Conseils pour les jeunes

Un produits des Annonceurs responsables en publicité pour enfants, réalisé en partenariat avec la Stratégie nationale pour la prévention du crime

Contribuons à mettre fin à l’intimidation psychologique

SACHEZ RECONNAÎTRE L’INTIMIDATION PSYCHOLOGIQUE

Il y a beaucoup de façons d’intimider les autres – faire courir des rumeurs, colporter des commérages, injurier, ignorer quelqu’un et même rire de l’apparence ou du comportement d’une personne sont toutes des formes d’intimidation – et elles sont toutes inacceptables. L’intimidation ne doit pas forcément être physique pour faire mal!

PENSEZ-Y!

Mettez-vous à la place de la victime. Comment vous sentiriez-vous si vous étiez dans sa situation? Si vous pensez que vous seriez en colère ou tristes, il y a des chances qu’elle ressente la même chose.

INTIMIDER N’A RIEN À VOIR AVEC TAQUINER

Mettre quelqu’un mal à l’aise, le blesser ou le vexer volontairement, c’est de l’intimidation, pas des taquineries. Le fait que la victime n’ait pas été frappée ou physiquement malmenée ne rend pas la chose acceptable.

NE VOUS LAISSEZ PAS INFLUENCER

Ne faites pas simplement comme les autres si le groupe dont vous faites partie s’en prend à d’autres jeunes. Vous n’avez pas à rire ou à participer aux sarcasmes juste parce que les autres membres du groupe le font.

SOYEZ CONSCIENTS DE CE QUE VOUS FAITES

Sachez qu’en riant avec la personne qui en intimide une autre ou en l’encourageant de quelque façon que ce soit, vous êtes complices : vous participez vous aussi à l’acte d’intimidation.

AIDEZ LA VICTIME

Cherchez à connaître les jeunes qui se font malmener par les autres. S’ils semblent tristes ou angoissés, dites-leur qu’ils peuvent avoir de l’aide en se confiant à un parent, un enseignant ou un entraîneur ou encore en appelant Jeunesse, j’écoute au (800) 668-6868.

DITES CE QUE VOUS RESSENTEZ

Si d’autres jeunes s’en prennent à vous, dites-leur ce que vous ressentez. Commencez vos phrases par « Je… » pour leur faire comprendre que ce qu’ils disent ou ce qu’ils font vous blesse : « Je suis triste que vous ne me laissiez pas jouer avec vous pendant la récréation. »

CHOISISSEZ VOS AMIS

Passez votre temps avec des amis qui savent, comme vous, qu’il y a des mots qui blessent. Vous n’avez pas besoin d’amis qui cherchent à se faire valoir en abaissant les autres ou en leur faisant mal.

LES INTIMIDATEURS ONT BESOIN D’AIDE, EUX AUSSI

Tout en condamnant clairement tout acte d’intimidation, ne soyez jamais méchants envers les intimidateurs. La plupart du temps, ils agissent comme ils le font parce qu’ils sont eux-mêmes malheureux. Rappelez-vous que les intimidateurs ont, eux aussi, besoin d’aide et de compréhension.

SOYEZ UN CHEF DE FILE

Faites quelque chose de concret pour sensibiliser les jeunes et pour leur apprendre ce que sont l’intimidation psychologique et les autres formes d’intimidation afin d’y mettre fin dans votre école. Parlez à votre titulaire ou au directeur de l’école et demandez-leur de vous aider à organiser une campagne « Non à l’intimidation! » dans votre école.

Pour d’autres conseils aux victimes, aux intimidateurs ou aux témoins d’actes d’intimidation, visitez le site cca-kids.ca ou prenez contact avec :
Linda Millar, directrice de l’éducation, au (613) 833-3205 (au bureau) ou au (613) 265 1392 (cellulaire).

Source: Annonceurs responsables en publicité pour enfants

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