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 Les impacts et l'adaptation liés aux changements climatiques
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Affiches sur les changements climatiques
Le saviez-vous?

C'est le XXe siècle qui a été le siècle le plus chaud des 1 000 dernières années, et la décennie la plus chaude est celle des années 1990.

Il y a 9 000 ans, la température moyenne était de 1 à 2 °C plus élevée que celle d'aujourd'hui dans le sud de la Colombie-Britannique.

"Les Vikings se sont installés au Groenland durant une période de temps chaud, appelée ""période chaude médiévale"", qui dura de l'an 1 000 à l'an 1 200. Le climat se comparait alors à ce qu'il est aujourd'hui. Aux XIIIe et XIVe siècles, le climat s'est refroidi, ce qui obligea les Vikings à abandonner leurs établissements du Groenland."

Les gaz à effet de serre s'accumulent dans l'atmosphère parce que leurs molécules possèdent une durée de vie de plusieurs décennies et même de plusieurs siècles.

Vénus, planète voisine de la nôtre, possède une atmosphère composée à 98 % de CO2. En raison d'un effet de serre intense, les températures y atteignent 430 °C. Des conditions semblables existeraient sur la Terre si tout le carbone stocké dans les roches et la végétation était libéré sous forme de CO2.

Les gaz d'échappement des véhicules sont responsables de près de 30 % des émissions de gaz à effet de serre dans la vallée du bas Fraser.

En 1948, le niveau du fleuve Fraser a dépassé la crête des digues de protection et inondé les villes de Mission, de Matsqui et de Chilliwack. Les eaux de crue ont obligé 16 000 personnes à quitter leurs maisons et les pertes se sont élevées à environ 200 millions de dollars (valeur de 1999).

Récemment, on a remarqué la présence de maquereaux, une espèce d'eaux chaudes, au large de l'île de Vancouver. Cette présence est préoccupante parce que les maquereaux pourraient manger les jeunes saumons, ce qui diminuerait davantage les stocks.

La production d'énergie hydroélectrique comble 90% des besoins en électricité de la Colombie-Britannique.

Chaque Canadien utilise en moyenne plus de 300 L d'eau à la maison tous les jours, ce qui équivaut environ au contenu d'une baignoire remplie à capacité. Cette quantité double si nous comptons également notre consommation indirecte liée à la production des biens et des services que nous utilisons. Si nous devions aller puiser ce volume d'eau, il nous faudrait faire 75 voyages avec un bidon de 4 L dans chaque main.

Il a fallu débourser 120 millions de dollars pour combattre les incendies de forêt en Colombie-Britannique durant l'été chaud et sec de 1998.

La saison de croissance dans la vallée de l'Okanagan s'est déjà allongée en raison des températures plus chaudes au printemps. Les pommiers McIntosh de Summerland, en Colombie-Britannique, fleurissent habituellement au mois de mai. Cependant, cette floraison est survenue plus tôt à huit occasions depuis 1937, dont cinq après 1987.

Un demi pour cent de la population mondiale habite au Canada, mais celle-ci produit deux pour cent des émissions de CO2 à l'échelle planétaire.

Pour stabiliser les concentrations de dioxyde de carbone dans l'atmosphère au niveau actuel, il faudrait diminuer immédiatement de 50 à 60 % les émissions de ce gaz à l'échelle planétaire. En vertu du Protocole de Kyoto, les pays participants ont fixé la cible moyenne de réduction des émissions à 5,2 % par rapport aux niveaux de 1990 d'ici 2010 environ. Le Canada s'est engagé à réduire ses émissions de 6 %.

L'amélioration du rendement énergétique est le moyen de plus rapide, le moins cher et le plus sûr de réduire les émissions de gaz à effet de serre.

Chaque année, une automobile produit en moyenne une quantité de CO2 équivalente à son propre poids.

Sans l'effet de serre naturel, la température moyenne sur Terre serait de -18 ºC.

Les gaz à effet de serre s'accumulent dans l'atmosphère, parce que leurs molécules ont une durée de vie de l'ordre de décennies, voire de siècles.

L'activité humaine est actuellement responsable du rejet annuel de 30 millions de tonnes de CO2, dont 12 millions de tonnes s'accumulent dans l'atmosphère.

"Le climat était plus froid il y a 200 ans qu'aujourd'hui. Pendant cette période, que l'on appelle le ""Petit Âge glaciaire"", les eaux du Nord étaient prises en glace et les explorateurs européens ne pouvaient emprunter le passage du Nord-Ouest."

"Il y a 1 000 ans, le climat de l'Atlantique Nord ét ait semblable à celui d'aujourd'hui. C'est à cette époque, la ""période de réchauffement médiévale"", que les Vikings ont gagné les eaux du Nord canadien."

Après le Groenland et l'Antarctique, c'est au Canada que se trouve la plus importante superficie de glaciers et de calottes glaciaires.

Si l'inlandsis du Groenland venait à fondre, la glace qu'il contient suffirait à faire monter le niveau planétaire des océans de 6 à 7 m.

Un accroissement de l'érosion littorale pourrait entraîner la perte de nombreux sites archéologiques de Dorset et de Thule.

Les polynies sont des zones d'eau libre au milieu des glaces de mer. Elles se forment souvent au même endroit chaque année.

Dans l'Arctique, la température de l'océan ne fluctue que de quelques degrés (de -2 à +3 ºC), et tout réchauf-fement pourrait donc avoir des impacts majeurs sur l'écosystème marin.

Dans la région de Sanikiluaq, la récente tendance au refroidissement a entraîné une augmentation de la couverture glacielle, ce qui a eu des répercussions négatives pour la population d'eiders, qui trouvent nourriture et chaleur dans les eaux libres de glaces.

La limite du pergélisol devrait migrer vers le nord de plusieurs centaines de kilomètres.

Le pergélisol forme une couche imperméable qui isole les résidus miniers et les sites d'enfouissement de déchets. Sans cette couche, les risques de contamination des sols et de l'eau sont accrus.

Un réchauffement des températures entraînerait la fonte des caveaux de glace traditionnels, qui ne pourraient plus servir à la conservation des viandes.

Les basses terres du golfe Queen Maud sont des aires de reproduction et de nidification importantes pour les oiseaux migrateurs. Le réchauffement du climat peut modifier cet environnement sensible et avoir des conséquences néfastes sur les populations d'oiseaux.

La combustion des déchets est une source importante d'émissions de gaz à effet de serre.

Avec l'augmentation du prix de l'essence, les batteries solaires photovoltaïques s'avèrent plus rentables pour le Nord que les sources d'énergie classiques.

Pour chaque litre d'essence consommé, votre véhicule émet environ 2,5 kg de CO2, ainsi que d'autres polluants.

Près du tiers des émissions de CO2 et de NOX du Canada proviennent du secteur des transports.

Le XXe siècle a été le plus chaud du dernier millénaire et les années 1990 ont constitué la décennie la plus chaude de ce siècle.

Il y a plus de 1 300 glaciers sur les versants orientaux des Rocheuses.

Près de 10 % de la population de Regina et 40 % de la population rurale de la Saskatchewan comptent sur les eaux souterraines.

La plupart des feux de forêt au Canada sont allumés par la foudre. Le temps chaud et sec qui accompagne le changement climatique pourrait occasionner un nombre accru de feux de forêt dans les Provinces des Prairies.

Dans le passé, les catastrophes les plus coûteuses ont été les sécheresses.

Le 5 juillet 1937, à Midale et Yellow Grass, dans le sud-est de la Saskatchewan, il a fait 45 °C, soit la plus température la plus élevée jamais enregistrée au Canada. Le réchauffement planétaire accroît les probabilités que de telles températures exceptionnelles se manifestent plus fréquemment.

La tempête de grêle qui s'est abattue sur Calgary en 1991 a duré 30 minutes et entraîné des dommages à des véhicules et à des propriétés s'élevant à plus de 350 millions de dollars

L'amélioration du rendement énergétique est le moyen le plus rapide, le moins cher et le plus sûr de réduire les émissions de gaz à effet de serre.

Chaque litre d'essence utilisé par une automobile produit environ 2,5 kilogrammes de CO2.

Avec le réchauffement de la Terre, on s'attend à ce que les changements de la température soient plus marqués dans le Nord et plus importants en hiver qu'en été.

Près de 60 % des Albertains, soit environ 2 millions de personnes, vivent à Calgary ou à Edmonton. La périphérie de Calgary est la région qui se développe le plus rapidement dans les Prairies.

Près de la moitié de la population de la Saskatchewan vit dans les régions rurales. La province compte 298 municipalités rurales, 376 villages, 146 villes moyennes et 12 grandes villes.

Ce n'est que depuis 150 ans que nous compilons des données enregistrées au moyen d'instruments météorologiques, mais les scientifiques peuvent établir des températures en remontant des dizaines de milliers d'années en arrière grâce aux gaz contenus dans les carottes de glace prélevées dans l'Arctique et dans l'Antarctique.

La météo et le climat, ce n'est pas la même chose. Climat = moyenne de la météo pendant au moins 20 à 30 ans. Lorsqu'on décrit les modifications climatiques, il est important de faire la distinction entre les modifications à long terme et celles à court terme.

La Terre se réchauffe plus rapidement qu'elle ne l'a jamais fait au cours des 10 000 dernières années.

Le liquide inflammable utilisé pour allumer les poêles de type barbecue est une source méconnue de produit chimique volatil qui détériore la qualité de l'air.

Les inondations touchent plus de 80 % des municipalités riveraines et entraînent des coûts de 10 à 15 millions de dollars en moyenne par année. Elles frappent surtout le sud de la province. C'est le type de catastrophe naturelle le plus fréquent au Québec.

Plusieurs espèces non indigènes comme la moule zébrée, la moule quagga, le gobie à taches noires et la tanche ont élu domicile au Québec en modifiant considérablement les écosystèmes. L'augmentation du commerce par les voies navigables a contribué à la dispersion de la plupart d'entre elles. Des changements de température, de niveaux d'eau et de débits peuvent aussi favoriser l'implantation de ces espèces et d'autres encore, au détriment de la biodiversité des milieux indigènes.

Le méthane est un gaz à effet de serre très puissant puisqu'il peut retenir 21 fois plus de chaleur que le CO2.

L'atmosphère de Vénus est composée à 98 % de CO2. En raison de l'effet de serre, les températures y atteignent 430 °C. Des conditions similaires existeraient sur la Terre si tout le carbone actuellement emmagasiné dans les roches et la végétation était libéré sous forme de CO2.

La tempête de verglas de janvier 1998 a laissé des accumulations deux fois plus importantes que n'importe quelle autre tempête jamais enregistrée. Depuis Kitchener dans l'ouest, en passant par l'est de l'Ontario, l'ouest du Québec, l'Estrie et le long des côtes de la baie de Fundy au Nouveau-Brunswick et en Nouvelle-Écosse, la tempête a entraîné.

Les températures extrêmes en hiver et en été causent plus de décès que les phénomènes météorologiques violents, tels que les tornades, le blizzard et les inondations.

Les véhicules produisent le tiers des émissions de bioxyde de carbone générées par les activités humaines. En outre, dans les milieux urbains, ils produisent jusqu'à trois-quarts des polluants qui, une fois combinés, forment l'ozone au niveau du sol, ingrédient principal du smog.

Le système des Grands Lacs est le plus grand système d'eaux douces de surface de la Terre. Mais seulement 1 % du volume des Grands Lacs se renouvelle chaque année. Autrement dit, si on consomme plus de 1 % de ce volume au cours d'une année, les niveaux des lacs se situeront au-dessous de ceux qui seraient atteints grâce à la recharge naturelle.

La région des Grands Lacs abrite 25 % de la population du Canada, 45 % de ses industries et constitue la plaque tournante des échanges commerciaux entre le Canada et les États-Unis, dont la valeur s'élève à 150 milliards de dollars par année.

Le Canada se situe au deuxième rang dans le monde pour la consommation d'eau par personne. En 1996, la quantité d'eau utilisée par les ménages de l'Ontario était de 270 litres par personne par jour.

En adoptant des pratiques comme l'agriculture sans travail du sol, il est possible de réduire les demandes en carburant et en main-d'oeuvre, l'érosion du sol causée par le vent et l'eau, et les investissements en capital tout en augmentant la productivité à long terme.

Bien que la plupart des collectivités qui dépendent entièrement de l'industrie forestière se trouvent dans le nord, des milliers d'emplois dans le sud de l'Ontario dépendent des produits forestiers, tels que le papier, le bois d'oeuvre et le bois de chauffage.

Tous les ans, en Ontario, environ 1 500 incendies détruisent plus de 290 000 hectares de forêt.

Les basses températures des eaux du lac Supérieur créent des conditions propices pour un certain nombre d'espèces de plantes arctiques-alpines, dont la grassette vulgaire, qui ne pousseraient normalement pas si loin au sud. Une élévation de la température de l'eau pourrait menacer la survie de cette espèce et de plusieurs autres douzaines de plantes arctiques-alpines et de peuplements de végétaux.

Lorsqu'on fait la lessive, 92 % de l'énergie utilisée servent à chauffer l'eau, et seulement 8 % à faire fonctionner la machine à laver. Par contre, en lavant et en rinçant les vêtements à l'eau froide, on évite de rejeter jusqu'à 225 kg de CO2 par année.

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  • Pour chaque litre d'essence consommé, votre véhicule émet environ 2,5 kg de CO2 ainsi que d'autres polluants.
  • Laisser tourner le moteur d'un véhicule stationnaire pendant 15 secondes consomme davantage d'essence que d'éteindre le moteur et de le redémarrer.
  • Des départs en trombe brûlent environ 50 % d'essence de plus qu'une accélération progressive.
  • L'achat d'aliments et autres produits fabriqués localement permet de réduire les émissions dues au transport.
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Afin de stabiliser les concentrations atmosphériques de gaz à effet de serre à leurs niveaux actuels, il faut réduire de 50 à 60 % les émissions de CO2.

Même si on arrêtait les émissions de gaz à effet de serre immédiatement, les effets climatiques des émissions antérieures persisteraient durant des siècles encore.

"Jusqu'au XVIIe siècle, les Basques venaient chasser la baleine dans l'estuaire et le golfe du Saint-Laurent. Ils en extrayaient la graisse afin de l'utiliser comme combustible. Ils ont cependant cessé leurs activités au cours de cette période. Le climat s'était alors considérablement refroidi et ce fut l'époque du ""Petit âge glaciaire"" (de 1400 à 1850 environ)."

Le XXe siècle a été le siècle le plus chaud depuis 1 200 ans et les années 1998 et 1999 ont été les années les plus chaudes jamais observées.

L'utilisation du transport en commun, une conduite automobile plus écologique et l'utilisation restreinte de solvants et de produits chimiques volatils peuvent aider à améliorer la qualité de l'air.

Au Québec, au cours de la saison estivale, les régions de Montréal et de la Montérégie sont les plus touchées par les phénomènes météorologiques violents où plus de 20 cas sont rapportés chaque année. On parle alors de tornades ou de vents violents, de pluies diluviennes et d'inondations ainsi que de grêle.

Des changements relativement modestes de la température et des précipitations peuvent modifier de façon marquée le volume et la période du ruissellement printanier, de même que l'intensité des inondations et des sécheresses.

Le niveau du tronçon fluvial du Saint-Laurent est surveillé et enregistré depuis le début des années 1800. Les plus bas niveaux ont été enregistrés dans les années 1930 et 1960 et la tendance est de nouveau au bas de la courbe.

Le changement climatique n'est qu'une des facettes de ce qu'on nomme les changements globaux. L'introduction de ravageurs exotiques comme le longicorne asiatique et le grand hylésine des pins s'accélère avec l'augmentation des échanges commerciaux. Ces introductions constituent une menace réelle pour nos forêts. La multiplication d'épisodes climatiques extrêmes rend les écosystèmes plus vulnérables à un grand nombre de ravageurs.

Les régions nordiques risquent d'être les plus vulnérables au réchauffement projeté au cours des prochaines décennies.

Une élévation de température aurait pour conséquence de diminuer les troupeaux de caribous, car, en été, les feux de forêts détruisent leurs habitats d'hiver.

La faune est sensible aux variations climatiques. Des résultats récents démontrent que toute modification des conditions climatiques estivales serait susceptible d'entraîner des avancées ou des retraits rapides de certaines populations avec déplacement ou perturbation de leurs habitats.

La voiture moyenne rejette en un an plus de trois fois son poids en CO2.


2006-10-06Avis importants