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Page d'accueil L'ambassadeur Chefs de la representation du Canada aux É-U Michael Kergin Discours prononcés par M. Michael Kergin le 11 mai 2004

Canada et les États-Unis : Voisins interdépendants

Discours prononcé par Michael Kergin, Ambassadeur du Canada aux États-Unis devant le Council on World Affairs

St. Louis (Missouri)
Le 11 mai 2004

Merci de votre aimable présentation. Je suis ravi de me trouver aujourd'hui à Saint Louis. Cette ville a un côté magnétique qui a réussi à m'attirer ici pour la deuxième fois en deux ans.

Il est vrai que le Missouri est un endroit populaire ces temps-ci pour les chefs politiques ambitieux, particulièrement en cette année électorale, mais je vous assure que ma présence parmi vous n'a absolument rien de politique. Ce soir, vous serez donc à l'abri de toute forme de rhétorique ou de promesses électorales. (Si tant est qu'il y a une différence entre les deux.)

Sérieusement, une des raisons pour lesquelles j'aime tant le Missouri, c'est qu'il s'agit d'un État très important pour le Canada. Mais je tiens à vous faire prendre conscience, ce soir, que l'inverse est également vrai : le Canada est important pour le Missouri.

En fait, les liens entre le Canada et cette région remontent à très loin, bien avant la grande expédition de Meriwether Lewis et de William Clark vers l'Ouest, il y a deux cents ans, et avant même que nos deux régions prennent le nom de Missouri ou de Canada.

En 1673, sous l'autorité du gouverneur général de Frontenac, le père Jacques Marquette et Louis Jolliet partirent de Québec, siège de la Nouvelle-France, afin d'explorer la rive Nord du lac Michigan jusqu'à la baie Verte (aujourd'hui Green Bay), d'où ils remontèrent la rivière aux Renards, puis descendirent le Wisconsin jusqu'au Mississippi. Ils furent les premiers Européens à débarquer sur ce territoire, qui accueillit par la suite de nombreuses communautés agricoles françaises, et qui deviendra plus tard l'État du Missouri.

Aujourd'hui, le Canada est de loin le principal marché étranger du Missouri, dont il absorbe plus de 40 % des exportations, soit davantage que vos quatorze autres principaux marchés réunis. Vos exportations vers le Canada se chiffrent à 3,7 milliards de dollars et nos échanges bilatéraux s'élèvent à plus de 6 milliards de dollars, ce qui signifie que le Missouri jouit d'un surplus commercial de près d'un milliard de dollars.

Mais ne vous inquiétez pas : malgré cette présence historique et cette dépendance économique, le Canada n'a aucune prétention à votre territoire!

Dans une perspective plus générale, les relations entre le Canada et les États-Unis sont fondées sur bien plus que des liens historiques. Nous sommes aussi liés par notre géographie, nos liens d'amitié ainsi que nos liens familiaux et commerciaux, de même que par nos valeurs démocratiques fondamentales. De plus, nous sommes unis par notre détermination à lutter contre le terrorisme.

Le président Bush a insisté sur ce point lors de la visite du premier ministre Martin à Washington, il y a deux semaines. À cette occasion, il a affirmé que son vis-à-vis canadien « comprend le danger du terrorisme, comprend l'opportunité du commerce et comprend que nous partageons des valeurs considérablement importantes, soit les valeurs de liberté et de dignité humaine ».

Nos perspectives communes se prêtent à une collaboration approfondie, à l'échelle internationale, sur des questions aussi importantes que le développement démocratique, l'ouverture des marchés et la sécurité.

Et notre coopération est soutenue par une multitude d'accords innovateurs conclus entre nos gouvernements fédéraux, entre les États et les provinces, de même qu'entre municipalités, universités et citoyens.

Le digne représentant du Missouri qu'était le président Harry Truman a un jour déclaré ceci à propos de notre relation : « Entre le Canada et les États-Unis, nous en sommes à un point où nous ne considérons plus l'autre comme un pays étranger. Nous nous percevons mutuellement comme des amis, des voisins pacifiques et coopératifs qui se partagent un continent vaste et fécond. »

En fait, nos dirigeants considèrent depuis longtemps que la sécurité et la prospérité du Canada et des États-Unis sont interdépendantes, en Amérique du Nord comme ailleurs.

Or, cela n'a jamais été aussi évident que depuis les attentats du 11 septembre 2001. Il y a deux ans et demi, lorsque le fléau du terrorisme a sévi en sol nord-américain – ce même terrorisme qui continue de semer la dévastation à l'échelle mondiale – la sécurité est devenue la plus grande préoccupation de nos deux gouvernements nationaux.

Ces attentats nous ont fait prendre conscience que nous ne sommes plus isolés des menaces qui prennent naissance à l'autre bout du monde. C'est pourquoi le Canada s'affaire à protéger ses citoyens de trois manières : en s'attaquant à l'étranger aux menaces contre la sécurité, en collaborant avec les États-Unis afin d'améliorer notre frontière commune et en adoptant des mesures de protection sur le plan national.

Ces mesures comprennent le blocage des ressources des terroristes et la modification de la législation afin d'empêcher leur financement, de même que le resserrement de la réglementation sur les réfugiés afin d'améliorer la conformité et la surveillance.

De plus, nous venons de présenter au Parlement une politique de sécurité nationale sans précédent, qui expose en détails les nombreuses mesures que nous avons adoptées depuis le 11 septembre 2001. Cette politique précise également ce que nous entendons faire pour renforcer nos capacités en matière de sécurité, notamment en investissant 8 milliards de dollars pour combler certaines lacunes.

À l'étranger, le Canada et les États-Unis collaborent étroitement pour combattre le terrorisme, et nos efforts se renforcent mutuellement.

D'ailleurs, le Canada était parmi les premiers, au début de 2002, à se joindre à la coalition dirigée par les États-Unis en Afghanistan, et son expertise hautement évoluée a permis la réalisation, sous le commandement des États-Unis, d'opérations spéciales qui ont grandement contribué au succès de la guerre contre les talibans. Et nos forces sont les seules à avoir parfaitement intégré leurs opérations aux vôtres.

Aujourd'hui, tandis que les troupes américaines combattent les insurgés talibans dans le Sud, le Canada assure le commandement de la Force internationale d'assistance à la sécurité (FIAS) de l'OTAN, établie à Kaboul, fort de l'appui de plus de 2 000 soldats canadiens.

Notre rôle, dangereux mais crucial, consiste à permettre l'installation de la stabilité et de la démocratie. Et la mort de soldats canadiens dans l'exercice de ce rôle ne diminue en rien notre engagement. Le premier ministre Martin a annoncé récemment que la présence de militaires canadiens en Afghanistan serait maintenue pendant au moins un an, et fort probablement au-delà.

L'engagement du Canada à l'égard de l'Afghanistan comprend un investissement de plus d'un demi-milliard de dollars dans la reconstruction et l'aide humanitaire. Nous contribuons également au financement de l'Autorité transitoire afghane, et nous participons à des opérations de déminage, à la réforme judiciaire et à l'organisation d'élections.

Les Forces canadiennes demeurent aussi très présentes dans les Balkans, dans le golfe Persique et en Haïti. Nous ne croyons pas que les problèmes de sécurité qui existent dans ces régions pourront être réglés à court terme. C'est pourquoi le premier ministre Martin a annoncé récemment la décision du gouvernement d'effectuer de nouvelles acquisitions importantes afin de renouveler l'équipement dont l'armée a besoin pour faire son travail.

En outre, le Canada consacre au relèvement de l'Iraq la somme appréciable de 275 millions de dollars. Même s'il a décidé de ne pas participer à la coalition militaire, à défaut d'un mandat du Conseil de sécurité de l'ONU, le Canada s'est empressé de jouer un rôle important dans la coalition humanitaire. En plus de financer l'aide humanitaire, l'éducation de base, les services d'aqueduc et d'assainissement ainsi que la formation des policiers, le Canada a renoncé à une dette de 750 millions de dollars que lui devait l'Iraq.

Toutefois, je crois pouvoir dire que nos progrès les plus importants dans la lutte contre le terrorisme concernent notre frontière commune. En fait, malgré les nouvelles mesures de sécurité qui ont dû être adoptées après la tragédie du 11 septembre 2001, notre frontière ne représente plus tant une ligne de séparation entre le Canada et les États-Unis que le témoignage de l'esprit dynamique et de l'efficacité de nos deux pays.

En décembre 2001, le Canada et les États-Unis ont signé l'Accord sur la frontière intelligente en réponse directe aux terribles attentats terroristes perpétrés trois mois auparavant.

Cet accord, qui comprend 30 mesures novatrices visant à accroître la sécurité et l'efficacité, couvre tous les aspects concernant la frontière, notamment les conditions relatives à l'envoi mutuel d'agents des douanes dans les ports de l'autre pays, les ententes sur les réfugiés et les visas ainsi que l'amélioration de l'infrastructure frontalière et l'accroissement de la mise en commun de l'information entre les autorités policières et les services de renseignement exerçant des activités hors de leur territoire national.

Par ailleurs, nous avons réalisé de grands progrès en adoptant une approche de gestion du risque à la frontière et en la combinant à des technologies de pointe.

La gestion du risque consiste à utiliser le renseignement de sécurité et l'information mise en commun pour parvenir à une interprétation commune du risque associé à des personnes données; les technologies de pointe permettent la surveillance électronique des personnes présentant peu de risque qui traversent la frontière, de manière à ce que les ressources humaines se concentrent sur les personnes auxquelles un risque plus important est associé – rendant ainsi la frontière plus amicale pour les utilisateurs amicaux.

Cette approche à l'égard de notre frontière commune de 8850 km, sans précédent à l'échelle internationale de par sa portée et son association à des technologies de pointe, est le résultat d'un travail acharné, de pragmatisme et, par-dessus tout, de l'idée selon laquelle la coopération triomphe toujours de la confrontation.

Le renforcement de la sécurité et de l'efficacité de la frontière nous permet également de nous adapter à l'augmentation phénoménale de la circulation commerciale entre le Canada et les États-Unis, due au fait que 80 % de nos échanges commerciaux, dont la valeur annuelle s'élève à 450 milliards de dollars, passent par le transport terrestre. Depuis 1989, année de l'entrée en vigueur de l'Accord de libre-échange entre le Canada et les États-Unis, les échanges entre nos deux pays ont plus que doublé.

Sur les 50 États que compte votre pays, 37 ont pour principal partenaire commercial le Canada. En effet, même si son économie est légèrement moins importante celle de l'État de la Californie et qu'elle représente moins d'un dixième de celle des États-Unis, le Canada absorbe près d'un cinquième de tous les produits exportés des États-Unis – davantage que la Chine, le Japon, Hong Kong, l'Allemagne, la Grande-Bretagne et l'Italie réunis! Pour cette raison, 5,2 millions d'emplois américains dépendent du marché canadien.

Ainsi, lorsque nous laissons le libre-échange suivre son cours, nous faisons travailler nos concitoyens.

De plus en plus, les entreprises canadiennes et américaines considèrent de plus en plus la zone de l'ALENA comme un tout. Elles prennent leurs décisions d'investissement et de production en profitant des forces respectives de chacun des partenaires de l'ALENA.

Une bonne part des échanges entre le Canada et le Missouri s'effectuent dans le secteur du transport – un avantage qui découle de l'intégration de l'industrie automobile.

En outre, l'Aviation canadienne utilise des avions F-18 Hornet, construits à l'usine de Boeing installée ici-même à Saint Louis. Et la « nouvelle économie » s'avère particulièrement propice à la multiplication des liens entre Saint Louis et les grappes biotechnologiques canadiennes de Guelph (Ontario) ainsi que de Regina (Saskatchewan).

Le commerce d'énergie entre le Canada et les États-Unis représente aussi un bon exemple d'intégration de nos marchés, le Canada étant de loin le plus grand fournisseur d'énergie des États-Unis.

Par conséquent, malgré l'instabilité chronique au Moyen-Orient, vous pouvez vous rassurer en vous disant que 85 % de vos importations de gaz naturel et près de 100 % de vos importations d'électricité proviennent de votre ami et voisin sécuritaire, qui vous exporte également davantage de produits pétroliers, bruts et raffinés, que tout autre fournisseur étranger (y compris l'Arabie saoudite).

Pour vous donner un exemple relevé près de chez vous, la raffinerie de Conoco Phillips installée à Wood River utilise du pétrole brut canadien pour produire de l'essence, du diesel et du carburéacteur.

De manière générale, l'ambassade des États-Unis à Ottawa a calculé, en se fondant sur le nombre de kilowattheures exportés, que le Canada fournissait à votre pays le tiers de toutes ses importations d'énergie.

Il va de soi que l'intégration de notre marché de l'énergie a permis à nos industries d'accroître leurs profits grâce à des économies d'échelle et au principe des avantages comparés. Toutefois, l'intégration comporte aussi sa part de difficultés.

En août dernier, par exemple, la panne d'électricité qui a pris naissance en Ohio s'est immédiatement propagée au nord jusqu'en Ontario et à l'est jusque dans l'État de New York, entraînant des pertes de production dépassant le milliard de dollars.

L'industrie du bœuf Canada–États-Unis, fortement intégrée depuis plus de dix ans, représente aussi un exemple important à l'échelle nationale. En effet, l'été dernier, un cas d'ESB a été découvert en Alberta, suivi en décembre d'un autre cas dans l'État de Washington.

Or, si nos deux pays parviennent à adopter une approche fondée strictement sur la science – et non sur le protectionnisme – la sûreté du bœuf nord-américain s'en verra assurée. Cela nous permettra en outre de rouvrir nos marchés d'exportation communs, particulièrement ceux de l'Asie, où les consommateurs considèrent tout simplement ce bœuf comme nord-américain, point à la ligne.

Par ailleurs, en plus de faciliter l'intégration économique, l'ALENA nous a également permis de devenir plus concurrentiels, car nous avons dû prendre les mesures nécessaires pour devenir des chefs de file en matière d'innovation et attirer l'investissement ainsi que la main-d'œuvre spécialisée.

Pour rendre cela possible, le Canada a pris diverses mesures au cours des dix dernières années. Tout d'abord, nous avons mis de l'ordre dans nos finances publiques – ainsi, les déficits chroniques ont été remplacés par des surplus, et la dette a commencé à diminuer.

En fait, le Canada a été le seul pays du G7 à enregistrer un surplus budgétaire en 2002 et en 2003, et l'OCDE prévoit que ce sera encore le cas en 2004 et en 2005. De plus, la proportion de la dette totale du Canada a diminué en 2003 à environ 35 % de son PIB, et, selon l'OCDE, il devrait s'agir de la plus faible de tout le G7 en 2004.

(Il y a donc vraiment des différences au nord de la frontière!)

Grâce à sa discipline fiscale, le gouvernement a été en mesure de réaliser les plus importantes réductions de l'impôt sur les entreprises de l'histoire du Canada et de procurer un avantage fiscal de plus en plus important aux entreprises canadiennes, ce qui encouragera la croissance économique et la création d'emplois.

Le taux d'imposition moyen des entreprises est maintenant plus faible au Canada qu'aux États-Unis, et, si les deux pays poursuivent dans la même voie, l'écart sera supérieur à 6 % d'ici 2008.

Le Canada investit énormément dans l'éducation et l'innovation, et il est devenu un pivot dans de nombreux secteurs de la nouvelle économie, dont la haute technologie, la biotechnologie ainsi que les technologies du multimédia et des piles à combustible.

Les changements vécus par le Canada ces dernières années se sont produits sous l'égide attentionnée de Paul Martin, lorsqu'il était ministre des Finances. Aujourd'hui, en tant que nouveau premier ministre, il a manifesté clairement son intention de continuer de réduire la dette du Canada et de se concentrer sur le développement de la nouvelle économie du pays.

Comme moi, les investisseurs américains, européens et asiatiques sont convaincus que le Canada est un endroit intéressant sur le plan de l'investissement. Cela montre leur confiance à l'égard de notre économie concurrentielle, de notre main-d'œuvre qualifiée, de notre infrastructure de premier ordre et de notre compétitivité en matière de coûts.

Et compte tenu de l'intégration considérable de l'économie de nos deux pays, la compétitivité du Canada ne menace aucunement les emplois américains. En fait, les États-Unis jouissent d'un bon surplus en ce qui concerne les échanges de services avec le Canada, ce qui signifie que les Canadiens ont davantage à craindre de l'approvisionnement aux États-Unis que l'inverse.

Le premier ministre Martin reconnaît l'importance des relations entre le Canada et les États-Unis, et il en a fait une de ses priorités. Il a d'ailleurs établi un nouveau comité du Cabinet à cet égard, comité qu'il préside personnellement. Il a en outre nommé un secrétaire parlementaire chargé exclusivement de cette question.

Et au cours des douze prochains mois, le Canada ajoutera quelque 9 consulats à son réseau de représentation aux États-Unis, et il cherchera un consul honoraire à Saint Louis.

Somme toute, mon message d'aujourd'hui vise à illustrer la nécessité du partenariat entre le Canada et les États-Unis pour notre sécurité et notre prospérité mutuelles.

À ce chapitre, nous combattons ensemble le terrorisme, chez nous comme à l'étranger, et nous avons établi des procédures novatrices afin de rendre sur-le-champ notre frontière plus sûre et plus efficace.

Auparavant, nous avons conclu l'Accord de libre-échange entre le Canada et les États-Unis, puis nous avons eu le bon sens de l'étendre au Mexique par le biais de l'ALENA. Or, ces accords de libre-échange ont dépassé nos attentes à tous les égards.

Enfin, pour améliorer notre qualité de vie, nous préservons conjointement notre environnement commun depuis près d'un siècle. Et nous sommes heureux de travailler en partenariat avec l'État du Missouri afin de protéger et de préserver notre précieuse sauvagine migratrice, et afin de faire front commun contre des aménagements hydrauliques néfastes au Dakota du Nord, notamment le projet de détournement de la Garrison et la décharge du lac Devils.

Une chose est sûre, les Canadiens et les Américains demeureront des voisins interdépendants ainsi que l'a déjà décrit le président Truman. Ce faisant, je crois qu'ils continueront de donner l'exemple aux autres pays et de représenter un modèle d'avenir pour le monde entier.

Merci.

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Dernière mise à jour :
2006-07-27
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