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 Système canadien de référence spatiale
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Système canadien de référence spatiale
Histoire du la Division des levés géodésiques
Depuis la confédération, l'une des fonctions du gouvernement du Canada a été d'assurer un système national de levés. Depuis l'époque des arpenteurs-géomètres fédéraux, qui ont aidé à ouvrir l'Ouest du pays à la colonisation, jusqu'à nos jours, le Canada a toujours disposé d'un système national de levés cohérent intégré à l'infrastructure nationale. Les Levés géodésiques du Canada, un organisme créé par décret en conseil en 1909, avaient comme mandat la détermination avec la plus grande exactitude possible de la position (et de l'altitude) de points répartis d'un bout à l'autre du pays.

De nos jours le rôle premier de la Division des levés géodésiques (DLG) est de maintenir, de continuer à améliorer et de faciliter un accès efficace à ce que nous appelons maintenant le Système canadien de référence spatiale (SCRS). Il en résulte un système national de coordonnées de référence pour toutes les activités de cartographie, de cartographie marine, de navigation, de démarcation des frontières, d'étude de la déformation crustale et pour d'autres besoins de géocodage.

Tout en continuant à répondre aux besoins courants en matière de levés de contrôle, la Division s'est développée une nouvelle vocation de soutien au positionnement depuis l'espace en réponse à une demande croissante de la part des utilisateurs du Global Positioning System (GPS). La présente décennie a vu naître le Système canadien de contrôle actif (CACS) qui a été établi pour fournir aux utilisateurs du GPS une norme nationale en matière de positions. Un service en temps réel actuellement mis au point étend l'accès au CACS. En 1994, nous avons entrepris le développement du Réseau de base canadien (RBC) à titre de réseau d'une grande exactitude matérialisé par des repères au sol et compatible avec les précisions accrues que permet le GPS.

La gravimétrie et la radio interférométrie sur très longue base sont des éléments clés du programme. Les observations en gravimétrie permettent de satisfaire des besoins en géophysique, mais servent également pour la définition du modèle du géoïde, qui lui-même contribue à la détermination de la composante verticale du système de référence permettant de convertir les hauteurs par rapport à l'ellipsoïde fournies par le GPS en cotes orthométriques utiles. Enfin, la RILB permet d'établir le cadre de référence de base pour tout le système d'après des mesures à des objets spatiaux lointains et contribue à l'évaluation des mouvements de l'écorce terrestre.

Dans la mise au point et l'exécution de son programme géodésique, la Division collabore avec des organismes comme le Service international de GPS pour la géodynamique en matière de normes internationales ainsi qu'avec des partenaires comme les provinces pour ce qui est des normes nationales et de la livraison de services aux clients. Des contrats sont accordés à l'industrie pour la satisfaction de besoins opérationnels et des initiatives en recherche et développement sont souvent confiées aux universités et à l'industrie. Le Système canadien de référence spatiale qui en résulte évolue rapidement au rythme des technologies des ordinateurs, de la communication et des satellites pour répondre aux besoins diversifiés du peuple canadien en matière de positionnement.


2006-10-18Avis importants