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Révéler les secrets de la toile
Vous
ne souhaiteriez pas répandre votre café sur une ceinture
de sécurité faite de soie d’araignée, car elle
subirait immédiatement une supercontraction.
M. Michal, physicien de l’University of British Columbia, et son équipe de recherche ont étudié la soie de trame de l’araignée orbitèle Nephila clavipes. Cette grosse araignée – dont le corps mesure de trois à quatre centimètres – est une usine de fabrication de soie qui peut produire jusqu’à 150 mètres de fil avant de se tarir – plus qu’il n’en faut à M. Michal pour mener des expériences de résonance magnétique nucléaire (RMN) en phase solide.
Selon le chercheur, la compréhension du processus de supercontration ne représente qu’une première étape. Ses recherches nous font faire un pas de plus vers le but qui consiste à maîtriser la supercontraction et à créer un jour des fibres de soie d’araignée artificielles. C’est une idée qui fait rêver les scientifiques depuis des années. La soie de trame que les araignées fabriquent lorsqu’elles chutent est cinq fois plus solide que l’acier, s’étire deux fois plus que le nylon avant de casser et est biodégradable. Ses applications potentielles comprennent l’amélioration des sutures et des tendons artificiels, et la création de lignes de pêche biodégradables, de cordes de parachutes plus solides et de gilets pare-balles légers. Personne-ressource : Carl Michal |
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