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Présente des ressources sur la violence et les mauvais traitements, y compris l’intimidation, les relations de violence, l’agression sexuelle, l’abus sexuel, la violence familiale et la violence en milieu de travail.
Il n'existe pas de définition universelle de la violence psychologique. Comme toute forme de violence apparaissant dans le cadre d'une relation, la violence psychologique, que l'on appelle aussi parfois « cruauté mentale », est un abus de pouvoir et de contrôle. Les comportements suivants sont généralement reconnus comme des formes de violence psychologique : rejeter la personne ; dégrader la personne ; terroriser la personne ; isoler la personne ; corrompre ou exploiter la personne ; et priver la personne de chaleur humaine.
Source: Agence de santé publique du Canada
Offre un bref aperçu des enjeux reliés à la violence et aux abus dans divers contextes (famille, enfants, personnes âgées, femmes, etc.) avec des liens vers le site Web du Centre national d'information sur la violence dans la famille (Agence de santé publique du Canada) et vers des sites de ressources pour la prévention et la protection et vers d'autres sites Web connexes.
Source: Santé Canada
Un site Web complet visant à fournir des renseignements utiles aux parents, aux enseignants, aux intervenants jeunesse et au jeunes Canadiens en vue de contribuer à protéger les enfants et les ados contre l’exploitation sexuelle sur Internet.
Source: Industrie Canada
Il peut être difficile pour une personne qui ne pratique pas l'automutilation de comprendre ce qui pousse quelqu'un à s'infliger des blessures volontairement. L'automutilation est un terme très large qui désigne des actes commis délibérément dans le but de se blesser. On parle également de blessures volontaires ou de sévices auto-infligés.
Source: Réseau canadien de la santé
De nos jours, les communiqués de presse ayant trait à la maladie mentale ont tendance à insister sur le fait qu'un soi-disant lien existe entre la violence et la maladie mentale. Pourtant, la majorité des gens qui sont violents ne sont pas atteints de maladies mentales. En fait, les gens atteints d'une maladie mentale sont plus susceptibles d'être la victime d'un acte de violence que de le commettre.
Source: Association canadienne pour la santé mentale
Les jeunes apprennent à vivre leurs émotions de manières différentes. Les larmes, la colère, la dépression et le repli sur soi sont certaines des façons qu'ils utilisent pour composer avec les émotions accablantes et trouver une certaine forme de soulagement. L'automutilation, également appelée blessures volontaires ou sévices auto-infligés, fait référence aux actes délibérés qui entraînent des blessures au corps et à l'esprit d'une personne.
Source: Association canadienne pour la santé mentale
Les nouvelles technologies entraînent de nouveaux risques de harcèlement, d'intimidation ou d'exposition à des prédateurs sexuels.
Source: Réseau canadien de la santé
Ce feuillet décrit brièvement le problème de la violence chez les jeunes au Canada. On parlera ici de la violence perpétrée par des jeunes ou contre des jeunes, en s'attardant aux causes et aux effets.
Source: Agence de santé publique du Canada
Les personnes soignantes, les fournisseurs de soins de santé et les groupes de défense des malades se posent de plus en plus de questions sur la nature exacte du lien entre la maladie mentale et la violence. Cet examen critique de la littérature a été entrepris dans le but d'aider à faire la lumière sur cette question.
Source: Agence de santé publique du Canada
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