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DiscoursObservations préliminaires à l'audience publique sur les demandes de licence d'exploitation d'entreprises de programmation radiophonique sur les fréquences AM disponibles à Montréal Montréal (Québec) (PRIORITÉ À L'ALLOCUTION) Mesdames, messieurs, bonjour ! Bienvenue à cette audience publique. Mon nom est Andrée Wylie et je suis la vice-présidente, Radiodiffusion, du CRTC. Je présiderai cette audience qui porte sur l’attribution des fréquences radio AM, disponibles à Montréal. Permettez-moi de vous présenter mes collègues, les conseillères Joan Pennefather et Andrée Noël, de même que le personnel du CRTC qui nous secondera durant l’audience : Lyne Lafrance, gérante de l’audience et responsable de sa tenue; Alastair Stewart, conseiller juridique; Lyne Lafrance et Diane Santerre agiront à titre de secrétaires. N’hésitez pas à vous adresser à ces personnes si vous avez des questions concernant la procédure. Bref rappel historique À cause du nombre limité de fréquences AM et FM disponibles, la présente audience n’est pas la première à se pencher sur l’attribution de fréquences radio, à Montréal. En 1986, le Conseil avait étudié 16 demandes et en avait approuvé deux : celle de la Radio communautaire de la Rive- Sud (CHAA-FM) et celle de la station spécialisée de langue anglaise, CKUT-FM de l’Université McGill. À la suite d’une autre audience, tenue en 1997, le Conseil avait approuvé à la fois la demande de la Société Radio-Canada de convertir les stations CBF et CBM Montréal à la bande FM, et celle de monsieur Jean-Pierre Coallier afin d’exploiter une nouvelle station de radio FM classique pour desservir Montréal. En avril 1998, le Conseil recevait deux demandes soumises par Métromédia, propriétaire de CKVL Verdun et de CICQ Montréal, afin d’exploiter ces stations sur les fréquences 690 et 940 AM, laissées vacantes par la Société Radio-Canada. Conformément à sa politique en pareilles circonstances, le CRTC a invité toute partie intéressée à utiliser ces fréquences, à soumettre sa demande au plus tard le 24 septembre dernier. L’audience Nous avons reçu cinq demandes en ce sens. Les requérantes sont :
Déroulement de l’audience Avant d’entendre les dix intervenants au cours de cette audience, permettez-moi de vous donner quelques précisions sur son déroulement. Nous invitons d’abord chacune des requérantes à faire sa présentation et lui accordons un maximum de 20 minutes (y compris la présentation de matériel audiovisuel ou autre). Une période de questions, posées par les membres du panel, suivra. Deuxième étape : les requérantes reviennent, dans le même ordre, et peuvent faire valoir leur point de vue sur les demandes de leurs concurrentes. Chacune dispose d’un maximum de 10 minutes pour le faire. Troisième étape : la parole est donnée aux autres intervenants. Chacun a droit à 10 minutes, maximum, pour émettre son opinion. Quatrième et dernière étape : dans l’ordre inverse de leur première comparution, les requérantes sont invitées à nouveau à prendre la parole pour répliquer aux diverses interventions concernant leur demande respective. Encore une fois, chaque réplique ne durera que 10 minutes, au maximum. Nous devons entendre tous les intervenants inscrits à l’ordre du jour, d’ici mercredi midi. Pour y parvenir, il nous faudra peut-être poursuivre l‘audience quelques heures en soirée. Selon le rythme auquel elle se déroulera, nous jugerons s’il est nécessaire de le faire et nous vous aviserons si nous devons siéger après 18 heures. Je passe maintenant la parole à notre conseiller juridique, Alastair Stewart, qui vous indiquera les procédures à suivre au cours de l’audience. - 30 - Source : Denis Carmel, Ottawa (Ontario) K1A 0N2 Ce document est disponible, sur demande, en média substitut. Mise à jour : 1999-02-15 |
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