Gouvernement du Canada - Ministère des Finances
Éviter tous les menus (touche d'accès : 2) Éviter le premier menu (touche d'accès : 1)
Menu (touche d'accès : M)
Info budgétaire
Info économique et financière
Institutions et marchés financiers
Questions internationales
Questions d'ordre social
Impôts et tarifs
Paiements de transfert aux provinces

 

Nouvelles - Communiqués
Site FTPAvis aux médiasDiscours

Placement de titres au détail du gouvernement du Canada : pour une nouvelle stratégie

Notes pour une présentation de Jacqueline C. Orange, Présidente, Agence canadienne de placement de titres au détail

Le 26 juin 1996
Toronto (Ontario)

L'Agence canadienne de placement de titres au détail

L'Agence canadienne de placement de titres au détail (ACPTD) est un organisme de service spécial créé récemment au ministère des Finances afin de prendre en charge le volet «détail» des titres d'emprunt du gouvernement fédéral. Elle est donc responsable du plus important programme de dette au détail au Canada et veille à ce titre à l'élaboration et à la mise en oeuvre de la stratégie de marketing, aux spécifications relatives aux produits et à leur distribution.

La distribution sur le marché de détail joue un rôle important dans la stratégie globale de gestion de la dette du gouvernement fédéral. Étant donné l'ampleur des opérations de la dette, le gouvernement doit élargir le plus possible le bassin d'investisseurs détenant ces titres, en vue d'assurer une gestion économique de la dette publique.

Dans le cadre du budget de février 1995, le gouvernement avait annoncé le lancement d'un nouveau programme de placement de titres sur le marché de détail, dans le but d'offrir aux Canadiens un meilleur accès aux titres du gouvernement du Canada. L'ACPTD a été fondée peu après, en août 1995, sa mission étant d'inverser la tendance à la baisse des portefeuilles de titres fédéraux détenus sur le marché de détail et d'accroître leur part dans l'ensemble de la dette du gouvernement du Canada.

L'ACPTD, dont le siège sera sis à Toronto, se veut un organisme dynamique, de taille réduite, qui possédera la souplesse nécessaire pour réagir à l'évolution rapide qui caractérise de nos jours les marchés.

Agence canadienne de placement de titres au détail
140, rue O'Connor
Ottawa (Ontario)
K1A OG5

Téléphone : (613) 992-5035
Télécopieur : (613) 992-1672


Biographie - 
Jacqueline C. Orange

Jacqueline C. Orange oeuvre à titre de cadre dans l'industrie des services financiers et bénéficie de 19 années d'expérience acquise en occupant des postes de responsabilité croissante dans les secteurs des banques, de la fiducie et de l'assurance-vie au Canada. Elle a également été experte-conseil auprès d'institutions financières de premier plan, tant au Canada qu'aux États-Unis.

Avant d'être nommée présidente-fondatrice et chef des opérations de l'Agence canadienne de placement de titres au détail, Mme Orange occupait un poste de haute direction à la Banque Canadienne Impériale de Commerce, aux Services bancaires aux particuliers et aux entreprises.

La carrière de Mme Orange dans le secteur des services financiers a été axée sur le marketing - plus particulièrement, la gestion de produits dans le domaine de l'épargne et du placement. Mme Orange a lancé un large éventail de nouveaux produits d'épargne et de dépôt, notamment divers types de comptes d'épargne-placement, des produits à revenu fixe, des fonds communs de placement, des services de courtage à escompte et des mécanismes de retraite. Elle a consacré ses efforts, avant sa nomination, à l'élaboration de nouvelles méthodes de segmentation du marché permettant d'obtenir une rentabilité accrue.

Mme Orange possède également une vaste expérience en commercialisation des communications sous tous leurs aspects, et tout spécialement du positionnement stratégique sur le marché.

Très active sur le plan socio-culturel, Mme Orange a siégé pendant cinq ans au conseil d'administration de l'Orchestre de chambre Tafelmusik et a été vice-coprésidente de la plus récente campagne de financement du Women's College Hospital.

Mme Orange a obtenu une maîtrise en administration des affaires de la Richard Ivey School of Business (anciennement la Western School of Business) rattachée à l'Université de Western Ontario et un baccalauréat ès arts avec spécialisation de l'Université de Toronto.

Elle a deux enfants, Christopher, fraîchement diplômé de l'Université McGill, et Michelle, qui étudie en troisième année à l'Université de Toronto.

Placement de titres au détail du Gouvernement du Canada : pour une nouvelle stratégie

Mesdames et Messieurs, bonjour! Merci d'être venus aujourd'hui pour en apprendre plus sur le programme fédéral de placement de titres au détail, sur son évolution, ainsi que sur le rôle de l'Agence canadienne de placement de titres au détail.

Nous sommes un organisme de service spécial, dont la création remonte à août dernier. Nous sommes en quelque sorte les petits derniers sur la scène financière.

La création de notre agence fait suite à la décision du gouvernement de relancer son programme de placement de titres au détail. Lorsque nous parlons de placement de titres au détail, nous faisons référence à la vente de titres d'État, tels les obligations d'épargne, les bons du Trésor et les titres négociables, aux Canadiens.

Nous sommes une agence toute neuve, et notre mandat représente un défi stimulant. C'est pourquoi j'ai tenu à profiter de l'occasion pour vous faire part de notre philosophie et des objectifs que nous nous sommes fixés au départ.

La gestion de la dette publique - un défi

Le ministre des Finances, Paul Martin, a énoncé l'un de nos objectifs fondamentaux dans son budget de 1995, en disant que nous devons prendre des mesures «dans le but d'offrir aux Canadiens plus de possibilités d'investir au pays, ce qui réduira d'autant la dépendance du gouvernement fédéral envers les investisseurs étrangers».

Il faut bien comprendre que si, par définition, les entreprises naissent parce qu'il existe des possibilités commerciales à exploiter, il en va tout autrement dans notre cas : en effet, l'Agence canadienne de placement de titres au détail est née d'un impératif de politique nationale.

La dette négociable du gouvernement fédéral dépasse maintenant les 460 milliards de dollars. Le gouvernement a pris des mesures rigoureuses pour réduire le déficit et juguler la progression de la dette, mais il s'agit d'un processus très lent.

Le fardeau de cette dette excessive, nous le supportons tous : les impôts et les taux d'intérêt sont plus élevés, tandis que notre autonomie s'en trouve réduite. Vous comprendrez donc pourquoi la réduction du déficit et l'élimination de la dette sont des objectifs cruciaux.

Or, le quart de notre dette appartient à des créanciers étrangers. Cette part relativement importante nous rend plus vulnérables à la fébrilité des mouvements de capitaux et aux «chocs» sur le marché des changes.

Le Canada doit gérer sa dette de façon stable, sécuritaire et efficiente. Ce qui nous amène au programme de placement de titres au détail, et à notre agence.

Étant donné la taille de la dette du Canada, une saine gestion financière exige nettement un bassin d'investisseurs aussi large que possible. Et cela signifie qu'il faut, en priorité, inciter le plus grand nombre possible de Canadiens à faire partie de ces investisseurs.

Cette opinion est partagée par de nombreux Canadiens de toutes les couches sociales et de toutes les régions. Nombre d'entre eux ont écrit au gouvernement pour lui faire part de propositions et d'idées, par exemple le retour des certificats d'épargne de guerre ou d'autres projets de même nature, en vue de réduire notre dépendance envers les créanciers étrangers.

Les Canadiens sont concernés par la santé financière du pays. Cela signifie que nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour les faire profiter des occasions nouvelles que peut susciter notre agence. Mais pour cela, nous devons leur offrir des produits qui ont une valeur réelle, et nous devons adopter des approches innovatrices.

On pourrait comparer le placement de titres au détail au lest d'un navire. Ce lest est nécessaire pour stabiliser le vaisseau - ce qui est d'autant plus important en notre époque, où les océans financiers sont particulièrement houleux.

Ce lest, il faut le répartir de façon uniforme. S'il est trop concentré en certains endroits, il peut accroître notre vulnérabilité aux vagues soudaines de spéculation ou aux crues des taux d'intérêt.

C'est sous cet angle que le gouvernement envisage la question, et c'est pourquoi il a élaboré une stratégie visant à donner plus d'allant à son programme de placement de titres au détail. La volonté politique est bien réelle.

Le problème administratif

J'ai exposé les impératifs auxquels nous devons obéir. Il en existe un autre, toutefois, sur le plan des changements à apporter. Notre approche pour le placement de titres n'a pas permis de rester à la hauteur des nouveaux concurrents sur le marché.

Graphique 1 - Parts des marchés de détail et de gros de la dette du governement du canada 1988 - 1995 (12 520 octets)

Graphique 2 - Portefeuilles du marché de détail de la dette du gouvernement du Canada 1988 - 1995 (15 312 octets)

Le fait est que, au cours des 10 dernières années, la fraction de la dette fédérale consistant en titres vendus au détail a diminué considérablement.

Il y a huit ans seulement, ces titres représentaient 33 pour cent du total des titres du gouvernement fédéral; l'an dernier, ce pourcentage n'était plus que de 21 pour cent.

Et la vente d'Obligations d'épargne du Canada a chuté de 40 pour cent au cours de la même période.

Nous connaissons tous les forces de la concurrence à l'oeuvre. Le marché de l'épargne et du placement a évolué à une vitesse effarante.

Les fonds communs de placement représentent maintenant un marché de 165 milliards de dollars - une hausse de plus de 500 pour cent par rapport au milieu des années 80. La section financière des journaux contient désormais presque autant de fonds que d'actions cotées à la bourse de Toronto.

Et cet état de fait n'a pas eu une incidence uniquement sur la dette du gouvernement.

Les banques et les sociétés de fiducie ont également subi le contrecoup de la tendance des consommateurs à délaisser les dépôts d'épargne et à se tourner vers les fonds communs de placement et vers d'autres instruments de placement offrant un rendement plus élevé. Mais voilà : tandis que le secteur financier a su s'adapter à cette situation en offrant ses propres fonds communs de placement ainsi que des services nouveaux - comme le courtage d'escompte - le gouvernement fédéral s'en est tenu à ses méthodes traditionnelles et à son instrument de prédilection : l'Obligation d'épargne du Canada.

Nous subissons également une concurrence sans cesse plus forte de la part des gouvernements provinciaux.

L'Ontario vient d'achever sa seconde campagne de ventes, dont le lancement d'un nouveau produit à taux variables. Le Québec est lui aussi de plus en plus actif - il a entre autres mis en place une méthode nouvelle de paiement de ses obligations par voie de prélèvements directs dans le compte de banque des acheteurs.

Voici donc quelle est la situation : il y a plus de vendeurs que jamais, qui offrent plus de produits que jamais, et qui utilisent les technologies nouvelles pour tisser des relations d'affaires et pour communiquer avec les clients 24 heures sur 24, tout au long de l'année. Il n'est donc pas surprenant que les investisseurs, qui sont de plus en plus avertis, diversifient leurs placements, et réduisent leurs achats d'Obligations d'épargne du Canada.

Le but de l'ACPTD

Et nous voilà revenus à l'Agence canadienne de placement de titres au détail. Nous sommes l'un des éléments innovateurs de la stratégie du gouvernement fédéral visant à revivifier sa gestion de la dette placée sur le marché du détail.

Notre tâche première est simple : reprendre une partie du terrain perdu dans le secteur du placement de titres au détail.

Dans l'immédiat, notre but est de mettre fin à la baisse, et de maintenir la part de marché de 3 pour cent que nous détenons encore.

Cela fait, et lorsque nous serons en mesure d'élaborer de nouveaux produits et de nouveaux réseaux, nous fixerons des objectifs réalistes et raisonables à long terme.

De toute évidence, cette ligne de conduite aura des conséquences - sur le plan de la concurrence. Mais, je ne crois pas que ces conséquences remettent en question les possibilités de partenariat que nous pouvons exploiter ensemble.

Il ne faut pas oublier que nous évoluons au sein d'un univers financier en pleine expansion. Selon les prévisions, le marché du placement des titres au détail devrait connaître une croissance annuelle de 8 pour cent.

Bien sûr, nous voulons obtenir une part de cette croissance. Après tout, il est de l'intérêt de tous les Canadiens, et de tous les contribuables, que la dette du gouvernement soit gérée avec la plus grande rigueur. Cela ne signifie pas pour autant que nous devions chercher à dominer le marché.

Notons au passage que l'approche plus proactive adoptée par Ottawa ne se limite pas aux tendances du marché intérieur, mais s'inspire également des mesures prises dans d'autres pays.

Par exemple, au Royaume Uni, le gouvernement offre 10 produits différents aux consommateurs, y compris une obligation à lots dont les détenteurs peuvent gagner jusqu'à un million de livres en un paiement unique d'«intérêts».

Aux États-Unis, la vente d'obligations d'épargne se poursuit tout au long de l'année. De plus, le Trésor américain vient tout juste d'annoncer qu'il lancera une obligation indexée sur le coût de la vie et qui sera également offerte directement aux consommateurs.

Orientations actuelles dans le domaine du placement des titres au détail

Si je vous donne tous ces détails, c'est que je crois qu'il est important de comprendre pourquoi l'agence existe, et de saisir également que les forces politiques et économiques à l'oeuvre sont bien réelles.

Cela étant dit, parlons maintenant de la situation actuelle du programme et de l'Agence canadienne de placement de titres au détail.

  • Il y a deux ans, le gouvernement a annoncé l'émission des premières Obligations d'épargne du Canada améliorées, lesquelles prévoient un rendement escalateur sur trois ans.
  • L'an dernier, le gouvernement a institué l'option OEC-REER.
  • Il a ensuite été décidé de créer un groupe professionnel pour déceler et exploiter les occasions et les possibilités nouvelles - ce qui a conduit à la mise sur pied de l'Agence canadienne de placement de titres au détail.
  • Cette volonté s'est manifestée à nouveau avec ma nomination, en avril dernier, au poste de chef des opérations, dans le but d'affermir l'équipe de l'agence et de garantir un engagement et une orientation à long terme.

Nous avons donc mis en place les composantes de cette organisation - rationnelle, fondée sur des principes de gestion moderne et centrée sur le marché. Nous élaborons à l'heure actuelle un premier groupe d'initiatives, que nous vous présenterons plus tard dans le courant de l'année.

Par contre, l'orientation de notre stratégie d'ensemble est déjà clairement définie.

Nous devons tout d'abord nous repositionner sur le marché et bien établir notre «marque».

Cela veut dire que nous devons nous tailler au sein du marché une «place à part», déterminée par la valeur des produits que nous pouvons offrir.

L'un des moyens d'y parvenir consiste à conférer à l'agence une identité caractérisée par l'efficacité et par une approche axée davantage sur le client - y compris un nom qui la distingue dans une certaine mesure d'Ottawa.

Également, nous établirons notre siège social à Toronto avec un petit groupe de professionnels chargés de la commercialisation et des ventes, dès cet été; l'ouverture officielle se fera à l'automne. Nous voulons être au coeur de l'action et donc être au coeur du centre financier.

Et notre stratégie pour le changement signifie également que :

  • nous allons conférer une valeur nouvelle à nos produits, en améliorant les Obligations d'épargne du Canada et en mettant au point des produits nouveaux;
  • nous offrirons en outre aux consommateurs un accès plus large à nos produits. Comment?
    • d'abord, en restructurant le mode d'épargne-salaire, de manière à réduire au minimum le fardeau administratif;
    • ensuite, en cherchant de nouvelles possibilités de partenariats au sein des voies existantes;
    • puis, en examinant les possibilités d'ouverture de nouvelles voies de distribution;
    • enfin, en vendant nos produits tout au long de l'année.

Comprenez bien que ces voies de distribution nouvelles, ces produits et ces procédés nouveaux en sont encore à l'étape de la recherche et du développement. Néanmoins, nous entendons bien profiter le plus rapidement possible de toutes les occasions qui se présenteront.

Précisons également que les produits que nous lancerons, en particulier à moyen terme, viseront à combler certains besoins des consommateurs à l'égard desquels il n'existe actuellement aucune offre.

J'ai mentionné plus tôt les possibilités de partenariat que nous pouvons rechercher ensemble. Et je suis sûre que vous voudrez en savoir plus long.

Historiquement, les ventes d'Obligations d'épargne du Canada se sont caractérisées par un processus d'uniformisation. Mais, si nous voulons atteindre nos objectifs commerciaux, il faudra que ça change.

Nous sommes conscients que nous devons mieux écouter et faire preuve de plus grande souplesse. Par exemple, nous devrons être prêts à passer outre les émissions pures et simples et viser celles qui sont institutionnelles en collaboration avec des partenaires particuliers.

Permettez-moi de souligner que nous en sommes encore au stade embrionnaire. Ce qui importe, toutefois, c'est que l'on est ouvert à vos idées et à vos avis. Et c'est là le point de départ d'un processus de partenariat réel.

Conclusion

La créativité et l'innovation ne sont pas des valeurs auxquelles on s'attend généralement d'un organisme gouvernemental. Pourtant, ce seront nos valeurs. C'est d'ailleurs exactement ce qu'on attend de nous, car c'est de cette façon que nous pourrons atteindre les grands impératifs de politique qui nous ont été fixés.

Nous entendons bien prendre sur le marché financier une place plus grande qu'au cours des 10 dernières années, ce qui, au bout du compte, sera à l'avantage de tous.

Le milieu des affaires, qui milite pour la réduction du déficit et pour la compression des dépenses, comprendra bien la nécessité d'adopter, pour atteindre ces buts, une stratégie de gestion de la dette proactive et axée sur les consommateurs.

Nous devons encourager le gouvernement à agir de façon plus efficace dans les grands secteurs d'intérêt public - et la dette nationale fait certainement partie de cette catégorie.

Avant de répondre à vos questions, j'aimerais clore mon tour d'horizon sur ces dernières observations.

L'accès au marché est l'un des éléments clés du succès d'un produit ou d'un service. Nous devons donc avoir un accès au marché aussi complet et rentable que possible.

L'établissement de relations d'affaires est aussi un des aspects essentiels de la dynamique financière. Nous devons trouver des partenaires qui nous aideront à établir ces relations, par exemple les institutions financières canadiennes. Mais pour cela, nos partenaires doivent être disposés à nous aider à croître, et à faire croître le marché.

Mesdames et Messieurs, c'est le 50e anniversaire des Obligations d'épargne du Canada, et cela signifie également un partenariat de cinq décennies de ventes des OEC avec les institutions financières.

Votre secteur a sensiblement évolué au cours de ces dernières décennies. C'est maintenant au programme de placement de titres au détail du gouvernement d'en faire autant.

L'existence de l'Agence canadienne de placement de titres au détail tient à la volonté politique ferme de mettre en place une stratégie de gestion de la dette fondée sur l'efficacité.

Je suis convaincue qu'une concurrence saine et équitable dans le secteur des titres négociables sera profitable pour le pays ainsi que pour tous les protagonistes du marché de l'épargne et du placement.

Je suis de plus convaincue qu'en travaillant ensemble, l'agence et les institutions financières pourront se partager de nouvelles possibilités dont nous bénéficierons tous.


Dernière mise à jour :  2004-03-21 Haut

Avis importants