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Discours

Convergence et réglementation

Notes en vue d'une allocution

par Louis R. (Bud) Sherman

Vice-président, Conseil de la radiodiffusion
et des télécommunications canadiennes

à l'occasion d'un symposium sur la convergence nationale organisé par l'Institute for International Research

The Sheraton Center Hotel
Toronto (Ontario)
Le 7 février 1995

(PRIORITÉ À L'ALLOCUTION)


Mesdames, Messieurs, bonjour. Avant de commencer, je tiens à remercier les organisateurs de cette conférence de m'avoir invité à prendre la parole devant vous. C'est pour moi un honneur d'être parmi vous.

Cette conférence sur la convergence intervient à point nommé, puisque les audiences du Conseil sur l'autoroute de l'information devraient débuter le mois prochain, le 6 mars. Le Cabinet a en effet, dans sa directive d'octobre 1994, ordonné au Conseil de tenir des audiences afin de se pencher sur les questions ayant trait aux nouvelles technologies des communications. Le Cabinet a invité le Conseil à réunir des renseignements, à demander des avis et à énoncer des recommandations sur un certain nombre de questions ayant trait à ses champs de compétence. Je reparlerai plus tard de la directive du gouvernement.

L'exposé que je vous présente aujourd'hui a pour but de vous faire connaître le point de vue de l'organisme de réglementation sur le carrefour où se situe le Canada pour ce qui est de la réglementation et des politiques visées par la convergence des industries de la radiodiffusion et des télécommunications.

Notre époque est marquée par une évolution considérable et de vastes perspectives; nous assistons en fait à une grande révolution de la technologie et des services dans le domaine des communications. Le Canada est parfaitement en mesure de tirer parti de cette évolution.

Jetons un coup d'oeil, pendant quelques instants, sur les stratégies adoptées par ces industries pour faire face à la convergence : à une époque où la convergence des technologies place un plus grand nombre d'entreprises sur une plateforme numérique commune, elle redéfinit le rôle traditionnel de nombreuses entreprises. Les entreprises monopolistiques de téléphone et de câblodistribution, qui sont aujourd'hui aux prises avec une âpre concurrence, déploient énergiquement des stratégies pour conquérir des positions favorables, sur des marchés en évolution rapide et naissants.

Selon la stratégie annoncée pour les entreprises de câblodistribution, on entend déborder le cadre de la transmission des services traditionnels de télévision pour conquérir ce que l'Association canadienne de télévision par câble appelle le "territoire non revendiqué". Il s'agit notamment de la télémesure, de la messagerie, des téléachats et des autres services interactifs. Ces services devront être assurés par des réseaux commutés à grande vitesse, et l'industrie de la câblodistribution a déjà mis au point des plans pour mettre en oeuvre progressivement, au cours des prochaines années, la compression vidéo numérique (CVN) et l'adressabilité bidirectionnelle.

Dans le domaine des télécommunications, les compagnies de téléphone délaissent de plus en plus les réseaux à bande étroite, destinés aux communications téléphoniques. Elles ont mis au point des réseaux à large bande, grâce auxquels elles pourront transmettre non seulement la voix, mais aussi des données, des textes, des graphiques et des images à grande vitesse.

Parce que tous les signaux seront numérisés et qu'il sera impossible de distinguer le contenu réel du réseau, contenu qui sera contrôlé par l'utilisateur, la distinction entre les différents services aura tôt fait de devenir un anachronisme. En réalité, l'ensemble des services offerts à l'abonné sera disponible sur une seule "largeur de bande".

Aux quatre coins du pays, le service vidéo sur demande est actuellement ou sera bientôt soumis à un certain nombre d'essais. Dans son projet Cirius annoncé l'an dernier, Stentor a déclaré que ses sociétés membres prévoient d'offrir des services à grande largeur de bande dans un réseau hybride de câbles de fibres optiques et de câbles coaxiaux. Le câble de fibres optiques constituera la moelle épinière du réseau et le câble coaxial permettra de raccorder le réseau aux foyers des abonnés.

Le partage de ressources complémentaires dans le cadre de coentreprises, d'alliances stratégiques et de fusions est une autre conséquence de la convergence. Des alliances se forment aujourd'hui parmi de nombreuses entreprises qui exercent leurs activités dans l'industrie de l'information et des communications. À l'étranger, on conclut aussi des alliances entre les compagnies de câblodistribution et de téléphone, les entreprises de communications par lignes métalliques et sans fil, différents types de compagnies de services sans fil les unes avec les autres, les maisons d'édition et les compagnies de téléphone et de câblodistribution, ainsi qu'entre les grandes sociétés de renom et de petites entreprises qui viennent de voir le jour, par exemple des sociétés de création de logiciels dont le seul élément d'actif est la matière grise.

Des alliances se créent à l'échelle mondiale, par exemple celles de BCE et Mercury, de Stentor et MCI, d'Unitel et d'AT&T, de BT et de MCI, de Sprint, France Télécom et Deutsche Telekom, de Sprint et Telefonos de Mexico. Grâce à ces alliances, les entreprises ont accès à la clientèle dans d'autres pays et peuvent fournir des services inter-frontières transparents entre les pays.

Les maisons d'édition et les entreprises de logiciels concluent elles aussi des alliances. Rogers Communications s'est portée acquéreur de la maison d'édition MacLean Hunter. La maison d'édition Southam unit ses efforts à ceux des compagnies de téléphone et de câblodistribution pour offrir des services d'information électroniques. À une époque très récente, Sony et Microsoft ont annoncé qu'elles avaient conclu une alliance pour mettre au point des produits en collaboration, en prévision de l'autoroute de l'information.

Le contexte de la réglementation au Canada

Deux portefeuilles ministériels différents se partagent la responsabilité de l'État à l'égard des politiques sur la radiodiffusion et les télécommunications. La politique sur la radiodiffusion est du ressort du Patrimoine canadien, tandis que la politique des télécommunications relève d'Industrie Canada.

Une seule et même institution, soit le CRTC, réglemente la radiodiffusion et les télécommunications, en vertu de lois distinctes, soit la Loi de 1991 sur la radiodiffusion et la Loi de 1993 sur les télécommunications.

Sous certains aspects, les compagnies de câblodistribution et de téléphone sont réglementées de façon très différente. Ainsi, la Loi sur les télécommunications met l'accent sur la protection du consommateur. Le Conseil doit approuver les tarifs de toutes les entreprises de télécommunications réglementées avant qu'elles puissent offrir leurs services, et leurs prix doivent être justes et raisonnables.

La Loi sur la radiodiffusion oblige le Conseil à réglementer toutes les entreprises de distribution de radiodiffusion. Selon cette loi, les entreprises de radiodiffusion, y compris les compagnies de câblodistribution, doivent elles aussi respecter certains objectifs d'intérêt public, par exemple appuyer la programmation et le contenu canadiens.

Or, avec la convergence, chacune de ces industries articule son avenir plus ou moins autour des mêmes services, qui seront assurés par les mêmes technologies. Les industries de la câblodistribution et de la téléphonie dotent leurs réseaux de câbles de fibres optiques, afin d'offrir dans les foyers des services à large bande. Les entreprises de câblodistribution et les compagnies de téléphone feront toutes appel à la commutation numérique et vidéo, ainsi qu'à des techniques améliorées de compression numérique.

La convergence soulève certaines questions réglementaires litigieuses. Avec l'avènement de la convergence, certains mettent en doute l'àpropos de la structure réglementaire en vigueur. De même, on s'est demandé si les définitions de contenu données dans la réglementation actuelle seront pertinentes dans un univers où la distinction entre les bases de données et la "programmation", dans l'acception qu'on lui donne dans le domaine de la radiodiffusion, est en train de s'estomper.

Aujourd'hui, quand la plupart des gens parlent de "contenu", ils entendent généralement par là la programmation, par exemple les émissions de télévision ou de radio, domaine qui relève évidemment de la Loi sur la radiodiffusion. Par ailleurs, les sources de contenu telles que les bases de données sur les cours des actions, les résultats sportifs et les thèmes de recherche, que les utilisateurs peuvent consulter à l'aide du téléphone, ne relèvent ni de la loi sur la radiodiffusion, ni de la Loi sur les télécommunications.

Une difficulté surgit, puisque la numérisation permet de mémoriser toute l'information, quelle qu'elle soit, dans un ordinateur, soit aussi bien les bases de données d'information que les éléments audiovisuels associés traditionnellement à la programmation radiodiffusée, par exemple les émissions de télévision et de radio. Aux yeux de nombreuses personnes, les raisons pour lesquelles le téléchargement d'un fichier vidéo à partir d'un tableau d'affichage électronique ou d'un serveur est traité différemment du téléchargement d'un fichier de textes ne sont pas évidentes d'emblée. À l'aube de l'univers des logiciels multimédias, où fautil tracer la démarcation entre les fichiers d'images, de sons et de textes? Tous ces fichiers peuvent être mémorisés sur un support numérique.

Avec la convergence, certains soutiennent qu'il pourrait s'avérer nécessaire de repenser la réglementation pour harmoniser les obligations culturelles de la câblodistribution avec les impératifs de la protection du consommateur et les devoirs des compagnies de téléphone dans le domaine des services. La réglementation du contenu, qui servait traditionnellement à protéger la culture canadienne, contredit peutêtre l'importance grandissante de l'accès généralisé aux réseaux pour tous les prestataires de contenu; en outre, cette réglementation n'est peutêtre pas viable dans une conjoncture de libreéchange nationale ou internationale plus concurrentielle.

Parce qu'il réglemente à la fois l'industrie des télécommunications et l'industrie de la câblodistribution, le Conseil est placé dans une situation pour le moins intéressante du fait de la convergence de la technologie et des services. Comme le Conseil l'a signalé auparavant, certaines questions essentielles restent sans réponse dans le contexte de la convergence. Voici certaines de ces questions : dans quels cas un système de câblodistribution estil une entreprise de télécommunications? Comment les dispositions réglementaires sur les objectifs de programmation du contenu canadien serontelles réalisées? Fautil faire une distinction entre la distribution et le contenu dans les services de câblodistribution, de même qu'au sein des réseaux de télécommunications? Toute décision prise à cet égard aura des répercussions importantes et pourrait encourager ou gêner l'évolution de la technologie sur la voie de la convergence.

La directive du Cabinet en vertu de laquelle se tiendront les prochaines audiences sur l'autoroute de l'information vise à répondre à ces questions et à résoudre d'autres problèmes en ce qui concerne les champs de compétence du Conseil. Le Cabinet a ordonné au Conseil de réunir l'information, de recueillir les avis et d'énoncer des recommandations sur un certain nombre de questions.

Le gouvernement a demandé au CRTC d'effectuer cet examen parce qu'il est convaincu que ce processus permettra à tous les intéressés, y compris le CRTC luimême, d'exprimer leur avis. Étant donné l'importance croissante d'un réseau interactif à large bande comme infrastructure économique, le gouvernement a déclaré qu'il fallait essentiellement connaître parfaitement les avis à ce sujet avant de prendre des décisions d'intérêt public définitives. Dans sa directive, le Cabinet faisait observer que la convergence des médias et des technologies a de profonds retentissements sur la culture canadienne et l'économie de notre pays.

La directive du Cabinet renfermait en outre un certain nombre de vastes énoncés de politiques sur le partage des installations des systèmes de câblodistribution et des entreprises de télécommunications, sur le contenu canadien et la culture nationale, et enfin, sur la concurrence. On y affirme que les entreprises de télécommunications et les titulaires de licences de câblodistribution doivent, dans toute la mesure du possible et sans discrimination, permettre aux prestataires de services et aux autres entreprises de télécommunications de louer, de racheter et de partager leurs installations et leur capacité, y compris les structures auxiliaires.

Le Cabinet a demandé au Conseil de se pencher sur les questions suivantes en ce qui a trait aux installations :

  • Dans quel délai les politiques du gouvernement sur l'interconnexion et l'interfonctionnement, de même que sur la location, la revente et le partage des installations de câblodistribution non utilisées pour la radiodiffusion peuvent-elles être mises en oeuvre?
  • Quelles seraient les conditions en vigueur et quels mécanismes devrait-on instituer pour assurer une coopération efficace et une concurrence équitable?

En matière de contenu canadien, le gouvernement a déclaré que les intervenants sur l'autoroute de l'information devraient apporter leur concours à la production et à la distribution des produits et des services à contenu culturel canadien. Il a également déclaré que l'État devait continuer de compter sur les outils et les mécanismes permettant de promouvoir le contenu canadien.

Le Cabinet a demandé au Conseil de se pencher sur les questions suivantes :

  • Les définitions juridiques actuelles reproduites dans la Loi sur la radiodiffusion et dans la Loi sur les télécommunications sont-elles assez claires pour permettre aux nouveaux services d'évoluer dans le cadre d'un principe réglementaire cohérent, ou fautil revoir la définition de termes comme "radiodiffusion" et "service de télécommunications"? ;
  • Les outils et les instruments en vigueur dans le cadre de la Loi sur la radiodiffusion et de la Loi sur les télécommunications permettent-ils de s'assurer que les services reposant sur le contenu, canadien ou étranger, sont offerts selon des modalités qui assurent la promotion des objectifs de la politique culturelle canadienne? Dans le cas contraire, quelles modifications faut-il y apporter?
  • Serait-il opportun de définir des critères précis qui pourraient servir à définir les services qui pourraient être dispensés de l'application de la Loi sur la radiodiffusion?
  • Serait-il pertinent que toutes les entreprises de télécommunications puissent devenir titulaires de licences de radiodiffusion sous réserve des règles de propriété canadienne et de la réglementation applicable dans l'ensemble?

En matière de concurrence, le gouvernement a affirmé que sa politique consiste à favoriser la concurrence et à s'en remettre de plus en plus aux lois du marché dans la prestation des installations, des produits et des services. Il a également déclaré qu'il a l'intention de veiller à ce que quiconque intervienne à titre d'"entreprise de radiodiffusion" au sens défini dans la Loi sur la radiodiffusion, et d'"entreprise de télécommunications canadienne" au sens défini dans la Loi sur les télécommunications soit soumis à ces deux lois dans le cadre de ces deux activités.

Le Cabinet a également demandé au Conseil de lui faire un compte rendu sur:

  • Le délai à prévoir pour assurer la transition avec une situation de concurrence équitable dans la prestation des services de télécommunications et de radiodiffusion au grand public canadien.
  • Les mesures, transitoires ou autres, à adopter pour veiller à ce que la concurrence soit équitable à long terme. Il pourrait notamment s'agir de restrictions sur les secteurs d'activité et sur l'interpropriété au cours de la période de transition.

Les audiences publiques sur l'autoroute de l'information, qui devraient avoir lieu du 6 au 31 mars à Hull, au Québec, suscitent beaucoup d'intérêt. Deux étapes sont prévues pour la soumission des mémoires : les observations de la première étape devaient être déposées le 16 janvier, et les observations de la deuxième étape en guise de réponses doivent être déposées au plus tard lundi prochain, 13 février. Le nombre total de participants à ces audiences est nettement supérieur à 600 intervenants, dont près de 60 ont demandé de comparaître aux audiences mêmes.

En somme, on peut essentiellement s'attendre à une évolution. Les services à large bande verront le jour, avec ou sans remaniement du contexte réglementaire, avec ou sans directive officielle du gouvernement, avec ou sans vide en ce qui a trait aux politiques d'intérêt public, et peutêtre même avec ou sans les compagnies de téléphone ou de câblodistribution. L'autoroute de l'information n'est pas une entité monolithique unique : ce n'est pas un genre de mégaprojet qui durera ou s'effondrera selon le bien-fondé d'un marché ou d'une vision de l'avenir. Elle sera plutôt le fruit du travail de nombreux organismes, dont ceux qui fournissent les installations de réseau sousjacentes, les services de communications de pointe, ainsi que le contenu et l'information. En définitive, les consommateurs seront les seuls gagnants assurés, puisqu'ils auront plus de choix. Il est donc essentiel que le Conseil vise, comme objectif prépondérant, la création d'un contexte d'investissement durable dans une infrastructure concurrentielle.

À titre d'organisme de réglementation, le CRTC doit se rappeler que nous sommes, à maints égards, dans une situation de changement qui durera pendant un certain temps. La concurrence, en plus de se faire jour parmi les industries en raison de la convergence, est en train de s'accentuer dans les secteurs de l'industrie des communications. Dans le secteur des télécommunications, il existe à la fois des monopoles et des marchés concurrentiels. Le Conseil devra relever des défis de taille, dans l'accomplissement de sa mission, en harmonisant la situation dans les deux secteurs.

Pour ce qui est de l'industrie des télécommunications, je crois que la décision Télécom 94-19, sur l'Examen du cadre de réglementation, publiée en septembre dernier, définit les principes indispensables pour encourager la concurrence, en plus de prévoir des mesures suffisantes pour protéger les consommateurs et les entreprises concurrentes contre l'abus possible de la prépondérance commerciale exercée par les grandes compagnies de téléphone titulaires.

La décision 94-19 représente une évolution importante de la réglementation sur les télécommunications. Elle marque l'abandon de la microréglementation, qui constituait le meilleur moyen permettant de protéger l'intérêt public, et s'en remet davantage aux lois du marché. En vertu de cette décision, la réglementation vise désormais davantage à favoriser la concurrence, en veillant notamment à ce que les nouveaux venus aient accès aux installations goulot indispensables.

Dans ce contexte en évolution, une constante demeure, du moins pour l'instant. Le CRTC doit s'acquitter d'obligations impératives, en vertu de la Loi sur la radiodiffusion et de la Loi sur les télécommunications. En s'acquittant de ses obligations, le Conseil se penchera attentivement sur les incidences de ce nouveau contexte sur les consommateurs, en ce qui concerne les avantages et le choix qui leur sont offerts, sur la situation de la concurrence sur le marché, de même que sur les nouveaux prestataires de services, sous l'angle de leur viabilité et de leur progression.

En outre, nous nous préoccuperons vivement des répercussions entraînées par les nouveaux services sur les services réglementés actuels.

En ce qui concerne la politique officielle dans un contexte de convergence et de multimédias, tout ce qu'on peut affirmer avec certitude, à l'heure actuelle, c'est qu'il faudra mieux concerter les règlements et les politiques sur la radiodiffusion et les télécommunications. Je vous laisse sur cette réalité nouvelle, à laquelle je vous invite tous à réfléchir, et je vous remercie de nouveau de m'avoir offert cette occasion très agréable de prendre la parole devant vous. Le secteur des communications connaît aujourd'hui une évolution passionnante.

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Renseignements :
Affaires publiques du CRTC
Ottawa (Ontario) K1A 0N2
Téléphone : (819) 997-0313
ATS : (819) 994-0423
Fax : (819) 994-0218

Mise à jour : 1995-02-07

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