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Notes pour souhaiter la bienvenue à la Chambre de commerce de Greenville et à la Chambre de commerce de Spartenberg

Colin Robertson
Ministre (défense des intérêts) et chef du Secrétariat de la représentation à Washington
Canadian Embassy
Washington, DC
Le 13 septembre 2005


Je suis ravi de souhaiter la bienvenue aux membres de la Chambre de commerce de Greenville et de la Chambre de commerce de Spartenberg en visite à Washington. Nous sommes heureux également de saluer la présence parmi nous, ce soir, de Votre député au Congrès, M. Bob Inglis, ainsi que celle de vos présidents, MM. Stewart Spinks et Max Metcalf, qui diront chacun quelques mots.

Pour ma part, j’ai à mes côtés, ma femme Maureen, ainsi que mes collègues Susan Harper, Les Reissner, Lynn Macdonald et Jay LaFrance. Je devrais vous dire que Les, qui fait du vélo tous les jours, m’a fait part d’un reportage qui a paru dans le journal local au sujet de George Hincapie, que vous avez récemment honoré pour le succès remporté aux côtés de Lance Armstrong au Tour de France.

Nous sommes honorés de compter parmi nous l’ambassadeur américain, M. David Wilkins, et sa femme Susan.

J’ai passé la majeure partie des deux dernières journées en compagnie de l’ambassadeur Wilkins dans le cadre de la réunion annuelle du Conseil canadien des chefs d’entreprise qui s’est tenue à Washington.

L’ambassadeur Wilkins a fait remarquer, hier, qu’il lui était possible, après avoir visité la plupart de nos États (que nous appelons provinces), de faire les deux observations suivantes :

  • Premièrement, Madame Susan Wilkins sera une ambassadrice exceptionnelle.
  • Deuxièmement, M. Frank McKenna s’avère un ambassadeur remarquable pour le Canada.

Les Canadiens sont évidemment tout à fait d’accord avec l’ambassadeur Wilkins, mais permettez-moi d’ajouter l’observation suivante :

Je tiens à dire à chacun d’entre vous à quel point nous sommes chanceux, nous les Canadiens, d’avoir votre ancien « Speaker » comme ambassadeur américain au Canada.

Il fait actuellement l’expérience du vieil adage chinois « Puissiez-vous vivre à une époque intéressante ». Depuis son arrivée, il s’est heurté de front aux trois différends majeurs opposant le Canada et les États-Unis sur le plan du commerce et de l’environnement. D’après mes chiffres, il obtient une note de deux sur trois pour la réouverture de la frontière aux bovins et pour Devils Lake. Il ne reste plus que le bois d’œuvre!

Chacun d’entre vous est conscient de l’importance du commerce.

D’ailleurs, lorsque Maureen et moi nous sommes joints à la tournée diplomatique inaugurale de la Caroline du Sud, organisée par le sénateur Lindsay Graham en novembre dernier, nous ne pouvions qu’être impressionnés par le dynamisme de votre État. Nous avons été frappés de l’attitude gagnante, dont votre usine BMW est un bon exemple.

Il y a également l’investissement des gens dans l’avenir que nous avons pu constater à l’USC et à Clemson. Je dois vous avouer qu’à mon retour, j’ai partagé avec nos présidents d’université le rapport du président de Clemson, M. Jim Barker, sur ses engagements. La semaine dernière, je me suis rendu à Toronto pour assister à la réunion de la Chambre de commerce de l’Ontario, et j’ai cité votre initiative du Centre international sur la recherche automobile comme un exemple d’une collaboration et d’une philosophie intelligentes entre le milieu des affaires et le milieu universitaire.

Après tout, il s’agit de collaborer et de travailler de concert. La carte dans le coin est une illustration graphique de la plus importante et de la plus prospère relation commerciale au monde.

À propos de commerce, j’aimerais exprimer ma reconnaissance aux adjoints du bureau du sénateur DeMint, qui sont avec nous ce soir, et souligner à quel point nous apprécions la position du sénateur sur le libre échange.

Nous savons tous que ce sont le commerce et notre ouverture aux nouvelles idées et aux gens, ainsi que notre capacité d’adaptation, qui assurent la prospérité du Canada et des États-Unis.

La Caroline du Sud est un acteur important dans cette relation. Nous achetons plus de 1/5 de vos exportations. L’an dernier, nous étions votre principal partenaire commercial. De plus, on estime que le commerce avec le Canada crée 69 000 emplois en Caroline du Sud. Les pièces d’automobiles, qui arrivent au premier rang des produits échangés, témoignent de l’intégration de notre industrie automobile.

Au nombre des produits échangés figurent également les pneus gigantesques que vous produisez à Greenville pour les camions que nous utilisons pour l’exploitation des sables bitumineux de l’Alberta et de la Saskatchewan. Le pétrole extrait en bout de ligne fournit l’essence pour nos voitures et l’huile pour le chauffage. Vous savez, bien entendu, que le Canada est le principal et le plus sûr fournisseur étranger de pétrole, de gaz, d’uranium et d’hydroélectricité des États-Unis.

Nous sommes aussi de gros investisseurs en Caroline du Sud : des entreprises comme Magna, La Banque Royale du Canada et la pharmacie Eckerd constituent de bons exemples de Canadiens investissant dans l'État du Palmetto.

Et, parce que nous aimons la Caroline du Sud, nous y passons nos vacances. Près de 400 000 Canadiens s’y sont rendus l’an dernier, dépensant plus de 175 millions de dollars sur vos plages et vos terrains de golf. Nous avons goûté à vos fruits de mer, à votre ragoût Buford et, mes préférées, aux arachides bouillies.

Si vous allez à Myrtle Beach au printemps, tous les fous que vous verrez dans l’océan sont des Canadiens — on a célébré cette année le 43e anniversaire des journées CanAm. Une autre raison pour laquelle nous y allons c’est qu’il est inscrit sur vos plaques d’immatriculation « Visages avenants, endroits accueillants » (Friendly Faces, Beautiful Places).

L’ambassadeur Wilkins a fait remarquer l’autre jour qu’« un ami est quelqu’un qui danse avec vous au grand jour et qui marche à vos côtés dans l’ombre ». Les Canadiens ont partagé avec vous les affres de la tragédie de Katrina à la Nouvelle-Orléans. Et, avec vous, nous réagissons.

La semaine dernière, quatre navires de guerre canadiens ont quitté le port de Halifax chargés de fournitures médicales. L’ambassadeur Wilkins y était. Aujourd’hui, ces navires sont dans le Golfe.

Permettez-moi de signaler que ces navires de guerre ont tous servi dans l’autre golfe, et bon nombre d’entre eux ont offert un service d’escorte aux porte-avions américains. Dans la lutte mondiale contre le terrorisme, nous sommes aux côtés des États-Unis.

La semaine dernière, ici à l’ambassade, nous avons organisé une activité de collecte de fonds d’une journée au cours de laquelle nous avons recueilli de l’argent pour la Croix-Rouge, au moyen d’un déjeuner et d’un dîner offerts à un pub local. Laissez-moi vous répéter les mots inscrits sur la bannière accrochée à la façade de l’ambassade donnant sur Pennyslvania Avenue : « Aux victimes de Katrina, vous êtes dans nos pensées et dans nos prières » (Victims of Katrina you are in our thoughts and prayers).

Nous n’avons pas agi de la sorte seulement parce que c’est la bonne chose à faire, mais parce que c’est ainsi que se conduisent mutuellement de bons voisins dans les moments difficiles.

Comme l’un de mes anciens collègues en a fait la remarque plus tôt aujourd’hui, à la suite de la plus grande catastrophe qui ait frappé le Canada – lorsqu’un navire rempli de munitions a explosé dans le grand port de Halifax en 1917, causant les mêmes dommages que Katrina a infligés à la Nouvelle Orléans – cette nuit-là, un train a quitté Boston avec un chargement de fournitures médicales. Chaque année, un énorme arbre de Noël illumine Prudential Plaza à Boston, c’est un cadeau des gens de la Nouvelle-Écosse en témoignage de gratitude. De même, en février 1998, lorsque nous avons été secoués par la tempête de verglas qui a figé notre capitale, Ottawa, et une bonne partie du Québec, les équipages américains ont été parmi les premiers à aider à rétablir le courant, et les poteaux de remplacement ont été fournis par le Sud des États-Unis.

Tout compte fait, le tout est de s’entraider dans les moments difficiles et de travailler de concert en vue de notre prospérité commune.

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Dernière mise à jour :
2006-07-27
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