Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada - Gouvernement du Canada
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No. de catalogue :
BT31-4/21-2005
ISBN :
0-660-62957-7
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RMR 2004 - 2005
École de la fonction publique du Canada

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Section III – Renseignements supplémentaires

Renseignements sur l’organisme

L’École est un établissement public dont le mandat législatif est enchâssé dans la Loi sur l’École de la fonction publique du Canada (anciennement la Loi sur le Centre canadien de gestion, modifiée par la Loi sur la modernisation de la fonction publique). La marge de manoeuvre de l’École, en tant qu’établissement public, s’exerce surtout dans les domaines suivants :

  • Pouvoir de réaffectation des recettes – 18(2) Sous réserve des conditions fixées par le Conseil du Trésor, l’École peut, au cours de deux exercices consécutifs, dépenser à ses fins les recettes tirées de ses redevances d’exploitation perçues durant le premier exercice.
  • Pouvoir de dotation – 15(2) Nonobstant le paragraphe (1), le président peut recruter, au nom de l’École, des chargés de cours et des chercheurs et, avec l’approbation du Conseil du Trésor, fixer leurs conditions d’emploi, y compris leur rémunération.
  • Pouvoir de gestion de la propriété intellectuelle – 18(1) Avec l’approbation du Conseil du Trésor, le conseil d’administration peut fixer le montant ou le mode de calcul des redevances à verser – b) pour rendre disponibles, notamment par vente ou octroi de licence, les droits d’auteur, marques de commerce ou droits de propriété analogues détenus par l’École ou placés sous son administration ou son contrôle.

Organisation et responsabilisation

Les activités de l’École contribuent à un seul et unique résultat stratégique, celui de s’assurer que les fonctionnaires ont accès à l’apprentissage commun dont ils ont besoin pour servir efficacement le Canada, les Canadiens et les Canadiennes. La figure ci-dessous présente les principaux éléments de l’organisme.

organigramme

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Responsabilité

L’École comprend cinq groupes organisationnels :

Gestion centrale

  • Bureau de la présidente
  • Politiques, planification et communications
  • Services centraux
  • Ressources humaines

Relations avec la clientèle et partenariats

  • Inscription des clients (c.-à-d. Centre de contact avec la clientèle)
  • Conseils aux ministères et organismes sur l’apprentissage organisationnel
  • Activités de diffusion
  • Activités d’apprentissage personnalisées, à grande échelle et ponctuelles (conférences et événements, par exemple)
  • Offre des programmes d’étude de l’École dans les régions au moyen d’un réseau de prestation de services province par province
  • Programmes d’apprentissage internationaux
  • Marketing.

Centres de
leadership et
d’apprentissage

  • Leadership et développement de carrière
  • Perfectionnement professionnel et en gestion (perfectionnement en gestion et administration publique et perfectionnement professionnel/formation des formateurs)
  • Formation en langues officielles.

Recherche et
relations
universitaires

  • Recherche fondamentale sur la gouvernance contemporaine,
    l’administration publique, la gestion, le leadership et l’apprentissage
  • Recherche appliquée et recherche-action sur les défis pressants du secteur public
  • Relations avec les universités et les collèges communautaires, négociations et accréditation

Gestion du savoir
et études
supérieures

  • Expertise en éducation des adultes et méthodes de formation, y compris l’apprentissage assisté par ordinateur et l’apprentissage à distance (p. ex. diffusion Web et vidéoconférences)
  • Gestion du savoir (c.-à-d. information de gestion, renseignements sur la clientèle, gestion des biens intellectuels et échange de connaissances et d’expertise)
  • Évaluation de l’apprentissage et de l’apprenant et accréditation
  • Gestion des dossiers, de la bibliothèque et de la bibliothèque électronique

L’École de la fonction publique du Canada se conforme à l’architecture des activités des programmes de 2004-2005 comme il suit :

Éléments par sous-activité de l’EFPC
Activités des programmes de l’EFPC
Élaboration, gestion et
diffusion des produits du
savoir
Gestion de la prestation
des services
d’apprentissage
Services centraux

Présidente et
directeurs généraux

  • Politiques, planification
    et communications
  • Services centraux
  • Ressources humaines
   
  • Gestion centrale
  • Services centraux
    (Services financiers,
    Services administratifs
    et Services de
    technologie de
    l’information)
  • Ressources humaines
  • Services juridiques
Relations avec la clientèle et partenariats
  • International
  • Services à la clientèle
  • Prestation de services
    en région
 
Centres de leadership et
d’apprentissage
  • Conception et
    élaboration du contenu des programmes
    d’études
  • Leadership et
    développement de
    carrière
  • Perfectionnement en
    gestion et
    administration publique
  • Perfectionnement
    professionnel
  • Formation linguistique
 
Recherche et relations
universitaires
  • Recherche
  • Collaborateurs émérites
  • Relations avec les
    universités et les
    collèges
    communautaires
   
Gestion du savoir et
études supérieures
  • Gestion du savoir
  • Apprentissage en ligne
 

 

Gouvernance

Le modèle de gouvernance de l’École est décrit sur le site Web de l’EFPC à www.myschoolmonecole. gc.ca/about/gov_struc_f.html. Il comprend :

  • un conseil d’administration, comme le prescrit la Loi, qui est responsable de la conduite et de la gestion de l’École. Présidé par le greffier du Conseil privé et secrétaire du Cabinet, le conseil d’administration se réunit deux fois par exercice financier, généralement en décembre et en juin;
  • une présidente, comme le prescrit également la Loi. La présidente est chef de la direction de l’École et doit superviser et diriger le travail et le personnel de l’École;
  • un vice-président principal qui est responsable des Centres de leadership et d’apprentissage;
  • un comité de direction qui supervise l’orientation générale et le travail de l’École. Ce comité se réunit sur une base hebdomadaire et tient également des réunions spéciales en octobre pour approuver les priorités et les orientations stratégiques, en mars, pour approuver les budgets et les plans d’activités des secteurs et, en septembre et en janvier, pour examiner l’état d’avancement des travaux et approuver les changements d’orientation. Il se rencontre aussi toutes les semaines à titre de comité des politiques pour traiter des dossiers importants comme l’examen du programme de cours, les ressources humaines, la gestion de l’information stratégique, la technologie de l’information, etc.;
  • un comité de vérification et d’évaluation interne qui supervise l’application des politiques de l’École en matière de vérification et d’évaluation internes. Ce comité a la responsabilité d’établir les plans annuels de vérification et d’évaluation, de superviser le travail de vérification et d’évaluation qui se fait à l’École et de fournir au comité de direction des conseils et des recommandations sur les résultats des vérifications et évaluations et les mesures de suivi appropriées. Le comité se rencontre au moins deux fois par année, avant les réunions du conseil d’administration;
  • un comité de gestion qui aide au fonctionnement de l’École. Ce comité se réunit deux fois par année, soit une fois en décembre pour informer les gestionnaires sur les priorités et les orientations stratégiques établies par le conseil d’administration pour l’année à venir et, en juin, pour transmettre l’information sur les décisions subséquentes du conseil d’administration et permettre aux participants de discuter de l’état d’avancement de l’exécution des priorités.

 

Tableau 1 : Comparaison des dépenses prévues aux dépenses réelles et équivalents temps plein

(en milliers de dollars)
Dépenses réelles
2002–03
Dépenses réelles
2003–04
2004-2005
Budget principal
Dépenses prévues
Total
des
autorisations
(note 1)
Dépenses réelles
École de la fonction
publique du Canada
32 519 34 466 29 341 77 568 85 591 79 448
Total 32 519 34 466 29 341 77 568 85 591 79 448
             
             
Moins : revenus non disponibles 7 500 9 000 12 000 12 000 12 000 12 000
Moins : revenus
disponibles
(conformément au paragraphe 18(2) de la Loi
sur l’EFPC
)
4 243 3 704 - 13 995 15 271 11 496
Plus : coût des
services reçus à titre gracieux
2 016 2 477 - 2 851 - 7 256
Coût net pour le Ministère 22 792 24 239 17 341 54 424 58 320 63 208
             
Équivalents temps plein 207 240 - 600 - 733

Note 1 : Comprend le budget principal (du Centre canadien de gestion seulement), le budget supplémentaire des dépenses et autres autorisations. Comprend les rajustements de 2004-2005 et des années subséquentes pour l’École de la fonction publique du Canada afin d’inclure Formation et perfectionnement Canada et Formation linguistique Canada de la Commission de la fonction publique.

Note 2 : Les dépenses prévues, les autorisations totales et les dépenses réelles sont basées sur la structure complète de l’EFPC. Les chiffres dans le tableau sont ajustés pour comprendre les activités internes et de les regrouper en deux résultats stratégiques présentés dans le Rapport sur les plans et les priorités de mai 2004. Les chiffres provenant des années financières précédentes et du budget principal des dépenses sont basés sur la structure CCG transposée dans l’établissement des résultats stratégiques.

Tableau 2 : Utilisation des ressources par secteur d’activités (ou par activité de
programme)

2004–2005 (en milliers de dollars)
 
Budgétaire
Plus: Non-
Budgétaire
Total
Fonction-
nement
Immobi-
lisations
Subventions et
contributions
Total :
dépenses
budgétaires
brutes
Moins :
revenus
disponibles
Total :
dépenses
budgétaires
nettes
Prêts,
investis-
sements
et avances
Budget
principal
29 166 - 175 29 341 - 29 341 - 29 341
Dépenses
prévues
77 393 - 175 77 568 13 995 63 573 - 63 573
Total des
autorisations
85 416 - 175 85 591 15 271 70 320 - 70 320
Dépenses
réelles
79 284 - 164 79 448 11 496 67 952 - 67 952

Tableau 3 : Postes votés et postes statutaires

   
2004–2005 (en milliers de dollars)
Poste
voté ou
statutaire
Libellé tronqué du poste
voté ou statutaire
Budget
principal
Dépenses
prévues
Total des
autorisations
(note 1)
Dépenses
réelles
26
Dépenses de fonctionnement (note 2)
27 534 58 213 63 094 60 737
s.o.
Dépenses en capital
- - - -
26
Contributions
175 175 175 164
(S)
Cotisations aux régimes
d’avantages sociaux des
employés
1 632 5 185 7 051 7 051
(S)
Dépenses des revenus (note 3)
- 13 995 15 271 11 496
 

Total

29 341 77 568 85 591 79 448

Note 1:
Comprend le budget principal, le budget supplémentaire et autres autorisations.

Note 2:
La principale différence entre les dépenses prévues et les autorisations du crédit 26 s'explique ainsi :

Ajustements au montant du régime d'avantages sociaux des employés en fonction des salaires qui sont couverts par les revenus 2 992
Nouvelles autorisations  
Report de fonds du Centre canadien de gestion (CCG) 1 116
Report de fonds de la Commission de la fonction publique (CFP) 869
Loi sur la modernisation de la fonction publique (LMFP) 2 831
Conventions collectives 200
Intégrité du Plan d’action sur les langues officielles (PALO) 15
  8 023

Note 3:
Ce montant représente les recettes additionnelles reçues en surplus du total des recettes non disponibles.

Revenus non disponibles 12 000
Revenus disponibles 15 271
Total des revenus 2004-2005 27 271

L'écart de 3 775 $ entre le total des autorisations et les dépenses réelles sera utilisé dans la deuxième
année (2005-2006) conformément au paragraphe 18(2) de la Loi sur l'École de la fonction publique du Canada.

Note 4:
L’écart de 6 146$ entre le Total des autorisations et les Dépenses réelles s’explique ainsi :

Ajustements au montant du régime d’avantages sociaux des employés en fonction des salaires qui sont couverts par les revenus 2 349
Report de revenu (de 2004-2005 à 2005-2006) 3 775
Péremption au budget de fonctionnement 22
  6 146

Tableau 4 : Coût net du Ministère

(en milliers de dollars)
2004-2005
Total des dépenses réelles 79 448
Plus : services reçus à titre gracieux  
Locaux fournis par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC) 5 249
Contributions de l’employeur aux primes du régime d’assurance des employés et dépenses payées par le SCT (à l’exception des fonds renouvelables) 2 007
Indemnisation des victimes d’accidents du travail assurée par Développement social Canada -
Traitements et dépenses connexes liés aux services juridiques fournis par Justice Canada -
   
Moins : revenus non disponibles 12 000
Moins : revenus disponibles (dépensés en 2004-2005) 11 496

Coût net pour le ministère en 2004-2005

63 208

Tableau 5 : Sources des revenus disponibles et des revenus non disponibles

Revenus disponibles

(en milliers de dollars)
Dépenses
réelles
2002-2003
Dépenses
réelles
2003-2004
2004-2005
Budget
principal
Dépenses
prévues
Total
des
autorisations
Dépenses
réelles
École de la fonction
publique du Canada
           
Revenus disponibles
(note 1)
4 243 3 704 - 13 995 15 271 11 496
Total des revenus
disponibles
4 243 3 704 - 13 995 15 271 11 496

Revenus non disponibles

(en milliers de dollars)
Dépenses
réelles
2002-03
Dépenses
réelles
2003-04
2004-2005
Budget
principal
Dépenses
prévues
Total des
autorisations
Dépenses
réelles
École de la fonction
publique du Canada
           
Revenus autorisés
(note 2)
7 500 9 000 12 000 12 000 12 000 12 000
Total des revenus non
disponibles
7 500 9 000 12 000 12 000 12 000 12 000

Note 1:
- Utilisation des revenus conformément au paragraphe 18(2) de la Loi sur l'École de la fonction publique du Canada.
- L'écart de 3 775 $ entre le total des autorisations et les dépenses réelles sera dépensé dans la deuxième année (2005-2006)

Note 2:
- En 2004-2005, l'École de la fonction publique du Canada a reçu une autorisation de 12 millions de dollars en recettes non disponibles basée sur les revenus prévus du Centre canadien de gestion (CCG) seulement.
- L'École a généré un total de 27,3 M $ en revenus, l'écart de 15,3 M $ provient des recettes de Formation et perfectionnement Canada et Formation Linguistique Canada.

Tableau 6 : Besoins en ressources par direction ou secteur

2004 2005 (en milliers de dollars)
Organisation
École de la fonction publique du Canada
Total

Bureau de la présidente

   
Budget principal des dépenses 488 488
Dépenses prévues 489 489
Total des autorisations 651 651
Dépenses réelles 575 575

Ressources humaines

   
Budget principal des dépenses 824 824
Dépenses prévues 1 353 1 353
Total des autorisations 1 556 1 556
Dépenses réelles 2 486 2 486

Recherche et relations universitaires

   
Budget principal des dépenses 2 203 2 203
Dépenses prévues 2 206 2 206
Total des autorisations 2 403 2 403
Dépenses réelles 1 825 1 825

Gestion du savoir et études supérieures

   
Budget principal des dépenses 4 704 4 704
Dépenses prévues 5 391 5 391
Total des autorisations 6 381 6 381
Dépenses réelles 5 440 5 440

Relations avec la clientèle et partenariats

   
Budget principal des dépenses 2 333 2 333
Dépenses prévues 12 980 12 980
Total des autorisations 15 250 15 250
Dépenses réelles 16 025 16 025

Politiques, planification et communications

   
Budget principal des dépenses 1 106 1 106
Dépenses prévues 1 026 1 026
Total des autorisations 1 204 1 204
Dépenses réelles 1 222 1 222

Services centraux

   
Budget principal des dépenses 5 600 5 600
Dépenses prévues 8 210 8 210
Total des autorisations 8 998 8 998
Dépenses réelles (Note 1) 15 256 15 256

Centres de leadership et d’apprentissage

   
Budget principal des dépenses 12 183 12 183
Dépenses prévues 45 914 45 914
Total des autorisations 49 148 49 148
Dépenses réelles (Note 2) 36 618 36 618

Total

   
Budget principal des dépenses 29 341 29 341
Dépenses prévues 77 568 77 568
Total des autorisations 85 590 85 590
Dépenses réelles 79 448 79 448

Note 1:
Comprend les dépenses gérées centralement.

Note 2:
Le montant des dépenses réelles est moins élevé que le total des autorisations en grande partie du fait qu'une partie des revenus gagnés a été redistribuée aux groupes de soutien (p. ex. les services centraux, les ressources humaines).

Tableau 7: États financiers des établissements publics et des agents du Parlement

École de la fonction publique du Canada

Responsabilité de la direction à l’égard des états financiers

La responsabilité de l’intégrité et de l’objectivité des états financiers ci-joints pour l’exercice financier qui s’est terminé le 31 mars 2005 et de toute l’information figurant dans le présent rapport incombe à la direction de l’École de la fonction publique du Canada (EFPC).

La direction de l’École de la fonction publique du Canada (EFPC) a préparé les états financiers ci-joints conformément aux normes du Conseil du Trésor, lesquelles sont fondées sur les principes comptables généralement reconnus au Canada, en se fondant sur les meilleures estimations possibles et en faisant preuve de jugement éclairé, le cas échéant. Les présents états financiers devraient être lus en tenant compte des conventions comptables décrites dans les notes. L’EFPC tient à jour un ensemble de livres comptables qui permet de comptabiliser les transactions de manière centralisée afin de respecter ses responsabilités en matière de rapport et d’imputabilité. Les renseignements financiers présentés dans les états ministériels et ailleurs dans les Comptes publics du Canada sont conformes, en ce qui a trait à la matérialité, aux présents états financiers.

La direction a préparé et tient à jour des livres, des registres, des mécanismes de contrôle interne et des pratiques de gestion pour donner une assurance raisonnable que les éléments d’actif du gouvernement sont protégés et contrôlés, que les ressources sont gérées de façon économique et efficace aux fins de la réalisation des objectifs ministériels et que les opérations sont exécutées conformément à la Loi sur la gestion des finances publiques et à ses règlements et aux obligations législatives et statutaires de l’École de la fonction publique du Canada.

APPROUVÉ PAR :

Ruth Dantzer
Présidente et chef de
direction
Bill Doering
Directeur général
Services centraux
Agent financier principal
Yves Tellier, CMA
Directeur, Finances
Agent financier principal à temps plein

École de la fonction publique du Canada
État de la situation financière (non vérifié)
Au 31 mars 2005

Exercice considéré
réel

ACTIF  
Actif financier
 

Encaisse

8 712 $
   
Comptes débiteurs et avances (Note 10)
1 666 767 $
Total de l’actif financier
1 675 479 $
 
 

Actif non financier

 

Charges payées d’avance

0 $
   
Stocks non destinés à la revente
121 583 $
   
Immobilisations (Note 5)
2 300 822 $
Total de l’actif non financier
2 422 405 $
   
Total de l’actif 4 097 884 $
   
PASSIF  
Comptes créditeurs et charges à payer
19 250 195 $
Provision pour avantages sociaux
1 975 037 $
Comptes d’attente
1 653 $
Buts spécifiques et autres comptes de passif
13 787 $
   
Total du passif
21 240 672 $
   
PASSIF NET (Note 6) (17 142 788) $
   
Total de l’actif et du passif net 4 097 884 $

École de la fonction publique du Canada
État des résultats et du passif net (non vérifié)
Au 31 mars 2005

Exercice considéré
réel

Produits  
Vente de biens et de services
27 273 565 $

Autres produits non fiscaux

7 531 $
   
Total des produits
27 281 096 $
 
 
Dépenses  

Salaire et rénumérations

40 158 146 $

Avantages sociaux des employés

7 050 784 $
Services professionnels et spéciaux
18 587 386 $
Transport et communication
2 671 209 $
Information
1 228 045 $
Amortissement (Note 3)
556 769 $
Services publics, matériel et fournitures
4 146 304 $

Réparation et entretien

792 769 $
Location
1 696 718 $

Pertes sur l’aliénation d’éléments d’actif

0 $

Dépenses diverses

3 079 893 $
Total des dépenses
79 968 023 $
   
Résultats nets d’exploitation (52 686 927 $)

Paiements de transfert

164 000 $
Autres dépenses
7 271 795 $
   
Résultats nets (60 122 722 $)
Actif / passif net au début de l’exercice 5 980 756 $)
Encaissement net du gouvernement (Note 4 c) 41 704 307 $
   
Services fournis sans frais 7 256 383 $
Actif / passif net à la fin de l’exercice (17 142 788 $)

École de la fonction publique du Canada
État de l’encaisse (non vérifié)
Au 31 mars 2005

Exercice considéré
réel

Activités de fonctionnement  
Résultats nets
60 122 722 $

 

 
Postes hors caisse inclus dans les résultats nets
 

Amortissement des actifs

556 769 $

Indemnités de départ des employés

0 $

Pertes sur l’aliénation de biens d’équipement

0 $

Services fournis gratuitement

7 256 383 $
  7 813 152 $

 

 
Énoncé des rajustements de la situation financière
 
 
 

Changements aux responsabilités

12 437 525 $

Changements aux comptes débiteurs, aux avances, aux paiements préalables et aux inventaires

(1 250 788) $

 

11 186 757 $
 

 

Flux de trésorerie affecté aux activités de fonctionnement 41 122 813 $
   
Activités d’investissement  
Acquisition de biens d’immobilisation
581 494 $
   
Flux de trésorerie affecté aux activités d’investissement 581 494 $

 

 

Encaisse net fourni par le gouvernement 41 704 307 $

École de la fonction publique du Canada

Notes afférentes aux états financiers (non vérifiés)
Pour l’exercice terminé le 31 mars 2005

  1. Autorisations et objectifs

    Le 1er avril 2004, des modifications à la Loi sur le Centre canadien de gestion ont été adoptées, et l’organisme a reçu le nouveau nom d’École de la fonction publique du Canada. La loi modifiée, portant le titre de Loi sur l’École de la fonction publique du Canada, poursuit et élargit le mandat de l’ancien organisme en tant qu’établissement public. L’École rend des comptes au président du Conseil du Trésor par son conseil d’administration composé de représentants des secteurs public et privé.

    L’École a pour mission d’établir et de maintenir une fonction publique moderne, de haute qualité et professionnelle à la fine pointe des connaissances en administration publique moderne et en gestion du secteur public. L’École atteint cet objectif en faisant appel aux plus récentes techniques d’éducation des adultes qui permettent aux fonctionnaires d’accéder aux possibilités d’apprentissage communes dont ils ont besoin pour mieux servir le Canada, les Canadiens et les Canadiennes.

    L’École remplit également son mandat législatif en encourageant la fierté et l’excellence dans la fonction publique. Elle y parvient en favorisant un sens commun des intentions, des valeurs et des traditions dans la fonction publique. L’École veille à ce que les fonctionnaires possèdent les connaissances, les aptitudes et les compétences dont ils ont besoin pour servir le Canada, les Canadiens et les Canadiennes. Elle soutient le développement et le perfectionnement des fonctionnaires dévoués au service du Canada. Elle aide les administrateurs généraux à répondre aux besoins d’apprentissage de leur organisme et elle est à la poursuite de l’excellence dans la gestion du secteur public et l’administration publique.

  2. Principales conventions comptables

    L’état de la situation financière, l’état des résultats et l’état des flux de trésorerie ont été préparés en suivant les exigences en matière de rapport et les normes établies par le Receveur général du Canada pour les établissements publics. Les principales conventions comptables sont les suivantes :

    a) Toutes les recettes et les dépenses sont inscrites selon une comptabilité d’exercice, à l’exception des indemnités normales de départ, des congés annuels et des congés compensatoires qui sont comptabilisés selon la méthode de comptabilité de caisse.

    b) L’EFPC est surtout financée par le gouvernement du Canada, par le biais de crédits parlementaires. Les crédits consentis à l’EFPC ne correspondent pas à la présentation des rapports financiers prévus dans les principes comptables généralement reconnus. Ils sont fondés dans une large mesure sur les besoins de trésorerie. Ainsi, les postes consignés dans l’état des résultats et dans l’état de la situation financière ne sont pas nécessairement les mêmes que ceux auxquels il est pourvu par les crédits parlementaires. La note 4 a) de ces états financiers présente de l’information au sujet de la source et de l’utilisation des crédits. La note 4 b) établit un rapprochement général entre les deux types de rapports financiers. La note 4 c) présente un rapprochement de l’encaisse net fourni par le gouvernement.

    c) Les recettes sont comptabilisées dans l’exercice où les opérations ou les faits sous-jacents sont survenus. Les recettes déjà encaissées, mais non réalisées sont divulguées dans l’état de la situation financière au titre des revenus reportés.

    d) Les prestations de départ des employés sont calculées en utilisant l’information qui découle des résultats actuariels déterminés pour les prestations de départ des employés pour l’ensemble du gouvernement. Les prestations de départ lors du départ des employés représentent des obligations de l’EFPC normalement financées par le Conseil du Trésor.

    e) Les congés annuels et le paiement des heures supplémentaires sont portés aux dépenses dans l’exercice au cours duquel l’employé y a droit.

    f) Les cotisations aux régimes de pension sont constatées dans l’exercice où ces cotisations sont versées. Les excédents ou les insuffisances actuariels ne sont pas inscrits dans les livres de l’École, mais sont constatés dans les états financiers consolidés du gouvernement du Canada.

    g) Les comptes débiteurs sont consignés en fonction des montants que l’on prévoit réaliser. Des provisions sont établies pour tous les comptes débiteurs où le recouvrement est incertain.

    h) Les stocks aux fins de revente sont évalués soit au coût, soit à la valeur de réalisation nette, le montant le moins élevé étant retenu.

    i) Les provisions pour prêts, placements et avances (sauf pour les prêts se rapportant à des contributions remboursables, les provisions relatives à la recouvrabilité, aux conditions très avantageuses et au risque de perte) ne sont pas comptabilisées dans les états financiers ministériels. Elles sont plutôt consignées centralement par le Secrétariat du Conseil du Trésor aux fins de leur inclusion dans les états financiers de l’ensemble du gouvernement.

    j) Les stocks non destinés à la revente comprennent des pièces de rechange et des fournitures détenues aux fins de la prestation future des programmes et qui ne sont donc pas destinés à la revente. Les stocks sont évalués au prix coûtant. Lorsqu’ils n’ont plus de potentiel d’utilisation, ils sont évalués soit au prix coûtant, soit à la valeur de réalisation nette, en retenant le montant le moins élevé.

    k) Les opérations en devises étrangères sont converties en dollars canadiens aux taux de change en vigueur à la date de la transaction. Les actifs et les passifs en devises étrangères sont convertis selon les taux en vigueur le 31 mars.

  3. Changements apportés aux conventions comptables

    C’est la première année de fonctionnement de l’École de la fonction publique du Canada. L’École a préparé des états financiers comprenant un état de la situation financière, un état des résultats et un état des flux de trésorerie selon la méthode de comptabilité d’exercice. Il n’est ni pratique ni possible pour l’École de la fonction publique du Canada de donner des montants comparatifs, car l’information n’est pas disponible et il serait impossible d’articuler avec une certaine exactitude des estimations des années précédentes.

    Depuis sa création le 1er avril 2004, l’École de la fonction publique du Canada a apporté des changements à ses conventions comptables pour les immobilisations. Le premier de ces changements est la diminution du palier de valeur des actifs à comptabiliser, de dix mille dollars (10 000 $) à cinq mille dollars (5 000 $). Le deuxième changement est la modification des périodes d’amortissement pour certains actifs clés, comme les automobiles, les ordinateurs, les logiciels achetés ou développés par l’École, l’équipement et les meubles de bureau, ainsi que l’équipement électronique et de formation. L’évolution rapide de la technologie pour ces biens électroniques réduit leur durée d’utilisation pour l’École. Enfin, l’ajout d’une nouvelle catégorie d’actifs constitue le dernier changement. Il s’agit de l’ajout d’une catégorie pour les autres équipements d’information.

CATÉGORIE D’ÉLÉMENT D’ACTIF
PÉRIODE D’AMORTISSEMENT (années)
 
Du CCG
De la CFP
De l’EFPC
Véhicules automobiles
4
6
4
Matériel informatique
5
5
5
Logiciels achetés
7
3
3
Logiciels intégrés
7
3
6
Équipement de bureau (incluant les meubles)
5
17
7
Équipement de formation
10
10
5
Équipement de traitement de la poste
10
10
10
Améliorations locatives
20
10
10
  Durée du bail Durée du bail Durée du bail

4. Crédits parlementaires

a) Rapprochement avec les crédits parlementaires votés
 
Exercice considéré Réels
   

Crédit parlementaire voté

 
Crédit 26 - Dépenses de fonctionnement de l'EFPC
57 306 200 $
Crédit supplémentaire 26a
3 068 513 $
Crédit supplémentaire 26b
2 657 000 $
Transfert du Conseil du Trésor
 
Crédit 15
237 000 $
   
Total des crédits parlementaires votés
63 268 713 $
   
Moins : Crédits échus 2 367 621 $
  60 901 092 $
   

Autorisations législatives

 
Dépense des produits de biens excédentaires de la Couronne
0 $

Dépense de recettes en vertu du paragraphe 18(2) de la Loi sur l'École de la fonction publique du Canada

11 496 027 $

Cotisations au régime de prestations des employés

7 050 784 $
 
 
Total des autorisations législatives utilisées
18 546 811 $
Total des autorisations utilisées 79 447 903 $

 

b) Rapprochement entre les résultats nets et les crédits utilisés en date du 31 mars 2005
(en milliers de dollars)
 
Exercice considéré Réels
   

Résultats nets

$60,122,722
   

Rajustements pour les postes sans incidence sur les crédits

 

Moins

 

Services fournis sans frais

7,256,383

Amortissement

556,769

Montant affecté aux congés payés

689,124

Montant affecté aux temps au lieu d'une rémunération

42,464

Charges payées d'avance

0

Perte sur l'aliénation d'actifs

0
 

$8,544,740

Plus

 

Dépense de recouvrement des coûts

27,281,096

Remboursement de dépenses d'années précédentes

0
 

27,281,096

   

Rajustements pour les postes ayant une incidence sur les crédits

 
 
 

Plus

 

Achat d'immobilisations

581,494

Comptes débiteurs et avances

1,719

Achat de stocks

5,612

Améliorations locatives

0
 

$588,825

   

Moins

 

Produits de l'aliénation de biens excédentaires de la Couronne

0

Recettes non fiscales

0
 

$0

   

Total des crédits utilisés

$79,447,903

5. Immobilisations

Catégorie d'actif

Coût historique 1er avril 2004

Ajouts

Aliénations

Amortissement Exercice considéré

Amortissement cumulé
31 mars 2005

Valeur comptable nette
31 mars 2005

Autre équipement
incluant meubles
196 649 6 550   51 951 168 174 35 025
Outils et
équipement
463 722     135 718 343 063 120 659
Matériel
informatique
939 636 453 038   107 675 702 377 690 297
Logiciels
informatiques
1 517,458 121 906   236 050 337 208 1 302 156
Véhicules automobiles 23 905     8 466 9 960 13 945
Améliorations
locatives
169 090     16 909 30 350 138 740
             

Total

3 310 460

581 494

0

556 769

1 591 132

2 300 822

6. Actif / passif net

Le gouvernement inclut dans ses recettes et dépenses les opérations de certains comptes consolidés établis à des fins déterminées. Les lois habilitantes exigent que les recettes de ces comptes soient réservées et que tout paiement ou dépense connexe soit déduit de ces recettes. Les opérations ne représentent pas un passif auprès de tiers, mais font l’objet de restrictions internes selon les fins déterminées.

 
Exercice considéré
   
Restrictions internes - Comptes à des fins spécifiques 13 787 $
   
Total du passif net des restrictions internes 13 787 $
   
Total du passif non restreint 17 129 001 $
   
Total de l'actif net 17 142 788 $

7. Passif éventuel

Dans le cours normal de ses activités, l’EFPC est visée par diverses actions en justice. Certaines obligations éventuelles peuvent devenir des obligations réelles, selon que certains événements se réaliseront ou non. Dans la mesure où l’événement futur risque fort de se produire ou de ne pas se produire, et que l’on peut établir une estimation raisonnable de la perte, un passif estimatif est constaté et une dépense enregistrée dans les états financiers consolidés du gouvernement. Le passif estimatif n’est pas porté aux états financiers de l’EFPC jusqu’à ce que son montant soit établi avec certitude.

8. Incertitude de l’évaluation

La préparation des états financiers oblige la direction à effectuer des estimations et à formuler des hypothèses qui influent sur l’actif, le passif, les recettes et les dépenses consignés dans les états financiers. Au moment de la préparation des présents états financiers, la direction considérait que les estimations et les hypothèses étaient raisonnables. L’amortissement des immobilisations est l’élément le plus important pour lequel on a recours à des estimations.

9. Opérations entre entités apparentées

L’École de la fonction publique du Canada est une propriété commune du gouvernement du Canada, comme tous les ministères et les sociétés d’État. L’École de la fonction publique du Canada effectue des opérations avec ces entités dans le cours normal de ses activités et selon les modalités commerciales usuelles s’appliquant à tous les particuliers et à toutes les entreprises, sauf que certains services déjà énumérés sont offerts gratuitement.

10. Débiteurs et avances

 
2005
   
TPS 74 312 $
   
Autres ministères 1 326 125 $
   
Entités externes 239 074 $
   
Avances aux employés 27 256 $
   

Total

1 666 767 $

11. Engagements

De par leur nature, les activités de l’EFPC donnent lieu à certains marchés et obligations importants en vertu desquels l’EFPC s’engage à effectuer des paiements échelonnés sur plusieurs années, lors de la prestation de services ou de la fourniture de biens. Voici les principaux engagements pour lesquels une estimation raisonnable peut être faite :

 
Année 1
(000 $)
Année 2
(000 $)
Année 3
(000 $)
Année 4
(000 $)
         
Prêts et avances 0 0 0 0
Paiements de transfert 0 0 0 0
Achat d'immobilisations 0 0 0 0
Achat d'autres biens et services 0 0 0 0
Contrats de location-exploitation 0 0 0 0
Autres 0 0 0 0
Total nil nil nil nil

 

12. Services fournis gratuitement

Les services fournis gratuitement par d’autres ministères sont inscrits à titre de dépenses d’exploitation. Voici les principaux types de services fournis gratuitement, mais inscrits en tant que dépenses d’exploitation : installations et services bancaires, fournis par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada – 5 249 484 $; contributions couvrant la part de l’employeur des primes d’assurance des employés et les coûts payés par le Secrétariat du Conseil du Trésor – 2 006 899 $.

Tableau 8: Réponse aux comités parlementaires, aux vérifications et aux évaluations pour
l’exercice 2004–2005

Réponse aux comités parlementaires

Les comités parlementaires n’ont formulé aucune recommandation à l’intention de l’École en 2004-2005.

2004 - Rapport de la commissaire à l’environnement et au développement durable
Chapitre 4 : L’évaluation de l’impact environnemental des politiques, des plans et des programmes
[ www.oag-bvg.gc.ca/ ]

4.85 Recommandation. L’École de la fonction publique du Canada devrait déterminer comment la Directive du Cabinet sur l’évaluation environnementale des projets de politiques, de plans et de programmes pourrait être abordée dans les cours qu’elle offre aux cadres supérieurs de l’administration fédérale. À tout le moins, tous les cours sur les politiques devraient mentionner la Directive.

Réponse du gouvernement. L’École de la fonction publique du Canada (laquelle comprend l’ancien Centre canadien de gestion) a terminé une évaluation préliminaire selon laquelle jusqu’à onze cours inscrits au programme de ses centres (qui sont axés sur le leadership, l’administration publique et le perfectionnement professionnel) pourraient faire mention de la Directive — notamment six cours sur les politiques.

Ces onze cours sont les suivants : De la fonction de contrôleur moderne au Cadre de responsabilisation de gestion; Gestion intégrée du risque; Les défis de l’élaboration des politiques publiques : un survol; Diriger les politiques publiques; Introduction à l’élaboration des politiques publiques; Introduction à la mise en oeuvre des politiques publiques; Élaboration des politiques publiques — Niveau intermédiaire; Mise en oeuvre des politiques publiques — Niveau intermédiaire; Acquisition de biens non nocifs pour l’environnement : une approche de développement durable; Aliénation des biens meubles en surplus de la Couronne et recouvrement des investissements; et Politique sur les acquisitions et la gestion du matériel.

À la suite d’une évaluation finale qui sera effectuée cet automne quant à la façon dont on pourrait renvoyer à la Directive ou l’évoquer dans les cours proposés, des changements seront apportés au contenu des cours ou à la documentation pour s'assurer que la Directive est mentionnée ou examinée pendant l’exercice 2004-2005 jusque dans onze cours. Dans certains cours, ces changements, bien que leur coût soit jugé relativement bas, pourraient dépendre de la disponibilité des fonds.

Échéancier des mesures à prendre : mars 2005

État : Terminé.

 

Évaluations ou vérifications externes

Aucune évaluation ou vérification externe des activités de l’École n’a été faite en 2004–2005.

Évaluations ou vérifications internes

Évaluation ou vérification du projet pilote du Fonds de stimulation de l’apprentissage par l’innovation

L’ancien Centre canadien de gestion, aujourd’hui l’École de la fonction publique du Canada, a lancé le Fonds de stimulation de l’apprentissage par l’innovation en février 2003 à titre de projet pilote. Vingt-sept ministères et organismes fédéraux l’ont appuyé. Les responsables du FSIA ont sollicité des propositions des employés des ministères et organismes participants qui devaient présenter des idées sur la prestation de services, l’utilisation de la technologie, la création du savoir et le transfert de connaissances.

Le rapport a été transmis au Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT), en vue de l’évaluation du projet pilote ainsi qu’à la Direction de l’analyse et de la liaison de la Direction générale de la vérification interne du SCT. Le rapport et la Réaction du comité de la vérification interne et de l’évaluation de l’EFPC se trouvent sur le site Web de l’EFPC à l’adresse www.myschool-monecole.gc.ca/about/reports_f.html.

Tableau 9 : Approvisionnement et marchés

Ministère ou organisme  
Éléments à traiter
Commentaires de l’organisation
   
1. Rôle joué par
l’approvisionnement et les marchés dans l’exécution des programmes.

L’approvisionnement et les marchés jouent un rôle central dans l’exécution des programmes de l’École. L’approvisionnement permet à l’École d’obtenir le matériel essentiel comme les fournitures dont elle a besoin pour ses activités en salle de classe tandis que les marchés permettent à l’École de retenir les services entre autres du personnel enseignant pour les activités d’apprentissage des fonctionnaires fédéraux.

Le service de l’approvisionnement offre conseils et orientation aux gestionnaires et aux coordinateurs de programmes pour les aider à obtenir les biens et services dont ils ont besoin. Les biens et services sont obtenus par voie concurrentielle – sur MERX ainsi qu’au moyen de commandes subséquentes à des offres à commandes internes et externes – et auprès d’un fournisseur unique si le contexte le justifie. Il incombe au service de l’approvisionnement de sensibiliser le personnel de l’EFPC aux règles et aux pratiques en matière d’approvisionnement.

2. Survol de la façon dont le Ministère administre sa
fonction d'approvisionnement.

Le service de l’approvisionnement offre conseils et suggestions aux gestionnaires de l’EFPC. Les gestionnaires sont toutefois responsables des biens et services dont ils font l’acquisition et sont tenus de remplir et de signer une Demande de contrat et justification et, dans le cas d’un contrat à fournisseur unique, de fournir une justification du recours à un fournisseur unique.

Au plan organisationnel, les activités de passation de marché et d’approvisionnement relèvent de la responsabilité du service des finances de l’EFPC, où il existe une interaction continue entre les fonctions budgétaires, d’approvisionnement, de passation de marché et des comptes créditeurs.

3. Progrès et nouvelles
initiatives permettant des
pratiques efficaces et
efficientes en matière
d’approvisionnement.

Conformément à l’initiative Les prochaines étapes du Conseil du Trésor et de TPSGC, l’École encourage le recours aux offres à commandes existantes de TPSGC ainsi qu’aux offres à commandes internes et externes utilisées et établies par l’EFPC, lesquelles correspondent aux besoins uniques de l’École en matière d’élaboration et d’animation de cours.

L’EFPC a adopté un cadre de formation et une procédure pour mieux gérer et contrôler les niveaux d’activités liées à un fournisseur unique en encourageant le personnel à planifier à l’avance les acquisitions et en exigeant et en évaluant les justifications du recours à un fournisseur unique.

Dans le cadre de l’initiative de services communs et partagés, on continue de veiller à ce que les pratiques d’approvisionnement de l’EFPC demeurent efficientes et efficaces.

Tableau 10 : Politiques sur les voyages

Comparaison avec les Autorisations spéciales de voyager établies par le SCT

Titre de la politique sur les voyages de xxx (indiquer le nom de l’organisme) :
L’École de la fonction publique du Canada se conforme aux Autorisations spéciales de voyager établies par le SCT.
Fondement :
Portée :
Principales différences visant les dispositions de la politique :
Principales répercussions financières des différences :

Comparaison avec la Directive du SCT sur les voyages, les taux et les indemnités

Titre de la politique sur les voyages de xxx (indiquer le nom de l’organisme) :
L’École de la fonction publique du Canada se conforme aux Autorisations spéciales de voyager établies par le SCT.
Fondement :
Portée :
Principales différences visant les dispositions de la politique :
Principales répercussions financières des différences :

 

 
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