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ATELIERS PUBLICS D’AVRIL 2000
SOMMAIRE DES COMMENTAIRES ET
RECOMMANDATIONS
1. Notre ligne sans frais d’interurbain vous
est-elle utile ?
Tous les participants ont reconnu la grande
utilité de la ligne sans frais d’interurbain ainsi que la nécessité de la
conserver. Ils ont cependant apporté d'autres suggestions:
- Dans certains cas, les appels sur la ligne
sans frais d’interurbain devraient pouvoir être transférés directement à des
experts du CRTC, et pas uniquement aux agents d'information.
- Cette ligne devrait aussi être accessible aux
personnes ayant des problèmes auditifs, via ATS.
- Le Conseil pourrait également s'en servir
pour solliciter l’opinion publique sur divers sujets. Ce faisant, le Conseil
se doterait d'un outil supplémentaire moins intimidant que le processus
officiel de plaintes, ou les audiences publiques.
2. Nos processus publics (audiences et avis
publics) sont – ils suffisamment accessibles ? Comment encourager une plus grande
participation ?
Tout sont d’avis que les audiences publiques
demeurent très intimidantes, à la fois pour ceux qui y participent
régulièrement, que pour le grand public. Cependant, on a remarqué les efforts
du Conseil pour les rendre plus accessibles et moins formelles.
Suggestions/Recommandations :
- Les avis devraient indiquer clairement que
toutes les audiences publiques sont accessibles par téléconférence.
- Les consultations publiques, comme celles
portant sur le renouvellement de licence de Radio-Canada ou sur la
radiodiffusion ethnique sont très utiles et faciles d’accès; on devrait
toujours avoir recours à ce type de formule pour les sujets qui intéressent
le grand public.
- Lors des audiences publiques, les
intervenants pourraient être mieux traités. Ils devraient être avisés le plus
tôt possible du moment de leur comparution, à savoir le jour précis, en
matinée ou en après-midi; Tous comprennent toutefois que cela n’est pas
toujours possible, mais que la communication d’un agenda quotidien serait
déjà fort appréciée.
- Les intervenants devraient avoir le choix de
présenter des témoignages oraux, sans les avoir obligatoirement par écrit.
- Le processus public est extrêmement lourd
dans le secteur des télécommunications, surtout pour les nouvelles petites
compagnies de téléphone qui n’ont pas de personnel dédié aux affaires
réglementaires. Il est sans doute pratiquement impossible pour le grand
public de suivre ce processus. Le Conseil devrait préparer de courts
aide-mémoire sur le processus public, indiquant :
Comment participer ? Quels sont les objectifs et les résultats escomptés ?
Comment intervenir ? Quel est le degré de complexité ou de simplicité du
processus ? Est-ce que le grand public devrait participer ou pas ?
- On devrait organiser plus de réunions comme
celle-ci, pour mieux comprendre les besoins d’information des citoyens.
- Les avis d’audiences publiques devraient
clairement indiquer que les participants éventuels peuvent faire part au
Conseil de besoins ou demandes spéciales que se soit au niveau de l’horaire
ou des services aux personnes handicapées.
- Il devrait y avoir un moyen de suivre l’ordre
du jour de façon à avoir une meilleure idée du moment de la comparution de
chacun. Peut-être par une note sur le site Web ?
- On devrait continuer à fournir des documents
sur papier, car un grand nombre de gens n’ont pas encore accès à un
ordinateur.
- Les processus publics devraient faire l’objet
d’une plus grande diffusion : les intervenants ont besoin de savoir qu’ils
ont été entendus, et que leur participation a eu un impact.
- On devrait utiliser et diffuser davantage la
partie de « représentation spéciale » des audiences publiques. Personne n’est
au courant.
- Les procédures du CDCI(CISC) : le Conseil
devrait séparer les discussions portant sur des politiques et celles portant
sur des sujet plus techniques. Il attirerait ainsi plus de participants pour
des périodes plus courtes.
- Il faudrait inclure un processus moins
officiel dans toutes les instances publiques en télécommunications où l’on
prévoit la participation du public. On a déjà adopté ce type de mesures dans
certains cas, par exemple pour l’instance sur les régions à coûts élevés,
mais ce genre d’initiatives pourrait être répétée plus souvent.
- Le Conseil devrait faire rapport sur toutes
les plaintes qu’il reçoit.
- Lors d'une audience, il faudrait indiquer
clairement aux intervenants quels sont les moments appropriés pour parler aux
conseillers.
- Tous les requérants devraient être obligés de
présenter un sommaire exécutif de leurs soumissions.
- Les procédures d’adjudication de frais
en télécommunications :
- La procédure d’adjudication
intérimaire est rapide.
- La procédure ordinaire prend beaucoup trop
de temps : il arrive que des témoins experts doivent attendre de 2 à 3 ans
avant d’être payés.
- On pourrait peut-être adopter des normes de
service; par exemple, l’envoi des chèques dans les 4 mois suivant une
décision ou 4 mois après la fin d’une instance publique.
- La plupart des associations n’interviennent
pas lors des processus publics, faute d’adjudication de frais. Il faudrait
y remédier.
- Tous ceux qui participent à des
audiences, que ce soit en personne ou par écrit devraient recevoir un avis
confirmant que l’on a pris acte de leur intervention.
- Les gens ne réalisent pas que leurs
interventions, lors d’une audience publique ou d’une autre consultation, ne
sont pas considérées comme des plaintes. Il faudrait donc que le processus
soit mieux expliqué ou simplifié.
- En matière de radiodiffusion, le Conseil
devrait accepter les plaintes téléphoniques.
- En télécommunications, tous ceux qui
participent à un processus public devraient recevoir la liste de tous les
participants inscrits, ainsi que les enjeux.
- Le Conseil devrait indiquer comment et par
qui sont prises les décisions et faire ainsi preuve de plus de transparence.
- Les stations de radio communautaires et de
campus :
- Le Conseil aurait dû organiser une
consultation publique, avant d’émettre la nouvelle politique sur la radio de
campus et la radio communautaire.
- Les formulaires de demande de licence de
radio communautaire ne sont toujours pas accessibles, bien que la nouvelle
politique ait été émise il y a 2 mois. On devrait pouvoir obtenir ces
formulaires immédiatement.
- Le Conseil aurait dû annoncer le processus
concernant les radios communautaires, sur les chaînes communautaires et
dans les journaux universitaires.
- Il n’existe aucune information concernant
la programmation des radios communautaires et de campus, sur le site web.
On devrait lui consacrer une section facilement identifiable, donnant toute
l’information pertinente sur la demande de licence pour une entreprise en
développement, avec un hyperlien à la formule de demande.
3. Notre site web : le consultez-vous ?
Répond-il à vos questions ?
Les commentaires sur notre site web vont du «
très, très utile » au « pas très facile à utiliser ». Ceux qui ne sont pas des
utilisateurs réguliers trouvent que le langage utilisé et les explications
affichées sur le site pourraient être simplifiés et plus accessibles – si l’on
ne sait pas exactement ce que l’on cherche, il est très difficile de le
trouver! Cependant, parmi les nombreuses suggestions d’amélioration, en voici
la synthèse :
Suggestions/Recommandations :
A . Décisions/demandes :
Le site web devrait donner plus
d’informations, incluant: les avis écrits du personnel, les lettres de
décision, les résolutions de litiges entre les parties.
Toute nouvelle publication devrait être
affichée dans la section « Quoi de neuf », et pas uniquement ce que le
Conseil décide d’inclure. Ainsi, ceux qui consultent le site régulièrement
auraient plus de facilité à trouver l’information.
Toutes les lettres de décision devraient être
numérotées pour pouvoir s’y référer plus facilement.
La section VII de la liste des demandes
reçues (secteur télécommunications) est extrêmement utile: une telle liste
devrait être disponible pour tous les types de demandes en radiodiffusion et
en télécommunications.
Le dépôt électronique devrait être
obligatoire et pas seulement recommandé, dans la mesure ou le Conseil ne peut
« scanner » tous les documents pour les mettre en format électronique.
B. Structure du site Web :
- Il faudrait mettre au point un guide
indiquant a) comment voyager sur le site ? b) où et comment trouver ce que
l’on cherche.
- Il est plus difficile de trouver des
documents depuis que les sections de radiodiffusion et de télécommunications
ont été regroupées. Avec un seul ensemble de chiffres séquentiels, il est
donc deux fois plus long de trouver un document.
- En plus du chiffre, les lettres R et T
pourraient être ajoutées pour différencier les documents en radiodiffusion et
en télécommunications.
- L’utilisation de mots clés pour tous les
documents pourrait sans doute accélérer la recherche.
- Les transcriptions sont très utiles mais
elles sont « cachées » sur le site. Si on ne sait pas qu’elles y sont,
on ne peut pas les trouver.
C. Information générale :
- Le Conseil devrait faire une étude sur
le genre et le nombre de questions posées dans la section « Questions
fréquentes », pour évaluer l’information requise.
- L’accès à un glossaire des termes de
radiodiffusion et de télécommunications aiderait le public à mieux comprendre
les textes.
- Le site devrait donner les biographies des
anciens conseillers.
- Le grand public a de la difficulté à trouver
des informations sur le web; par exemple, même en sachant les rapports
d’étape des derniers ateliers publics étaient sur le site, on ne pouvait pas
les trouver.
- Si l’on ne sait pas ce qu’est une instance
publique, on ne peut savoir que c’est là que se trouvent les informations sur
les audiences publiques.
- Pourquoi n’y a-t-il pas de titres indiquant
« décisions », ou « avis publics » ?
- En radiodiffusion, on ne peut pas trouver les
interventions faites par voie électronique, si on ne sait pas où les
chercher !
- Le format Adobe Acrobat devrait être plus
recommandé que html : html n’est pas très utile pour les tableaux – qui se
coupent et se fragmentent sur toute la page.
- Le site web devrait être annoncé dans les
écoles, pour que les enfants s’habituent à le consulter dès leur jeune âge.
- Le site E-Print, des Editions du gouvernement
du Canada, devrait servir de modèle sur la façon d’établir des liens avec
d’autres documents. On y trouve des milliers et des milliers de liens qui
fonctionnent très bien.
- Les caractères sont souvent très petits et
difficiles à lire, surtout pour les personnes âgées et celles qui ont des
problèmes de vision.
- Le site Web n’est pas conforme aux directives
du gouvernement du Canada pour les handicapés.
- Le webmestre ne répond pas aux courriels.
N’obtenant pas de réponse, un certain nombre de gens ont dû téléphoner.
- Les formulaires devraient être fournis dans
d’autres formats que FormFlow, qui ne fonctionne qu’avec l’accès à haute
vitesse.
- Le classement des documents et recherches par
ordre chronologique est inutile pour les membres du public et les
non-initiés, qui ne connaissent pas les dates, même approximatives, des
événements. De plus, il ne permet pas une revue globale des décisions sur un
sujet particulier.
- Les décisions sont identifiées par des
chiffres et des titres, mais il n’y a rien sur le contenu de la décision - ce
qui rend la recherche très difficile.
- Dans la version française du site, la
rubrique « Quoi de neuf » est très difficile à imprimer, même en la
téléchargeant d’abord dans Word et en l’imprimant après.
- Les liens sont souvent inopérants ou mènent
aux mauvais documents. Ils devraient être mieux vérifiés et classés.
3. Nos documents publics sont-ils faciles à
utiliser ?
Tout le monde reconnaît les efforts du Conseil
pour alléger le style des documents publics qui demeurent très complexes et
difficiles à comprendre pour le grand public. Il y a donc encore beaucoup à
faire.
- Toutes les décisions devraient inclure
un sommaire.
- Le style d’écriture devrait être encore plus
allégé.
- Le Conseil devrait publier des opinions
préliminaires sur les questions de politique, de façon à permettre au public
de mieux comprendre les enjeux, et les sujets exacts sur lesquels on
sollicite son opinion. Les documents sont très complexes et il est donc
souvent difficile d’identifier les vraies questions.
- Les décisions devraient inclure une liste de
références en annexe, pour faciliter les recherches.
4. Entendez-vous souvent parler du Conseil ?
Si oui, de quelle façon ?
Suggestions/Recommandations :
- Le Conseil devrait mieux communiquer son
rôle, son mandat, ses activités, et contraintes.
- Il devrait exister une chaîne CRTC sur le
câble, où tous les publics auraient accès en permanence à toutes les
informations sur le Conseil.
- Le Conseil devrait s’associer à des groupes
de consommateurs pour organiser des forums publics, publicités
d’accompagnement (des « piggy-backs ») d’autres formes de forums.
- Le Conseil devrait poster ses avis et
décisions à tous les publics pouvant y être intéressés.
- Les avis, les décisions et toute autre
information provenant du Conseil pourraient être distribués par les
bibliothèques publiques.
- Le Conseil devrait s’associer à des
bibliothèques universitaires, qui seraient utilisées comme centre de
documentation où des étudiants se familiariseraient avec les activités du
CRTC, incluant ses processus publics.
- Le Conseil devrait étudier les méthodes
utilisées par Les normes canadiennes de la publicité, pour faire
connaître ses activités à l’échelle nationale, et peut-être pourrait-il s’en
inspirer.
- Le Conseil ne fait pas assez bon usage des
organismes de bénévoles: il devrait trouver un moyen de s’allier avec de
grands réseaux d’organismes (exemple : BC Environmental Network).
- Le site web pourrait servir à des programmes
d’animation extérieure en RMA pour des communautés ou des groupes précis.
- Le Conseil pourrait demander aux entreprises
qu’il supervise d’organiser des ateliers destinés à des groupes
d’intervenants, comme le fait B.C. Utilities Commission.
- Les gens devraient pouvoir s’inscrire par
courriel, à une liste d’envois de documents publics.
- Le Conseil devrait pouvoir diriger le public
à une personne-ressource qui pourrait indiquer au téléphone où en est le
traitement des lettres, des plaintes, ou autre. Quelquefois, on a
l’impression qu’un document est passé à travers les mailles d’un filet et que
personne ne le sait.
- Le Conseil devrait identifier quelqu’un à
appeler pour aider à remplir une demande ou une intervention, et cette
personne-ressource servirait de guide, tout au long de la démarche. Ce serait
une aide appréciable pour les petits joueurs, pour les gens qui désirent
s’impliquer mais ne savent pas comment le faire, et pour tous ceux que le
processus public intimide.
- Le Conseil pourrait interroger le public sur
des sujets précis, par l’intermédiaire de publicités dans les journaux ou de
son site web, et recevoir les réponses sur une ligne 1-800.
- Le processus de plaintes devrait être
clairement expliqué aux associations comme l’AMEC, peut-être par la
publication de l’information dans leurs bulletins internes.
- Le Conseil devrait demander aux compagnies de
téléphone et aux grands radiodiffuseurs des plans et suggestions pour
rejoindre plus efficacement un vaste auditoire et impliquer le public dans
ces démarches.
- Le Conseil devrait obtenir une liste de tous
les bulletins des municipalités et les aviser du numéro 1 800 du CRTC.
- On pourrait demander à Radio-Canada de
diffuser dans le cadre des « messages d’intérêt public » le numéro 1-800 du
CRTC et d’autres informations générales sur la façon de contacter le Conseil.
- The Saskatchewan Daily Newspaper
Association pourrait peut-être contribuer à la diffusion de
l’information.
- Le Conseil pourrait peut-être concentrer ses
efforts d'information auprès de groupes d’intervenants bien définis plutôt
que d’essayer de s’adresser au grand public.
- Il devrait y avoir plus d’activités
régionales de communication afin d'informer le public sur l'existence des
bureaux régionaux. Le Conseil devrait promouvoir ses services et ses bureaux
régionaux par des annonces publicitaires.
- Les annonces publicitaires dans les journaux
devraient utiliser davantage d’illustrations graphiques; la plupart du temps,
même si on remarque les annonces, on ne comprend pas les textes, donc on n’y
fait pas attention.
- Il faudrait porter plus d’attention aux
communautés éloignées mal desservies: ce sont celles qui ont le plus de
problèmes de services et qui, pour la plupart, ne connaissent pas l’existence
du CRTC. Peut-être un genre de programme d’animation extérieure ?
- Il faudrait indiquer l’indicatif régional de
tous les numéros de téléphone inscrits sur le site web et les documents
publics.
- Les informations insérées dans les envois de
factures de téléphone ressemblent souvent à de la publicité; c’est peut-être
pourquoi beaucoup de gens ne les lisent pas.
- Le Conseil devrait utiliser les services
d’annonces publiques de la télévision et de la radio pour rejoindre sa
clientèle. Il y a encore beaucoup de gens qui ne savent pas lire.
- La page couverture de télécopie du CRTC
devrait être modifiée pour inclure son adresse électronique et son numéro
1-800.
- On devrait avoir plus de « fiches-info » sur
l’information concurrentielle des consommateurs; par exemple, les
consommateurs ne comprennent pas que les grands magasins ne sont que des
revendeurs des compagnies de téléphone.
5. Autres questions :
Services aux malentendants :
Un grand nombre de représentants de
l'association des malentendants canadiens (AMEC), et autres associations
provinciales de malentendants ou handicapés de l’ouïe ont participé à la
plupart des ateliers pour exprimer leur inquiétude sur les sujets suivants :
- Les pages-couverture de télécopie dur CRTC
mentionnent TDD au lieu de ATS. Il faudrait apporter les corrections
nécessaires.
- La ligne 1-800 devrait être accessible aux
utilisateurs de ATS.
- La qualité et la fiabilité du sous-titrage
codé pour malentendants à la télévision de langue anglaise sont plutôt
faibles :
- Les émissions d’information n’ont qu’un
sous-titrage codé partiel et les segments de nouvelles en ont rarement.
- Le sous-titrage codé est intermittent; il
apparaît et disparaît au cours d’une même émission.
- Quelquefois les mots sont inintelligibles,
écorchés; la grammaire et l’orthographe sont souvent de piètre qualité, il
arrive que le débit soit trop rapide, que des mots manquent. Souvent le
texte ne correspond pas à l’image.
- En cas de problème pendant une émission, il
n’existe pas de numéro où appeler pour faire rectifier la situation.
- Le sous-titrage codé en français est encore
pire: n’étant pas une condition de licence, il est pratiquement inexistant
et tous les sous-titrages sont limités aux émissions diffusées entre 18 h
et 22 h. Radio Canada a fait quelques progrès qui restent insuffisants et
ne représentent que 30 % de la programmation.
- Toute la programmation pour enfants devrait
bénéficier de sous-titrage codé.
- On ne sait jamais qui est responsable : si on
appelle la station de télévision, elle blâme le câblodistributeur et si on
appelle le câblodistributeur, il affirme que ce n’est pas de son ressort.
- Personne ne semble surveiller la situation :
le Conseil devrait contrôler la qualité du sous-titrage codé et imposer des
normes de qualité.
- Les stations ne respectent pas leurs
conditions de licence de sous-titrage codé à 100 % mais le Conseil ne fait
pas de contrôles. Il devrait surveiller et rappeler à l’ordre les stations
qui ne respectent pas leurs obligations.
- L’Association a officiellement demandé de
pouvoir faire une présentation et d’avoir une discussion avec le Conseil sur
son mandat et ses grands dossiers.
- Le CRTC devrait encourager l’Association
canadienne des producteurs de films à inclure le sous-titrage codé dans
toutes les productions.
- Le Conseil devrait obliger les compagnies de
téléphones à installer ATS dans les endroits publics comme les centres
commerciaux.
B. Le contrôle de CIUT-FM :
Le changement de contrôle de la station de radio
de l'Université de Toronto (CIUT-FM) a soulevé l’inquiétude d’un groupe de
personnes qui s’est présenté à l’atelier public de Toronto. La préoccupation
principale visait l’approbation par le Conseil la direction intérimaire de la
station CIUT-FM, sans procédure publique préalable.
Recommandation :
- Le CRTC devrait tenir une audience publique
ou un genre de forum public afin que toutes les parties intéressées puissent
exprimer leur opinion sur le sujet.
C. Questions diverses :
- Les fiches sur les plaintes n’indiquent pas
clairement que l’on ne peut pas commander les copies d’enregistrement
d’émission après 28 jours suivant la diffusion. « (Tout près de vous, pour
vous) »
- Quand le Conseil fera-t-il connaître sa
décision sur le câblage intérieur ?
- Confidentialité : pourquoi le consommateur
doit-il composer *67 pour protéger son identité lors d’un appel ? Pourquoi
l’obligation en revient-elle au consommateur et non à la compagnie de
téléphone ?
- Pourquoi le consommateur doit-il payer pour
bloquer les appels de compagnies de télévente ?
- Lorsqu’elles s’identifient, des stations de
télévision comme CIVT-TV (Vancouver) devraient annoncer leurs deux canaux,
celui sur câble et celui sur ondes hertziennes, pour ne pas confondre le
téléspectateur.
- Pourquoi a-t-il fallu attendre un mois pour
que les transcriptions de l’audience publique du 21 février à Vancouver
soient affichées sur le site Web ?
- Le Conseil devrait continuer à défendre les
intérêts des minorités francophones hors Québec.
- Peut-être que tous les services francophones
devraient être regroupés et offerts à un prix forfaitaire aux consommateurs.
- Le Conseil devrait développer des études pour
évaluer l’impact de ses décisions sur le public canadien.
- CBC et Radio Canada devraient représenter les
intérêts régionaux et non pas seulement nationaux.
- Le Conseil devrait revoir et réviser ses
trousses de demandes de permis.
- Le service fourni par le personnel du Conseil
est toujours excellent. Les retours d’appels téléphoniques sont généralement
rapides, le personnel est toujours serviable et prêt à fournir toute
l’information nécessaire.
- Le Conseil devrait s’assurer que la
programmation canadienne reflète la diversité ethnique de la population.
- La concentration de la propriété amène à
craindre l’éventuelle disparition de la programmation locale.
Révisé : 2000-04-01 |