensive equipment such as eight Harpoon surface-to-surface missiles, 16 Sea Sparrow surface- to-air missiles, one Bofors gun and a close-in-weapon system that can fire over 3000 rounds a minute.

Other members of the ship's company emphasize that they are able to withstand the very low, but real threat of biological and chemical warfare that exists in the Iraqi arsenal. "We are well protected against this type of threat," said Lt Rowan Morris, the ship's chemical and biological warfare expert. He added that even if the threat that Saddam might unleash biological agents such as anthrax is extremely low, that every precaution has been taken to maximize the protection of every crew member.

Since mid-February crew members have received advanced training and have taken antibiotics against anthrax. Officers and crew have also been equipped with protective suits with a charcoal lining, gas masks and heavy rubber gloves and boots. Another line of defence is the Toronto's "citadel;," a system that makes the inside of the ship air-tight. The pressurized system ensures that no airborne chemical or biological material enters the ship.

The crew began receiving vaccinations against anthrax during the first week of March. The immunization program consisted of a series of six inoculations over an 18-month period, followed by an annual booster. The vaccine does not reach its full effectiveness with the first shot. Further needles are required at 14 and 28 days, with a booster shot every six months over an 18-month period. The crew will continue to take their antibiotics until the vaccines take full effect in about 28 days.

"The best cure for anthrax is prevention," said the ship's doctor LCdr Heather MacKinnon. "This inoculation is 85 to 95 percent effective against the deadly anthrax. The combination of vaccine and antibiotic will provide more than enough protection for the crew. They may be required to take more of these antibiotics if the threat increases."

"We are prepared for any possibilities," said Capt Jeff Brown the biological and chemical warfare expert of the helicopter crew. The crew has brought full body charcoal suits which are ribbed with a multitude of water tubes. These keep the crew cool while they are flying.

"We are also one of the few countries which has a good Nuclear Biological Chemical Warfare in flight-capability," said Brown, a Sea King helicopter pilot who joined the ship prior to entering the Gulf. They have since been training the air crew to face the unlikely threat of a chemical or biological attack from Iraq. He also passed on lessons learned from the Persian Gulf war which led to the first use and development of the cooling NBCW suits.

NCSM TORONTO - Certains membres de l'équipage; du Toronto ont trouvé les dernières; semaines plutôt; mouvementées.; « Les 16 jours préc;édant; notre arrivée; à Bahreïn; ont ét;é une longue série; d'exercices préparatoires;, » relate le capt Lise Bourgon, membre du détachement; d'hélicopt;ères; de la frégate.; « L'entraînement; a ét;é efficace. Nous sommes maintenant prêts; à affronter toutes les situations, que ce soit au cours des opérations; d'interdiction maritime à bord des Sea King ou dans le cadre du soutien aux équipes; d'abordage. »

Les hélicopt;ères; survolent le nord du golfe Persique tandis que le Toronto patrouille le secteur pour renforcer l'embargo imposé par l'ONU contre l'Iraq. Les Sea King du 423e Escadron de Shearwater (N.-É.;) sont les yeux du navire. Ils permettent l'identification des navires marchands et assurent la protection de l'équipage; du navire lors des abordages.

« Nous sommes prêts; à affronter à peu près; n'importe quoi, » garantit le cdr Brett Johnson, commandant du navire, à son équipage.; « Nous devons être; perspicaces et nous assurer de bien faire notre travail du premier coup. » Il a aussi accordé un vote de confiance à son équipage; et lui a rappelé que leur navire est l'un des plus avancés; sur le plan technologique. En effet, la frégate; de 4700 tonnes est munie de divers détecteurs; et de systèmes; de défense;, dont huit missiles surface-surface Harpoon, 16 missiles surface-air Sea Sparrow, un canon Bofors et un système; de défense; rapprochée; capable de tirer plus de 3000 salves à la minute.

Des matelots ont ajouté qu'ils sont prêts; à affronter les dangers que représentent; les armes biologiques et chimiques dont dispose l'Iraq. « Nous sommes bien protég;és; contre ce genre d'attaque, » affirme le lt Rowan Morris, expert en guerre NBC du navire. Il précise; que, même; s'il est très; peu probable que Saddam lance des agents biologiques comme le charbon bactéridien;, toutes les précautions; ont ét;é prises pour assurer la protection de l'équipage.;

Depuis la mi-février;, les matelots suivent une formation poussée; et prennent des antibiotiques contre la maladie du charbon. En outre, ils disposent de vêtements; de protection con- tenant du charbon, de masques à gaz, ainsi que de gants et bottes de caoutchouc épais.; La frégate; est équip;ée; du système; de défense; citadelle, qui permet de fermer hermétiquement; le navire. Le système; de pressurisation empêche; les agents NBC dans l'air de pén;étrer; à l'intérieur; du navire.

L'équipage; a reçu; ses premiers vaccins anti-charbonneux au cours de la première; semaine de mars. Le vaccin n'atteint pas sa pleine efficacité immédiatement; il faut administrer d'autres injections après; 14 et 28 jours, puis une injection de rappel tous les six mois, pendant 18 mois. L'équipage; continuera de prendre des antibiotiques jusqu'à ce que le vaccin soit pleinement efficace, dans environ 28 jours. Selon le lcdr Heather MacKinnon, médecin; embarqué, l'efficacité de l'inoculation contre la maladie du charbon (qui peut être; mortelle), se situe entre 85 et 95 p. 100. Grâce; à la combinaison du vaccin et des antibiotiques, l'équipage; sera bien immunisé.; Si la menace devient plus  
forte, il faudra peut-être; augmenter la dose d'antibiotiques.

« Nous sommes prêts; à faire face à toutes éventualit;és;, » soutient le capt Jeff Brown, expert en guerre NBC du person  
nel navigant. « Nous possédons; des  
combinaisons au charbon, dotés;  
d'une multitude de tubes d'eau,  
qui gardent l'équipage; au frais  
pendant le vol. Nous sommes  
l'un des rares pays à disposer

d'une flotte aérienne; capable de faire face aux guerres NBC, » souligne le pilote d'hélicopt;ères; Sea King qui s'est joint à l'équipage; du navire avant son entrée; dans le Golfe. Le capt Brown affirme que c'est grâce; aux leçons; tirées; de la guerre du Golfe que la tenue de guerre NBC refroidissante a ét;é conçue.;

Image: Photo: MCpl/cplc Stephen Roy

Vol. 1, No. 3 1998



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Our navy in the Gulf

Notre marine


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THE PERSIAN GULF - A SNAP SHOT

* Population of the Gulf states:  
Approximately 101 million.

* Religion: Muslim  
* Official language: Arabic  
* Main industry: Oil, shipping, merchant class industry and some tourism  
* Oil reserves: 67 percent of world oil reserves, 300-year supply of oil and 50 percent of global oil purchases.

On August 2 ,1990, Iraq invaded Kuwait. Within weeks of this invasion, Canadian troops and HMC Ships Huron, Terra Nova and Protector were dispatched to the region and joined the US- led coalition.

In January 1991, when the majority of the coalition forces left the Arabian Gulf at the end of the Gulf War, naval vessels from Australia, France, United Kingdom and the United States continued to patrol the Gulf and the Red Sea, to enforce the UN sanctions against Iraq. Canada was asked to take an active role.

In February 1992, the Canadian government announced it would participate in the enforcement of the UN sanctions under the newly established multinational Maritime Interception Force (MIF). UN sanctions against Iraq apply to trade in all commodities except medical supplies, food and materials needed for humanitarian purposes.

In August 1994, Red Sea Maritime Interception operations were suspended when the UN contracted the non-profit organization Lloyd's Register to do shore side inspections for prohibited cargo in Aqaba, Jordan.

Since 1990, vessels from 14 coalition nations have contributed ships to the international MIF. The force has intercepted over 22,000 merchant ships, of which 9,800 were boarded and 500 diverted, for carrying contraband cargo or inaccurate documents.

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The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



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arine dans le Golfe


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Le 2 août; 1990, l'Iraq envahit le Koweït.; Après; quelques semaines, des troupes canadiennes et les NCSM Huron, Terra Nova et Protecteur sont déploy;és; dans le Golfe pour prêter; main-forte à la coalition dirigée; par l'ONU.

En janvier 1991, alors qu'une grande partie des forces de la coalition quitte le golfe Persique après; la guerre, des navires de l'Australie, de la France, du Royaume-Uni et des États-Unis; continuent de sillonner le Golfe et la mer Rouge pour renforcer les sanctions de l'ONU imposées; à l'Iraq. On demande au Canada de prendre part à l'opération.;

En février; 1992, le gouvernement canadien annonce qu'ils se joindra à la toute nouvelle force d'interception maritime (FIM) internationale pour participer aux opérations; de renforcement des sanctions de l'ONU. Les sanctions imposées; à l'Iraq s'appliquent à tous les domaines du commerce, sauf aux fournitures médicales;, à la nourriture et au matériel; essentiel à des fins humanitaires.

En août; 1994, les opérations; d'interception maritime dans la mer Rouge sont suspendues quand l'ONU confie à l'organisme sans but lucratif Lloyd's Register la tâche; d'inspecter les navires arrivant à Aqaba, en Jordanie, et d'intercepter la marchandise interdite.

Depuis 1990, les navires de 14 nations de la coalition ont ét;é déploy;és; dans le cadre de la FIM. Plus de 22 000 navires marchands ont ét;é interceptés;, dont 9800 ont ét;é arraisonnés; et 500 ont ét;é détourn;és; parce qu'ils transportaient de la marchandise de contrebande ou des documents inexacts.

LE GOLFE PERSIQUE - TOUR D'HORIZON

* Population : Eviron 101 millions d'habitants  
* Religion : Musulmane  
* Langue : Arabe  
* Principales industries : Pétrole;, transport et commerce maritimes, et tourisme.

* Réserves; de pétrole; : 67 p. 100 des réserves; mondiales, 300 ans d'approvisionnement, 50 p. 100 des ventes de pétrole; dans le monde.

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Photos: MCpl/cplc Stephen Roy

Vol. 1, No. 3 1998


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