Gouvernement du Canada
Skip all menus (access key: 2) Skip first menu (access key: 1)
English Contactez-nous Aide Recherche Site du Canada
Page d'accueil Communications Page d'accueil AEC Carte du site Nouveautés
Choisissez un site:  
Ambassade du Canada à Washington
Un partenariat solide
L'ambassadeur
Nos services
Centre de renseignements
Représentation à Washington
Notre programme de stages
Passeport / Services consulaires et d'urgence pour les canadiens
Visas et Immigration
Gouvernement et Politiques
Commerce et Investissement
Coopération sur la frontière
Défense, sécurité et politique étrangère
Environnement
La culture au Canada
Art et culture du Canada à D.C.
Étudier au Canada / Études canadiennes
Tourisme au Canada
Bureaux du gouvernement canadien aux États-Unis
Version imprimableVersion imprimable Envoyez cette page par courrielEnvoyez cette page par courriel

Page d'accueil Environnement Mythes et réalités de la chasse au phoque au Canada Atlantique

Mythes et réalités de la chasse au phoque au Canada Atlantique

Le Canada prend très au sérieux son rôle de protecteur du milieu naturel et demeure résolu à respecter les principes de conservation et de durabilité. Le gouvernement du Canada surveille de près et réglemente rigoureusement la chasse au phoque afin qu'elle soit pratiquée sans cruauté et qu'elle respecte les principes de conservation.

Le Canada respecte le droit de s'opposer à la chasse au phoque; toutefois, de nombreux mythes persistent au sujet de la chasse. Le texte qui suit sur les mythes et la réalité présente des faits sur la chasse au phoque pratiquée au Canada qui, nous l'espérons, apaiseront vos préoccupations.


Mythe no 1 : Le gouvernement du Canada permet aux chasseurs d'abattre des blanchons..

Réalité : La chasse des petits du phoque du Groenland (blanchons) et des petits du phoque à capuchon (dos bleus) est interdite - et ce, depuis 1987. Les images du blanchon du Groenland sont largement mises en évidence par les opposants à la chasse au phoque pour donner la fausse impression que des bébés phoques vulnérables sont ciblés par les chasseurs durant de la chasse commerciale.

Le Règlement sur les mammifères marins interdit le commerce, la vente ou le troc des fourrures de ces petits phoques. De plus, il est interdit de chasser les phoques dans les aires de reproduction ou de mise bas et les jeunes phoques doivent être sevrés, autonomes et indépendants.


Mythe no 2 : Les phoques sont écorchés vifs.

Réalité : Selon un rapport indépendant publié en 2002 dans la Revue vétérinaire canadienne et de nombreux autres rapports, ces allégations sont fausses. Les conclusions du rapport en 2002 démontrent que la grande majorité des phoques capturés durant la chasse (98 pour cent) sont abattus sans cruauté.

Parfois, un phoque semble bouger après avoir été abattu. Même quand ils sont morts, les phoques ont des convulsions attribuables au " réflexe de la nage ". Ce réflexe donne la fausse impression que l'animal est toujours en vie alors qu'il est manifestement mort. Il est semblable au réflexe des poulets.


Mythe no 3 : Le gourdin - ou le hakapik - est un instrument barbare qui n'a pas sa place dans le monde d'aujourd'hui.

Réalité : Des études américaines et canadiennes montrent que le gourdin (ou hakapik) est une arme efficace pour abattre l'animal rapidement et sans cruauté. La Commission royale sur les phoques et l'industrie de la chasse au phoque s'est penchée sur les méthodes de chasse et a conclu que la chasse au gourdin, lorsqu'elle est pratiquée correctement, n'est pas plus cruelle, et est même souvent moins cruelle, que les méthodes d'abattage utilisées dans les abattoirs commerciaux, lesquelles sont acceptées par la majorité de la population.


Mythe no 4 : La chasse n'est pas une activité durable et met en danger la population de phoques du Groenland.

Réalité : Depuis les années 60, les groupes écologistes affirment que la chasse au phoque n'est pas une activité durable. Pourtant, la population de phoque du Groenland est en santé et abondante - elle a presque triplé depuis les années 1970. Cette croissance est attribuable en grande partie aux mesures de conservation rigoureuses établies par Pêches et Océans Canada (le MPO) ainsi qu'à notre engagement en faveur de la gestion durable de toutes les populations de phoques. Les phoques - et les phoques du Groenland en particulier - sont loin d'être " en voie de disparition ".


Mythe no 5 : La chasse au phoque ne fait l'objet que d'une surveillance approximative et le MPO ne pénalise pas les activités ou pratiques illégales.

Réalité : La chasse au phoque fait l'objet d'une étroite surveillance et d'une réglementation rigoureuse. Des sanctions sévères s'appliquent aux actes illégaux, y compris des amendes imposées par la cour et la confiscation des prises, des engins de pêche, des navires et des permis. En 2005, les agents des pêches ont consacré environ 12 600 heures à des activités de surveillance et d'application de la loi afin de veiller à ce que la chasse se fasse sans danger et sans cruauté! Les agents des pêches surveillent la chasse au moyen de patrouilles aériennes, de patrouilles de surface (à bord de bateaux), de vérification à quai des bateaux aux lieux de débarquement, ainsi que d'inspections aux points d'achat et dans les usines de transformation.


Mythe no 6 : Les chasseurs touchent si peu de revenus de la chasse au phoque qu'il ne s'agit pas d'une industrie viable.

Réalité : Les phoques représentent une source de revenus importante pour certains chasseurs et pour des milliers de familles de l'Est du Canada, à une période de l'année où les autres possibilités de pêche sont pour le moins limitées dans les collectivités côtières éloignées. La chasse au phoque crée également des perspectives d'emploi dans le secteur de l'achat et dans les usines de transformation.


Mythe no 7 : Pêches et Océans Canada (MPO) subventionne la chasse au phoque.

Réalité : Le MPO ne subventionne pas la chasse au phoque. La chasse au phoque est une industrie viable sur le plan économique. Toutes les subventions ont cessé en 2001. Même avant, les subventions accordées visaient le développement du marché et des produits, notamment une subvention pour la chair, en vue de favoriser l'utilisation complète des carcasses.


Mythe no 8 : Le gouvernement du Canada autorise les chasseurs à abattre des milliers de phoques pour favoriser le rétablissement des stocks de morue.

Réalité : Le quota commercial de la chasse au phoque se fonde sur des principes de conservation scientifiques, et non pas sur des objectifs de rétablissement des stocks de poisson de fond. Plusieurs facteurs ont contribué à entraver le rétablissement des stocks de morue, dont la pêche, la mauvaise condition physique des poissons, leur faible taux de croissance et des changements environnementaux.

Mythe no 9 : La majorité des Canadiens s'oppose à la chasse au phoque.

Réalité : La plupart des Canadiens sont en faveur d'une chasse au phoque responsable. Les groupes de défense des animaux qui font campagne actuellement contre la chasse au phoque, citent le sondage Ispos-Reid de 2004 selon lequel la plupart des Canadiens s'opposent à la chasse. En fait, les Canadiens appuient les politiques fédérales sur la chasse au phoque. Un sondage Ipsos-Reid mené en février 2005 conclut que la majorité des Canadiens est en faveur d'une chasse responsable.


Pour plus de renseignments, veuillez consulter http://www.dfo-mpo.gc.ca/seal-phoque/faq_f.htm

L'ambassadeur | Nos services | Centre de renseignements | Représentation à Washington | Passeport / Services consulaires et d'urgence pour les canadiens | Visas et Immigration | Gouvernement et Politiques | Commerce et Investissement | Coopération sur la frontière | Défense, sécurité et politique étrangère | Environnement | La culture au Canada | Art et culture du Canada à D.C. | Étudier au Canada / Études canadiennes | Tourisme au Canada | Bureaux du gouvernement canadien aux États-Unis

Dernière mise à jour :
2006-06-26
Haut de page
Haut de page
Avis importants