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Document-cadre
Chapitre 1. Introduction Chapitre 2. Cadre de gestion Chapitre 3. Aperçu des activités Chapitre 4. Cadre organisationnel Chapitre 5. Cadre de reddition des comptes et cadre hiérarchique Chapitre 6. Pouvoirs et marge de manoeuvre demandés Annexe A : Bureau du surintendant des
Faillites -- Emplacement des bureaux au Canada
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![BSF*OSB](/web/20060226103352im_/http://strategis.ic.gc.ca/epic/internet/inbsf-osb.nsf/vwimages/osb-fs.gif/$FILE/osb-fs.gif) Chapitre 1 Introduction 1.1 Historique 1.2 Objet du document-cadre 1.3 Statut d'organisme de service spécial 1.4 Nom de l'organisme
1.1 Historique
Le paragraphe 91(21) de la Loi constitutionnelle de 1867
confère au gouvernement fédéral la
compétence exclusive dans le domaine des faillites et
de l'insolvabilité. Le contrôle du processus relatif
aux faillites et à l'insolvabilité est exercé par le
surintendant des faillites en conformité avec les dispositions de
la Loi
sur la faillite et l'insolvabilité, qui définit
le rôle du gouvernement fédéral en la matière.
La Loi sur la faillite et l'insolvabilité confère
au surintendant les responsabilités suivantes : superviser
l'administration
des actifs en cas
de faillite, les réorganisations commerciales, les propositions
de consommateurs (comme solutions de rechange à la faillite) et
les mises sous séquestre; tenir à la disposition du public
un registre des procédures engagées en matière de
faillite et d'insolvabilité; enregistrer les plaintes des
créanciers, des débiteurs et des membres du public et effectuer
les investigations connexes; permettre à des syndics du secteur
privé d'administrer des actifs; établir et mettre en vigueur
des normes professionnelles sur l'administration des actifs afin de
maintenir l'intégrité du processus.
1.2 Objet du document-cadre
Le présent document-cadre, qui constitue la charte ou l'acte
constitutif du Bureau du surintendant des faillites, énonce notamment
sa mission, son mandat, son orientation et
ses objectifs stratégiques. Il fournit aussi des détails
sur les relations du Bureau du surintendant des faillites avec
Industrie Canada, qui est son ministère d'attache, et avec
d'autres organisations, ainsi que sur son cadre organisationnel et
son cadre de reddition des comptes. Enfin, il précise les
pouvoirs et la marge de manoeuvre qui sont attribués à
son premier dirigeant.
Le document-cadre sera examiné de concert avec Industrie Canada
au moins tous les trois ans.
1.3 Statut d'organisme de service spécial
Le Conseil du Trésor a autorisé le Bureau
du surintendant des faillites à devenir un organisme de
service spécial et à utiliser la période
de transition pour s'adapter à son nouveau statut. Le Bureau a bon espoir
que la responsabilisation accrue à l'égard
des résultats associée au statut d'organisme
de service spécial, en contrepartie de
certains pouvoirs et d'une certaine marge
de manoeuvre, lui permettra de créer une
culture d'entreprise distincte fortement axée sur les besoins
des clients et sur des démarches innovatrices. De plus, il ne
doute pas que ce statut lui fournira les outils nécessaires
pour accroître la qualité et l'efficacité de ses
services en matière de réglementation, malgré la
charge de travail croissante.
1.4 Nom de l'organisme
Le nom officiel de l'organisme sera « Bureau du surintendant
des faillites ». Haut de la page
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2.1 Objectif du système d'insolvabilité
L'administration de l'insolvabilité au Canada
a pour objectif de susciter la confiance des investisseurs dans le
marché canadien en offrant un système juste et efficace
destiné
à réaffecter les actifs à une utilisation productive, un
cadre
de redressement des débiteurs, un moyen de décourager la fraude
ainsi qu'un registre public des actifs. L'orientation de cette politique
gouvernementale est assurée conjointement par le Bureau du surintendant
des
faillites, les syndics licenciés du secteur privé et les
tribunaux
de faillite de tout le pays.
2.2 Mandat et mission
Le paragraphe 5(2) de la Loi sur la faillite et l'insolvabilité
donne
au surintendant des faillites le mandat de « contrôler
l'administration
des actifs et des affaires régis par la présente loi
».
Pour remplir le mandat que lui confère la
Loi, le Bureau du surintendant des faillites
a élaboré un énoncé de mission qui se
lit comme suit :
Mettre en oeuvre un programme national efficace, rentable et uniforme
qui assurera le respect de la Loi sur la faillite et
l'insolvabilité, de manière à maintenir un
solide cadre d'action et de réglementation, qui permettra
d'adapter la Loi aux conditions changeantes, et à encourager
la participation des intervenants du secteur privé pour assurer
l'efficience de l'administration des actifs.
Le Bureau du surintendant des faillites joue aussi un rôle dans
la gestion des affaires publiques en veillant à ce que tous les
intervenants du système (c'est-à-dire les syndics, les
tribunaux et lui-même) travaillent en
harmonie pour maintenir le système de
faillite et d'insolvabilité au Canada.
De plus, le Bureau du surintendant des
faillites joue un rôle important dans le
cadre des services relatifs au marché offerts par Industrie Canada,
du fait qu'il contribue
au fonctionnement efficient et efficace du marché, maintient la
confiance des investisseurs et constitue une source d'information
stratégique pour les entreprises.
2.3 Objectifs stratégiques
Pour répondre aux besoins de ses clients et, comme il lui incombe
de le faire en vertu de la Loi, pour superviser l'administration des
faillites et des actifs insolvables d'une manière conforme à ses
principes et à ses valeurs à titre d'organisme de service
spécial (voir la section 2.4), le Bureau du
surintendant des
faillites a établi les objectifs stratégiques suivants
pour les trois prochains exercices :
- Veiller à ce que le cadre d'action et de réglementation
reflète les changements
législatifs et les besoins des clients.
- Protéger l'intégrité du système de faillite
et d'insolvabilité d'une manière davantage axée sur le
client, plus rentable et plus conforme à la façon de
faire du secteur privé.
- Contribuer à la réalisation des priorités du
gouvernement et du Ministère.
- Favoriser l'instauration d'un milieu de travail reconnu par les
employés du Bureau du surintendant des faillites comme étant
similaire à ceux du secteur privé et propice à la
croissance professionnelle et personnelle, et répondant aux besoins
des employés et des clients.
- Fournir un cadre de réglementation plus efficient et plus
pertinent pour les processus et les services relatifs aux
faillites de consommateurs.
2.4 Principes directeurs et valeurs
Les valeurs et les principes suivants transparaîtront dans
toutes les activités exercées par le Bureau du
surintendant des faillites à titre d'organisme de service spécial :
- Mettre l'accent en priorité sur la réalisation
efficace du mandat que lui confère la Loi.
- Insister sur l'instauration d'un milieu qui favorise la croissance,
la motivation et le professionnalisme chez ses employés.
- Fournir des services de qualité qui répondent aux besoins
des clients, de la manière la plus rentable possible; rechercher
et utiliser de nouvelles structures de prestation (par exemple, la
commercialisation), dans la mesure où cela sera nécessaire pour
respecter ce principe.
- Fournir des services aux clients en tenant dûment compte du
recouvrement
intégral des coûts et de la juste valeur marchande.
- Fournir des services de manière professionnelle, transparente,
impartiale et équitable.
- Continuer d'exercer les activités découlant des politiques,
des lois et des règlements fédéraux actuels, et appuyer
les politiques et les priorités d'Industrie Canada et
du gouvernement.
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3.1 Champ d'activités
3.2 Produits et services
3.3 Clients, tribunaux et syndics
3.4 Fournisseurs de services du secteur privé
3.5 Financement
3.1 Champ d'activités
La mission du Bureau du surintendant des faillites s'inscrit dans le cadre
de la supervision de l'administration par le secteur privé des
faillites, des mises sous séquestre, des propositions commerciales
et des propositions de consommateurs au Canada. Ce champ d'activités
est axé sur trois grandes activités :
- Maintenir un cadre d'action et de
réglementation.
- Veiller au respect de la Loi sur la faillite
et l'insolvabilité.
- Fournir l'infrastructure administrative
requise en vertu de la Loi sur la faillite
et l'insolvabilité.
3.2 Produits et services
Actuellement, dix services sont assurés dans ce champ
d'activités.
Chacun comporte un volet relié aux trois grandes activités
mentionnées
à la section 3.1. De plus, chaque service est
assuré au
moyen d'une série d'activités liées
à l'exécution des programmes et à l'application
des lois. La majorité de ces activités, comme l'enregistrement,
l'examen de rapports déterminés et la publication de lettres de
commentaires sur l'état des encaissements et des décaissements,
sont obligatoires en vertu de la Loi sur la faillite et
l'insolvabilité.
À titre d'organisme de réglementation, le Bureau du surintendant
des faillites a aussi
la latitude, en vertu de la Loi sur la faillite
et l'insolvabilité, d'exercer d'autres activités, notamment
examiner la situation des créanciers, présider des
assemblées
de créanciers
ou intervenir dans le processus de libération. Ces
activités visent à protéger l'intégrité
du système d'insolvabilité du Canada contre les fraudes ou
les abus possibles. Les dix services offerts par le Bureau du surintendant des
faillites sont les suivants :
- Administration sommaire des faillites de consommateurs.
- Administration ordinaire des faillites de consommateurs.
- Administration sommaire des faillites commerciales.
- Administration ordinaire des faillites commerciales.
- Division I, propositions.
- Division II, proposition de consommateurs.
- Mises sous séquestre.
- Plaintes.
- Maintien de normes professionnelles.
- Service d'information (par exemple, recherche de noms).
Des services à l'appui des programmes au sein du Bureau du surintendant
des faillites sont essentiels à la prestation de ces dix services.
Les services de soutien, qui représentent environ 35 p. 100 du budget
de fonctionnement du Bureau du surintendant des
faillites, englobent le soutien informatique; le contrôle
des recettes et des comptes débiteurs; la formation
opérationnelle;
la gestion opérationnelle et la gestion des affaires; l'examen des
programmes; les normes; et la réglementation.
Le Bureau du surintendant des faillites peut créer de nouveaux
produits ou services, notamment dans le domaine de la technologie de
l'information, afin d'améliorer ses services à la
clientèle. De plus, tous les droits associés à
ces nouveaux produits ou services refléteront soit l'ensemble
des coûts liés à leur production, soit leur valeur
marchande, conformément aux lignes directrices gouvernementales.
3.3 Clients, tribunaux et syndics
3.3.1 Clients
Sous sa plus simple expression, la faillite ou l'insolvabilité
représente une rupture de la relation qui existe entre un
créancier et un débiteur. Par conséquent, les
clients du Bureau du surintendant des faillites sont :
- Les créanciers dans le cadre d'une faillite
ou d'une insolvabilité -- Les créanciers comptent sur
le cadre législatif et réglementaire, les syndics, le
Bureau du surintendant des faillites et les tribunaux pour que ceux-ci,
en remplissant leur rôle, permettent la réalisation de tous
les dividendes auxquels ils ont droit en cas de faillite ou
d'insolvabilité. Puisque ce sont les créanciers
qui assument le coût de la faillite, ils comprennent bien
que leur dividende s'en trouvera réduit si les coûts des
trois parties en cause augmentent.
- Les entreprises et les particuliers
insolvables -- Le système de faillite et
d'insolvabilité constitue pour eux un mécanisme visant à
leur
permettre soit
de réorganiser leurs affaires, soit de faire faillite de
manière juste et ordonnée. Du point du vue des
débiteurs, l'objectif de
la faillite est une cession juste et ordonnée des actifs
et la réintégration du marché en tant que membres
productifs de la société possédant des compétences
qui les aideront à éviter une nouvelle faillite. Les
débiteurs
désireux de réorganiser leurs affaires bénéficient
du cadre fourni par la Loi sur la faillite et l'insolvabilité et
des
services du Bureau du surintendant des faillites pour présenter en temps
opportun et de manière transparente une ou plusieurs propositions
aux créanciers.
- Les prêteurs, les créanciers et les investisseurs
éventuels -- Ces clients utilisent
l'information sur la faillite et l'insolvabilité pour étayer
leurs décisions en matière de prêts, de crédit
et d'investissement. Ce groupe inclut les établissements de
crédit,
les agences d'évaluation du crédit, les maisons de recherches,
les avocats, les
juricomptables, d'autres ministères, les utilisateurs de
l'information commerciale stratégique et le grand public.
3.3.2 Tribunaux
Les tribunaux relèvent des gouvernements provinciaux et
dépendent, en partie, des frais judiciaires perçus au
titre des divers services offerts en vertu de la Loi sur la faillite et
l'insolvabilité. On compte 76 registraires de cour
provinciale,
dont le rôle est aussi précisé dans la Loi sur la
faillite et l'insolvabilité.
3.3.3 Syndics
Les syndics sont des praticiens du secteur privé titulaires
d'une licence délivrée par
le surintendant des faillites les autorisant
à administrer les actifs insolvables en vertu
de la Loi sur la faillite et l'insolvabilité. Les
quelque 800 syndics actifs, qui sont représentés par
des associations professionnelles sur
de nombreuses questions de politique générale, comptent
toutefois sur le Bureau
du surintendant des faillites pour les procédés
de contrôle, de vérification et de discipline
nécessaires afin de respecter leurs normes
professionnelles à titre de syndic en vertu
de la Loi sur la faillite et l'insolvabilité.
3.3.4 Autres
Environ 43 administrateurs provinciaux nommés par le surintendant
des faillites prennent en charge les propositions de consommateurs.
De plus, les conseillers en insolvabilité doivent satisfaire aux
exigences en matière
de compétences établies par le Bureau du
surintendant des faillites.
Le Bureau peut former des alliances et des coentreprises avec le secteur
privé pour mettre en oeuvre des éléments de programme
de manière plus rentable. Il aura recours à des accords
contractuels
pour assurer le contrôle de la qualité et la prestation rapide
des services.
3.4 Fournisseurs de services
du secteur privé
Dans le passé, le Bureau du surintendant
des faillites a conclu des ententes avec des fournisseurs de
services du secteur privé pour la prestation à
ses clients des services de conférence, de formation et
d'accréditation. Un excellent exemple est l'entente récemment
conclue avec les universités afin qu'elles
fournissent des services de formation et
d'accréditation aux éventuels conseillers
pour la Loi sur la faillite et l'insolvabilité.
Comme le Bureau du surintendant des faillites s'est engagé
à améliorer la souplesse, la rentabilité et
l'accessibilité des services en cas de faillite, il conclura
des partenariats, surtout pour la prestation de services non prévus
par la Loi ou accessoires que le secteur privé est mieux en mesure
d'assurer. Ce faisant, le Bureau du surintendant des faillites
veillera toutefois à ce que ni son mandat ni son rôle
dans la gestion des affaires publiques ne soient compromis d'aucune
façon.
3.5 Financement
À l'heure actuelle, le Bureau du surintendant des faillites est
financé à la fois au moyen des crédits
gouvernementaux (c'est-à-dire par les contribuables) et
des recettes provenant des droits et des taxes qu'il prélève.
De plus, il reçoit d'Industrie Canada et d'autres ministères
des services qui ne figurent pas au budget (par exemple, sous la forme de
locaux
et d'avantages sociaux accordés aux employés).
Le Bureau du surintendant des faillites s'est engagé à
veiller à ce que ses produits et ses services génèrent
des recettes suffisantes pour couvrir la totalité des coûts
à assumer afin
de les fournir de façon rentable. À cette fin,
le Bureau étudie ses coûts, ses modes de prestation,
les droits qu'il prélève ainsi que
de nouveaux services et de nouveaux droits. De plus, il s'efforcera
d'avoir accès à un autre mode de financement
(c'est-à-dire un fonds renouvelable) afin de fournir ses services et
de mieux en gérer la prestation, et il négociera avec le
Conseil du Trésor
pour déterminer une période (par exemple, quatre ans) durant
laquelle il devra atteindre le seuil de rentabilité.
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4.1 Structure organisationnelle
4.2 Premier dirigeant
4.3 Comité de direction et autres cadres supérieurs
4.4 Employés
4.5 Comité consultatif de gestion
4.1 Structure organisationnelle
Le Bureau du surintendant des faillites, organisme de service spécial
d'Industrie Canada, se compose actuellement d'une administration centrale et
de 14 bureaux de district et sous-bureaux répartis dans tout le Canada (voir
l'annexe A pour connaître leur emplacement).
Le premier dirigeant
veille à ce que la structure organisationnelle du Bureau appuie sa
stratégie commerciale et favorise la souplesse face aux clients. Il
peut donc modifier cette structure à l'occasion, si la situation le
justifie.
4.2 Premier dirigeant
À titre d'organisme de service spécial, le Bureau du surintendant
des
faillites est sous la gouverne d'un premier dirigeant nommé « surintendant des faillites ». Celui-ci,
qui relève du
sous-ministre adjoint du Secteur des opérations d'Industrie Canada,
doit fournir une orientation stratégique à long terme,
faire en sorte que le Bureau du surintendant des faillites atteigne les
objectifs convenus et ses objectifs de rendement et rendre compte du
rendement réel par rapport aux objectifs de rendement selon le
cadre hiérarchique
précisé ci-après.
Le mandat du surintendant des faillites
ne sera modifié d'aucune façon du fait
qu'il a le statut de premier dirigeant : celui-ci continuera d'exercer les
pouvoirs qui lui sont conférés et d'exécuter les fonctions
qui lui sont assignées en conformité avec la Loi sur la
faillite et l'insolvabilité et les règles en matière
de faillite et d'insolvabilité.
4.3 Comité de direction et
autres cadres supérieurs
Le comité de direction du Bureau du surintendant des faillites sous
la présidence du
premier dirigeant, constitue l'organe de
décision supérieur de l'organisme. Ce comité est
composé de tous les cadres supérieurs du Bureau du
surintendant des faillites.
Les autres cadres supérieurs sont actuellement le surintendant
délégué, Opérations, et le surintendant
délégué, Programmes, Normes et Affaires
réglementaires.
Ils relèvent du premier dirigeant et sont chargés : de diriger et
de gérer les services opérationnels du Bureau
du surintendant des faillites; de maintenir
le cadre d'action et de réglementation en matière de
faillite; de défendre les intérêts
du Canada; d'établir une collaboration et des relations
continues aussi bien avec les clients qu'avec les intervenants;
ainsi que d'établir et de mettre à jour les politiques
opérationnelles. D'autres cadres supérieurs peuvent
être nommés par le premier dirigeant, selon les exigences
liées aux activités et aux clients.
4.4 Employés
Les employés du Bureau du surintendant des faillites conserveront
le statut de fonctionnaires et tous les droits, les avantages sociaux et
les responsabilités connexes. Les conventions collectives actuelles
demeureront en vigueur et les agents de négociation du personnel
continueront de les représenter dans toutes
les négociations avec le Conseil du Trésor. De plus, les
employés demeureront régis par la Loi sur l'emploi dans la
fonction publique, la Directive sur le réaménagement
des effectifs, la Loi sur les relations de travail dans la fonction
publique, la Loi sur la gestion des finances publiques et les
autres lois applicables.
4.5 Comité consultatif de gestion
On créera un Comité consultatif de gestion, qui fournira au
premier
dirigeant des avis
ou des conseils, dans une perspective externe s'inspirant du
secteur privé, à l'égard des
décisions relatives à la stratégie, à la gestion
et aux affaires du Bureau du surintendant
des faillites. Ce comité strictement consultatif n'exercera
aucune autorité et ne participera pas à la gestion
courante des activités du Bureau du surintendant des faillites.
Ainsi, il examinera et commentera le plan d'activités du Bureau,
son rendement par rapport à ce plan, ses coûts et ses recettes,
ainsi que son plan d'action en vue du recouvrement intégral des
coûts et ses stratégies commerciales
à long terme, et il fournira des conseils sur des
manières d'améliorer des services offerts
par le Bureau.
Le président du premier comité de transition sera nommé
par
le sous-ministre sur la recommandation du surintendant. Au moins huit
membres provenant du secteur privé
feront partie du comité de manière à établir
un équilibre entre, d'une part, les intervenants du Bureau du
surintendant des
faillites et, d'autre part, les dirigeants
d'entreprises et les universitaires.
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![BSF*OSB](/web/20060226103352im_/http://strategis.ic.gc.ca/epic/internet/inbsf-osb.nsf/vwimages/osb-fs.gif/$FILE/osb-fs.gif) Chapitre 5 Cadre de reddition des comptes et cadre hiérarchique
5.1 Responsabilités et relations
5.2 Planification et rapports
5.3 Comptabilité, évaluation et vérification
5.1 Responsabilités et relations
5.1.1 Responsabilités du ministre, du sous-ministre et
des chefs de secteur
Le ministre d'Industrie Canada rend compte au Parlement de toutes les
activités du Bureau du surintendant des faillites.
Le sous-ministre d'Industrie Canada rend compte au ministre d'Industrie Canada
de
la gestion efficace du Ministère, y compris
le Secteur des opérations et le Bureau du
surintendant des faillites.
Le sous-ministre adjoint du Secteur des opérations d'Industrie Canada,
rend compte au sous-ministre d'Industrie Canada du
rendement global du Secteur, y compris
le Bureau du surintendant des faillites.
5.1.2 Responsabilités du surintendant
et premier dirigeant
En sa qualité de surintendant des faillites, le premier dirigeant
rend compte au ministre, selon la structure hiérarchique
ministérielle, de l'exécution du mandat que confère
la Loi au Bureau du surintendant des faillites.
Le premier dirigeant est aussi chargé de la gestion
courante du Bureau du surintendant des faillites et rend compte
au sous-ministre adjoint du Secteur des opérations d'Industrie
Canada de la réalisation des objectifs stratégiques et des
objectifs de rendement convenus mutuellement et énoncés
dans le plan d'activités transitoire. De plus, le premier
dirigeant fait partie de l'équipe de gestion du Secteur
des opérations et contribue activement à la réalisation
des objectifs et des priorités du Secteur. Enfin, il doit veiller
au respect des priorités et de l'orientation du Ministère,
ainsi que des politiques gouvernementales
et ministérielles.
5.1.3 Relations avec Industrie Canada
Le Bureau du surintendant des faillites exercera ses activités
d'une manière qui
contribuera à l'élaboration de l'orientation
stratégique générale d'Industrie Canada tout
en respectant sa mission et ses objectifs. Il travaillera aussi en
étroite collaboration avec
la Direction générale de la gestion intégrée,
afin de s'assurer que la législation concernant les faillites
est pertinente et qu'elle cadre
avec les normes et les attentes canadiennes
et internationales.
En raison de l'autonomie dont jouira le Bureau du surintendant des faillites
en matière de reddition des comptes à titre
d'organisme de service spécial, le Ministère lui
accordera la souplesse nécessaire pour exécuter son
mandat avec efficience, de manière moins bureaucratique, plus
à la façon du secteur privé et axée sur
la clientèle. Ainsi,
le Bureau pourra continuer de recevoir des services généraux
d'Industrie Canada, impartir la totalité ou une partie de ces
services, ou les recréer à l'interne.
Puisque c'est le premier dirigeant qui rend compte du rendement du Bureau
du surintendant des faillites, il doit avoir droit de regard sur
les éléments clés de ses opérations
à l'échelle nationale. Même si ce droit de regard
exige que tous les employés du Bureau du surintendant des faillites,
y compris le personnel des bureaux de district, relèvent
du premier dirigeant, le Bureau établira des liens de communication
avec les directeurs régionaux d'Industrie Canada pour promouvoir
les priorités ministérielles.
Le Ministère doit respecter le principe fondamental selon
lequel les nouvelles exigences ou les exigences supplémentaires
qu'il impose au Bureau du surintendant des faillites et qui ne profitent
pas directement aux clients de ce dernier peuvent donner lieu au
prélèvement de fonds sur les crédits, car on ne peut
s'attendre à ce que les clients du Bureau
assument les coûts de services fournis
exclusivement au Ministère.
5.1.4 Relations avec les Services
généraux ministériels
Le Bureau du surintendant des faillites
examinera et évaluera les coûts et avantages liés au
recours aux services généraux d'Industrie Canada et il
négociera, lorsqu'il le jugera rentable et approprié, des
protocoles d'entente aussi bien à l'administration centrale que dans
les régions. Ces protocoles préciseront l'étendue
et les coûts des services centraux
qui seront fournis dans les domaines des ressources humaines, des
finances, de l'informatique, des locaux, des communications ainsi
que des conseils et des services en matière juridique,
stratégique ou législative. Ces services doivent
correspondre à ceux
auxquels ont actuellement accès toutes les unités
opérationnelles d'Industrie Canada.
Le Ministère continuera de faire le lien
entre le Secrétariat du Conseil du Trésor
et d'autres organismes centraux sur des
questions telles que le plan d'activités ministériel et
le Budget des dépenses principal,
les questions à la Chambre ou les problèmes éventuels.
5.1.5 Relations avec les organismes de services communs
gouvernementaux
Le Bureau du surintendant des faillites respectera toutes les
politiques gouvernementales émanant des organismes centraux, y
compris celles qui portent sur l'introduction
de nouveaux produits ou services. À l'origine, les relations de
travail ou de service entre le Bureau du surintendant des faillites (qui
reçoit les services) et les organismes de services centraux (par
exemple, le Secrétariat du Conseil du Trésor, Travaux publics
et Services gouvernementaux Canada ou la Commission de la fonction publique)
demeureront telles quelles, les services centraux d'Industrie Canada jouant
un rôle prépondérant. Cependant, à mesure que
des protocoles seront négociés avec les
services généraux d'Industrie Canada, ces relations
seront réexaminées et la démarche la plus efficace
pour le Bureau du surintendant des faillites sera négociée
et adoptée.
5.1.6 Relations avec les clients internes
Les clients internes sont définis comme étant les organisations
énumérées à l'Annexe I ou II de la Loi
sur
la gestion des finances publiques (LGFP). Ils devront payer des droits
pour les services et les produits reçus du Bureau
du surintendant des faillites (comme les copies de bases de données
ou les services de recherche de noms). Des droits seront
normalement perçus conformément à une entente
négociée ou à un protocole d'entente conclu entre
les parties, prévoyant les services à fournir, les attentes
en matière de rendement et les coûts à engager. Les droits
relatifs à ces services ne dépasseront pas les coûts
additionnels, c'est-à-dire les coûts qui ont réellement
été engagés pour les fournir et
qui ne l'auraient pas été autrement.
5.1.7 Relations avec d'autres ministères
Le Bureau du surintendant des faillites continuera de respecter les
ententes déjà conclues avec la Gendarmerie royale du
Canada, le ministère de la Justice et d'autres ministères
qui lui fournissent des services.
5.1.8 Responsabilités envers les
clients et d'autres intervenants
Le Bureau du surintendant des faillites sera tenu de fournir en temps
opportun à ses clients et à d'autres intervenants
(c'est-à-dire les tribunaux, les syndics et les administrateurs
provinciaux) des services efficients, fiables et de grande qualité,
conformément
à son mandat. En plus d'avoir recours au Comité conjoint
des faillites, au Comité
consultatif de la faillite et de l'insolvabilité et à d'autres
comités existants, le Bureau devra améliorer les communications
avec ses clients et les intervenants ainsi que les consultations menées
auprès d'eux. Il s'efforcera de faire participer ses clients aux
questions
ayant une incidence sur ses activités à titre d'organisme de
service spécial, comme l'établissement
des niveaux de service et des indicateurs de rendement. Le Bureau du
surintendant des faillites mettra sur pied un Comité consultatif de
gestion composé de clients, d'intervenants et de chefs d'entreprises. Il
offrira de manière professionnelle, transparente, juste et impartiale
des
services de qualité conformes aux normes du secteur.
5.2 Planification et rapports
5.2.1 Plan d'activités annuel
Le plan d'activités annuel indiquera les
objectifs opérationnels et les objectifs en matière de
recettes du Bureau du surintendant des faillites pour chaque exercice
financier, ainsi que les activités à exercer
pour atteindre ces objectifs et les ressources nécessaires
à cette fin. Le premier dirigeant rendra compte au sous-ministre
adjoint du Secteur des opérations de la réalisation des
objectifs énoncés dans le plan d'activités annuel
du Bureau du surintendant des
faillites, dans le contexte global que
fournit le plus récent document-cadre.
Chaque année, le plan d'activités sera soumis au sous-ministre
adjoint du Secteur des opérations d'Industrie Canada, après
étude
et conseils du Comité consultatif de gestion, et il sera
coordonné avec les exigences plus générales en
matière de planification et de rapports du Secteur et du
Ministère.
5.2.2 Rapport annuel
Le Bureau du surintendant des faillites présentera au sous-ministre
adjoint du Secteur des opérations un rapport annuel indiquant
la charge de travail, renfermant
les états financiers et de l'information sur
les indicateurs de rendement et précisant
dans quelle mesure les objectifs et les
recettes prévus ont été atteints.
5.2.3 Évaluation du rendement
Le système d'évaluation de rendement a pour objet de
fournir aux dirigeants et au personnel du Bureau du surintendant des
faillites l'information nécessaire et la rétroaction
requise pour prendre des décisions concernant les activités
du Bureau, ainsi que de rendre compte au Ministère de son rendement.
Outre l'éventail complet des indicateurs d'intrants et d'extrants
(le volume d'activités, le temps consacré aux activités,
les plaintes, les répétitions, etc.) actuellement utilisés
par
le Bureau du surintendant des faillites, des mesures de rendement et des
indicateurs
particuliers seront établis de concert avec le sous-ministre adjoint du
Secteur des opérations au cours des 12 mois qui suivront
l'approbation de statut d'organisme de service spécial. Durant
cette période, le Bureau mettra sur pied les systèmes
nécessaires pour
évaluer et surveiller le rendement au moyen des mesures et
des indicateurs déterminés. Ces mesures et les indicateurs
à établir
mettront l'accent sur les points suivants :
- Rendement financier.
- Efficience opérationnelle (coût unitaire et
productivité).
- Efficacité des programmes (c'est-à-dire la réalisation
des objectifs stratégiques).
- Services à la clientèle.
- Saine gestion organisationnelle.
Voici une première série d'indicateurs de
rendement que le Bureau du surintendant
des faillites utilisera comme point de départ pour élaborer
son système d'évaluation
du rendement :
Indicateur financier
- Écart entre les recettes et les coûts globaux.
Indicateurs d'efficience
- Coût unitaire pour le Bureau du surintendant des faillites (par
faillite).
- Charge de travail par fonctionnaire
des faillites.
Indicateurs d'efficacité
- Ampleur de la fraude dans le système.
- Rapidité de la libération des débiteurs.
- Dividendes en tant que pourcentage des actifs réalisables.
Qualité des services à la clientèle
- Qualité et uniformité des opérations du Bureau du
surintendant des faillites.
- Perception par les clients d'un service
professionnel, juste et impartial.
Indicateurs d'une saine gestion
organisationnelle
- Satisfaction et moral du personnel et
acceptation par ce dernier du changement de culture.
Chaque année, le cadre d'évaluation du
rendement sera révisé et intégré au plan
d'activités annuel.
5.2.4 Rapports financiers et comptes
Le Bureau du surintendant des faillites présentera au sous-ministre
adjoint du Secteur des opérations son rapport annuel
et les états financiers qui s'inscriront dans la contribution
du Ministère au plan d'activités d'Industrie Canada, au Budget
des dépenses principal et aux Comptes publics du Canada.
5.3 Comptabilité, évaluation et vérification
5.3.1 Comptabilité
Le Bureau du surintendant des faillites
continuera de fonctionner suivant un système intégral de
contrôle financier et de comptabilité de gestion comportant
un examen mensuel des coûts engagés en fonction des budgets,
du rendement opérationnel et des flux de
trésorerie. Le système permettra aux cadres supérieurs
de surveiller le rendement financier. Comme il se prépare en vue du
fonds renouvelable qu'il recevra en 1998-1999, le Bureau adoptera un
système comptable se prêtant à la comptabilité
d'exercice. Dans cette démarche, il cherchera d'abord à trouver
des solutions au sein du Ministère ou du gouvernement de
manière à réduire les coûts.
Le système comptable du Bureau du surintendant des faillites sera
conforme aux exigences en matière de comptabilité
imposées à l'égard d'un fonds renouvelable; il
permettra l'établissement de liens appropriés avec le
système financier ministériel et des rapprochements avec
les comptes du Ministère. En outre, il devra satisfaire aux
exigences du Ministère
en matière de vérification concernant la
sécurité, l'intégralité, le partage des
pouvoirs et l'exactitude.
5.3.2 Évaluation
Le sous-ministre adjoint du Secteur des opérations devra veiller
à
ce que le Bureau
du surintendant des faillites fasse l'objet
d'évaluations officielles périodiques. Le
rendement du Bureau sera évalué en fonction de sa capacité
d'atteindre ses objectifs (tels qu'ils sont précisés dans
le plan d'activités annuel). Il incombera au premier dirigeant
de faire en sorte que l'information nécessaire pour effectuer ces
évaluations soit recueillie
et rendue accessible. De plus, le premier dirigeant peut prendre
l'initiative d'entreprendre des évaluations en tout temps.
5.3.3 Vérification
Le Bureau du surintendant des faillites
fera l'objet de vérifications et d'examens ministériels internes,
ainsi que de vérifications de la part du Vérificateur
général. Il peut aussi faire effectuer des évaluations
par le secteur privé en cas de besoin.
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![BSF*OSB](/web/20060226103352im_/http://strategis.ic.gc.ca/epic/internet/inbsf-osb.nsf/vwimages/osb-fs.gif/$FILE/osb-fs.gif) Chapitre 6 Pouvoirs et marge de manoeuvre demandés
6.1 Industrie Canada
6.2 Conseil du Trésor
6.3 Commission de la fonction publique
6.4 Travaux publics et Services gouvernementaux Canada
Pour pouvoir fonctionner à la façon du secteur privé
à l'intérieur d'un cadre de reddition des comptes strict, le
Bureau du surintendant des faillites cherche à obtenir qu'Industrie
Canada, le Conseil du Trésor, Travaux publics et Services
gouvernementaux Canada, la Commission de la fonction publique et d'autres
organismes centraux du gouvernement lui délèguent un certain
nombre de pouvoirs et lui donnent une certaine marge de manoeuvre en
matière de gestion budgétaire, de contrôle des recettes, de
finances et de comptabilité, de ressources humaines, d'informatique et d'administration.
6.1 Industrie Canada
Le Bureau du surintendant des faillites négociera plusieurs
assouplissements en matière d'administration, de finances,
de ressources humaines et de gestion de l'information dans le contexte
d'un protocole
d'entente conclu avec Industrie Canada,
son ministère d'attache.
6.1.1 Délégation de pouvoirs
financiers
- Délégation de pouvoirs financiers au niveau
de sous-ministre adjoint.
- Article 33 de la Loi
sur la gestion des finances publiques (à
l'exception des
questions touchant la rémunération).
- Participation de plus d'une personne aux conférences et
participation d'une seule personne à l'étranger.
- Déplacements à l'étranger.
- Plus d'un membre d'une organisation
à un endroit pour lequel il n'y a aucune exigence juridique.
- Approbation des frais de réceptions officielles jusqu'à
concurrence de 5 000 $.
- Repas au siège social.
- Utilisation d'allocations de déplacement quotidiennes forfaitaires.
- Commandes pour les achats d'urgence.
- Réintégration des employés.
- Examen et administration des contrats.
- Achat de biens et services.
6.1.2 Délégation en matière de ressources humaines
Le Bureau du surintendant des faillites adoptera le document d'Industrie
Canada intitulé Délégation des pouvoirs en
matière
de ressources humaines et cherchera à obtenir que le premier
dirigeant
soit investi de certains pouvoirs d'un niveau équivalent à
celui de sous-ministre adjoint.
- Rémunération au lieu de période donnant
droit à une priorité.
- Date de classification rétroactive sur 12 mois.
- Nominations (par exemple, le recrutement à court et à long
terme et les prolongations, les déploiements).
- Nominations et affectations intérimaires.
- Ententes concernant l'échange et le détachement
d'employés.
- Établissement de paliers de grief 1, 2 et 3.
- Déclarations d'employés excédentaires à
l'égard du personnel nommé pour une période
déterminée ou indéterminée.
- Dotation impérative en personnel.
- Rémunération au-dessus du niveau
minimal pour la nomination d'employés provenant de
l'extérieur de la fonction publique.
- Congés d'études.
De plus, le Bureau du surintendant des faillites cherchera à
obtenir le pouvoir d'établir son propre programme de prix de
reconnaissance.
6.1.3 Autres délégations
- Normes et politiques en matière d'informatique pour
répondre aux besoins du Bureau du surintendant des faillites.
- Politiques relatives aux communications, aux publications et
à la publicité qui répondent aux besoins du Bureau du
surintendant des faillites.
- Améliorations à apporter aux tenures à
bail et services au locataire.
- Capacité d'établir ses propres services
centraux (par exemple, le classement, le courrier, la messagerie et le
contrôle des recettes) et d'en assurer le fonctionnement quand il
juge rentable cette façon de faire.
- Négociations distinctes avec Travaux publics et Services
gouvernementaux Canada et avec le Ministère sur les questions
relatives aux locaux et aux contrats de location pour ses bureaux
dans tout le Canada.
6.2 Conseil du Trésor
- Confirmation de l'orientation du Bureau du surintendant des faillites
axée sur l'établissement et l'exploitation d'un fonds
renouvelable.
- Confirmation de l'orientation du Bureau du surintendant des faillites
axée sur la conclusion d'une entente contractuelle avec le
secteur privé pour commercialiser les services d'information,
les services informatiques et les services relatifs aux recettes du Bureau
du surintendant des faillites.
- Pouvoir d'utiliser les frais imposés par
les tribunaux.
- Pouvoir d'utiliser les droits perçus à
même les actifs sous la tutelle du Bureau du surintendant des
faillites.
6.3 Commission de la fonction publique
- Promotion par accès à un niveau supérieur (par
exemple, au niveau PM-4) pour les employés qui suivent le Programme de
formation et de perfectionnement des fonctionnaires des faillites.
- Recrutement d'employés occasionnels pour une période
ne dépassant pas 125 jours ouvrables par an.
6.4 Travaux publics et Services gouvernementaux Canada
- Conservation ou cession de la protection du droit d'auteur à
l'égard
des documents produits par le Bureau du surintendant des faillites.
- Établissement d'offres à commandes,
prélèvements
et commandes découlant de ces offres.
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Pour obtenir des renseignements sur le Bureau
du surintendant des faillites, s'adresser au :
Bureau du surintendant des faillites 8e étage Immeuble Journal sud 365, avenue Laurier ouest OTTAWA (Ontario) K1A 0C8
Téléphone : (613) 941-1000 Télécopieur : (613) 941-2862
Vous pouvez aussi vous adresser à l'un des
bureaux régionaux mentionnés
à l'annexe A
de ce document.
© Sa Majesté la Reine du chef du Canada (Industrie Canada) 1997 No. au cat. R664-8/1997 ISBN 0-662-62784-9 51348B
Pour obtenir des exemplaires de ce document, s'addresser au :
Service de distribution Direction générale des communications Industrie Canada Bureau 205D, tour Ouest 235, rue Queen OTTAWA (Ontario) K1A 0H5
Téléphone : (613) 947-7466 Télécopieur : (613) 954-6436
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