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Normalisation des sites InternetSection des langues officiellesAperçuTous les sites Web du GdC doivent respecter les politiques pertinentes de la Loi sur les langues officielles (LLO). Bien que la publication d'information dans les deux langues officielles soit un concept bien établi, le recours aux médias électroniques pose de nouvelles difficultés à circonscrire, entre autres les aspects linguistiques de la technologie et des logiciels axés sur le Web. Les développeurs de contenu Web doivent voir à respecter les exigences de la LLO à la fois dans le contenu et l'architecture de tous les sites et sites secondaires du GdC, en vertu de la Directive sur l'utilisation des langues officielles sur les sites Web du Conseil du Trésor. Les normes relatives aux langues officielles qui sont décrites dans les pages qui suivent portent sur des aspects spécifiques de la conception de sites Web. En raison de l'évolution rapide des technologies du Web et des normes associées, il faudra réviser les conventions actuelles afin de s'assurer qu'elles sont à jour et exhaustives. Plusieurs autres éléments des sites Web nécessitent un traitement particulier en vertu de la LLO, entre autres les messages générés par les serveurs, les équivalents textuels et les métabalises. Les serveurs Web transmettent automatiquement de nombreux messages tels que les instructions, les avis de réacheminement du courrier électronique et les messages d'erreur. À moins que le serveur ne soit en mesure de reconnaître la langue d'affichage choisie par l'utilisateur et d'en tenir compte, tous les messages générés automatiquement en réponse à une action de l'utilisateur doivent être bilingues. Comme les équivalents textuels (voir la norme 1, Accessibilité) sont essentiellement un outil permettant de présenter le contenu d'un site dans un autre format, ils doivent eux aussi être affichés dans la langue choisie par l'utilisateur. De même, puisque les métabalises visent à faciliter la recherche d'information sur les sites du gouvernement en uniformisant les critères de recherche, les titres et le contenu des métabalises doivent exister dans la langue officielle de la page de contenu à la fois pour les éléments obligatoires et les éléments facultatifs. À titre de porte d'entrée d'un programme ou d'un service spécifique, la page d'accueil des institutions fédérales est un élément clé de la communication en ligne. Dans le contexte de l'Initiative de la Normalisation des Sites, la page d'accueil a trois principales fonctions : elle doit aider les utilisateurs à identifier l'institution source, à associer le site et l'institution au GdC et à naviguer dans le site dans la langue officielle de leur choix. Norme 7.1Toutes les institutions du GdC doivent enregistrer leurs noms de domaine gc.ca en adoptant l'une des deux conventions d'attribution de noms suivantes : a) un nom qui représente l'objet fondamental de l'institution dans les deux langues officielles, p. ex., justice.gc.ca; b) deux acronymes ou noms - un où l'anglais est en premier et l'autre où c'est le français qui apparaît en premier, p. ex., pco-bcp.gc.ca et bcp-pco.gc.ca; space-spatial.gc.ca et spatial-space.gc.ca.
Les institutions peuvent également enregistrer les versions unilingues en anglais et en français d'un nom ou de l'acronyme connexe si elles souhaitent ou sont obligées de les utiliser sur les pages de contenu unilingue (c.-à-d.pco.gc.ca sur les pages de contenu en anglais et bcp.gc.ca sur les pages de contenu en français), ou lorsqu'elles publient de l'information dans des médias unilingues, p. ex., dans des magazines ou des journaux en anglais ou en français. ExplicationTout comme la plupart des numéros de téléphone du gouvernement au pays peuvent être aisément reconnus grâce au «9» au début de l'indicatif NNX, l'adoption d'une convention spécifique d'attribution de noms de domaine a pour objet de faciliter l'identification du GdC sur Internet. Les noms de domaine sont absolument essentiels pour les utilisateurs, et ce pour deux raisons. Tout d'abord, le nom de domaine est une référence spécifique à un site individuel. S'il connaît ce nom, l'utilisateur peut se connecter directement à l'information et aux services voulus. D'autre part, comme le nom de domaine est présent à la fois dans les adresses Web et les adresses de courrier électronique, il renforce chez l'utilisateur la notion que son correspondant représente une institution du GdC. En plus de servir de points d'accès aux informations, services et employés de la fonction publique, les sites Web et les adresses de courrier électronique sont des éléments importants du matériel de marketing, de promotion et d'information. Une convention spécifique d'attribution de noms de domaine renforcera l'identité, la présence et la visibilité du gouvernement fédéral. Le regroupement de tous les sites du GdC dans un domaine unique accroîtra donc le taux de reconnaissance visuelle par le grand public et aidera les utilisateurs à se souvenir plus facilement des noms des sites qu'ils consultent régulièrement. Enfin, la normalisation augmentera leurs chances de trouver des sites qu'ils n'avaient jamais visités auparavant. Des sondages officieux nous permettent de penser que les Canadiens commencent à associer le domaine gc.ca au Gouvernement du Canada. À l'heure actuelle, les institutions du GdC utilisent différentes approches pour s'identifier à l'intérieur du domaine gc.ca : acronymes bilingues séparés par un trait d'union, acronymes unilingues, mots clés extraits d'un titre, mots clés abrégés, etc. Bien qu'il soit peu probable qu'une solution unique puisse répondre aux besoins de toutes les institutions du GdC et offrir aux Canadiens une façon totalement intuitive et mémorable de retrouver des sites spécifiques dans la langue de leur choix, il est clair que nous avons besoin d'une plus grande uniformité dans nos méthodes d'identification des institutions. Les options décrites ci-après sont toutes acceptables; elles ont été élaborées de façon à se conformer aux exigences de la Loi sur les langues officielles. Cette norme a aussi des répercussions sur la navigation et sur la présentation. InterprétationSi l'option (b) est retenue, l'ordre d'affichage du nom de l'institution dans les deux langues officielles dépend de l'emplacement du bureau offrant le service sur le site en question : anglais à gauche pour les bureaux situés à l'extérieur du Québec et français à gauche pour les bureaux situés au Québec. Par exemple : hrdc-drhc.gc.ca pour les bureaux à l'extérieur du Québec et drhc-hrdc.gc.ca pour les bureaux situés au Québec.
Les exemples qui suivent illustrent les principes ci-dessus. Pour les publications :
Si un nom de lieu est intégré au nom de domaine, les principes suivants s'appliquent :
Noms de programme utilisés comme noms de domaine De nombreux ministères enregistrent les noms de leurs programmes comme sous-domaines de gc.ca. Il s'agit souvent de programmes relevant de plusieurs ministères et qui ne possèdent pas d'identité PCIM spécifique. Par exemple, GenerationEpargne.gc.ca ou Carrefour.gc.ca. Ces noms sont également assujettis aux règles décrites aux options (a) et (b) de la norme 7.1. 7.1 Pratiques exemplairesURL (août 2002) Un autre aspect important de la norme 7.1 de la NSI concerne l'attribution des noms de dossiers et de fichiers utilisés dans les adresses URL et le langage des chaînes d'interrogation susceptibles de figurer dans les URL produites automatiquement par des applications telles Active Server Pages (ASP), p. ex., l'adresse suivante : http://www.goc-gdc.gc.ca/govscripts/docs/wn-qn_f.asp?who-qui=/abc-cba/forum/. Pour répondre à la norme 7.1 de la NSI, la partie du nom de domaine de l'URL (tout ce qui figure à la gauche de gc.ca) doit être bilingue. À titre de pratique exemplaire, les noms de dossiers et de fichiers, par exemple /govscripts/docs/wn-qn_f.asp, qui figurent dans l'adresse d'accès global devraient aussi respecter la norme 7.1 de la NSI. On pourrait atteindre cet objectif de plusieurs façons : attribuer un nom dans les deux langues officielles (links-liens) ou utiliser des acronymes (faq_f.htm), un mot dont l'orthographe est la même en anglais et en français (documents_e.htm), des chiffres (123_f.htm), des caractères alphabétiques (abc_e.htm), etc. On convient que la partie du langage d'interrogation que l'on retrouve dans certaines adresses d'URL produits automatiquement nécessiterait des efforts de programmation importants pour être conforme à la norme 7.1 de la NSI; toutefois, lorsque c'est possible, cette composante devrait aussi être bilingue (par exemple who-qui=/abc-cba/forum/), ou devrait comporter des paires de paramètres / valeurs qui ne sont pas des mots unilingues du dictionnaire (par exemple w=/abc-cba/forum et lang=fr). Noms de domaine (juillet 2000) La chaîne de caractères .ca est un nom de domaine de premier niveau, et gc.ca est un sous-domaine ou «enfant» du «parent» .ca. Un nom placé avant gc.ca indique un sous-domaine du domaine gc.ca. Un nom placé après gc.ca indique un répertoire de ce domaine. Par exemple, canada.justice.gc.ca est un nom de domaine ministériel. justice.gc.ca/publications pointe vers le répertoire «publications» dans le domaine justice.gc.ca. L'architecture de réseau sélectionnée par un ministère déterminera le format des noms de ses sous-domaines et répertoires. Lorsqu'un ministère fait la promotion d'un sous-domaine ou d'un site hébergé par son domaine, il doit employer un nom ou un acronyme bilingue. Par exemple, abc-eac.inac-ainc.gc.ca est l'acronyme bilingue du sous-domaine d'Entreprise Autochtone Canada, qui est hébergé par le domaine d'Affaires indiennes et du Nord Canada. TPSGC/SGTI est responsable de l'enregistrement de tous les noms de sous-domaine du GdC hébergés directement sous gc.ca, mais il n'enregistre pas les sous-domaines de chaque ministère. Chaque ministère est responsable des sous-domaines de son propre domaine ministériel. Consultez le site http://registry.srv.gc.ca pour enregistrer un nom de domaine sous le domaine gc.ca, pour modifier un nom de domaine déjà enregistré (p. ex., pour changer l'information sur les personnes-ressources) et pour vérifier le traitement d'une nouvelle demande d'enregistrement (p. ex., reçue, en attente d'approbation, approuvée). Ce service est fourni par le registre de DNS du GdC, lui-même géré par TPSGC/SGTI. TPSGC/SGTI tient à jour une liste des noms de domaine institutionnels enregistrés sous .ca, .com, .net et .org, que vous pouvez consulter à l'adresse http://registry.srv.gc.ca. Norme 7.2Tous les sites Web du GdC doivent avoir une
page d'accueil au point principal d'entrée au site. Chaque page d'accueil doit comporter
trois éléments clés : le mot-symbole « Canada », la signature institutionnelle et un bouton de choix de langue, sauf sur les sites Web
unilingues où il faut fournir les
boutons de contenu. (Voir la Politique
concernant l'utilisation des langues officielles sur les réseaux informatiques qui
stipule les exigences pour les sites tant bilingues qu'unilingues avec
une exigence spéciale de
désistement de responsabilité et d'hyperlien pour ce dernier, voir 7.4). ExplicationLes pages d'accueil jouent un rôle clé pour la communication initiale, l'identification et la navigation sur tous les sites Web du GdC; il faut donc que leur conception facilite ces fonctions. La résolution unique et normalisée garantit que l'utilisateur pourra prendre connaissance immédiatement de tout le contenu de la page d'accueil sans avoir à la faire défiler. Bien que la partie centrale de la page d'accueil puisse être personnalisée pour satisfaire aux besoins spécifiques de l'institution (ou de ses programmes et services), la normalisation de la résolution et de la disposition des éléments obligatoires favorisera l'uniformisation visuelle de tous les sites du GdC. InterprétationLes exigences en matière de langues officielles qui s'appliquent aux pages d'accueil sont décrites dans la Directive sur l'utilisation des langues officielles sur les sites Web (Modalités de mise en oeuvre) du Conseil du Trésor. Plus spécifiquement, pour la page d'accueil du site d'un bureau désigné comme bilingue, consultez les normes 6.1.1. b) et c) ainsi que l'annexe A. Pour la page d'accueil du site d'un bureau désigné comme unilingue, consultez la norme 6.1.2 a) et l'annexe B. Les sites des bureaux des institutions qui sont assujetties à la Loi sur les langues officielles doivent refléter les obligations en matière de langues officielles des bureaux qui utilisent ces sites. La politique du CT exige que ces obligations se manifestent au niveau de la page d'accueil, qui constitue, dans la perspective des langues officielles, un « guichet de service électronique » pour le bureau. Les normes décrites ci-dessus doivent tenir compte des facteurs suivants :
En la pratique on recommande hautement à un bureau unilingue qui désire afficher un contenu qui vise le public partout au Canada, de l'afficher sur le site officiel de l'institution, ou sur un autre site bilingue, et d'y référer au moyen d'un hyperlien, plutôt que de l'afficher directement sur son propre site. Norme 7.3Toutes les pages de tous les sites Web du GdC
doivent incorporer le mot-symbole « Canada » et la signature institutionnelle en
utilisant des reproductions de qualité supérieure en matière de précision, de couleur et
de résolution. ExplicationDans le cadre des politiques du Programme de coordination d'image de marque (PCIM), toutes les pages de tous les sites Web du GdC doivent identifier clairement le GdC comme étant la source ultime du contenu. On obtient ce résultat en affichant sur ces sites les identificateurs du GdC, dont le mot-symbole « Canada » et les signatures institutionnelles appropriées. Afin de faciliter la reconnaissance visuelle des sites du GdC, tous les développeurs Web doivent respecter les mêmes normes régissant la taille, la disposition et la proéminence de ces éléments. Les normes régissant la taille, la disposition et la proéminence du mot-symbole « Canada » et des signatures institutionnelles au point d'accès initial d'un site du GdC (la page d'accueil), ainsi que sur toutes les pages Web du site, favorisent la reconnaissance visuelle des institutions individuelles et la reconnaissance de leur lien avec le GdC. L'utilisation uniformisée des identificateurs d'institutions fédérales garantit que toute section d'un site donné pourra facilement être identifiée comme appartenant au GdC, et confirmera que l'information affichée a été fournie par une institution du GdC. Les identificateurs PCIM confirment également à l'utilisateur que cette information est utilisée d'une façon appropriée dans le contexte voulu. Lorsque la taille et le format du contenu excèdent la résolution standard de 640 par 480 pixels, la page doit comporter un avis expliquant à l'utilisateur comment il peut ajuster la résolution de son écran pour tenir compte du format non standard, p. ex. tableaux, cadres, etc. Cette norme a aussi des répercussions sur la navigation et sur la présentation. Norme 7.4Les pages d'accueil unilingues du GdC doivent inclure un message bilingue stipulant qu'en vertu de la Loi sur les langues officielles, le bureau n'offre les services à la clientèle que dans l'une des deux langues officielles. Ce message doit également aviser les utilisateurs de la présence d'un hyperlien à un site où ils peuvent avoir accès à de l'information générale dans les deux langues officielles. Dans la Politique concernant l'utilisation des langues officielles sur les réseaux informatiques, il y a une page d'accueil type dans laquelle figure le message qu'il faut utiliser. De plus, l'annexe C de la politique énonce le texte de désistement qu'il faut utiliser dans le cas des sites bilingues qui affichent du contenu appartenant à des entités qui ne sont pas assujetties à la Loi sur les langues officielles. ExplicationOn accepte qu'un site soit dans une seule langue officielle lorsque le bureau qui a la responsabilité du site n'est pas tenu d'offrir au public son contenu dans les deux langues officielles en vertu de la Loi sur les langues officielles ou du règlement afférent. Le bureau en question n'est pas alors tenu de présenter le contenu de son site dans les deux langues officielles car il n'est pas obligé de fournir à la population de la région qu'il dessert ses services dans les deux langues officielles. Toutefois, en raison de la nature même d'Internet, il est probable que de nombreux visiteurs du site voudront obtenir de l'information dont la portée dépasse celle du matériel offert sur le site par l'institution fédérale. L'hyperlien qui renvoie d'un site unilingue vers un site bilingue (par exemple, le site officiel de l'institution) permet à la population de langue officielle minoritaire de la région desservie par le bureau unilingue d'avoir accès à d'autres informations fournies par l'institution en question dans la langue officielle de son choix, même si le bureau n'est pas tenu d'offrir des services bilingues au public de la région dont il est responsable. Norme 7.5Toute page de site Web du GdC doit
comporter des boutons de navigation permettant à l'utilisateur d'explorer le site dans la
langue de son choix ou d'accéder à la même information dans l'autre langue officielle,
sauf lorsque le bureau offrant le site Web n'est pas désigné bilingue. ExplicationLes sites des bureaux des institutions qui sont assujetties à la Loi sur les langues officielles doivent refléter les obligations en matière de langues officielles des bureaux qui exploitent ces sites. Les normes assurent la prise en compte de ces obligations au niveau de la page d'accueil, qui constitue, dans la perspective des langues officielles, un « guichet de service électronique » pour le bureau. Les normes régissant l'utilisation des boutons de sélection de la langue reflètent les exigences de la Loi sur les langues officielles, et en particulier de l'article 28 de la Loi, qui stipule que les bureaux qui doivent servir le public dans les deux langues officielles sont tenus d'offrir « activement » leurs services et communications dans les deux langues. Les boutons de sélection de la langue affichés sur la page d'accueil jouent ce rôle. Dans le cas d'un bureau unilingue, les normes sont différentes; consultez à cet effet la norme 7.2. 7.5 Pratiques exemplairesExemples de barres de menu communes et institutionnelles pour un site Web bilingue.Page de contenu français :
Page de contenu anglais :
Exemples des barres de menu communes et institutionnelles pour site Web unilingue.Page de contenu français :
Page de contenu anglais :
Norme 7.6 (Mise à jour)Les messages générés par les serveurs Web et les serveurs d'application Web devront apparaître dans la langue officielle que préfère l'utilisateur. Si cela n'est pas possible ou si la langue de préférence de l'utilisateur n'est pas connue, le message doit être affiché entièrement dans les deux langues officielles et selon l'ordre prévu. Pour de plus amples renseignements, prière de se reporter à la Directive concernant l'utilisation des langues officielles sur les sites Internet1. Historique des versions
ExplicationLe principe établi à la norme 7.6 vise à garantir qu'après la sélection de la langue d'affichage du contenu par l'utilisateur, les messages sont générés par le serveur du site dans la même langue. Ce principe est donc conforme à ceux décrits dans les autres normes (voir par exemple sous «Interprétation» aux normes 7.1 et 7.5). Lorsque la technologie dont dispose une institution ne permet pas la sélection de la langue d'affichage des messages générés par le serveur, ce dernier doit être configuré de manière à afficher des messages bilingues à la fois sur les pages françaises et les pages anglaises. Dans ces messages bilingues, l'ordre d'affichage des deux langues doit refléter la langue d'affichage de la page Web. Ce principe s'accorde également avec ceux de la norme 7.1. Messages bilingues des serveursNorme 7.7Tout équivalent textuel doit être présenté dans la langue de la page Web où il figure. ExplicationCe principe s'accorde avec ceux énoncés à la norme 7.6. Programme de coordination de l'image de marque (PCIM)Norme 7.8Les éléments obligatoires qui constituent la métabalise de toute page Web doivent correspondre à la langue officielle de la page. InterprétationDans cette norme, l'élément de la métabalise qui compose le contenu doit se trouver dans la langue de la page à laquelle il est intégré. MétadonnéesMetabalise complet = <meta name="Title" content="Avis importants"> Meta nom ou étiquette de l'élément méta : "title ", "originator", "language of resource", "date" et " controlled subject"
Contenu de l'élément méta = nom du contenu dans le nom ou l'étiquette de l'élément.
Voir l'exemple ci-dessous de métadonnées pour une page : <meta name="title" content="inserez "title" en
français ou en anglais ici"> Metadonnées pour une page en français : <meta name="title" content="216 couleurs recommandées pour le Web> Metadonnées pour une page en anglais : <meta name="title" content="216 Web-safe Colours"> Norme 7.9Les institutions fédérales doivent s'assurer que leur contenu qui est affiché sur un site qui fait l'objet d'un accord de collaboration est conforme aux exigences relatives aux langues officielles qui s'appliqueraient si le site était strictement celui du bureau en question. ExplicationLe contenu dont le bureau fédéral est responsable doit être clairement identifié et doit satisfaire aux exigences en matière de langues officielles. InterprétationTous les bureaux situés dans la région de la capitale nationale, ainsi que toutes les administrations centrales et les bureaux nationaux des institutions sont tenus de servir le public, ou de fournir leur information et de communiquer avec le public, dans les deux langues officielles et les sites de ces bureaux sont soumis aux mêmes obligations. Les bureaux qui n'entrent pas dans la catégorie ci-dessus doivent assurer leurs communications dans les deux langues officielles quand ils sont soumis à la réglementation sur les langues officielles « Règlement sur les langues officielles-communications avec le public et prestation des services ». On peut trouver le texte officiel du règlement et une description de ses dispositions à : http://www.hrma-agrh.gc.ca/ollo/ sous la rubrique « législation ». Les bureaux tenus de servir le public dans les deux langues officielles sont inscrits sur le système de l'Agence de gestion des ressources humaines de la fonction publique appelé Burolis. Il y a également une directive du Conseil du Trésor qui vient compléter la Loi sur les langues officielles, son règlement d'application et sa Politique sur l'utilisation des langues officielles pour les communications avec le public et la prestation des services, la Directive sur l'utilisation des langues officielles sur les sites Web. Norme 7.10Tous les administrateurs de courriel du GdC doivent fournir à tous les fonctionnaires des adresses électroniques qui reflètent l'observation des exigences en matière de langues officielles en utilisant le format d'adresse électronique qui reflète le ou les noms de domaine choisis par l'institution. Voir la norme 7.1 ci-dessus pour l'ordre des langues officielles dans les noms de domaine. ExplicationEn matière de langues officielles, les exigences relatives au nom de domaine sont identiques à celles stipulées à la norme 7.1. Il est important de s'assurer que tous les éléments du nom de domaine à la droite du symbole @ utilisent la nomenclature de nom de domaine officielle du serveur Web de l'institution en matière de langues officielles. Ainsi, une institution qui a enregistré un nom ou un acronyme avec trait d'union comme nom de domaine (c.-à-d., l'option (b) telle que décrite à la norme 7.1) doit employer le même ordre de présentation pour les adresses de courrier électronique de ses employés. Par exemple, anglais à gauche pour les bureaux situés à l'extérieur du Québec et français à gauche pour les bureaux situés au Québec. ModèlesModèles d'adresses de courriel : français Modèles d'adresses de courriel : anglais Cette règle s'applique aux ministères qui gèrent leur propre passerelle SMTP, mais ne touche pas la passerelle centralisée X.400/SMTP, qui utilise un format de mappage d'adresses spécifique. InterprétationUne institution peut également enregistrer des versions unilingues équivalentes d'un nom de domaine pour son courrier électronique. Toutefois, l'utilisation de ces formats unilingues doit être réservée aux circonstances décrites ci-dessus, à l'égard des formats unilingues des noms de domaine dans les publications bilingues et de la publicité dans des médias unilingues distincts (voir sous « Interprétation » à la norme 7.1). On peut également les employer sur les cartes de visite si la langue officielle de chaque version unilingue correspond à celle du texte : p. ex. si la version unilingue anglaise fait partie de l'information imprimée en anglais sur la carte, et la version unilingue française fait partie de l'information imprimée en français (voir sous «Interprétation» à la norme 7.1). Encore une fois, l'utilisation de ces versions unilingues doit être interprétée comme un raccourci visant à faciliter la communication entre la population et un bureau du gouvernement. Elles ne doivent pas remplacer les versions bilingues employées pour répondre aux courriels (voir ci-dessus).
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