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GouvernanceLe modèle de gouvernance de l’École est décrit sur le site Web de l’EFPC à www.myschoolmonecole. gc.ca/about/gov_struc_f.html. Il comprend :
Tableau 1 : Comparaison des dépenses prévues aux dépenses réelles et équivalents temps plein
Note 1 : Comprend le budget principal (du Centre canadien de gestion seulement), le budget supplémentaire des dépenses et autres autorisations. Comprend les rajustements de 2004-2005 et des années subséquentes pour l’École de la fonction publique du Canada afin d’inclure Formation et perfectionnement Canada et Formation linguistique Canada de la Commission de la fonction publique. Note 2 : Les dépenses prévues, les autorisations totales et les dépenses réelles sont basées sur la structure complète de l’EFPC. Les chiffres dans le tableau sont ajustés pour comprendre les activités internes et de les regrouper en deux résultats stratégiques présentés dans le Rapport sur les plans et les priorités de mai 2004. Les chiffres provenant des années financières précédentes et du budget principal des dépenses sont basés sur la structure CCG transposée dans l’établissement des résultats stratégiques. Tableau 2 : Utilisation des ressources
par secteur d’activités (ou par activité de
|
Budgétaire |
||||||||
Fonction- nement |
Immobi- lisations |
contributions |
dépenses budgétaires brutes |
revenus disponibles |
dépenses budgétaires nettes |
investis- sements et avances |
||
Budget principal |
29 166 | - | 175 | 29 341 | - | 29 341 | - | 29 341 |
Dépenses prévues |
77 393 | - | 175 | 77 568 | 13 995 | 63 573 | - | 63 573 |
Total des autorisations |
85 416 | - | 175 | 85 591 | 15 271 | 70 320 | - | 70 320 |
Dépenses réelles |
79 284 | - | 164 | 79 448 | 11 496 | 67 952 | - | 67 952 |
voté ou statutaire |
voté ou statutaire |
principal |
prévues |
autorisations (note 1) |
réelles |
Dépenses de fonctionnement (note 2)
|
27 534 | 58 213 | 63 094 | 60 737 | |
Dépenses en capital
|
- | - | - | - | |
Contributions
|
175 | 175 | 175 | 164 | |
Cotisations aux régimes
d’avantages sociaux des employés |
1 632 | 5 185 | 7 051 | 7 051 | |
Dépenses des revenus (note 3)
|
- | 13 995 | 15 271 | 11 496 | |
Total |
29 341 | 77 568 | 85 591 | 79 448 |
Note 2:
La principale différence entre les dépenses prévues et les autorisations du
crédit 26 s'explique ainsi :
Ajustements au montant du régime d'avantages sociaux des employés en fonction des salaires qui sont couverts par les revenus | 2 992 |
Nouvelles autorisations | |
Report de fonds du Centre canadien de gestion (CCG) | 1 116 |
Report de fonds de la Commission de la fonction publique (CFP) | 869 |
Loi sur la modernisation de la fonction publique (LMFP) | 2 831 |
Conventions collectives | 200 |
Intégrité du Plan d’action sur les langues officielles (PALO) | 15 |
8 023 |
Note 3:
Ce montant représente les recettes additionnelles reçues en surplus du total
des recettes non disponibles.
Revenus non disponibles | 12 000 |
Revenus disponibles | 15 271 |
Total des revenus 2004-2005 | 27 271 |
L'écart de 3 775 $ entre le total des autorisations et les dépenses réelles
sera utilisé dans la deuxième
année (2005-2006) conformément au paragraphe 18(2) de la Loi sur l'École
de la fonction publique du Canada.
Note 4:
L’écart de 6 146$ entre le Total des autorisations et les Dépenses réelles
s’explique ainsi :
Ajustements au montant du régime d’avantages sociaux des employés en fonction des salaires qui sont couverts par les revenus | 2 349 |
Report de revenu (de 2004-2005 à 2005-2006) | 3 775 |
Péremption au budget de fonctionnement | 22 |
6 146 |
(en milliers de dollars) | |
Total des dépenses réelles | 79 448 |
Plus : services reçus à titre gracieux | |
Locaux fournis par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC) | 5 249 |
Contributions de l’employeur aux primes du régime d’assurance des employés et dépenses payées par le SCT (à l’exception des fonds renouvelables) | 2 007 |
Indemnisation des victimes d’accidents du travail assurée par Développement social Canada | - |
Traitements et dépenses connexes liés aux services juridiques fournis par Justice Canada | - |
Moins : revenus non disponibles | 12 000 |
Moins : revenus disponibles (dépensés en 2004-2005) | 11 496 |
Coût net pour le ministère en 2004-2005 |
63 208 |
réelles 2002-2003 |
réelles 2003-2004 |
|||||
principal |
prévues |
des autorisations |
réelles |
|||
École de la fonction publique du Canada |
||||||
Revenus disponibles (note 1) |
4 243 | 3 704 | - | 13 995 | 15 271 | 11 496 |
Total des revenus disponibles |
4 243 | 3 704 | - | 13 995 | 15 271 | 11 496 |
réelles 2002-03 |
réelles 2003-04 |
|||||
principal |
prévues |
autorisations |
réelles |
|||
École de la fonction publique du Canada |
||||||
Revenus autorisés (note 2) |
7 500 | 9 000 | 12 000 | 12 000 | 12 000 | 12 000 |
Total des revenus non disponibles |
7 500 | 9 000 | 12 000 | 12 000 | 12 000 | 12 000 |
Note 1:
- Utilisation des revenus conformément au paragraphe 18(2) de la Loi sur l'École
de la fonction publique du Canada.
- L'écart de 3 775 $ entre le total des autorisations et les dépenses réelles
sera dépensé dans la deuxième année (2005-2006)
Note 2:
- En 2004-2005, l'École de la fonction publique du Canada a reçu une
autorisation de 12 millions de dollars en recettes non disponibles basée sur
les revenus prévus du Centre canadien de gestion (CCG)
seulement.
- L'École a généré un total de 27,3 M $ en revenus, l'écart de 15,3 M $
provient des recettes de Formation et perfectionnement Canada et Formation
Linguistique Canada.
Bureau de la présidente |
||
Budget principal des dépenses | 488 | 488 |
Dépenses prévues | 489 | 489 |
Total des autorisations | 651 | 651 |
Dépenses réelles | 575 | 575 |
Ressources humaines |
||
Budget principal des dépenses | 824 | 824 |
Dépenses prévues | 1 353 | 1 353 |
Total des autorisations | 1 556 | 1 556 |
Dépenses réelles | 2 486 | 2 486 |
Recherche et relations universitaires |
||
Budget principal des dépenses | 2 203 | 2 203 |
Dépenses prévues | 2 206 | 2 206 |
Total des autorisations | 2 403 | 2 403 |
Dépenses réelles | 1 825 | 1 825 |
Gestion du savoir et études supérieures |
||
Budget principal des dépenses | 4 704 | 4 704 |
Dépenses prévues | 5 391 | 5 391 |
Total des autorisations | 6 381 | 6 381 |
Dépenses réelles | 5 440 | 5 440 |
Relations avec la clientèle et partenariats |
||
Budget principal des dépenses | 2 333 | 2 333 |
Dépenses prévues | 12 980 | 12 980 |
Total des autorisations | 15 250 | 15 250 |
Dépenses réelles | 16 025 | 16 025 |
Politiques, planification et communications |
||
Budget principal des dépenses | 1 106 | 1 106 |
Dépenses prévues | 1 026 | 1 026 |
Total des autorisations | 1 204 | 1 204 |
Dépenses réelles | 1 222 | 1 222 |
Services centraux |
||
Budget principal des dépenses | 5 600 | 5 600 |
Dépenses prévues | 8 210 | 8 210 |
Total des autorisations | 8 998 | 8 998 |
Dépenses réelles (Note 1) | 15 256 | 15 256 |
Centres de leadership et d’apprentissage |
||
Budget principal des dépenses | 12 183 | 12 183 |
Dépenses prévues | 45 914 | 45 914 |
Total des autorisations | 49 148 | 49 148 |
Dépenses réelles (Note 2) | 36 618 | 36 618 |
Total |
||
Budget principal des dépenses | 29 341 | 29 341 |
Dépenses prévues | 77 568 | 77 568 |
Total des autorisations | 85 590 | 85 590 |
Dépenses réelles | 79 448 | 79 448 |
Note 1:
Comprend les dépenses gérées centralement.
Note 2:
Le montant des dépenses réelles est moins élevé que le total des
autorisations en grande partie du fait qu'une partie des revenus gagnés a été
redistribuée aux groupes de soutien (p. ex. les services centraux, les
ressources humaines).
La responsabilité de l’intégrité et de l’objectivité des états financiers ci-joints pour l’exercice financier qui s’est terminé le 31 mars 2005 et de toute l’information figurant dans le présent rapport incombe à la direction de l’École de la fonction publique du Canada (EFPC).
La direction de l’École de la fonction publique du Canada (EFPC) a préparé les états financiers ci-joints conformément aux normes du Conseil du Trésor, lesquelles sont fondées sur les principes comptables généralement reconnus au Canada, en se fondant sur les meilleures estimations possibles et en faisant preuve de jugement éclairé, le cas échéant. Les présents états financiers devraient être lus en tenant compte des conventions comptables décrites dans les notes. L’EFPC tient à jour un ensemble de livres comptables qui permet de comptabiliser les transactions de manière centralisée afin de respecter ses responsabilités en matière de rapport et d’imputabilité. Les renseignements financiers présentés dans les états ministériels et ailleurs dans les Comptes publics du Canada sont conformes, en ce qui a trait à la matérialité, aux présents états financiers.
La direction a préparé et tient à jour des livres, des registres, des mécanismes de contrôle interne et des pratiques de gestion pour donner une assurance raisonnable que les éléments d’actif du gouvernement sont protégés et contrôlés, que les ressources sont gérées de façon économique et efficace aux fins de la réalisation des objectifs ministériels et que les opérations sont exécutées conformément à la Loi sur la gestion des finances publiques et à ses règlements et aux obligations législatives et statutaires de l’École de la fonction publique du Canada.
APPROUVÉ PAR :
Présidente et chef de direction |
Directeur général Services centraux Agent financier principal |
Directeur, Finances Agent financier principal à temps plein |
ACTIF | |
Actif financier |
|
|
8 712 $ |
Comptes débiteurs et avances (Note 10) |
1 666 767 $ |
Total de l’actif financier |
1 675 479 $ |
|
|
|
|
|
0 $ |
Stocks non destinés à la revente |
121 583 $ |
Immobilisations (Note 5) |
2 300 822 $ |
Total de l’actif non financier |
2 422 405 $ |
Total de l’actif | 4 097 884 $ |
PASSIF | |
Comptes créditeurs et charges à payer |
19 250 195 $ |
Provision pour avantages sociaux |
1 975 037 $ |
Comptes d’attente |
1 653 $ |
Buts spécifiques et autres comptes de passif |
13 787 $ |
Total du passif |
21 240 672 $ |
PASSIF NET (Note 6) | (17 142 788) $ |
Total de l’actif et du passif net | 4 097 884 $ |
Produits | |
Vente de biens et de services |
27 273 565 $ |
|
7 531 $ |
Total des produits |
27 281 096 $ |
|
|
Dépenses | |
|
40 158 146 $ |
|
7 050 784 $ |
Services professionnels et spéciaux |
18 587 386 $ |
Transport et communication |
2 671 209 $ |
Information |
1 228 045 $ |
Amortissement (Note 3) |
556 769 $ |
Services publics, matériel et fournitures |
4 146 304 $ |
|
792 769 $ |
Location |
1 696 718 $ |
|
0 $ |
|
3 079 893 $ |
Total des dépenses |
79 968 023 $ |
Résultats nets d’exploitation | (52 686 927 $) |
|
164 000 $ |
Autres dépenses |
7 271 795 $ |
Résultats nets | (60 122 722 $) |
Actif / passif net au début de l’exercice | 5 980 756 $) |
Encaissement net du gouvernement (Note 4 c) | 41 704 307 $ |
Services fournis sans frais | 7 256 383 $ |
Actif / passif net à la fin de l’exercice | (17 142 788 $) |
Activités de fonctionnement | |
Résultats nets |
60 122 722 $ |
|
|
Postes hors caisse inclus dans les résultats nets |
|
|
556 769 $ |
|
0 $ |
|
0 $ |
|
7 256 383 $ |
7 813 152 $ | |
|
|
Énoncé des rajustements de la situation financière |
|
|
|
|
12 437 525 $ |
|
(1 250 788) $ |
|
11 186 757 $ |
|
|
Flux de trésorerie affecté aux activités de fonctionnement | 41 122 813 $ |
Activités d’investissement | |
Acquisition de biens d’immobilisation |
581 494 $ |
Flux de trésorerie affecté aux activités d’investissement | 581 494 $ |
|
|
Encaisse net fourni par le gouvernement | 41 704 307 $ |
Le 1er avril 2004, des modifications à la Loi sur le Centre canadien de gestion ont été adoptées, et l’organisme a reçu le nouveau nom d’École de la fonction publique du Canada. La loi modifiée, portant le titre de Loi sur l’École de la fonction publique du Canada, poursuit et élargit le mandat de l’ancien organisme en tant qu’établissement public. L’École rend des comptes au président du Conseil du Trésor par son conseil d’administration composé de représentants des secteurs public et privé.
L’École a pour mission d’établir et de maintenir une fonction publique moderne, de haute qualité et professionnelle à la fine pointe des connaissances en administration publique moderne et en gestion du secteur public. L’École atteint cet objectif en faisant appel aux plus récentes techniques d’éducation des adultes qui permettent aux fonctionnaires d’accéder aux possibilités d’apprentissage communes dont ils ont besoin pour mieux servir le Canada, les Canadiens et les Canadiennes.
L’École remplit également son mandat législatif en encourageant la fierté et l’excellence dans la fonction publique. Elle y parvient en favorisant un sens commun des intentions, des valeurs et des traditions dans la fonction publique. L’École veille à ce que les fonctionnaires possèdent les connaissances, les aptitudes et les compétences dont ils ont besoin pour servir le Canada, les Canadiens et les Canadiennes. Elle soutient le développement et le perfectionnement des fonctionnaires dévoués au service du Canada. Elle aide les administrateurs généraux à répondre aux besoins d’apprentissage de leur organisme et elle est à la poursuite de l’excellence dans la gestion du secteur public et l’administration publique.
L’état de la situation financière, l’état des résultats et l’état des flux de trésorerie ont été préparés en suivant les exigences en matière de rapport et les normes établies par le Receveur général du Canada pour les établissements publics. Les principales conventions comptables sont les suivantes :
a) Toutes les recettes et les dépenses sont inscrites selon une comptabilité d’exercice, à l’exception des indemnités normales de départ, des congés annuels et des congés compensatoires qui sont comptabilisés selon la méthode de comptabilité de caisse.
b) L’EFPC est surtout financée par le gouvernement du Canada, par le biais de crédits parlementaires. Les crédits consentis à l’EFPC ne correspondent pas à la présentation des rapports financiers prévus dans les principes comptables généralement reconnus. Ils sont fondés dans une large mesure sur les besoins de trésorerie. Ainsi, les postes consignés dans l’état des résultats et dans l’état de la situation financière ne sont pas nécessairement les mêmes que ceux auxquels il est pourvu par les crédits parlementaires. La note 4 a) de ces états financiers présente de l’information au sujet de la source et de l’utilisation des crédits. La note 4 b) établit un rapprochement général entre les deux types de rapports financiers. La note 4 c) présente un rapprochement de l’encaisse net fourni par le gouvernement.
c) Les recettes sont comptabilisées dans l’exercice où les opérations ou les faits sous-jacents sont survenus. Les recettes déjà encaissées, mais non réalisées sont divulguées dans l’état de la situation financière au titre des revenus reportés.
d) Les prestations de départ des employés sont calculées en utilisant l’information qui découle des résultats actuariels déterminés pour les prestations de départ des employés pour l’ensemble du gouvernement. Les prestations de départ lors du départ des employés représentent des obligations de l’EFPC normalement financées par le Conseil du Trésor.
e) Les congés annuels et le paiement des heures supplémentaires sont portés aux dépenses dans l’exercice au cours duquel l’employé y a droit.
f) Les cotisations aux régimes de pension sont constatées dans l’exercice où ces cotisations sont versées. Les excédents ou les insuffisances actuariels ne sont pas inscrits dans les livres de l’École, mais sont constatés dans les états financiers consolidés du gouvernement du Canada.
g) Les comptes débiteurs sont consignés en fonction des montants que l’on prévoit réaliser. Des provisions sont établies pour tous les comptes débiteurs où le recouvrement est incertain.
h) Les stocks aux fins de revente sont évalués soit au coût, soit à la valeur de réalisation nette, le montant le moins élevé étant retenu.
i) Les provisions pour prêts, placements et avances (sauf pour les prêts se rapportant à des contributions remboursables, les provisions relatives à la recouvrabilité, aux conditions très avantageuses et au risque de perte) ne sont pas comptabilisées dans les états financiers ministériels. Elles sont plutôt consignées centralement par le Secrétariat du Conseil du Trésor aux fins de leur inclusion dans les états financiers de l’ensemble du gouvernement.
j) Les stocks non destinés à la revente comprennent des pièces de rechange et des fournitures détenues aux fins de la prestation future des programmes et qui ne sont donc pas destinés à la revente. Les stocks sont évalués au prix coûtant. Lorsqu’ils n’ont plus de potentiel d’utilisation, ils sont évalués soit au prix coûtant, soit à la valeur de réalisation nette, en retenant le montant le moins élevé.
k) Les opérations en devises étrangères sont converties en dollars canadiens aux taux de change en vigueur à la date de la transaction. Les actifs et les passifs en devises étrangères sont convertis selon les taux en vigueur le 31 mars.
C’est la première année de fonctionnement de l’École de la fonction publique du Canada. L’École a préparé des états financiers comprenant un état de la situation financière, un état des résultats et un état des flux de trésorerie selon la méthode de comptabilité d’exercice. Il n’est ni pratique ni possible pour l’École de la fonction publique du Canada de donner des montants comparatifs, car l’information n’est pas disponible et il serait impossible d’articuler avec une certaine exactitude des estimations des années précédentes.
Depuis sa création le 1er avril 2004, l’École de la fonction publique du Canada a apporté des changements à ses conventions comptables pour les immobilisations. Le premier de ces changements est la diminution du palier de valeur des actifs à comptabiliser, de dix mille dollars (10 000 $) à cinq mille dollars (5 000 $). Le deuxième changement est la modification des périodes d’amortissement pour certains actifs clés, comme les automobiles, les ordinateurs, les logiciels achetés ou développés par l’École, l’équipement et les meubles de bureau, ainsi que l’équipement électronique et de formation. L’évolution rapide de la technologie pour ces biens électroniques réduit leur durée d’utilisation pour l’École. Enfin, l’ajout d’une nouvelle catégorie d’actifs constitue le dernier changement. Il s’agit de l’ajout d’une catégorie pour les autres équipements d’information.
CATÉGORIE D’ÉLÉMENT D’ACTIF | |||
Véhicules automobiles | |||
Matériel informatique | |||
Logiciels achetés | |||
Logiciels intégrés | |||
Équipement de bureau (incluant les meubles) | |||
Équipement de formation | |||
Équipement de traitement de la poste | |||
Améliorations locatives | |||
Durée du bail | Durée du bail | Durée du bail |
4. Crédits parlementaires
a) Rapprochement avec les crédits parlementaires votés | |
Crédit parlementaire voté |
|
Crédit 26 - Dépenses de fonctionnement de l'EFPC |
57 306 200 $ |
Crédit supplémentaire 26a |
3 068 513 $ |
Crédit supplémentaire 26b |
2 657 000 $ |
Transfert du Conseil du Trésor |
|
Crédit 15 |
237 000 $ |
Total des crédits parlementaires votés |
63 268 713 $ |
Moins : Crédits échus | 2 367 621 $ |
60 901 092 $ | |
Autorisations législatives |
|
Dépense des produits de biens excédentaires de la Couronne |
0 $ |
|
11 496 027 $ |
|
7 050 784 $ |
|
|
Total des autorisations législatives utilisées |
18 546 811 $ |
Total des autorisations utilisées | 79 447 903 $ |
b) Rapprochement entre les résultats nets et les crédits
utilisés en date du 31 mars 2005 (en milliers de dollars) |
|
Résultats nets |
$60,122,722 |
Rajustements pour les postes sans incidence sur les crédits |
|
|
|
|
7,256,383 |
|
556,769 |
|
689,124 |
|
42,464 |
|
0 |
|
0 |
$8,544,740 |
|
|
|
|
27,281,096 |
|
0 |
27,281,096 |
|
Rajustements pour les postes ayant une incidence sur les crédits |
|
|
|
|
|
|
581,494 |
|
1,719 |
|
5,612 |
|
0 |
$588,825 |
|
|
|
|
0 |
|
0 |
$0 |
|
Total des crédits utilisés |
$79,447,903 |
5. Immobilisations
Catégorie d'actif |
Coût historique 1er avril 2004 |
Ajouts |
Aliénations |
Amortissement Exercice considéré |
Amortissement cumulé |
Valeur comptable nette |
Autre équipement incluant meubles |
196 649 | 6 550 | 51 951 | 168 174 | 35 025 | |
Outils et équipement |
463 722 | 135 718 | 343 063 | 120 659 | ||
Matériel informatique |
939 636 | 453 038 | 107 675 | 702 377 | 690 297 | |
Logiciels informatiques |
1 517,458 | 121 906 | 236 050 | 337 208 | 1 302 156 | |
Véhicules automobiles | 23 905 | 8 466 | 9 960 | 13 945 | ||
Améliorations locatives |
169 090 | 16 909 | 30 350 | 138 740 | ||
Total |
3 310 460 |
581 494 |
0 |
556 769 |
1 591 132 |
2 300 822 |
Le gouvernement inclut dans ses recettes et dépenses les opérations de certains comptes consolidés établis à des fins déterminées. Les lois habilitantes exigent que les recettes de ces comptes soient réservées et que tout paiement ou dépense connexe soit déduit de ces recettes. Les opérations ne représentent pas un passif auprès de tiers, mais font l’objet de restrictions internes selon les fins déterminées.
Restrictions internes - Comptes à des fins spécifiques | 13 787 $ |
Total du passif net des restrictions internes | 13 787 $ |
Total du passif non restreint | 17 129 001 $ |
Total de l'actif net | 17 142 788 $ |
7. Passif éventuel
Dans le cours normal de ses activités, l’EFPC est visée par diverses actions en justice. Certaines obligations éventuelles peuvent devenir des obligations réelles, selon que certains événements se réaliseront ou non. Dans la mesure où l’événement futur risque fort de se produire ou de ne pas se produire, et que l’on peut établir une estimation raisonnable de la perte, un passif estimatif est constaté et une dépense enregistrée dans les états financiers consolidés du gouvernement. Le passif estimatif n’est pas porté aux états financiers de l’EFPC jusqu’à ce que son montant soit établi avec certitude.
8. Incertitude de l’évaluation
La préparation des états financiers oblige la direction à effectuer des estimations et à formuler des hypothèses qui influent sur l’actif, le passif, les recettes et les dépenses consignés dans les états financiers. Au moment de la préparation des présents états financiers, la direction considérait que les estimations et les hypothèses étaient raisonnables. L’amortissement des immobilisations est l’élément le plus important pour lequel on a recours à des estimations.
9. Opérations entre entités apparentées
L’École de la fonction publique du Canada est une propriété commune du gouvernement du Canada, comme tous les ministères et les sociétés d’État. L’École de la fonction publique du Canada effectue des opérations avec ces entités dans le cours normal de ses activités et selon les modalités commerciales usuelles s’appliquant à tous les particuliers et à toutes les entreprises, sauf que certains services déjà énumérés sont offerts gratuitement.
10. Débiteurs et avances
TPS | 74 312 $ |
Autres ministères | 1 326 125 $ |
Entités externes | 239 074 $ |
Avances aux employés | 27 256 $ |
Total |
1 666 767 $ |
11. Engagements
De par leur nature, les activités de l’EFPC donnent lieu à certains marchés et obligations importants en vertu desquels l’EFPC s’engage à effectuer des paiements échelonnés sur plusieurs années, lors de la prestation de services ou de la fourniture de biens. Voici les principaux engagements pour lesquels une estimation raisonnable peut être faite :
(000 $) |
(000 $) |
(000 $) |
(000 $) |
|
Prêts et avances | 0 | 0 | 0 | 0 |
Paiements de transfert | 0 | 0 | 0 | 0 |
Achat d'immobilisations | 0 | 0 | 0 | 0 |
Achat d'autres biens et services | 0 | 0 | 0 | 0 |
Contrats de location-exploitation | 0 | 0 | 0 | 0 |
Autres | 0 | 0 | 0 | 0 |
Total | nil | nil | nil | nil |
12. Services fournis gratuitement
Les services fournis gratuitement par d’autres ministères sont inscrits à titre de dépenses d’exploitation. Voici les principaux types de services fournis gratuitement, mais inscrits en tant que dépenses d’exploitation : installations et services bancaires, fournis par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada – 5 249 484 $; contributions couvrant la part de l’employeur des primes d’assurance des employés et les coûts payés par le Secrétariat du Conseil du Trésor – 2 006 899 $.
Réponse aux comités parlementairesLes comités parlementaires n’ont formulé aucune recommandation à l’intention de l’École en 2004-2005. |
2004 - Rapport de la commissaire à l’environnement et au développement durable 4.85 Recommandation. L’École de la fonction publique du Canada devrait déterminer comment la Directive du Cabinet sur l’évaluation environnementale des projets de politiques, de plans et de programmes pourrait être abordée dans les cours qu’elle offre aux cadres supérieurs de l’administration fédérale. À tout le moins, tous les cours sur les politiques devraient mentionner la Directive. Réponse du gouvernement. L’École de la fonction publique du Canada (laquelle comprend l’ancien Centre canadien de gestion) a terminé une évaluation préliminaire selon laquelle jusqu’à onze cours inscrits au programme de ses centres (qui sont axés sur le leadership, l’administration publique et le perfectionnement professionnel) pourraient faire mention de la Directive — notamment six cours sur les politiques. Ces onze cours sont les suivants : De la fonction de contrôleur moderne au Cadre de responsabilisation de gestion; Gestion intégrée du risque; Les défis de l’élaboration des politiques publiques : un survol; Diriger les politiques publiques; Introduction à l’élaboration des politiques publiques; Introduction à la mise en oeuvre des politiques publiques; Élaboration des politiques publiques — Niveau intermédiaire; Mise en oeuvre des politiques publiques — Niveau intermédiaire; Acquisition de biens non nocifs pour l’environnement : une approche de développement durable; Aliénation des biens meubles en surplus de la Couronne et recouvrement des investissements; et Politique sur les acquisitions et la gestion du matériel. À la suite d’une évaluation finale qui sera effectuée cet automne quant à la façon dont on pourrait renvoyer à la Directive ou l’évoquer dans les cours proposés, des changements seront apportés au contenu des cours ou à la documentation pour s'assurer que la Directive est mentionnée ou examinée pendant l’exercice 2004-2005 jusque dans onze cours. Dans certains cours, ces changements, bien que leur coût soit jugé relativement bas, pourraient dépendre de la disponibilité des fonds. Échéancier des mesures à prendre : mars 2005 État : Terminé. |
Évaluations ou vérifications externesAucune évaluation ou vérification externe des activités de l’École n’a été faite en 2004–2005. |
Évaluations ou vérifications internesÉvaluation ou vérification du projet pilote du Fonds de stimulation de l’apprentissage par l’innovation L’ancien Centre canadien de gestion, aujourd’hui l’École de la fonction publique du Canada, a lancé le Fonds de stimulation de l’apprentissage par l’innovation en février 2003 à titre de projet pilote. Vingt-sept ministères et organismes fédéraux l’ont appuyé. Les responsables du FSIA ont sollicité des propositions des employés des ministères et organismes participants qui devaient présenter des idées sur la prestation de services, l’utilisation de la technologie, la création du savoir et le transfert de connaissances. Le rapport a été transmis au Secrétariat du Conseil du Trésor (SCT), en vue de l’évaluation du projet pilote ainsi qu’à la Direction de l’analyse et de la liaison de la Direction générale de la vérification interne du SCT. Le rapport et la Réaction du comité de la vérification interne et de l’évaluation de l’EFPC se trouvent sur le site Web de l’EFPC à l’adresse www.myschool-monecole.gc.ca/about/reports_f.html. |
Ministère ou organisme | |
1. Rôle joué par l’approvisionnement et les marchés dans l’exécution des programmes. |
L’approvisionnement et les marchés jouent un rôle central dans l’exécution des programmes de l’École. L’approvisionnement permet à l’École d’obtenir le matériel essentiel comme les fournitures dont elle a besoin pour ses activités en salle de classe tandis que les marchés permettent à l’École de retenir les services entre autres du personnel enseignant pour les activités d’apprentissage des fonctionnaires fédéraux. Le service de l’approvisionnement offre conseils et orientation aux gestionnaires et aux coordinateurs de programmes pour les aider à obtenir les biens et services dont ils ont besoin. Les biens et services sont obtenus par voie concurrentielle – sur MERX ainsi qu’au moyen de commandes subséquentes à des offres à commandes internes et externes – et auprès d’un fournisseur unique si le contexte le justifie. Il incombe au service de l’approvisionnement de sensibiliser le personnel de l’EFPC aux règles et aux pratiques en matière d’approvisionnement. |
2. Survol de la façon dont le Ministère administre sa fonction d'approvisionnement. |
Le service de l’approvisionnement offre conseils et suggestions aux gestionnaires de l’EFPC. Les gestionnaires sont toutefois responsables des biens et services dont ils font l’acquisition et sont tenus de remplir et de signer une Demande de contrat et justification et, dans le cas d’un contrat à fournisseur unique, de fournir une justification du recours à un fournisseur unique. Au plan organisationnel, les activités de passation de marché et
d’approvisionnement relèvent de la responsabilité du service des
finances de l’EFPC,
où il existe une interaction continue entre les fonctions budgétaires,
d’approvisionnement, de passation de marché et des comptes créditeurs. |
3. Progrès et nouvelles initiatives permettant des pratiques efficaces et efficientes en matière d’approvisionnement. |
Conformément à l’initiative Les prochaines étapes du Conseil du Trésor et de TPSGC, l’École encourage le recours aux offres à commandes existantes de TPSGC ainsi qu’aux offres à commandes internes et externes utilisées et établies par l’EFPC, lesquelles correspondent aux besoins uniques de l’École en matière d’élaboration et d’animation de cours. L’EFPC a adopté un cadre de formation et une procédure pour mieux gérer et contrôler les niveaux d’activités liées à un fournisseur unique en encourageant le personnel à planifier à l’avance les acquisitions et en exigeant et en évaluant les justifications du recours à un fournisseur unique. Dans le cadre de l’initiative de services communs et partagés,
on continue de veiller à ce que les pratiques d’approvisionnement de
l’EFPC
demeurent efficientes et efficaces. |
Titre de la politique sur les voyages de xxx (indiquer le nom de
l’organisme) : L’École de la fonction publique du Canada se conforme aux Autorisations spéciales de voyager établies par le SCT. |
Fondement : |
Portée : |
Principales différences visant les dispositions de la politique : |
Principales répercussions financières des différences : |
Titre de la politique sur les voyages de xxx (indiquer le nom de
l’organisme) : L’École de la fonction publique du Canada se conforme aux Autorisations spéciales de voyager établies par le SCT. |
Fondement : |
Portée : |
Principales différences visant les dispositions de la politique : |
Principales répercussions financières des différences : |
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