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Maple Leaf - la Feuille d'érable

Maple Leaf, 10 August 2005, Vol. 8, No. 28
La Feuille d'érable, le 10 août 2005, vol. 8 no 28

Army / Armée

Page 8

Collective training evolves with Army Transformation

By Maj Richard Martin

KINGSTON, Ont.—With the acceleration of Army Transformation, many soldiers may be wondering how the Army will conduct collective training after the regeneration period ends in February 2006.

How often will they train? Where will they train? What is the Army doing to better prepare them for the complex contemporary operating environment?

The main driver of collective training in the future will be the Army’s new Managed Readiness System (MRS). The MRS will provide structure and predictability for all activities within the Army.

The three-year cycle: Land Force units and sub-units will be assigned to task forces on a rotating three-year cycle.A typical task force’s 36-month cycle will start after redeployment from an operational mission.

Reconstitution phase: Task force elements will be given sufficient time to recover and regenerate their basic capabilities. A key objective during this 12-month period will be the requirement to conduct individual and low-level collective training to regenerate basic skills.

Reserve and support phase:This period will be primarily focussed on supporting overall Army objectives and activities. It will last between 6 and 12 months. Task force elements will conduct continuation training or be tasked in support of the training system.This latter requirement will take on increased importance as the CF expansion program goes into full swing next year. Some units may also have to provide elements at short notice for specific operational contingencies such as non-combatant evacuation operations.

Training phase: The task force will form at least 12 months before it is set to enter high readiness. It will receive the latest equipment upgrades to allow soldiers and teams to train on the same equipment as on operations. The task force will also be topped up in personnel, and turnover will be kept to a minimum until the end of its high readiness period or deployment.This is also the period when augmentation by Army Reserve personnel and organizations will begin.

Once soldiers are familiar with their new kit and any other organizational or doctrinal changes, the task force’s sub-units will focus exclusively on collective training. This could start as early as 9 or 10 months before the unit is scheduled to be in high readiness.This collective training will most likely occur in home garrisons. Major investment in urban operation training facilities is also going to occur on all bases so that soldiers can practise individual and section-level urban operations skills and tactics.

Canadian Manoeuvre Training Centre: Towards the end of the preliminary training phase, a refresher of all-arms tactics and procedures will occur to help prepare the task force for training at the Canadian Manoeuvre Training Centre (CMTC) in Wainwright, Alta. The task force will also conduct some form of combined arms dry training in its home garrison. Once all of this is completed, the task force will “graduate” to CMTC for its final pre-deployment training.

Training at CMTC will be tactically challenging and physically demanding. Scenarios will be based on a realistic appraisal of the task force’s most likely missions and tasks, but the focus will remain on combat operations in failed and failing states. As part of that focus, combined arms teams will be put through their paces in challenging live-fire training.

Following the live-fire training the task force will conduct force-on-force training using simulators. All tactical engagements will use high-performance Weapons Effect System (WES) suites for force-on-force training against a tough opposing force.

It is also expected that a Brigade Training Event (BTE) will be conducted at CMTC on an annual basis using some of the state-ofthe- art facilities it offers.The BTE may also incorporate one or more task forces, either as part of a CMTC serial, or with elements brought in from lower readiness units.

For more on this story, visit www.army.gc.ca.

Maj Martin is a training analyst with the Directorate of Army Training.

L’instruction collective évolue au rythme de la transformation de l’Armée

par le Maj Richard Martin

KINGSTON (Ont.) — Compte tenu de l’accélération de la transformation de l’Armée, bon nombre de soldats se demandent maintenant comment celle-ci donnera l’instruction collective après la fin de la période de régénération en février 2006.

À quelle fréquence s’entraînera-t-on? Où s’entraînera-t-on? Que fait l’Armée pour mieux préparer les militaires au contexte d’opération contemporain complexe?

Le principal moteur de l’instruction collective de l’avenir sera le nouveau système de disponibilité opérationnelle gérée (SDOG) de l’Armée. Le SDOG fournira la structure et assurera la prévisibilité de toutes les activités au sein de l’Armée.

Le cycle triennal : Les unités et sous-unités de la Force terrestre seront affectées à des forces opérationnelles à l’intérieur d’un cycle triennal de rotation. En général, le cycle de 36 mois d’une force opérationnelle commencera après le redéploiement découlant d’une mission opérationnelle.

L’étape de reconstitution : Les membres de la force opérationnelle disposeront de suffisamment de temps pour récupérer et régénérer leurs capacités de base. L’un des objectifs clés de cette période de 12 mois est l’exigence de procéder à l’instruction individuelle et à l’instruction collective élémentaire afin de régénérer les compétences de base.

La Réserve et l’étape de soutien : Cette période vise principalement à soutenir les activités et les objectifs globaux de l’Armée. Elle dure de 6 à 12 mois. Les membres de la force opérationnelle seront à l’entraînement au maintien des compétences ou affectés à l’appui du système d’instruction. Cette dernière exigence revêtira une importance accrue l’an prochain, lorsque le programme d’expansion des FC fonctionnera à plein régime. Certaines unités pourraient aussi avoir à fournir du personnel à bref délai en cas d’urgences opérationnelles spécifiques, comme les opérations d’évacuation des non-combattants.

L’étape d’entraînement : Une force opérationnelle sera constituée au moins 12 mois avant d’atteindre la disponibilité opérationnelle élevée. Elle recevra les dernières mises à jour en matière d’équipement afin que les soldats et les équipes puissent s’entraîner avec le même matériel dont ils disposeront pendant les opérations. La force opérationnelle accueillera du personnel supplémentaire et le roulement sera maintenu au minimum jusqu’à la fin de la période de disponibilité opérationnelle élevée ou du déploiement. C’est aussi durant cette période que commencera l’arrivée des renforts provenant du personnel et des organisations de la Réserve de l’Armée.

Une fois que les soldats sont familiers avec leur nouvel équipement et les changements aux niveaux de l’organisation ou de la doctrine, les sous-unités de la force opérationnelle se concentreront exclusivement sur l’instruction collective. Cela pourrait commencer dès neuf ou dix mois avant que l’unité atteigne la disponibilité opérationnelle élevée. L’instruction collective se déroulera vraisemblablement dans les garnisons au pays. On procédera à un investissement majeur dans les installations d’entraînement pour les opérations en milieu urbain afin que les soldats puissent exercer les compétences et les tactiques individuelles et relatives aux opérations en zone urbaine au niveau des sections.

Le Centre canadien d’entraînement aux manœuvres : Vers la fin de l’étape préliminaire d’instruction, on donnera un recyclage sur les tactiques et les procédures toutes armes afin d’aider à préparer la force opérationnelle en vue de l’entraînement au Centre canadien d’entraînement aux manœuvres (CCEM) à Wainwright (Alb.). La force opérationnelle effectuera aussi une certaine forme d’entraînement interarmes sans munition dans sa garnison d’appartenance. Une fois toutes ces démarches achevées, la force opérationnelle passera au CCEM en vue de l’entraînement final préalable au déploiement.

L’entraînement au CCEM sera stimulant sur le plan tactique et exigeant sur le plan physique. Les scénarios reposeront sur une évaluation réaliste des missions et des tâches les plus susceptibles d’être attribuées à la force opérationnelle, mais la priorité reste sur les opérations de combat dans des États défaillants ou en déroute. S’inscrivant dans cette priorité, les équipes interarmes s’entraîneront à leur rythme grâce à des exercices difficiles de tir réel.

Après l’entraînement au tir réel, la force opérationnelle subira un entraînement force contre force au moyen de simulateurs. Tous les engagements tactiques utiliseront des suites de simulateurs des effets d’armes de haut niveau pour l’entraînement force contre force où l’opposition est rude.

On s’attend en outre à ce qu’un Exercice de brigade (EB) se tienne tous les ans au CCEM grâce aux installations à la fine pointe de la technologie qu’il offre. L’EB peut aussi intégrer au moins une force opérationnelle, que ce soit dans le cadre d’un cours du CCEM ou en compagnie de militaires provenant d’unités à un niveau inférieur de disponibilité opérationnelle.

Pour en savoir davantage à ce sujet, visitez le www.armee.gc.ca.

Le Maj Martin est analyste de l’instruction au sein de la Direction – Instruction de l’Armée de terre.

Page 9

Gun race team performs at Canadian War Museum

By Stephanie Coco-Palermo

Two teams of soldiers stand ready to race each other in Ottawa. Their task— disassemble a 1 090 kilo L5 howitzer, transport it across a 12-metre gap,reassemble it, and be the first to fire a round—in less than three minutes.

At the sound of the starter’s pistol, the soldiers swing into action as the intense competition begins with a crowd cheering them on in front of the Canadian War Museum, on a sweltering 31°C summer afternoon.

The Army Gun Race demonstration team hails from CFB Petawawa and is composed of 45 members from various trades across 2 Canadian Mechanized Brigade Group. The team recreates this military tradition at community events from Quebec to Alberta every summer (see schedule for rest of 2005 season).

“It’s great to travel to different cities and showcase canadian soldiers as amongst the best in the world,” says Army Gun Race co-ordinator Lieutenant Heather MacLeod.“We are highly trained, physically fit and professional.”

Aimed to appeal to audiences of all ages, temporary tattoos, stickers and Juno the Army mascot added to the fun for the children. “If we can reach out to the kids, then the parents will be motivated to stay and watch the performance. We are coming to your community to show you that we are no different than your neighbour or family member,“ says Master Bombardier Chesley Reid, the English master of ceremony for the event. “I love being Canadian, and I love being in the military.”

Michael Valela, 8, watched the demonstration: “It was cool, and they teach you a lot, like discipline—it makes you tough.”

2005 ARMY GUN RACE SCHEDULE
VENUE PLACE DATE
Concert at Dusk Lévis, Que. 20-21 August
ExpoCité Québec City 22-25 August
Ottawa Renegades Game Ottawa 8 September

L’équipe de course au canon s’exécute devant le Musée canadien de la guerre

par Stephanie Coco-Palermo

À Ottawa, deux équipes de soldats se tiennent prêts à s’affronter dans le cadre d’une course. La mission : désassembler un obusier L5 de 1090 kilos, le transporter sur une distance de 12 mètres, le réassembler et être la première équipe à tirer un coup de feu, tout cela en moins de trois minutes.

Au son du pistolet de départ, les soldats passent à l’action devant le Musée canadien de la guerre, sous une chaleur accablante de 31 °C et les encouragements de la foule pendant un après-midi d’été.

L’équipe de course au canon de l’Armée de terre provenant de la BFC Petawawa est composée de 45 militaires de divers groupes professionnels du 2 e Groupe-brigade mécanisé du Canada. Chaque été, l’équipe recrée cette tradition militaire dans le cadre d’activités communautaires se déroulant du Québec jusqu’en Alberta (voir le calendrier de la saison 2005).

« C’est très agréable de visiter différentes villes et de faire valoir des soldats canadiens qui sont parmi les meilleurs au monde », a affirmé le Lieutenant Heather MacLeod, coordonnatrice de la course. « Nous sommes hautement qualifiés, en bonne forme physique et professionnels. »

La course visait à plaire aux spectateurs de tous les âges. Les plus jeunes ont pu se procurer, à leur grand plaisir, des tatouages temporaires et des autocollants en plus de pouvoir rencontrer Juno, la mascotte de l’Armée de terre. « Si nous pouvons capter l’attention des enfants, alors les parents seront motivés à rester et à regarder la prestation. Nous venons dans votre collectivité afin de vous montrer que nous ne sommes pas différents de vos voisins ou des membres de votre famille », a mentionné le Bombardier-chef Chesley Reid, maître de cérémonie anglophone de l’activité. « Je suis fier d’être Canadien et je suis fier d’être militaire », a-t-il ajouté.

Michael Valela, âgé de huit ans, a regardé la démonstration : « C’était impressionnant et on apprend beaucoup, comme la discipline; ça endurcit. »

HORAIRE 2005 : LA COURSE DE CANON DE L’ARMÉE
VENUE/SITE PLACE/ENDROIT DATE
Concert au crépuscule Lévis (Qc) 20 et 21 août
ExpoCité Ville de Québec 22 au 25 août
Partie des Renegades d’Ottawa Ottawa 8 septembre
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