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Page d'accueil L'ambassadeur Chefs de la representation du Canada aux É-U Frank McKenna Discours et déclarations Le 17 novembre 2005

Frank McKenna, ambassadeur du Canada aux États-Unis

Texte d’une allocution à l’Association des études canadiennes aux États Unis
St. Louis (Missouri)
Le 17 novembre 2005

Merci, George, de cette généreuse présentation.

Merci, Mesdames et Messieurs, de m’avoir invité à prendre la parole à la conférence biennale de l’Association des études canadiennes aux États-Unis.

Je veux aussi prendre un moment pour vous remercier, George, ainsi que David Archibald, directeur exécutif de l’Association, de l’ardeur que vous mettez à mieux faire connaître et comprendre le Canada aux États-Unis. Mes collègues m’ont parlé des tâches monumentales que vous avez accomplies depuis deux ans pour renforcer l’Association.

Je tiens à signaler devant vos pairs à quel point vos efforts sont appréciés. Au nom du gouvernement canadien, permettez-moi de dire à quel point nous apprécions votre excellent travail.

Je tiens aussi à saluer l’Université de Californie à Berkeley, qui a créé sa première chaire dotée d’études canadiennes avec un fonds de démarrage de 250 000 $US fourni par Affaires étrangères Canada. Cette chaire est intitulée Chaire d’études canadiennes Thomas Garden Barnes, en l’honneur de Tom Barnes et en reconnaissance de ses longs états de service au programme d’études canadiennes de Berkeley. Elle sera occupée au début par Tom Barnes lui-même, ex-président de l’Association des études canadiennes aux États-Unis, et présent parmi nous aujourd’hui. Félicitations, Tom!

Nous avons encore une autre raison de célébrer ce soir : cette année marque le 15e anniversaire du programme canado-américain Fulbright. Le programme Fulbright a facilité l’échange de plus de 800 universitaires entre le Canada et les États-Unis. Beaucoup d’entre eux sont d’ailleurs ici aujourd’hui.

J’ai aussi le grand plaisir d’apprendre que Michael Hawes et son équipe du programme canado-américain Fulbright lancent une nouvelle initiative pour promouvoir les études américaines au Canada. Nous avons certainement besoin d’un plus grand nombre de Canadiens diplômés en études américaines. J’espère que cela donnera lieu à des projets conjoints avec les programmes d’études canadiennes aux États-Unis.

Inversement, je suis impressionné par la croissance que l’on observe depuis quelques années dans le domaine des études canadiennes. L’ambassade a reçu 111 propositions de subventions de recherche cette année, soit le plus grand nombre enregistré depuis 1991.

Nous avons assisté à l’apparition de programmes d’études canadiennes partout aux États-Unis, notamment à l’Université du Missouri, à l’Université d’État du Kansas, à l’Université de l’Ouest de l’Oregon, à l’Université Vanderbilt, à l’Université du Tennessee, à l’Université du Connecticut, et à l’Université de l’Ouest de la Géorgie. Il y a même une vibrante Association des études canadiennes dans les États du Sud. Donc, les études canadiennes sont en plein essor!

Le gouvernement canadien tire grand profit du travail des chercheurs en études canadiennes. Les recherches d’Earl Fry sur le rôle de gouvernements infranationaux en Amérique du Nord, par exemple, ont eu une influence marquée sur les décideurs au Canada. D’autres ont réalisé des travaux importants sur les attitudes canadiennes et américaines concernant l’ALENA et les enjeux commerciaux, l’intégration nord-américaine, les dossiers autochtones transnationaux, la coopération canado-américaine dans le domaine de l’environnement, les déchets de l’Ontario au Michigan, etc.

Quiconque a suivi mes discours dernièrement sait bien que l’un des thèmes sur lesquels je reviens régulièrement est la nécessité pour le Canada d’augmenter sa productivité. Je suis convaincu qu’une partie de la solution consiste à exiger davantage de notre système d’éducation postsecondaire. Nos universités et collèges doivent trouver plus d’applications pour les connaissances qu’ils produisent. C’est justement ce que fait l’Association des études canadiennes aux États-Unis, et je l’en félicite ainsi que tous ses membres.

Point n’est besoin de me connaître intimement pour savoir que je suis un passionné du Canada. Alors, vous imaginez sans peine à quel point je suis heureux de me trouver dans une salle remplie de gens qui chaque jour s’adonnent avec passion à l’enseignement et aux recherches sur le Canada.

Qu’est-ce que je pourrais vous dire que vous ne sachiez pas déjà?

Je gage que la plupart d’entre vous ne savez pas que 108 000 emplois sont tributaires du commerce avec le Canada. Le Missouri a dégagé un excédent commercial de 900 millions de dollars avec le Canada en 2004, soit 4 milliards au chapitre des exportations, contre 3,1 milliards en importations.

Saviez-vous que l’aviation canadienne est équipée de F-18 Hornets, qui sont construits ici même à St. Louis, à l’usine Boeing, et qui subissent actuellement des travaux de mise à niveau avionique?

Il existe aussi un grand potentiel de croissance dans les nouveaux liens économiques entre St. Louis et les grappes d’industries biotechnologiques de Guelph, en Ontario, et de Regina, en Saskatchewan.

Vous savez sans doute que le Canada est le premier fournisseur des États-Unis en uranium, en électricité, en gaz naturel et en pétrole.

Mais saviez-vous que le pétrole canadien alimente la raffinerie ConocoPhillips de Wood River?

Qu’il existe aujourd’hui 34 gazoducs et 22 oléoducs transfrontaliers, et 51 lignes de transport d’électricité transfrontalières qui nous relient et qui augmentent la sécurité énergétique dans nos deux pays? L’expansion de la mise en valeur des sables bitumineux exigera encore plus de pipelines et de raffineries.

Il y a plusieurs propositions dans l’air, dont l’une, Keystone, avancée par TransCanada PipeLines, qui contournerait St. Louis en route vers Patoka (Illinois) et approvisionnerait en pétrole la raffinerie de Wood River. Un autre oléoduc à l’état de projet, défendu par Altex, se rendrait jusqu’à la côte du Golfe. Voilà quelques exemples parmi bien d’autres des avantages que rapporte à nos deux pays l’intégration de leur secteur énergétique.

Face à une telle intégration, les gens ne font pas souvent attention aux excellentes nouvelles que nous voulons répandre :

  • Le Canada est un pays formidable.
  • Les Canadiens ont peut-être la meilleure qualité de vie au monde.
  • Nous jouissons de ressources humaines et naturelles immenses et diverses.
  • Après des années de sacrifice, notre situation budgétaire est saine et notre économie est forte.
  • Les États-Unis sont un pays formidable.
  • Les États-Unis, notre voisin, ami, allié et premier partenaire commercial, sont la locomotive de l’économie mondiale.

Dans tout le continent, de la Cascadia et de la région économique du Pacific Northwest à la Nouvelle-Angleterre et aux provinces de l’Atlantique, de l’Alberta et des terres pétrolifères du Texas jusqu’en Acadie et au pays cajun, des Grands Lacs aux Prairies, des Tim Horton jusqu’aux Krispy Kreme, nos citoyens cohabitent et collaborent pour construire une vie meilleure pour eux mêmes et la prochaine génération.

Ensemble, nous avons forgé le meilleur partenariat bilatéral que le monde ait jamais connu.

Pouvons-nous l’améliorer encore ? Oui.

Va-t-il falloir continuer de travailler dur pour l’améliorer? Oui.

Est-ce que cette complaisance ne donne pas lieu à la mésinformation, à des inexactitudes qui sont admises sans discussion et qui peuvent avoir un effet corrosif sur nos relations? Oui.

C’est pourquoi j’apprécie les efforts que vous accomplissez pour rejoindre les jeunes Américains. Il est d’une importance critique que les Américains et les Canadiens aient une meilleure idée les uns des autres.

C’est en grande partie mon travail et le vôtre de faire connaître aux Canadiens et aux Américains les faits sur nos deux grands pays. Il est même écrit dans votre description d’emploi et dans la mienne que nous devons corriger les inexactitudes au sujet du Canada et des États-Unis le plus rapidement et le plus fermement possible. À cet égard, depuis mon entrée en fonction à Washington, j’essaie en toute occasion de communiquer avec les Américains directement. Il ne me semble pas que mes homologues s’en offensent. Qui plus est, ils respectent ma démarche. Et le respect engendre la crédibilité.

Je suis ravi par ailleurs de souligner que des mesures prises récemment par notre gouvernement ont grandement amélioré la crédibilité du Canada aux États-Unis. Notre réponse prompte et très substantielle à l’ouragan Katrina a été fort appréciée partout, à Washington et aux États-Unis. L’Énoncé de politique internationale a été bien accueilli. Nos budgets de défense et d’aide extérieure ont été augmentés, et nos engagements au Darfour et en Afghanistan ont été applaudis de toutes parts.

De mon point de vue, la nomination du général Hillier comme chef de l’état major de la défense a été une décision brillante. Nous sommes passés des paroles aux actes. Et nous en constatons les résultats. Il ne reste qu’à mettre la dernière main à l’accord sur le lac Devils. La frontière est de nouveau ouverte à la viande bovine, grâce en grande partie à l’administration des États-Unis, qui est intervenue le plus rapidement possible. Nous coordonnons étroitement notre action face à la menace de la grippe aviaire, parce que la grippe ne s’arrêtera pas à la frontière.

Nous avons aussi promis de collaborer avec les États-Unis à propos de l’Initiative relative aux voyages dans l’hémisphère occidental, qui prescrira à compter du 1er janvier 2008 d’exiger de toute personne – américaine ou étrangère – la présentation d’un passeport ou d’un document semblable pour entrer aux États-Unis. Les intéressés, partout au Canada et aux États-Unis, sont inquiets de l’impact négatif que l’Initiative relative aux voyages dans l’hémisphère occidental risque d’avoir sur les localités frontalières et sur les échanges commerciaux.

Sur toute la frontière, des localités américaines dépendent de localités canadiennes. Tout comme celles-ci dépendent de celles-là. L’aéroport de Buffalo recrute 30 % de sa clientèle chez les Canadiens. Des localités comme St. Stephen, au Nouveau-Brunswick, et Calais, dans le Maine, ne forment qu’une seule ville, unie par la frontière.

Tous les sénateurs et membres du Congrès des régions frontalières ont exprimé des préoccupations semblables, parce qu’ils voient l’impact social et économique que cette mesure risque d’avoir sur leurs collectivités.

Le Canada reconnaît qu’il faut exiger un document protégé pour le passage de la frontière et qu’il faut renforcer la sécurité des documents préalables présentés pour l’obtention du passeport, comme les certificats de naissance et les permis de conduire. Nous avons promis de collaborer avec les États Unis à ce sujet, pour déterminer quelles seraient les meilleures solutions et les mettre à l’essai.

Dans cette optique, et vu les difficultés techniques et logistiques à surmonter pour mettre au point des documents de remplacement et les remettre aux Américains, l’échéance du 1er janvier 2008 paraît excessivement ambitieuse. Parce que lorsque nous le ferons, il faudra que ce soit bien fait.

Bien entendu, la grande question reste le bois d’œuvre résineux. Je disais tout à l’heure que nous devions continuer à travailler fort pour renforcer les relations canado-américaines. Voici un problème qui demande beaucoup de travail. Voilà deux cents ans que nous y travaillons. La question du bois d’œuvre résineux aux États-Unis est un exemple classique d’intérêts particuliers mesquins qui prévalent sur les intérêts à long terme de nos deux pays.

La superpuissance mondiale ne sert pas ses intérêts en ne respectant pas ses obligations au titre des traités. Il n’est dans l’intérêt de ni l’une ni l’autre partie de laisser un groupe d’intérêts restreint saper l’ALENA, la base de nos relations commerciales. Il faut donc continuer de travailler à ce problème, faire valoir notre position directement et franchement, avec tous les leviers dont nous disposons.

Cela concerne chacun et chacune d’entre vous. Parce que Washington est un lieu complexe, où la concurrence est forte. Les poids et contrepoids inscrits dans la Constitution en sont la cause. Il faut affronter la concurrence pour se faire entendre.

Beaucoup de Canadiens ne réalisent pas que le Congrès est l’égal de l’administration, et que les 100 sénateurs et les 435 représentants ont leur mot à dire à propos de tout. Le sénateur Richard Shelby, un républicain, a dit : « Je suis toujours d’accord avec le président – quand il a raison. »

C’est pourquoi, au 108e Congrès, près de 9 000 projets ont été présentés et moins de 500 adoptés. En fait, entre 2002 et 2004, le Congrès a adopté seulement une cinquantaine de grands projets de loi, y compris les lois budgétaires.

Comme le système est fort complexe, une armée de navigateurs, à Washington, aident les gens à s’y retrouver. Quelque 35 000 lobbyistes enregistrés aident les gens à se faire entendre et à se faire remarquer à Washington : 35 000 personnes pour aider les gens à naviguer dans ce système complexe. Chacun d’entre eux a une solution toute faite pour le problème de l’heure, quel qu’il soit. Et ce chiffre ne comprend que les lobbyistes. Washington a aussi plus d’avocats par habitant que toute autre ville du monde.

Et pour couronner le tout, tous les deux ans, tous les membres de la Chambre et le tiers du Sénat doivent se faire réélire, sans parler des élections présidentielles. Washington est en perpétuelle campagne électorale. Dire que nous trouvons les gouvernements minoritaires difficiles! Il est tout naturel que Washington ait le regard tourné vers l’intérieur.

Voici où je veux en venir. Des milliers de gens sont payés pour protéger les intérêts de groupes d’intérêts particuliers. Vous connaissez tous la taille et la diversité de nos relations avec les États-Unis.

  • 86 % de nos exportations aboutissent ici; elles représentent plus du tiers de notre PIB, soit près de 2 milliards de dollars canadiens par jour;
  • les échanges commerciaux entre nos deux pays se chiffrent à plus de 500 milliards de dollars par année;
  • un camion franchit la frontière toutes les 2 secondes, 300 000 personnes en font autant chaque jour.

Par conséquent, ce n’est pas seulement l’ambassade du Canada qui doit se battre pour le Canada aux États-Unis.

Ce ne sont pas seulement nos dix-neuf consulats dans les différentes parties du pays, nos douze consuls honoraires ni les huit nouveaux consuls honoraires que nous aurons bientôt. Plus le Canada a de monde sur le terrain, mieux il pourra, premièrement, relever les problèmes éventuels, deuxièmement, élaborer des solutions et, troisièmement, trouver l’intérêt américain qui nous fera négocier le labyrinthe jusqu’au grand prix qui nous attend à la fin. Nous devons agir de concert et employer tous nos moyens pour gérer nos relations.

Il est important d’entretenir des relations personnelles vigoureuses et étroites pour y arriver. Le président et le premier ministre ont de bonnes relations. Les secrétaires du Cabinet et les ministres en ont aussi. De même que l’ambassadeur Wilkins et moi. Mais nous avons besoin de plus que cela.

Nous devons systématiquement découvrir, pour collaborer avec eux, nos alliés américains, qui partagent nos opinions dans chaque dossier. C’est le facteur le plus important pour mettre nos problèmes au premier plan et pour les résoudre.

Par exemple, nous avons eu un cas récemment où un missile a été lancé de Cape Canaveral, et où un propulseur auxiliaire semblait sur le point de tomber à Terre-Neuve. Et Terre-Neuve ne voyait pas cela d’un bon oeil. Alors, nous avons essayé de tirer des ficelles, ce qui a donné quelque chose comme ceci : « Où est donc Terre-Neuve? Pourquoi cela nous intéresse-t-il? Qu’est-ce qui provoque tout ce cirque? – Savez-vous que plusieurs pétrolières du Texas ont des puits à Terre-Neuve? – Pourquoi ne le disiez-vous pas plus tôt? »

De même à propos du lac Devils. Nous avons commencé par essayer de convaincre les Américains qu’ils risquaient de polluer le Canada, puis nous leur avons expliqué ce qu’ils risquaient de faire au Michigan, au Missouri et dans les autres États voisins. Une fois que nous avons fait intervenir ces États, la Maison Blanche est intervenue, et nous avons obtenu un accord. Si nous avions parlé seulement du Canada, nous ne serions arrivés à rien.

Il en est ainsi de la réserve faunique de l’Arctique. Nous coopérons étroitement avec nos alliés américains pour préserver cet habitat naturel vierge et le mode de vie des Gwich’in, et nous observons des progrès encourageants au Congrès. Quand le Canada veut faire résoudre un problème, il faut parfois taper du pied et gueuler un peu. Mais il ne faut pas s’en formaliser, parce que c’est comme ça que fonctionne le système américain.

Un des autres outils dont nous nous servons pour faire passer notre message est Lien Canada. Beaucoup d’entre vous adhérez au réseau Lien Canada, que l’ambassade a créé à la fête du Canada, l’été dernier. Plus de 20 000 personnes font maintenant partie de ce grand réseau interactif de Canadiens et d’amis du Canada aux États-Unis.

Je suis déjà réconforté par la rétroaction que nous avons reçue des membres de Lien Canada. Un professeur de l’Université d’État à Portland nous a écrit récemment pour nous dire que cette année, il demande à tous ses étudiants d’adhérer à Lien Canada, pour se tenir au courant de ce qui se passe au Canada.

Je vous encourage tous à visiter Connect2Canada.com pour voir ce qu’il y a de nouveau. Nous espérons entre autres y inscrire les experts sur le Canada, ainsi que les programmes d’études canadiennes. Veuillez contacter l’équipe de Lien Canada si vous voulez y adhérer. Et, s’il vous plaît, encouragez vos étudiants à le visiter et à y adhérer également. Nous avons tous intérêt à nous tenir au courant de l’actualité concernant les relations canado-américaines.

Harry Truman, célèbre enfant du Missouri, a dit de ces relations :

« Le Canada et les États-Unis en sont au point où ils ne se considèrent plus comme des pays étrangers, mais comme des amis, comme des voisins pacifiques et coopératifs sur un continent spacieux et fertile. »

Le travail de recherche et d’enseignement effectué par les membres de l’Association des études canadiennes aux États-Unis est essentiel pour stimuler l’imagination et encourager les idées et la coopération grâce auxquelles les relations canado-américaines demeurent vibrantes, modernes, un modèle pour le reste du monde. Continuez cet excellent travail. Bon, je pense avoir fait assez de publicité pour ce soir, alors, merci de votre hospitalité, et mes vœux de succès à tous et toutes.

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Dernière mise à jour :
2006-11-06
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