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2. Je veux importer/exporter des matières recyclables du/au Canada. Qu’est-ce que je dois savoir? 5. Quels sont les débouchés pour les principales matières recyclables et comment puis-je y avoir accès? 6. Où puis-je obtenir la valeur des métaux recyclables? Promotion et éducation du public 10. Je veux créer un programme de recyclage à mon école. Comment devrais-je m’y prendre? 11. Où puis-je me procurer des documents faisant la promotion du recyclage? 14. Quelles parties de mon ordinateur sont recyclables? 15. Quel est l’état du recyclage des déchets électroniques au Canada? 16. J’ai entamé un projet sur le recyclage des batteries. Où puis-je trouver de l’information? 18. Je cherche des faits et des chiffres sur le recyclage du papier au Canada. 19. Pouvez-vous me donner les adresses de quelques sites Web sur le recyclage du verre qui sont utiles? 20. À qui puis-je m’adresser pour avoir des renseignements sur le recyclage des pneus au Canada? Recherche
générale 23. Où puis-je trouver les règlements provinciaux concernant le recyclage? 25. Qu’est-ce que le gouvernement du Canada fait de ses ordinateurs? 27. Où puis-je trouver des contenants dans lesquels je pourrais mettre des choses à recycler?
Développement des affaires 1. Je veux acheter des débris métalliques d’entreprises canadiennes qui en produisent. Veuillez m’envoyer toute l’information dont j’ai besoin. Pour promouvoir et appuyer le secteur du recyclage des matières minérales et métalliques, la base de données canadienne sur le recyclage des minéraux et des métaux a été établie par le Secteur des minéraux et des métaux de Ressources naturelles Canada. Cette base se trouve au site Web sur le recyclage au Canada et sa consultation est gratuite. Dans cette base, vous pouvez faire une recherche en utilisant un type de matériau en particulier et un lieu géographique (une province ou une ville). Quarante-cinq matériaux minéraux et métalliques recyclables différents sont répertoriés dans la base, notamment les débris de véhicules automobiles, le placoplâtre, les déchets électroniques, les débris de chemins de fer, les gros électroménagers et tous les métaux non ferreux, par exemple l’aluminium et le zinc. Les entreprises répertoriées dans la base de données vendent ou achètent des débris métalliques. Cependant, toute l’information incluse dans la base de données doit être vérifiée (lorsque vous examinez la liste des entreprises affichée par suite d’une recherche, cliquez sur « Plus d’info » pour obtenir les coordonnées de la personne-ressource). Toujours à notre site Web, cliquez sur « Liens ». Vous trouverez alors sous « Métaux – sites canadiens » ou sous « Minéraux » d’autres associations que vous pouvez contacter. Pour connaître les fournisseurs canadiens de débris métalliques, vous pouvez publier une annonce dans le bulletin d’une association. Vous pouvez le faire, par exemple, à l’Association canadienne des industries du recyclage, à http://www.cari-acir.org, mais vous devrez dire précisément ce que vous voulez, l’endroit où cela doit être acheminé et qui vous êtes. 2. Je veux importer/exporter des matières recyclables du/au Canada. Qu’est-ce que je dois savoir? L’importation et l’exportation de matières recyclables peuvent dans certains cas être assujetties au Règlement sur le transport des marchandises dangereuses, qui est appliqué par la Direction des mouvements transfrontières d’Environnement Canada. Pour obtenir plus d’information sur le Règlement sur l’exportation et l’importation de déchets dangereux et de matières recyclables dangereuses, rendez-vous au site Web d’Environnement Canada consacré à ce règlement. Une attention particulière est accordée aux matières jugées de nature dangereuse aux termes d’un protocole international. Transports Canada fournit un résumé de la Loi sur le transport des marchandises dangereuses qui inclut une liste des matières considérées comme dangereuses. Voir http://www.tc.gc.ca/tmd/clair/menu.htm (Transports Canada) pour plus d’information. Vous trouverez ci-dessous les adresses de deux autres sites Web du gouvernement du Canada qui seront utiles aux entreprises désireuses d’importer ou d’exporter des matières recyclables. Plusieurs sujets sont abordés dans ces sites, notamment les règlements pertinents, les mesures de contrôle et les normes. Ces sites contiennent aussi des guides infonautes, des échiquiers commerciaux et d’autres instruments de planification.
3. J’aimerais commercialiser des marchandises au Canada et je veux indiquer que l’emballage ou le produit est recyclable après son usage. Pouvez-vous m’aider? Si vous désirez importer des matériaux ou des produits au Canada pour les commercialiser, nous vous recommandons d’étudier d’abord les exigences générales en matière d’étiquetage. Vous trouverez ces exigences à ce site : Pour les matières
recyclables, il est préférable de consulter l’ébauche
des De plus, le programme Choix environnemental® est le programme d’écoétiquetage d’Environnement Canada. Pour recevoir la certification Éco-Logo, les entreprises doivent présenter une demande en ligne qui sera évaluée et vérifiée selon des critères préétablis (par exemple, la recyclabilité de la matière ou du produit). Pour plus d’information, visitez le site Web du programme Choix environnemental. L’adhésion à ce programme est facultative. 4. Je veux mettre sur pied une entreprise de recyclage de « rebuts de métaux ». À qui dois-je m’adresser? D’après l’Association canadienne des industries du recyclage (ACIR), la grande majorité des entreprises de recyclage de rebuts de métaux ont commencé par être des entreprises familiales et un bon nombre le sont encore aujourd'hui. Par conséquent, les membres de la famille ou du personnel apprennent au fil du temps comment exploiter ce genre d'entreprise, ce qui leur permet de démarrer leur propre entreprise ou de prendre en charge une entreprise existante. L’ACIR pourrait peut-être vous aider au sujet des contrats et des responsabilités. La hausse de la demande mondiale de métaux a accru la compétitivité. Alors, de grandes entreprises se sont, elles aussi, lancées dans le recyclage (par le biais de fusions et d’acquisitions). Parmi les autres sources d’information, il y a les revues spécialisées. Vous trouverez une liste de revues, dont Scrap, au site Web sur le recyclage au Canada. The Institute for Scrap Recycling Industries (ISRI), dont le siège social est aux États-Unis, offre des cours, peut-être sur le démarrage d’une entreprise. Une autre source d’information qui pourrait vous être utile est le American Metal Market. Ce site contient des articles sur de nombreux aspects du commerce, y compris celui des rebuts de métaux.
Des matières recyclables font l’objet d’échanges commerciaux partout dans le monde. Par conséquent, les matières que vous mettez dans votre boîte bleue peuvent se retrouver n’importe où dans le monde. Comme nous disposons maintenant d’Internet, il nous est beaucoup plus facile de trouver les débouchés. Voici une liste de moteurs de recherche – elle n’est probablement pas complète :
6. Où puis-je obtenir la valeur des métaux recyclables? Plusieurs sites
Web indiquent la valeur des métaux recyclables. Utilisez un moteur
de recherche et l’expression «rebuts de métaux»
ainsi que le mot Une autre source d’information pertinente est Recoup’s Materials Recycling Markets, qui est disponible par abonnement. La personne-ressource pour cette publication canadienne peut être jointe au numéro de téléphone (613) 448-2268.
Internet est un
excellent endroit où chercher des possibilités de financement.
Utilisez n’importe quel moteur de recherche avec les mots
Cherchez sur Internet l’Annuaire des subventions au Canada – il est mis à jour annuellement et il pourrait s’avérer un autre bon ouvrage de référence sur le financement.
Si vous représentez une collectivité et que vous voulez lancer un programme de recyclage pour les gens de cette collectivité, vous avez intérêt à consulter le rapport intitulé Les déchets solides, une ressource à exploiter - Guide pour le développement de collectivités viables. Ce rapport peut être téléchargé gratuitement au site Web de la Fédération canadienne des municipalités. Si vous désirez mettre sur pied une entreprise de recyclage pour récupérer des matériaux de l’industrie, d’établissements commerciaux ou de grandes institutions (collèges, hôpitaux, édifices gouvernementaux, etc.), offrez-vous une bonne entrée en matière en parlant de votre projet avec quelqu’un qui possède déjà ce genre d’entreprise. Demandez-lui comment il s’y est pris pour monter son entreprise, ce qu’il a appris à cette étape et ce qu’il ferait différemment s’il mettait sur pied une autre entreprise du genre aujourd’hui. Voici quelques étapes préliminaires que vous devriez suivre :
Vous trouverez d’autres idées aux sites Web suivants :
Enfin, vous devez établir un plan d’affaires qui fixera la marche à suivre. Faites une recherche sur Internet avec l’expression « plan d’affaires ». Voici deux exemples de sites : Promotion et éducation du public 9. Je veux présenter les principes du recyclage dans ma salle de classe. Avez-vous de l’information ou des documents que vous pourriez m’envoyer? Internet offre plusieurs sources d’information sur le recyclage qui visent les enfants et l’éducation. Vous pourriez trouver des idées aux sites suivants :
De plus, vous pourriez consulter la liste des associations et des conseils de recyclage qui se trouve à la question précédente portant sur le matériel publicitaire et contacter les associations de l’industrie nommées dans la réponse à la question suivante. Nous ne distribuons pas de documents.
Vous devez tout d’abord, entre autres, effectuer une vérification des déchets (déterminer quoi exactement est envoyé aux rebuts à votre école et dans quelles quantités); identifier ce qui est recyclable (autrement dit, y a-t-il un marché pour cela?); déterminer en quoi consiste la gestion des déchets à votre école (vérifiez les contrats – ils peuvent ne pas offrir la flexibilité nécessaire pour mettre en place un programme de recyclage); voir quelles sont les options pour la collecte et l’entreposage (dans l’école); et déterminer les coûts (souvent, cela coûte plus cher de recycler que d’envoyer aux rebuts – cela dépend de l’endroit où vous vivez). Voici les adresses de quelques sites Web où vous pourriez trouver des conseils encore plus utiles :
Utilisez un moteur
de recherche Internet et les mots « recyclage » et
Vous pourriez demander à divers conseils et associations canadiens du recyclage s’ils distribuent des documents faisant la promotion du recyclage. En règle générale, l’éducation du public et la promotion constituent le principal volet de leur mandat.
Vous pouvez aussi demander à votre municipalité si elle distribue du matériel publicitaire.
Les symboles du recyclage utilisés aux États-Unis sont soigneusement exposés à un site Web créé par EarthOdyssey. Gary Anderson est reconnu pour être celui qui a modifié la bande Möbius pour en faire le symbole du recyclage. La bande a été découverte par le mathématicien August Ferdinand Möbius en 1858. Une recherche de base sur Internet vous mènera à de nombreux autres sites connexes. Cependant, selon le Forest Stewardship Council (Canada) , il n’y a pas de système internationalement accepté pour vérifier si un matériau entrant dans la composition d’un produit a vraiment été recyclé ou quelle définition du mot « recyclé » est utilisée. Le symbole standard du produit recyclé (la bande de Möbius) n’est pas systématiquement vérifié. C’est pourquoi de nombreuses compagnies et organisations ne s’y fient pas. L’Association canadienne de normalisation (CSA) a produit un document intitulé CAN/CSA-ISO 14021-00 Environmental Labels and Declarations - Self-Declared Environmental Claims (Type II environmental labelling), en vue de fournir des conseils sur l’utilisation d’assertions d’ordre environnemental. Ce document est disponible pour environ 60 $. Le Bureau de la concurrence est en train de produire, avec la CSA, un document explicatif au sujet de ces normes. Ce document, qui aura pour titre CAN-ISO 14021 Essentials, sera offert gratuitement au public. Il devrait être disponible à la fin de l’automne 2006 ou au début de 2007. L’État australien de Victoria a affiché sur Internet une discussion sur la bande Möbius. La norme canadienne sera en grande partie comme la norme australienne, étant donné que ces deux normes se fondent sur une même norme, soit l’ISO 14021.
13. Je veux savoir comment les matériaux en aluminium, en cuivre et (ou) en acier sont recyclés. Pouvez-vous me dire où je dois m’adresser? De nombreux sites Web sur le recyclage des métaux offrent la possibilité d’y faire une recherche d’ordre général. Les sites Internet mentionnés ci-dessous sont des exemples de sources d’information disponibles.
Les ordinateurs
en fin de vie utile font partie d’un groupe souvent appelé
Pour obtenir une estimation détaillée de la composition des matériaux utilisés dans les équipements de la technologie de l’information (TI), rendez-vous au site d’Environnement Canada. Veuillez noter que les équipements de la TI sont constamment modifiés (pour les alléger par exemple) et que les matériaux entrant dans leur composition peuvent donc changer.
Le rapport le plus récent et le plus vaste sur les rebuts d’équipements électriques et électroniques (appelés WEEE en Europe) se trouve au site Web de Waste Diversion Ontario. D’après les données pour l’Ontario, l’on estime que 180 300 tonnes de WEEE sont envoyées aux rebuts chaque année au Canada et qu’environ 2 900 tonnes de matériaux sont récupérées. La quantité de matériaux recueillis à des fins de recyclage augmentera à mesure que les provinces adopteront des programmes d’intendance. Les sites Web suivants examinent la question :
Par province : International :
Il y a de nombreuses sortes de batteries. Au Canada et aux États-Unis, la majorité des batteries au plomb-acide sont recyclées. Pour plus d’information, allez au site Web du Battery Council International. Pour les batteries rechargeables (utilisées à la maison), allez au site de la Société de recyclage des piles rechargeables. Internet renferme de nombreux autres sites liés aux batteries. En voici quelques-uns :
Au Canada, le principal groupe de l’industrie qui s’occupe du recyclage des plastiques est l’Institut des plastiques et de l’environnement du Canada (IPEC), qui est une création de l’Association canadienne de l’industrie des plastiques. Si vous désirez acheter ou vendre des matières plastiques usagées, servez-vous du lien au site de l’IPEC qui vous mènera au site de la United States and Canadian Recycled Plastics Markets Database. Vous pouvez utiliser cette base de données gratuitement. Vous trouverez de l’information sur les sacs à emplettes en plastique, au site de l’IPEC intitulé Mes sacs en plastique. L’IPEC a fait produire un rapport intitulé An Overview of Plastic Bottle Recycling in Canada et ce dernier est affiché au site de la revue Solid Waste & Recycling. Dans le cas des bouteilles en PTE, deux associations ont été établies pour représenter les intérêts de l’industrie : Petcore en Europe et NAPCOR aux États-Unis. L’Association de recyclage du polystyrène du Canada (ARPC) est située en Ontario, où elle possède une installation pour recycler les matériaux de polystyrène de postconsommation.
Comme c’est le cas pour les métaux et les plastiques, de nombreux sites Internet portent sur le recyclage du papier. N’importe quel inforobot de recherche Web trouvera de nombreux sites intéressants, notamment :
Selon Statistique Canada, 2 698 kilotonnes de vieux papier auraient été recyclées par les usines de pâtes et papiers canadiennes en 2003. La récupération du papier est maintenant d’environ 40 % alors qu’elle était de près de 26 % en 1990.
Le verre est recyclé depuis longtemps. Voici deux bons sites Web (un du Canada et un des États-Unis) :
Grâce aux programmes d’intendance exécutés à travers le pays, la plupart des pneus des voitures et des camions sont récupérés et recyclés. Ces mesures sont organisées au niveau provincial. Les coordonnées des personnes à qui l’on peut s’adresser se trouvent au site Web d’Environnement Canada ou à celui de l’Association canadienne de l’industrie du caoutchouc.
Les pneus qui ne sont pas facilement recyclés sont appelés « pneus pour service hors route ». Ils sont utilisés par les industries minière, forestière et agricole, souvent dans des régions éloignées – ces pneus peuvent peser jusqu’à 1 400 kilogrammes.
21. Quels sont les avantages du recyclage? Nous avons de nombreuses raisons de recycler, notamment celles-ci :
Statistique Canada a produit un résumé intitulé Les déchets solides au Canada. Ce résumé, dont le numéro de catalogue est 16-201-X20050008657, est publié annuellement en format électronique et se vend 26 $. Pour en obtenir un numéro, contactez Statistique Canada et cliquez sur << Nos produits et services >>. La version papier de cette publication peut être commandée :
Les liens suivants vous mèneront à chacun des ministères provinciaux et territoriaux responsables du recyclage (d’habitude inclus dans « gestion des déchets »). Chaque programme provincial est unique. Veuillez noter que ces liens peuvent être modifiés.
De nombreux sites Internet donnent une définition de l’intendance du produit, souvent désignée comme étant la responsabilité élargie des producteurs. La définition acceptée par l’OCDE se trouve au site de Five Winds International. Pour obtenir un aperçu national de la responsabilité élargie des producteurs et de l’intendance, allez au site d’Environnement Canada. Vous trouverez ci-dessous une liste des associations sans but lucratif du secteur privé qui s’occupent de divers matériaux et produits, la plupart d’entre elles étant particulières à certaines provinces.
Un débat a cours présentement afin de déterminer si les activités d’intendance actuellement exercées au Canada sont une vraie responsabilité élargie des producteurs. Si vous recherchez une évaluation de programmes canadiens faite par une tierce partie, vous obtiendrez une certaine perspective dans la revue Solid Waste & Recycling.
Tous les ordinateurs et tous les périphériques dont le gouvernement du Canada doit se défaire sont envoyés au Programme des ordinateurs pour les écoles, à des fins de remise à neuf et de réutilisation. En 2006, le Programme gérera entre 200 000 et 300 000 pièces d’équipement, notamment des ordinateurs, des imprimantes et des explorateurs. Les pièces qui ne peuvent être remises à neuf deviennent des « biens de l’État » et sont octroyées au plus haut soumissionnaire.
Tous les produits et matériaux qui ont été utilisés par le gouvernement fédéral et qui ont terminé leur vie utile sont gérés par le Centre de distribution des biens de la Couronne, qui fait partie de Travaux publics et Services gouvernementaux Canada. Le Centre ne tient plus de liste de soumissionnaires. Les personnes intéressées à acheter un bien du gouvernement fédéral doivent visiter le site Web du Centre régulièrement.
La plupart des municipalités qui ont un programme de collecte porte-à-porte à des fins de recyclage donnent des contenants neufs aux nouveaux résidents et remplacent les contenants bleus (gris, noirs ou jaunes) qui sont brisés ou qui ont été volés. Si vous êtes une entreprise et que vous voulez acquérir des contenants de collecte des matières recyclables que vous produisez, demandez à votre municipalité si elle peut vous aider (certaines le font, d’autres pas). Si vous n’obtenez pas d’aide, sachez que de nombreuses compagnies fabriquent et vendent des contenants de stockage en plastique réutilisables. Vous trouverez ci-dessous les adresses de répertoires en ligne (la fourniture de cette information ne saurait être interprétée comme étant une recommandation de la part du gouvernement du Canada). Si vous lancez une recherche sur Internet avec « contenant de stockage » et « recyclage » comme mots clés, vous découvrirez beaucoup d’autres options.
La meilleure source d’information sur le recyclage aux États-Unis est le site Web de l’Agence de protection de l’environnement des États-Unis. Cette ressource très vaste porte sur les faits de base, les publications sur le recyclage, les associations de l’industrie américaine, les données sur les déchets et le recyclage pour chacun des États et une myriade d’autres sujets directement ou indirectement liés au recyclage.
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