La Loi sur les espèces en péril du Canada




a été promulguée pour protéger plusieurs espèces aquatiques notamment les poissons, les reptiles, les mammifères marins et les mollusques. Découvrez ce que la loi peut signifier pour vous, en particulier si vous êtes un pêcheur commercial, un aquaculteur, un amateur de pêche, un plaisancier, un Autochtone, un scientifique, un chercheur ou que vous pratiquez une activité pouvant avoir une incidence sur l’habitat des espèces en péril




		42 espèces ajoutées sur la liste de la LEP en vue de leur protection. Plus de détails >> Rapport sur la maraîche - Renseignez-vous sur les répercussions socio-économiques possibles de l’inscription de la maraîche en vertu de la LEP. Plus de détails >> La baleine à bec commune (population du plateau néo-écossais) et le fouille‑roche gris seront protégés en vertu de la Loi sur les espèces en péril. Plus de détails >> Rapport sur les répercussions socio-économiques possibles de l’inscription de la morue en vertu de la LEP. Plus de détails >> Le ministre de l'environnement ajoute 39 espèces sous la protection de la Loi sur les espèces en péril Plus de détails >> Comment obtenir un permis de recherche scientifique en vertu de la LEP Plus de détails >>



Esturgeon vert


D.W. Gotshall
L'esturgeon vert s’agit d’une des plus anciennes espèces vivantes au monde. Comme le petit cousin éloigné de l’immense esturgeon blanc, l’esturgeon vert est tout de même un des plus imposants membres de l’espèce, qui jouit d’une grande longévité : il peut vivre jusqu’à 70 ans, atteindre 2,3 mètres de longueur et peser jusqu’à 159 kilogrammes. La construction de barrages et de digues sur les rivières, les changements de température, la pollution et la pêche ont eu des répercussions néfastes sur l’esturgeon vert. Texte complet >>

Esturgeon vert