English | Contactez-nous | Aide | Recherche | Site du Canada | |||||
À notre sujet | Faits | Infocentre | Index A-Z | Accueil MPO | |||||
Quoi de neuf | Événements | Carte du site | Liens | Accueil | |||||
LES EAUX CANADIENNES |
Plan d'action du Canada pour les océans |
Accueil Plan d'action du Canada pour les océans Plan d’action du Canada pour les océansPour les générations d'aujourd'hui et de demainLa gestion intégrée des océans pour le développement durable
Malgré les changements importants qu’a connus la structure du secteur de la pêche commerciale, cette industrie continue de verser 2 milliards de dollars (valeur des pêches) par année dans l’économie océanique canadienne, auxquels s’ajoute 4,4 milliards de dollars en exportations. L’emploi dans le secteur de l’aquaculture a augmenté de plus de 460 p. 100 et la valeur de la production en pisciculture a augmenté de plus de 500 p. 100. Au cours de la dernière décennie, la valeur des investissements annuels dans la production de pétrole et de gaz en haute mer est passée de 250 millions de dollars à 5 milliards. Ce secteur d’emploi compte maintenant pour 4 p. 100 de l’ensemble de l’industrie océanique, comparativement à 0,3 p. 100 par le passé. Les secteurs des loisirs et du tourisme ont connu une croissance de plus de 33 p. 100 au cours de la dernière décennie, et ce, malgré une diminution du nombre de pêcheurs sportifs. Le secteur du tourisme a connu une forte croissance, autant le tourisme côtier (156 p. 100) que les croisières (augmentation de 176 p. 100 du nombre de passagers). Même si le tourisme contribue encore de manière relativement minime à l’économie océanique, son influence connaît un essor continu. En présence de bonnes conditions de gestion, l’économie océanique pourrait connaître une forte croissance, ce qui serait profitable aux populations rurales et côtières du Canada. Ainsi :
Certains facteurs importants nuisent toutefois à l’économie océanique canadienne :
Les nouveaux modèles de gestion qui s’appuient sur les trois principes de la Loi sur les océans, c’est-à-dire le développement durable, la prévention et la gestion intégrée des activités, constituent des solutions à ces problèmes. Les pays qui s’efforcent de gérer les océans de façon moderne, y compris le Canada, ont reconnu la valeur de la gestion intégrée des océans. La prévention exige que davantage de précautions soient prises lorsque les connaissances et la recherche scientifique n’ont pas encore fourni une certitude suffisante au processus décisionnel. C’est en 1992 que les États se sont entendus pour la première fois sur les principes d’une gestion intégrée qui reconnaissaient le bien-fondé à long terme du développement durable. Cela s’est fait à la Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement de 1992. En acceptant officiellement les engagements prescrits par « Action 21 », le Canada s’est joint aux efforts de la communauté mondiale et a pris des mesures appréciables pour protéger l’écosystème et accroître sa capacité de gestion des ressources. Grâce à sa Loi sur les océans et à son orientation stratégique, le Canada s’est engagé à :
Le Plan d’action pour les océans s’inspire de toutes ces approches.
|
Date de création : 2005-05-27 Mise à jour : 2005-05-27 Date de révision : 2005-09-29 |