Des perspectives …
une vision
Rapport annuel 2001
PROFESSIONNALISME
INTÉGRITÉ
INDÉPENDANCE
Est constituée la Commission d’examen des plaintes
concernant la police militaire . . . .
Loi sur la défense nationale, article 250.1(1)
MISSION
Promouvoir les principes d’intégrité, d’équité ainsi qu’un climat de
confiance auprès du personnel du ministère de la Défense nationale,
des membres des Forces canadiennes et du public canadien à l’égard
de la police militaire.
VISION
Promouvoir des normes déontologiques les plus élevées pour les
policiers militaires dans l’exercice de leurs fonctions policières et
dissuader toute ingérence dans les enquêtes de la police militaire.
VALEURS
- Éthique et professionnalisme
- Intégrité et transparence
- Indépendance
- Respect de l’individu
- Communications ouvertes et efficaces
C H A I R P E R S O N / P R É S I D E N T E
Le 31 mars 2002
L’honorable Art Eggleton, C.P., député
Ministre de la Défense nationale
Quartier général de la Défense nationale
Édifice mgén Georges R. Pearkes
Ottawa (Ontario) K1A 0K2
Monsieur le Ministre,
Conformément aux dispositions de l’article 250.17(1) de la Loi sur la défense nationale, j’ai
l’honneur de vous présenter le rapport d’activité de la Commission d’examen des plaintes
concernant la police militaire pour l’année 2001, en vue de sa présentation au Parlement.
Je vous prie d’agréer, Monsieur le Ministre, l’expression de ma plus haute considération.
La présidente,
Louise Cobetto
L’HISTORIQUE DES ARMOIRIES
Dans les années qui ont suivi la Confédération, le Canada n’avait pas
ses propres armoiries. Pendant de nombreuses années, les armoiries
royales du Royaume-Uni ont servi à identifier les propriétés du
gouvernement du Canada. On a approuvé par voie de mandat royal
un modèle de Grand Sceau en 1868, mais ce dernier n’a jamais
servi comme tel.
Le modèle original montrait les armes des quatre membres
de la nouvelle Confédération : l’Ontario, le Québec, la NouvelleÉcosse
et le Nouveau-Brunswick. Le Grand Sceau a été adopté
sommairement comme armoiries du Canada. Ce modèle, toutefois,
ne reflétait pas la croissance du pays. Avec l’entrée d’autres
provinces dans la Confédération, on a tenté d’adapter le Sceau en
ajoutant les armes de ces nouvelles provinces, mais il en est résulté
un modèle surchargé et confus. C’est pourquoi le gouvernement
canadien a demandé au souverain de lui attribuer des armoiries.
Cette demande a été approuvée et, le 21 novembre 1921, le Canada
recevait ses armoiries par voie d’une déclaration de Sa Majesté le
roi Georges V. Le dessin original des armoiries ressemblait à celui
de la version actuelle. On l’a modifié une dernière fois en 1994,
sur l’avis du Premier ministre Pierre Trudeau et à la suite de
l’approbation de Sa majesté la reine Élizabeth II, alors qu’on ajoutait
la devise de l’Ordre du Canada autour de l’écu.
TABLE DES MATIÈRES
MESSAGE DE LA PRÉSIDENTE
PARTIE I : LE PROCESSUS DE PLAINTE
PARTIE II : LES OPÉRATIONS
CONCLUSION
ANNEXE A :
ANNEXE B :
ANNEXE C :
ANNEXE D :
ANNEXE E :
ANNEXE F :
ANNEXE G :
ANNEXE H :
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LA COURONNE IMPÉRIALE, LE CIMIER ET L’HEAUME
LA COURONNE IMPÉRIALE SURMONTE LES ARMOIRIES ET INDIQUE LA PRÉSENCE
D’UN SOUVERAIN COMME CHEF D’ÉTAT DU CANADA. CETTE COURONNE
APPARTENAIT À SAINT ÉDOUARD; C’EST CELLE-CI QUI EST UTILISÉE LORS DU
COURONNEMENT DES ROIS ET REINES À L’ABBAYE DE WESTMINSTER DEPUIS
DES SIÈCLES.
LE CASQUE ROYAL EST SURMONTÉ DU CIMIER FORMÉ D’UN TORTIL OU
BOURRELET EN TORSADE, DE SOIE BLANCHE ET ROUGE SUR LEQUEL SE TIENT
UN LION D’OR COURONNÉ ET TENANT DANS SA PATTE DROITE UNE FEUILLE
D’ÉRABLE ROUGE. LE LION EST UN SYMBOLE DE BRAVOURE ET DE COURAGE.
LE CIMIER EST LE SYMBOLE DE LA SOUVERAINETÉ DU CANADA.
L’HEAUME OU LE CASQUE EST NORMALEMENT PLACÉ AU-DESSUS DE L’ÉCU
DES ARMOIRIES. IL INDIQUE LE RANG DES PERSONNES POSSÉDANT LES
ARMOIRIES. SUR LE CASQUE SONT DRAPÉS DES LAMBREQUINS BLANCS ET
ROUGES, LES COULEURS OFFICIELLES DU CANADA.
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