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Le PM annonce la Loi canadienne sur la qualité de l'air

10 octobre 2006
Ottawa (Ontario)

LE DISCOURS PRONONCÉ FAIT FOI

Bonjour.

J’ai le plaisir d’être accompagné de quelques collègues :

  • Gary Lunn, de la Colombie-Britannique, ministre des Ressources naturelles,
  • Rona Ambrose, ministre de l’Environnement,
  • Tony Clement, ministre de la Santé,
  • et Lawrence Cannon, ministre des Transports, de l’Infrastructure et des Collectivités.

    Nous sommes ici ce matin pour parler de l’environnement.

    Depuis qu’il est au pouvoir, le nouveau gouvernement du Canada a pris un certain nombre d’initiatives importantes dans ce dossier, notamment :

  • réduire les émissions de mercure;

  • réduire les émissions de substances toxiques par les fonderies de métaux communs;

  • offrir de nouveaux incitatifs fiscaux pour la mise en réserve des terres écosensibles ;

  • financer le développement de combustibles renouvelables;

  • offrir un nouveau financement pour l’infrastructure des transports en commun et des crédits d’impôt aux personnes qui utilisent les transports en commun.

    Toutes ces mesures ont ceci de commun :

  • elles sont axées sur des résultats réalistes par la création d’un écosystème plus sain à long terme pour notre génération et les générations futures.

    Entre leur travail et leurs responsabilités familiales, les simples citoyens subissent déjà assez de pressions sans avoir à se préoccuper de la qualité de leur environnement et de ses effets sur leur santé.

    Cependant, chaque année qui passe, les Canadiens se préoccupent de plus en plus de cette question, plus précisément de la qualité de l’air qu’ils respirent.

    Malheureusement, ils ont raison de s’inquiéter.

    Prenons l’un des indicateurs de la piètre qualité de l’air – le smog.

    Ces dernières années, le nombre de journées de smog au Canada et la gravité de celles-ci ont augmenté.

    Cela est tout à fait inacceptable pour notre gouvernement.

    La mauvaise qualité de l’air n’est pas qu’un irritant mineur que nous devons subir.

    C’est un grave problème qui présente un risque croissant pour la santé et le bien-être des Canadiennes et des Canadiens.

    Si nous ne nous attaquons pas à la pollution atmosphérique dès aujourd’hui,

  • la qualité de l’air que nous respirons continuera à se dégrader.

    Voilà pourquoi nous devons agir.

    Par le passé, les politiciens à Ottawa passaient plus de temps à parler d’environnement qu’à s’attaquer aux problèmes pressants comme la pollution de l’air.

    Mais notre nouveau gouvernement préconise une nouvelle approche.

  • Une approche qui remplacera les discours creux par des résultats.

  • Une approche qui nous fera passer des manchettes à court terme aux progrès à long terme.

  • Une approche qui permettra d’agir face aux enjeux environnementaux.

    Voilà pourquoi je suis ici aujourd’hui dans la région métropolitaine de Vancouver.

    Je suis fier d’annoncer que la semaine prochaine,

  • quand le Parlement reprendra ses travaux, notre gouvernement présentera la Loi canadienne sur la qualité de l'air.

    Cette loi sera le point de départ de la première approche exhaustive.

    Elle visera à s’attaquer à la pollution atmosphérique et aux gaz à effet de serre et, ce faisant, à améliorer la qualité de l’air et à donner suite à la question du changement climatique.

    En mettant l’accent sur une protection et une application accrues, cette approche sera un point de départ fondamental par rapport à l’approche du gouvernement précédent.

    Si elle est adoptée, la Loi canadienne sur la qualité de l'air nous permettra de :

  • remplacer la conformité volontaire par une réglementation stricte au sein de l’industrie;

  • remplacer le système actuel, ad hoc et mal adapté, par des normes claires, cohérentes et exhaustives et

  • mettre en place une approche globale qui ne traite pas les questions des émissions de gaz à effet de serre et des polluants comme des cas isolés.

    Bref, cette loi permettra de mettre en place le cadre requis pour améliorer l’air que nous respirons tous.

    La Loi canadienne sur la qualité de l'air n’a pas été improvisée à la hâte lors d’une conférence de presse.

    Elle n’a pas été rédigée lors d’une rencontre internationale dans un lieu exotique. 

    Et nous n’allons certainement pas engager un comédien pour en faire la promotion.

    C’est un plan sérieux, propre au Canada, qui produira à long terme de véritables résultats.   

    Au cours des semaines et des mois qui viennent, notre gouvernement :

  • tiendra d’importantes consultations avec l’industrie,  les provinces et les territoires;

  • établira un cadre réglementaire;

  • mettra les nouvelles technologies à profit

  • et ira de l’avant pour atteindre nos objectifs.

    Ne nous leurrons pas.

    Nous connaissons notre destination.

    Notre gouvernement remplacera les belles paroles par l’action au plan de la réduction des polluants atmosphériques et des gaz à effet de serre.

    Comme je l’ai déjà dit, la Loi canadienne sur la qualité de l'air est une autre mesure prise par le nouveau gouvernement du Canada pour améliorer la qualité de notre environnement.

    Depuis que nous sommes au pouvoir, nous avons pris les mesures suivantes :

  • réduire les émissions de mercure;

  • réduire les émissions de substances toxiques par les fonderies de métaux communs;

  • offrir de nouveaux incitatifs fiscaux pour la mise en réserve des terres écosensibles;

  • dégager de nouveaux crédits pour le développement des carburants renouvelables;

  • offrir un nouveau financement pour l’infrastructure des transports en commun et des crédits d’impôt aux personnes qui les utilisent.

    Toutes ces mesures ont ceci en commun – elles sont axées sur des résultats réalistes par la création d’un écosystème plus sain, à long terme, pour notre génération et pour les générations futures.

    Bien entendu, certains diront que cela ne suffit pas.

    Que ces mesures ne vont pas assez loin ou ne sont pas assez radicales.

    Mais c’est ce qu’ils ont dit quant le Traité sur les pluies acides a été signé en 1991.

    En fait, c’est ce qu’ils disent d’une façon générale au sujet du dernier gouvernement conservateur – jusqu’à ce que, plus tôt cette année, ils aient finalement reconnu que c’est le plus écologique de toute l’histoire du Canada.

    Et, comme l’histoire le montrera une fois de plus, la politique environnementale fonctionne uniquement quand elle est axée sur des résultats réalistes à long terme

  • des résultats qui protégeront notre grand pays, pour nos enfants et nos petits-enfants.

    Et c’est exactement ce que fera la Loi canadienne sur la qualité de l'air.

    Merci beaucoup.

    Je vais maintenant répondre à vos questions. 


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