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Maple Leaf


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On a misty afternoon in 1919, a young Henry Botterell was flying over unfamiliar Belgian territory, en route to visit a friend. He flew low to confirm his location by identifying road signs, then checking them on his map. Tucking his map back into his boot, he took his eyes off the horizon for a split second. When he looked up, he was face to face with a hilltop. While he narrowly managed to avoid the hill, he clipped a fence post - hard - with one bottom wing of his biplane. The fence post snapped off and stuck in his wing, which meant the young pilot had some explaining to do when he flew back to his base.

Henry Botterell is now 101 years old and is believed to be Canada's only surviving Great War fighter pilot.

TIMEWORN PAGES FROM F/LT HENRY BOTTERELL'S 1918 LOG BOOK AND THE DETAILED IMAGERY IN "BALLOON BUSTER", A PAINTING BY BRITISH AVIATION ARTIST ROBERT TAYLOR, PROVIDE FASCINATING DETAIL OF THE FIRST WORLD WAR MISSION IN WHICH F/LT BOTTERELL SHOT DOWN A TETHERED GERMAN OBSERVATION BALLOON NEAR ARRAS, FRANCE.

LES PAGES  
QUE TENAIT  
D'AVIATION  
LES SCÈNES;  
LOON BUST  
TRE DE L'AV  
ROBERT TAY  
NOUVELLE V  
LA PREMIÈR;  
AU COURS D  
AVN BOTTER  
LON D'OBSE  
PROXIMITÉ D

Image: Photo: Maj Mike Minnich
Image: Flight Lt/capt avn  
Henry Botterell

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AS A YOUNG FIRST WORLD WAR FIGHTER PILOT IN THE COCKPIT OF HIS SOPWITH CAMEL AND SURROUNDED (SECOND FROM THE RIGHT) BY HIS FELLOW RAF MEMBERS FROM 208 SQN IN 1918.

LE JEUNE PILOTE DE CHASSE DE LA PREMIÈRE; GUERRE MONDIALE, DANS LE COCKPIT DE SON SOPWITH CAMEL (DEUXIÈME; À PARTIR DE LA DROITE), AVEC SES CAMARADES DU 208 ESCADRON DE LA RAF, EN 1918.

By Major Mike Minnich

Sitting in his wheelchair in the sunshine-filled cafeteria of the George Hees Veterans Wing of Toronto's Sunnybrook Medical Centre, Henry Botterell is alert and dapper in his blue blazer and silk tie emblazoned with gold maple leaves and stripes in the colours of the Royal Air Force (RAF). While the years have dimmed some memories, others remain vivid.

In 1916, the Ottawa native enlisted in the Royal Naval Air Service and sailed to England for his pilot training. On just his second flight with No. 8 Squadron in France, engine failure caused a serious crash, and sent him back to the British Isles for months of convalescence.

Determined to see action, he managed to be accepted for requalification at another training aerodrome. In May 1918, now part of the newly formed RAF (a result of the Royal Naval Air Service and Royal Flying Corps merging), he returned to France to fly combat with 208 Squadron.

For the next six-and-a-half months, he most- ly flew the famed Sopwith Camel on dozens of offensive patrols and even flew ground- attack missions. "On our patrols, we couldn't fly much more than two hours, and many were shorter than that. I think our maximum fuel was for about two-and-a-half hours - of course, that was if you didn't get your pressure tank or fuel line punctured by bullets," he smiles. "That happened to me several times, and I just made it back to a friendly field, using gravity feed to keep my engine going."

Confirmation of victories was an uncertain process in those days, since many victims classed as "driven down, out of control" actually never crashed and escaped through a spin. On August 29, 1918, however, Henry Botterell scored one kill for certain. According to his log book, he: "Fired 400 rounds into a [German observation] balloon over Brayelle. Saw observer in parachute. Observed hits. Balloon crumpled up and went down. Dropped four bombs in Vitry."

In a demonstration of the sporting spirit that often existed between opposing airmen, he says that he circled the German observer in his parachute and gave him a wave of greeting

Air Force Editor

Kristina Davis (819) 776-2814

The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Legend Légende;


A LIVING

VIVANTE


M F/LT 918 LOG  
ED IMAGERY , A PAINTING  
ARTIST

VIDE  
OF THE

SSION IN

L SHOT

RMAN  
ON NEAR LES PAGES JAUNIES DU JOURNAL QUE TENAIT, EN 1918, LE CAPITAINE D'AVIATION HENRY BOTTERELL ET LES SCÈNES; DÉTAILL;ÉES; DE « BALLOON BUSTER », OEUVRE DU PEINTRE DE L'AVIATION BRITANNIQUE ROBERT TAYLOR, PROJETTENT UNE NOUVELLE VISION DE LA MISSION DE LA PREMIÈRE; GUERRE MONDIALE AU COURS DE LAQUELLE LE CAPT AVN BOTTERELL A ABATTU UN BALLON D'OBSERVATION ALLEMAND À PROXIMITÉ D'ARRAS, EN FRANCE.

Reproduced by the kind permission of/ reproduit avec la permission de : The Military Gallery, 821 E. Ojai Avenue, Ojai, CA, 93023- 2902. Additional photographs/autres photos : famille Botterell family

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UNE


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Par un après-midi; brumeux de 1919, le jeune Henry Botterell survolait le territoire familier de la Belgique. Il allait rendre visite à un ami. Il volait à basse altitude pour confirmer les indications de sa carte sur les panneaux routiers. Alors qu'il rentrait sa carte dans sa botte, ses yeux ont quitté l'horizon une fraction de seconde. Lorsqu'il a relevé la tête;, il allait s'écraser; contre le sommet d'une colline. Dans sa manoeuvre pour éviter; la colline, il a fauché un piquet de clôture; avec le bout de l'aile avec assez de force pour que le piquet reste accroché à l'aile. Cela signifiait qu'il aurait des explications à donner en rentrant à la base!

Henry Botterell a maintenant 101 ans. On croit qu'il est le seul pilote de chasse de la Grande Guerre encore vivant.

par le maj Mike Minnich

Dans son fauteuil roulant à la cafét;éria; ensoleillée; de l'aile pour anciens combattants Georges-Hees du

Sunnybrook Medical Centre de Toronto, Henry Botterell est alerte et él;égant.; Il porte un blazer bleu et une cravate de soie rayée; aux couleurs de la Royal Air Force (RAF) ornée; de feuilles d'érable; dorées.; Si les années; ont estompé certains souvenirs, elles en ont laissés; d'autres intacts.

C'est en 1916 que M. Botterell, natif d'Ottawa, s'enrôle; dans le Royal Naval Air Service (RNAS) et s'embarque vers l'Angleterre pour son entraînement; de pilote. À son deuxième; vol avec le 8e Escadron en France, un accident résultant; d'une panne moteur survient, signifiant pour lui une convalescence de plusieurs mois dans les îles; Britanniques. Décid;é à combattre, il rallie une autre base d'entraînement.; En mai 1918, désormais; membre de la RAF (résultat; de la fusion du RNAS et du Royal Flying Corps), il retourne voler en France au sein du 208e Escadron.

Pendant six mois et demi, aux commandes du cél;èbre;  
Sopwith Camel, il a participé à des dizaines de patrouilles offensives et d'attaques au sol. « Nos patrouilles ne pouvaient guère; durer plus de deux heures et bien des vols ont ét;é plus courts que ça.; Notre réserve; maximale de carburant équivalait; à environ deux heures et demie, en autant, bien sûr;, que le réservoir; ou que la conduite de carburant ne soient pas criblés; de balles, ajoute-t-il en souriant. Ça; m'est arrivé souvent, et c'est tout juste si je pouvais atteindre un terrain allié en utilisant l'alimentation par gravité pour que le moteur continue de tourner. »

La confirmation des victoires était; incertaine à l'époque;, car plusieurs pilotes qu'on disait « abattus » ou « ayant perdu le contrôle; » s'en étaient; tirés; en effectuant une vrille. Le 29 août; 1918, cependant, Henry Botterell est certain d'avoir abattu un appareil ennemi. L'inscription « tiré 400 balles dans un ballon (allemand d'observation) au-dessus de Brayelle » figure à son journal. « Vu observateur en parachute. Observé tir. Ballon dégonfl;é et tombé.; Lâch;é quatre bombes sur Vitry. »

Illustrant l'esprit sportif qui, souvent, caractérisait; les échanges; avec le camp opposé, M. Botterell dit avoir volé autour de l'observateur allemand qui descendait en parachute et l'avoir salué de la main avant de retourner derrière; les lignes alliées.;

En plus de ses nombreux souvenirs, de ses journaux de bord et de quelques pièces; d'uniforme, il y a un autre objet qu'Henry Botterell a rapporté de la Première; Guerre mondiale : l'hélice; de trois mètres; du dernier Sopwith Snipe qu'il a piloté au printemps 1919.

« Il a fallu la couper en trois pour l'expédier;, mais mon mécanicien; a réussi; à percer des trous et à fabriquer des goujons pour la remonter plus tard, en renforçant; les joints à l'aide de bandes de métal;, raconte-t-il. C'étaient; de belles hélices; en noyer plaqué d'acajou du Honduras. »

Maintenant installée; dans le bureau du fils de  
M. Botterell, cette hélice; est le genre de souvenir qui fait rêver; les mordus de l'aviation : « Si seulement elle pouvait parler! » Pour Henry Botterell, cette hélice; le peut. Le maj Minnich vit à Toronto, où il est officier supérieur; des affaires publiques à la Réserve; aérienne.;

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before heading back across the Allied lines.

Today, in addition to a mixed bag of memories, his logbooks, and some articles of uniform, there's one other fascinating souvenir that Henry Botterell brought back from World War One - the actual three-metre-long propeller from the last Sopwith Snipe he flew in the spring of 1919.

"We had to cut it in three pieces so it could be shipped, but my mechanic was able to drill holes and fit dowels so it could be reassembled later, reinforced with metal bands over the seams," he explained. "Those were nice props, made of Honduras mahogany and walnut, laminated together."

Now displayed in his son's office, the propeller is the kind of memento that an aviation buff would view in a museum and think, 'If only it could talk!' The difference with this item is that, thanks to Henry Botterell, it can. Maj Mike Minnich is the senior public affairs officer for the Air Reserve and lives in Toronto.

Rédactrice; de la

Force aérienne;

Kristina Davis (819) 776-2814

Vol. 1, No. 9 1998



By/par LCol Mark Matheson

Partnership for peace


With Soviet and American jets streaking over- head and helicopters hovering in the distance, it could be a return to the Persian Gulf, Bosnia or some other international hot spot. But it is Cooperative Chance 98, a combined NATOPartnership for Peace (PFP) exercise held in Slovakia, July 5 to 10. Realism was the aim throughout the latest in a series of exercises to further co-operation and understanding between the air forces of NATO and partner nations.

Staged from Zvolen in central Slovakia, Cooperative Chance 98 included a Command Post Exercise (CPX), involving a variety of flying operations, and a separate Live Flying Exercise (LIVEX) which focussed on air defence.

Eight NATO nations and 12 PFP countries, including Austria and the Ukraine, contributed air forces. Canadian participation included eight members of the CPX air staff, as well as exercise directors stationed at Allied Air Forces Central Europe Headquarters (AIRCENT HQ) in Ramstein, Germany, and crew members aboard a Geilenkirchen-based NATO E-3A AWACs aircraft.

Co-operation was key as participants real- ized that the crews they trained with today could be the same ones they fly and fight with tomorrow.

In addition to monitoring a fictitious zone of separation, conducting air demonstrations and enforcing a "no-fly" zone, humanitarian relief played a major role. As Captain Peter Scales, an intelligence officer from 8 Wing Trenton, said, "the partners were very keen to learn how NATO nations conduct humanitarian operations."

With the airlift of relief supplies, search and rescue (SAR) and medical evacuations all figuring prominently, the Canadians were on familiar territory. "This relates directly to what we do in reality," said Capt Paul Blouin, a transport/SAR pilot at 1 Canadian Air Division who worked in the exercise's Airlift Co-ordination Centre.

The Slovak hosts sponsored several social events. Most memorable was International Night, which, with the Europeans caught up in World Cup fever, seemed much like the Olympics.

"I worked closely with a Czech officer throughout the exercise - we even shared a room! Only 10 years ago we were face to face across the Iron Curtain - today, we're partners for peace," said Capt Scales. LCol Mark Matheson is A4 Log Ops at 1 CAD/CANR in Winnipeg.

MULTINATIONAL NIGHT WAS HELD ON THE FIRST EVENING OF THE EXERCISE AND FEATURED NATIONAL FOODS AND DRINKS FROM EACH OF THE 20 PARTICIPATING COUNTRIES. TEAM CANADA INTRODUCED OUR ALLIES AND PARTNERS TO MAPLE SUGAR AND WAS VERY LIBERAL IN SUPPLYING CANADIAN SOUVENIRS. MAPLE LEAVES SOON SPROUTED EVERYWHERE!

MCPL GAGNÉ, A CANADIAN GROUND CREW BASED IN GEILENKIRCHEN, GERMANY, AND A SLOVAK COUNTERPART REFUEL AN E-3A AWACS AIRCRAFT PARTICIPATING IN THE EXERCISE.

CAPT PETER SCALES, AN INTELLIGENCE OFFICER FROM 8 WING TRENTON, WORKS ALONGSIDE LT RENÉ LANGER, A CZECH COUNTERPART, DURING EXERCISE COOPERATIVE CHANCE 98.

Image: LE CPLC GAGNÉ, MEMBRE DE L'ÉQUIPE; CANADIENNE AU SOL À GEILENKIRCHEN (ALLEMAGNE), ET UN HOMOLOGUE SLOVAQUE RAVITAILLENT UN AWAC E-3A QUI PARTICIPE À L'EXERCICE.Photo: 1st SM Benoit Roosen, AIRCENT
Image: Photo: Capt Dany Laferrière;
Image: LE CAPT PETER SCALES, OFFICIER DU RENSEIGNEMENT À LA 8 ESCADRE TRENTON, TRAVAILLE DE CONCERT AVEC LE LT RENÉ LANGER, SON HOMOLOGUE TCHÈQUE;, PENDANT L'EXERCICE COOPERATIVE CHANCE 98.Photo: Capt  
Dany Laferrière;

On se croirait ramené dans le golfe Persique, en Bosnie ou dans un autre des points chauds de la planète; : des chasseurs soviétiques; et américains; sillonnent le ciel, les hélicopt;ères; bourdonnent au loin. En réalit;é, il s'agit de Cooperative Chance 98, un exercice interarmées; de l'OTAN et de Partenariat pour la paix (PPP) tenu en Slovaquie du 5 au 10 juillet. Le dernier d'une série; d'exercices visant à promouvoir la coopération; et la compréhension; entre les forces aériennes; de l'OTAN et les nations partenaires se voulait réaliste.;

Organisé depuis Zvolen, au centre de la Slovaquie, Cooperative Chance 98 constituait un exercice d'état-major; comportant diverses opérations; aériennes; et un exercice axé sur la défense; aérienne; auquel participaient des unités; et des forces aériennes; réelles.;

Huit pays membres de l'OTAN et 12 nations PPP, dont l'Autriche et l'Ukraine, y ont envoyé des forces aériennes.; Le Canada a fourni huit membres de l'état-major; aérien; de l'exercice ainsi que des directeurs d'exercice basés; au QG des Forces aériennes; alliées; du Centre Europe à Ramstein (Allemagne) et des membres d'équipage; de l'aéronef; AWAC E-3A de l'OTAN, basé à Geilenkirchen.

La coopération; était; essentielle afin que les participants prennent conscience qu'ils combattront peut-être; un jour avec les équipages; qu'ils côtoient; aujourd'hui à l'entraînement.;

Outre la surveillance d'une zone de séparation; fictive, les démonstrations; aériennes; et l'interdiction de vol, un volet d'aide humanitaire jouait un rôle; important dans l'exercice. Comme l'a déclar;é le capt Peter Scales, officier du renseignement de la 8e Escadre Trenton, « les partenaires étaient; emballés; d'apprendre les méthodes; de l'OTAN en matière; d'aide humanitaire. »

Les opérations; d'aérotransport;, d'aide humanitaire, de recherche et sauvetage et les évacuations; médicales; figurant toutes au programme, les Canadiens étaient; en terrain familier. « Cela ressemble beaucoup à ce que nous faisons au quotidien », a souligné le capt Paul Blouin, pilote de la 1re Division aérienne; du Canada, affecté au centre de coordination de l'exercice d'aérotransport.;

Les hôtes; slovaques ont parrainé plusieurs activités; sociales, notamment une soirée; inter- nationale qui rappelait les Olympiques, les Européens; étant; piqués; par la mouche du soccer pendant la Coupe du monde.

« J'ai collaboré étroitement; avec un officier tchèque; pendant tout l'exercice - nous partagions même; une chambre! Il y a à peine dix ans, nous étions; chacun d'un côt;é du rideau de fer; aujourd'hui, nous sommes partenaires pour la paix », a conclu le capt Scales. Le lcol Mark Matheson est A4 Opérations; logistiques à la 1 DAC/CANR à Winnipeg.

LA SOIRÉE; MULTINATIONALE A EU LIEU LE PREMIER JOUR; ON Y A SERVI DES METS ET DES BOISSONS DES 20 PAYS PARTICIPANTS. L'ÉQUIPE; DU CANADA A FAIT DÉCOUVRIR; LE SUCRE D'ÉRABLE; À NOS ALLIÉS; ET PARTENAIRES ET ELLE A DISTRIBUÉ DES SOUVENIRS DU CANADA. EN UN RIEN DE TEMPS, IL Y AVAIT DES FEUILLES D'ÉRABLE; PARTOUT!

Partenaires pour la paix


The Maple Leaf / La Feuille d'érable;



Nuts cause accident


Attention aux écrous;


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Too much torque was applied to six nuts on a Labrador's electrical generator, forcing the crew to abandon the helicopter in mid-flight, a newly released military report concluded. The report, signed by Lieutenant-General David Kinsman, the Chief of the Air Staff, also cautioned that shrinking staff in the CF could mean that contractors might not always be adequately monitored.

The Lab's six crew members escaped unharmed in a life raft after the January 16, 1997 accident off the Coast of British Columbia in the Strait of Georgia. The pilot had to ditch the Lab more than five kilometres from shore after smoke filled the cabin and cockpit, which the report blamed on six nuts being fastened too tightly. The Lab required $2 million of repairs because of the corrosion caused by the salt water. The repairs were done over a six-month period.

The report said that Spar Aviation Services of Toronto, the civilian contractor who worked on the generator, "did not have the correct type of torque wrench for the job. This placed an inordinate reliance on the technicians' ability to judge the applied torque." The report also concluded that "the contractor did not employ an adequate system of independent checks."

Spokespersons for the company said the problem has since been corrected. With files from The Vancouver Sun.

Six écrous; trop serrés; sur la gén;ératrice; d'un Labrador ont forcé l'équipage; à abandonner l'hélicopt;ère; en plein vol. C'est ce qu'a rév;èl;é le rapport militaire que vient de publier le lgén; David Kinsman, chef d'état-major; de la Force aérienne.; Les auteurs de ce rapport lancent aussi un cri d'alarme : les entrepreneurs engagés; en raison de la réduction; de l'effectif des FC ne sont peut-être; pas toujours adéquatement; surveillés.;

Grâce; à leur radeau de sauvetage, les six membres d'équipage; du Labrador se sont tirés; indemnes de l'incident survenu le 16 janvier 1997 dans le détroit; de Georgia, en Colombie-Britannique. La fumée; a envahi la cabine et le cockpit. Le pilote a dû amerrir d'urgence à plus de 5 km des côtes.; Six écrous; trop serrés; seraient à l'origine du problème.; Le Labrador corrodé par l'eau salée; a nécessit;é des réparations; de 2 millions de dollars qui ont duré six mois.

D'après; le rapport, les services aéronautiques; de Spar de Toronto, entreprise civile qui avait effectué des travaux sur la gén;ératrice;, « n'avait pas le type de clé dynamométrique; qui convenait au travail. Les techniciens ont donc dû estimer le couple appliqué.; » Les auteurs du rapport concluent en outre que l'entrepreneur n'a pas eu recours à un système; adéquat; de vérifications; indépendantes.;

Selon les porte-parole de l'entreprise, le problème; est maintenant corrigé.; D'après; un article du Vancouver Sun.

Hollywood central


Photo: Cpl Dave Payne

A STAR IS BORN. PTE EDDY PENNER, 402 "CITY OF WINNIPEG" SQN, PRETENDS TO SERVICE AN AIRCRAFT IN A SCENE WITH THE STAR OF SHIRLEY HOLMES, CANADIAN ACTRESS MEREDITH HENDERSON. A WINNIPEG FILM PRODUCTION COMPANY MADE 17 WING HOME FOR A DAY IN JULY TO FILM A 10-MINUTE SEGMENT OF THE CHILDREN'S SERIES.

UNE ÉTOILE; EST NÉE.; LE SDT EDDY PENNER, 402 ESCADRON « CITY OF WINNIPEG », FAIT SEMBLANT D'EFFECTUER DES TRAVAUX D'ENTRETIEN SUR UN AÉRONEF; DANS UNE SCÈNE; QUI MET EN VEDETTE L'ACTRICE CANADIENNE MEREDITH HENDERSON, DE LA SÉRIE; SHIRLEY HOLMES. UNE SOCIÉT;É DE PRODUCTION CINÉMATOGRAPHIQUE; DE WINNIPEG S'EST INSTALLÉE; À LA  
17 ESCADRE UN BEAU JOUR DE JUILLET POUR FILMER UN SEGMENT DE 10 MINUTES DE LA SÉRIE; POUR ENFANTS.

Image: Photo: Debra Brash, CP/PC

By Kristina Davis

Armed with nothing but a magnifying glass, amateur sleuth Shirley Holmes tried to sneak aboard a Dash-8 bound for Rwanda at 17 Wing Winnipeg. What's a 12-year-old doing sneaking around a military base? Well...her job. Shirley Holmes, a character in the YTV television show The Adventures of Shirley Holmes, was on location at 17 Wing in late July filming a fall episode.

Sergeant Shelly Shane, Deputy Wing Air Traffic Control Officer, helped to co-ordi- nate the shoot as military liaison. "This is the third season that this show has been produced," she said. "It's also broadcast in Great Britain, the U.S., Germany, South Africa and the Netherlands." Episodes for the upcoming season were shot in locations across Winnipeg by the Canadian production company Credo Entertainment.

Sgt Shane says the crew and cast of about 70 people had tonnes of equipment, including semi-trailers, sound and lighting trucks, generators and vehicles for wardrobe and accessories.

And while Sgt Shane played a behind- the-scenes role, three military personnel actually got in front of the camera. Corporals Rick Burke and Carlos Bettoni, from 1 Air Movements Squadron, and Private Eddy Penner, from 402 Squadron, were all immortalized on film.

"When we provide personnel," explained Sgt Shane, "we cannot provide them to stand in for actors. But if certain equipment is used, military personnel must operate it." This was the case with the two corporals. One drove a forklift, the other a mule. Pte Penner pretended to wash the windshield of an air plane as a servicing technician.

Sgt Shane is not a stranger to show business. "This is the second time I've been involved in a production of this type," she said. Sgt Shane was also involved when scenes for The Avrow Arrow were shot at the base.

Silence, on tourne


par Kristina Davis

À la 17e Escadre Winnipeg, la détective; amateur Shirley Holmes, munie d'une simple loupe, se glisse à bord d'un Dash-8 à destination du Rwanda. Que fait une enfant de 12 ans sur une base militaire? Eh bien...son travail. À la fin juillet, Shirley Holmes, personnage de l'émission; de YTV The Adventures of Shirley Holmes, était; à la 17e Escadre pour tourner un épisode; qui sera diffusé cet automne.

Le sgt Shelly Shane, adjointe à l'officier du contrôle; de la circulation aérienne; de l'escadre, a collaboré à la coordination du tournage à titre d'agent de liaison militaire.

« Cette émission; entame sa troisième; saison. Outre au Canada, elle est aussi diffusée; en Grande-Bretagne, aux États-; Unis, en Allemagne, en Afrique du Sud et aux Pays-Bas. » La sociét;é de production canadienne Credo Entertainment a filmé les épisodes; de la saison qui commence dans divers secteurs de Winnipeg.

L'équipe; de tournage et les membres de la distribution, environ 70 personnes, avaient apporté des tonnes d'équipement; : semi-remorques, camions de matériel; de son et d'éclairage;, gén;ératrices; et véhicules; de garde-robes et d'accessoires.

Alors que le sgt Shane s'activait dans les coulisses, trois militaires se pavanaient devant les caméras.; Les cpl Rick Burke et Carlos Bettoni, du 1er Escadron des mouvements aériens;, et le sdt Eddy Penner, du 402e Escadron, ont ét;é immortalisés; sur la pellicule.

« Nous ne pouvons pas fournir d'acteurs, explique le sgt Shane. Mais quand de l'équipement; est utilisé, le personnel militaire doit être; aux commandes. » C'est ainsi que les deux caporaux ont conduit un chariot él;évateur; et un tracteur de piste. Pour sa part, le sdt Penner jouait les techniciens d'entretien et lavait le pare- brise d'un aéronef.;

Le sgt Shane n'en est pas à sa première; expérience; cinématographique.; « C'est la seconde fois que je participe à une production de ce genre. » Elle a également; collaboré au tournage de certaines scènes; du film The Avrow Arrow à la base.

CREW MEMBERS FROM CFB COMOX ARE TAKEN TO SAFETY IN A LIFE RAFT AFTER DITCHING THEIR LABRADOR IN THE WATER BELOW CAMPBELL RIVER, B.C., JANUARY 16, 1997.

DES MEMBRES D'ÉQUIPAGE; DE LA BASE COMOX SONT RAMENÉS; EN RADEAU APRÈS; L'AMERRISSAGE DE LEUR LABRADOR AU SUD DE CAMPBELL RIVER (C.-B.), LE 16 JANVIER 1997.

CF-18 stars in  
Hungarian air show


Le CF-18 émerveille; en Hongrie


KECSKEMET, Hungary - Canadian air force personnel got a taste of fame when they were mobbed by aviation fans at an air show in Hungary, August 23 and  
24. The two pilots and four technicians, stationed in Aviano, Italy since June 22, signed autographs on CF-18 posters as Canada's representatives at the air show. "It has been great exposure for the CF-18. There are a lot of people asking about it because Hungary is considering the purchase of the F-18 in the modernization of its air force," said Colonel Jim Donihee, a CF-18 pilot and Commander of 4 Wing Cold Lake. The final day of the air show, which marked the 60th anniversary of Hungary's air force, attracted a crowd of 150,000.

KECSKEMÉT; (Hongrie) - Quelques membres de la Force aérienne; du Canada ont connu la gloire les 23 et 24 août; quand des mordus de l'aviation les ont assiég;és; lors d'un spectacle aérien; tenu en Hongrie. En leur qualité de représentants; du Canada, deux pilotes et quatre techniciens affectés; à Aviano (Italie) depuis le 22 juin ont autographié des affiches du CF-18. D'après; le col  
Jim Donihee, pilote de CF-18 et  
commandant de la 4e Escadre Cold  
Lake, il s'agissait d'une excellente occasion de mettre le CF-18 en  
valeur, car beaucoup de gens voulaient en savoir plus long sur  
l'appareil. La Hongrie, dans un effort de modernisation de son avia  
tion, se propose d'acquérir; des F-18. La clôture; du spectacle aérien;, qui marquait le 60e anniversaire de  
l'aviation hongroise, a attiré 150 000  
personnes.

Image: Photo: Cpl Marc Gauvin

Vol. 1, No. 9 1998


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