Budget des dépenses
1999-2000
Un rapport sur les plans et les priorités
Approuvé
Table des matières
Section I : Messages
A : Message du Ministre
B : Déclaration de la direction
Section II : Vue densemble
A. Mandat, rôles et responsabilités
B. Objectifs
C. Milieu de fonctionnement
D. Plan des dépenses
Section III : Plans, priorités, stratégies et
résultats prévus
A. Résumé des priorités et des résultats prévus
B. Plans des programmes et des secteurs dactivité
C. Rapports densemble
Diagramme sur les initiatives législatives et réglementaires
Stratégies de développement durable
Diagramme sur les initiatives de préparation à lan 2000
Section IV : Renseignements supplémentaires
Tableau 1 : Autorisations de dépenser - Résumé du
ministère, Partie II des dépenses
Renseignements sur le personnel
Tableau 2.1 : Structure organisationnelle et présentation des
dépenses prévues par programme et secteur dactivité
Tableau 2.2 : Équivalents temps plein (ETP) prévus par programme
et secteur dactivité
Renseignements sur les projets dimmobilisations
Tableau 3.1 : Dépenses en capital prévues par programme
et secteur dactivité
Tableau 3.2 : Projets par programme et secteur
dactivité
Autres renseignements financiers
Tableau 4 : Sommaire des articles courants de dépenses par
programme
Tableau 5 : Ressources par programme et secteur dactivité
pour lexercice du Budget des dépenses
Tableau 6: Contributions par programme et secteur
dactivité
Tableau 7 : Recettes par programme
Tableau 8 : Coût net du programme pour lexercice du
Budget des dépenses
Autres informations
Tableau 9 : Liste des lois et des règlements
Tableau 10 : Références
Section I : Messages
Message du Ministre
Les Canadiens jouissent dun approvisionnement alimentaire dont la salubrité et
la qualité comptent parmi les plus élevées du monde. LACIA maintient cette
réputation en améliorant sans cesse les démarches du Canada en matière
dinspection des aliments. Elle conserve lengagement quelle a pris à
légard des sciences, soccupe de lensemble de la chaîne alimentaire, de
la production primaire à la vente au détail, et gère les questions horizontales
touchant divers produits.
Maintenir lintégrité du système de salubrité des aliments, de santé des
animaux et de protection des végétaux est une tâche complexe dont lACIA
sacquitte en partenariat avec dautres ministères fédéraux, les
gouvernements des provinces et des territoires, lindustrie et les consommateurs.
LACIA, en collaboration avec ses partenaires, veut jeter des bases législatives
communes, intégrer davantage les services dinspection, établir des normes
nationales et des codes de pratique volontaires. La Loi sur lAgence canadienne
dinspection des aliments offre à lAgence une marge de manoeuvre lui
permettant de continuer de rehausser lefficience et lefficacité de ses
services.
Les intoxications alimentaires dorigine microbienne, appelées couramment
empoisonnements alimentaires, représentent la catégorie la plus nombreuse de nouvelles
maladies infectieuses au Canada. Les recherches révèlent quune bonne partie des
maladies dorigine alimentaire sont causées par une manipulation inappropriée des
aliments à la maison. Pourtant, une étude effectuée en 1998 par lACIA sur la
façon sûre de manipuler les aliments, avait permis de constater que les consommateurs
nétaient souvent pas au courant ou mal informés de la façon dont ils pouvaient se
protéger des bactéries alimentaires dangereuses. LAgence est membre dune
coalition unique composée de 48 des principaux intervenants des industries
alimentaires du Canada, de groupes de consommateurs et de gouvernements qui a lancé une
campagne nationale de sensibilisation du public sur la salubrité alimentaire dans la
cuisine. Grâce à la campagne À bas les BACtéries!MC, le Partenariat
canadien pour la salubrité des aliments a pour objectif damener les Canadiens à
sengager activement dans la lutte contre les bactéries dangereuses lorsquils
préparent des aliments dans leur cuisine.
La réputation internationale dont jouit le Canada en matière de salubrité des
aliments et lexcellente qualité de nos produits animaux et végétaux nous ouvrent,
dans le domaine du commerce, de nombreux débouchés auxquels nont tout simplement
pas accès nos concurrents internationaux. Au Canada, des emplois dépendent du commerce
et lACIA continuera de faciliter laccès des produits canadiens au marché
international. LAgence continuera de participer à lélaboration de normes
internationales et dexigences commerciales et dexercer une influence sur
celles-ci, de façon à aider les exportateurs canadiens de produits alimentaires, animaux
et végétaux.
LACIA sengage à renforcer davantage son système dinspection pour
fournir aux Canadiens des aliments salubres et certains des meilleurs produits animaux et
végétaux au monde.
Pour réaliser les exigences de planification et de rapport établies dans la Loi
sur lACIA, lAgence est en train de mettre en oeuvre son cadre de gestion
du rendement, lequel lui permettra de démontrer quelle respecte ses objectifs.
DÉCLARATION DE LA DIRECTION
Un rapport sur les plans et les priorités 1999-2000 |
Je soumets, en vue de son dépôt au Parlement, le Rapport sur les plans et les
priorités (RPP) de 1999-2000 de lAgence canadienne dinspection des
aliments
À ma connaissance, les renseignements :
- Décrivent fidèlement les mandats, plans, priorités, stratégies et résultats clés
escomptés de lorganisation.
- Sont conformes aux principes de divulgation de linformation énoncés dans les Lignes
directrices pour la préparation du Rapport sur les plans et les priorités.
- Sont complets et exacts.
- Sont fondés sur de solides systèmes dinformation et de gestion sous-jacents.
- Je suis satisfait des méthodes et procédures dassurance de la qualité qui ont
été utilisées pour produire le RPP.
Les ministres du Conseil du Trésor ont approuvé la structure de planification, de
rapport et de responsabilisation (SPRR) sur laquelle sappuie le document et qui sert
de fondement à la reddition de comptes sur les résultats obtenus au moyen des ressources
et des pouvoirs fournis. |
Nom : Ronald L. Doering
Date : _________ |
Section II : Vue densemble
En plus de linformation contenue dans le présent document, on trouvera de plus
amples renseignements sur lAgence dans son plan dentreprise et dans son
rapport annuel. Pour connaître ladresse Internet ou le numéro à composer pour
commander ces documents par téléphone, voir la section Références à la dernière
page.
A. Mandat, rôles et responsabilités
Mandat de lACIA
Le système canadien dinspection des aliments et de la santé des animaux et de
lintégrité des végétaux est respecté à léchelle internationale et se
classe parmi les meilleurs au monde. LACIA a le mandat daméliorer
lefficacité de linspection fédérale et des services connexes portant sur
les aliments ainsi que sur la santé des plantes et des animaux.
Mission et objectifs
Afin de remplir sa mission « Salubrité des aliments, accès aux
marchés et protection du consommateur » , lACIA sest donné
les objectifs suivants : contribuer à un approvisionnement sûr en aliments et à
une information exacte sur les produits, contribuer au maintien de la santé des animaux
et de la protection des végétaux afin de protéger les ressources disponibles et
faciliter le commerce des aliments, des animaux et des végétaux ainsi que de leurs
produits.
Fondement législatif
LACIA est chargée dappliquer et de faire respecter les lois suivantes : Loi
sur les sanctions administratives pécuniaires en matière dagriculture et
dagroalimentaire, Loi sur les produits agricoles au Canada, Loi
sur lAgence canadienne dinspection des aliments, Loi relative aux
aliments du bétail, Loi sur les engrais, Loi sur linspection du
poisson, Loi sur la santé des animaux, Loi sur linspection des
viandes, Loi sur la protection des obtentions végétales, Loi sur la
protection des végétaux et Loi sur les semences. De plus, lAgence a
la charge de faire respecter la Loi sur lemballage et létiquetage des
produits de consommation et la Loi sur les aliments et drogues en ce qui a
trait aux aliments, ainsi que dappliquer les dispositions de la Loi sur les
aliments et drogues se rapportant aux aliments, sauf si celles-ci concernent la
santé publique, la salubrité ou la nutrition.
Le ministre de la Santé demeure responsable de lélaboration des politiques et
des normes relatives à la salubrité et à la valeur nutritive des aliments vendus au
Canada. Il lui incombe également dévaluer lefficacité des activités
réalisées par lAgence pour assurer la salubrité des aliments.
LACIA a entrepris un examen exhaustif des lois quelle applique ou fait
respecter dans le but de les moderniser ou des fondre.
B. Objectifs
Inspection des aliments
Objectif relatif aux aliments «Contribuer à un
approvisionnement sûr en aliments et à une information exacte sur les produits» |
Le programme d'inspection des aliments de l'ACIA veille à ce que les fabricants, les
importateurs et les distributeurs régis par l'ACIA respectent les normes fédérales
établies en matière de salubrité, de qualité, de quantité, de composition, de
manutention, d'identité, de traitement, d'emballage et d'étiquetage. S'il s'agit
daliments destinés à l'exportation, les fabricants peuvent être tenus de se
conformer aux exigences du pays importateur. Dans ces cas, le programme de l'ACIA doit
veiller au respect de ces normes additionnelles.
Cette fonction de réglementation est essentiellement assurée par l'enregistrement et
l'inspection des établissements aux fins du commerce interprovincial et international,
ainsi que par l'inspection et la surveillance des produits dans les établissements de
transformation enregistrés ou non, dans les locaux des importateurs et dans les magasins
de vente au détail. L'ACIA collabore avec Santé Canada et d'autres gouvernements et
industries réglementées afin dadministrer le retrait de certains aliments et de
prendre d'autres mesures d'application des lois.
Programmes d'inspection de la santé des animaux et de la protection des
végétaux
Objectif relatif à la santé des plantes et des animaux «Contribuer
au maintien de la santé des animaux et de la protection des végétaux afin de protéger
les ressources disponibles» |
Les programmes dinspection de la santé des animaux et de la protection des
végétaux contribuent à la protection de la faune et de la flore canadiennes en
empêchant l'introduction et la propagation de maladies et de ravageurs réglementés qui
ont de limportance sur le plan de l'économie, de l'environnement ou de la santé
humaine. Le transport sans cruauté des animaux relève aussi du programme dhygiène
vétérinaire de l'ACIA.
Les précautions prises à l'importation sont destinées à prévenir l'introduction au
Canada de maladies et de ravageurs exotiques. À cette fin, on inspecte, teste et certifie
le bétail, les produits horticoles, forestiers et biologiques ainsi que dautres
denrées alimentaires, avant den autoriser lentrée au Canada. Ces activités
sont menées dans les postes de douane, les ports de mer, les aéroports et les
installations de quarantaine, ainsi que dans le pays d'origine. On mène également des
activités de collecte de renseignements internationaux sur les maladies, on négocie avec
les pays exportateurs les normes de santé pour l'importation et on organise des exercices
de simulation de situations d'urgence régionales et nationales.
Dans le cadre du programme de protection des végétaux, on procède à des
évaluations environnementales avant dautoriser la circulation de végétaux,
d'aliments du bétail et de produits microbiens mis au point grâce au génie génétique.
Le programme permet également de vérifier si les aliments destinés au bétail, les
engrais commerciaux et les suppléments utilisés au Canada sont sûrs et efficaces et
s'ils sont emballés et étiquetés selon les normes établies. Il englobe la
certification des semences et l'enregistrement des variétés de plantes de grande culture
et il octroie en outre, aux pépiniéristes, une sorte de brevet ou certificat de
protection des obtentions végétales pour les nouvelles variétés agricoles et
horticoles.
Accès aux marchés
Objectif relatif à laccès aux marchés «Faciliter
le commerce des aliments, des animaux et des végétaux ainsi que de leurs produits» |
L'Agence est investie dun mandat important, c'est-à-dire négocier les exigences
techniques applicables à la circulation des aliments ainsi que des produits animaux et
végétaux entre les pays, et lharmonisation des normes nationales. L'Agence mène
ou appuie les négociations ou les travaux des comités en matière commerciale et elle
prête main forte aux jurys de règlement des différends. L'ACIA peut faciliter le
commerce international et interprovincial dans le cadre de négociations et de
consultations avec les gouvernements étrangers. Ces négociations prennent de plus en
plus souvent un caractère multilatéral. Les spécialistes du commerce de l'Agence
collaborent avec leurs partenaires d'Agriculture et Agroalimentaire Canada, du ministère
des Pêches et des Océans, de Santé Canada et du ministère des Affaires étrangères et
du Commerce international pour faire progresser les dossiers d'intérêt commun.
Afin de maintenir et délargir laccès aux marchés internationaux et de
protéger les intérêts du Canada, lAgence est un joueur actif au sein
dorganisations internationales, réduisant les obstacles commerciaux non tarifaires,
influençant lélaboration des normes internationales et encourageant
ladoption de conditions sanitaires et phytosanitaires basées sur des faits
scientifiques. Elle est membre dorganisations multilatérales comme
lOrganisation mondiale du commerce (OMC), le Codex Alimentarius, lAccord de
libre-échange nord-américain (ALENA), lOrganisation nord-américaine pour la
protection des plantes (NAPPO), lOffice international des épizooties (OIE) et la
Convention internationale pour la protection des végétaux (IPPC) de lOrganisation
des Nations unies pour lagriculture et lalimentation (FAO).
C. Milieu de fonctionnement
Structure organisationnelle
LACIA est dirigée par un président qui relève du ministre de
lAgriculture et de lAgroalimentaire. Le président est secondé par un
vice-président exécutif. Le tableau 1 montre la division actuelle des
responsabilités à lintérieur de lAgence.
Conseil consultatif du ministre
Un Conseil consultatif de 12 membres formule directement des recommandations au
Cliquer sur l'image pour l'agrandir
![Structure organisationnelle](/web/20071124140733im_/http://www.inspection.gc.ca/francais/corpaffr/rpp/rpp1999/orgstruct__smf.gif)
Ministre sur les grands dossiers stratégiques liés aux responsabilités de
lACIA. Ses membres sont choisis en raison de leurs connaissances et de leur
expérience dans des secteurs directement liés au mandat de lAgence. Le Conseil
consultatif est secondé par un secrétariat situé à ladministration centrale de
lACIA.
Leffectif de lACIA
LACIA sest engagée à prêter des services de la façon la plus efficace
et la plus efficiente possible. Ladministration centrale de lAgence est
située dans la région de la capitale nationale, mais elle exécute des programmes dans
toutes les provinces et tous les territoires du Canada grâce à quatre secteurs
dopérations, cest-à-dire ceux de lAtlantique, du Québec, de
lOntario et de lOuest. Les 4 354 employés de lAgence sont
répartis dans 18 bureaux régionaux, 185 bureaux locaux, comme les points
dentrée aux frontières, 408 locaux de tierces parties, comme les abattoirs,
et 22 laboratoires et installations de recherche. En avril 1998, lACIA a
adopté une structure organisationnelle qui confirme son engagement à légard de la
science, couvre lensemble de la production alimentaire, de la production primaire à
la vente au détail, et gère les questions horizontales communes aux différentes lignes
de produits.
Activités de laboratoire et danalyse
LACIA fournit un éventail de services de laboratoire à léchelle du pays,
dont le développement technologique. Les centres de microbiologie évaluent la salubrité
microbiologique des aliments, répondent aux plaintes des consommateurs, et interviennent
à la suite de maladies signalées par ces derniers. Les centres danalyse des
aliments fournissent des services précis et rapides danalyse des aliments, des
provendes, des engrais et des semences. Les centres dhygiène vétérinaire et de
protection des végétaux fournissent des services spécialisés dans les domaines
suivants : normes de tests de diagnostic, développement et transfert de technologie,
accréditation de laboratoire, conseils scientifiques et capacité danalyse pour les
maladies animales et les parasites des végétaux. Les laboratoires dinspection du
poisson offrent toute une gamme de services, incluant une expertise technique à
lappui de lélaboration et de lapplication de programmes de gestion de
la qualité mis en oeuvre par lindustrie. Ils font également des analyses
chimiques, microbiologiques et physiques des poissons et produits dérivés.
Notre clientèle
Notre système dinspection couvre lensemble de la chaîne
alimentaire, depuis les facteurs de production à la ferme, pour nous assurer que les
aliments et les produits alimentaires satisfont toujours à des normes élevées. |
Nos clients comprennent tous les intervenants de la chaîne alimentaire les
consommateurs, les producteurs, les pêcheurs, les fabricants de produits alimentaires et
de facteurs de production agricole, les fournisseurs connexes, les importateurs et les
exportateurs, les négociants, les distributeurs, les détaillants, les intervenants de
lindustrie du bois doeuvre et les associations représentant ces groupes
clients.
![foodcont_f.gif (16766 bytes)](/web/20071124140733im_/http://www.inspection.gc.ca/francais/corpaffr/rpp/rpp1999/foodcont_f.gif)
LACIA assure linspection et les services connexes touchant les animaux, les
végétaux et leurs produits, allant des facteurs de production comme les produits
biologiques vétérinaires, au bois et aux produits de pépinières, aux aliments du
bétail médicamenteux et aux semences, aux aliments frais, dont la viande, le poisson,
les oeufs, les produits laitiers, les fruits et légumes ainsi quaux aliments
préparés et emballés.
Notre stratégie dentreprise
Objectifs du SII
- intégrer les programmes dinspection de lAgence sous le régime dun
même ensemble de principes directeurs et dune discipline commune
- réduire les risques qui peuvent survenir le long de la chaîne alimentaire
- intégrer et lier entre eux les buts, objectifs et activités de tous les acteurs de la
chaîne alimentaire.
|
Système intégré dinspection (SII)
LACIA met en place un Système intégré dinspection (SII) afin
daméliorer lefficacité et lefficience des systèmes fédéraux
dinspection des aliments. Pour cela, elle harmonisera ses programmes
dinspection et semploiera, de concert avec lindustrie, à intégrer le
système dinspection tout au long de la chaîne alimentaire.
Lors de lélaboration de partenariats et dalliances stratégiques avec
dautres gouvernements et des acteurs de lindustrie, lACIA et ses
partenaires :
- analyseront les stratégies dinspection actuelles le long de la chaîne
alimentaire
- décriront graphiquement lensemble de la chaîne alimentaire, de la ferme à
lassiette
- détermineront les dangers le long de la chaîne
- évalueront lefficacité et lefficience des stratégies de contrôle en
place
- introduiront de nouvelles stratégies ou des stratégies modifiées, au besoin.
De la sorte, il sera possible dinstaurer un système continue de moyens de contrôle
et dactivités dinspection.
Le SII permettra détablir des partenariats entre le gouvernement et
lindustrie. De lavis de lACIA, la fiabilité et la diligence de
lindustrie sont les moyens de défense les plus efficaces pour prévenir la mise au
commerce daliments non conformes. Les méthodes de contrôle seront proactives et
préventives et la philosophie sera réorientée du « si vous décelez un problème
- réglez-le » pour devenir « si vous décelez une cause -
prévenez-la ». Le gouvernement conservera un rôle de premier plan grâce à
linspection et à la vérification.
Consultation
L'Agence est convaincue que la consultation est un des moyens les plus efficaces de
prendre connaissance des préoccupations avant quelles ne débouchent sur des
problèmes, de rester à lavant-garde des dernières tendances du secteur
dactivités et de mieux comprendre les besoins et les préoccupations des clients.
L'Agence sengage à consulter de façon suivie un large éventail de clients,
notamment les consommateurs, le secteur privé, les provinces et les territoires, les
groupes d'intérêt, les syndicats et les employés.
Partenariats
La salubrité des aliments est une responsabilité partagée. Le maintien de
l'intégrité de la salubrité des aliments et du système de santé des animaux et de
protection des végétaux est une tâche complexe que l'ACIA aborde de concert avec les
gouvernements provinciaux et des territoires, le secteur privé et les consommateurs, de
même qu'avec d'autres ministères fédéraux.
À bas les BACtéries! MC
- NETTOYEZ souvent les surfaces de travail et lavez-vous les mains
- SÉPAREZ les aliments pour éviter la contamination croisée
- CUISEZ à la température appropriée
- RÉFRIGÉREZ rapidement les aliments périssables.
|
Le Partenariat canadien pour la salubrité des aliments est lun de ces
partenariats dont LAgence est membre. Cette coalition unique de 48 des plus grands
intervenants des industries alimentaires, des groupements de défense du consommateur et
de la santé et des gouvernements est à lorigine du lancement dune campagne
de sensibilisation publique nationale à la salubrité des aliments à la maison. Par la
campagne « À bas les BACtéries!MC », lancée en novembre 1998, le
Partenariat canadien pour la salubrité des aliments tentera dinciter les Canadiens
à combattre les bactéries dangereuses en adoptant des pratiques dhygiène
déterminantes lors de la préparation des aliments à la maison.
Coopération intergouvernementale
LACIA continue à créer des partenariats avec les gouvernements provinciaux et
territoriaux et sattache à établir une désignation réciproque pour les
inspecteurs, à élaborer et à conclure des ententes qui permettront doffrir des
services dinspection intégrés et à examiner la possiblité de former des
sociétés.
L'Agence est également membre du Groupe de mise en oeuvre du système canadien de
l'inspection des aliments. Ce groupe est un comité interministériel et
intergouvernemental établi pour accélérer l'atteinte du but visé par toutes les
parties : un système d'inspection complètement intégré. Il compte des
représentants des ministères de l'agriculture, de la santé et des pêches aux divers
paliers de gouvernement : fédéral, provincial, territorial et municipal. Les
gouvernements, grâce à ce groupe, ont reconnu le mérite de travailler ensemble à
l'élaboration de stratégies d'inspection et à la promulgation de lois communes, dans le
domaine de la salubrité des aliments. L'an dernier, le Groupe a fait des progrès
remarquables et créé des relations de partenariat positives en établissant des normes
nationales et un code d'usage à adhésion volontaire.
Environnement externe
Le monde de linspection des aliments, de la santé des animaux et de la
protection des végétaux évolue constamment. Les importations et les exportations de
bétail, de poisson, de produits horticoles, forestiers, biologiques et dautres
denrées alimentaires ne cessent daugmenter. De nouvelles maladies se répandent, de
nouvelles demandes de services et dinterventions réglementaires surgissent, tandis
quapparaissent de nouvelles techniques dinspection et de nouvelles exigences
commerciales; en même temps, les habitudes de consommation de la population changent
constamment. Par conséquent, le système canadien dinspection est voué à subir
une évolution permanente.
Les consommateurs sont de plus en plus conscients des enjeux en matière de salubrité
des aliments et des aspects nutritionnels. En même temps, les voyages internationaux et
les progrès des télécommunications signifient que lAgence doit être en mesure
didentifier et de répondre aux préoccupations concernant les aliments et le
commerce en provenance du monde entier.
Les services dinspection et de protection sanitaire et phytosanitaire fournis par
lACIA influent grandement sur la compétitivité des produits canadiens sur les
marchés mondiaux. Le rôle de lAgence est de veiller à ce que le Canada soit doté
dun système dinspection et de réglementation assurant à la fois facilité
daccès et avantage concurrentiel sur les marchés étrangers.
LACIA devra se tenir à lavant-garde de lévolution mondiale en
matière de méthodologies dinspection. Un élément important de cette évolution
est le passage de linspection traditionnelle des produits finis par le gouvernement
à une démarche axée sur la vérification et le contrôle des activités de
lindustrie. LACIA continuera à appuyer les projets proactifs de
lindustrie qui amélioreront les systèmes de production et de transformation des
aliments.
Les accords commerciaux internationaux continuent dinfluer sur lindustrie
canadienne. Des questions comme le niveau convenable de protection et les équivalences
font actuellement lobjet de débats dans le cadre de lOrganisation mondiale du
commerce (OMC). Des accords conclus dans le cadre de mécanismes internationaux de
négociation sanctionnés par lOMC, notamment la Commission du Codex Alimentarius,
lOffice international des épizooties (OIE), et la Convention internationale pour la
protection des végétaux, ont des répercussions sur lélaboration de normes et la
mise en oeuvre de programmes au Canada.
Lévolution constante des exigences de nos partenaires commerciaux oblige
lindustrie et le gouvernement canadien à sadapter en conséquence.
Lune des plus grandes possibilités qui souvre au système
dinspection du Canada tient dans lintégration entre les divers échelons
gouvernementaux. La création de lAgence a regroupé les responsabilités de
linspection alimentaire à léchelon fédéral. Cependant, avec plus de 30
ministères et organismes gouvernementaux différents (fédéraux, provinciaux,
municipaux), ladministration de près de 80 textes réglementaires touchant
linspection des aliments, les pouvoirs de tous les échelons doivent continuer à
semployer ensemble à réduire davantage les risques qui peuvent persister dans les
divers points de la chaîne alimentaire, du producteur au consommateur. Dans un but de
rationalisation et damélioration du système, lAgence négocie actuellement
un certain nombre dententes fédérales-provinciales dans les secteurs de
linspection de la viande, des produits laitiers, des oeufs, du miel et des aliments
de détail.
LAgence devra aussi considérer un certain nombre de nouvelles questions
émergentes. Létiquetage des aliments, par exemple, est un dossier qui suscite de
plus en plus dintérêt, car il touche à bon nombre de préoccupations dordre
social et culturel, à la fraude économique et au commerce. LAgence devra
semployer avec ses partenaires fédéraux, Santé Canada et Industrie Canada, à
régler ces problèmes détiquetage dune façon qui réponde aux besoins des
consommateurs canadiens et qui soit compatible avec les exigences internationales. De
nouveaux types de produits alimentaires et les craintes grandissantes concernant les
agents allergènes des aliments posent également des défis en matière
détiquetage. De plus, lAgence doit réagir aux possibilités qui naissent des
nouvelles technologies, notamment de la biotechnologie.
En raison dune plus grande sensibilisation, le consommateur demande maintenant
plus dinformation sur les aliments. Avec la variation des caractéristiques
démographiques, les consommateurs sont plus diversifiés et leurs habitudes continuent à
évoluer (par exemple, ils dépensent une plus grande part de leur budget alimentaire au
restaurant), mais ils continuent à sattendre à ce que les gouvernements leur
assurent un approvisionnement en aliments sains, nutritifs et de bonne qualité.
LAgence, de concert avec ses partenaires des gouvernements et de lindustrie,
continuera à semployer à satisfaire ses attentes.
Environnement interne
La création de lACIA, constituée comme organisme non traditionnel de prestation
de services, sinscrit dans le cadre dun effort plus étendu visant à trouver
de nouvelles façons de fonctionner, afin de remettre le gouvernement sur la bonne voie.
Le but était de donner à lAgence une plus grande autonomie pour ce qui est de
dispenser des services qui soient à la fois mieux adaptés aux besoins des clients et
dun meilleur rapport qualité-prix. Voici les avantages que la création dune
agence unique responsable des services dinspection et de protection sanitaire et
phytosanitaire confère au gouvernement :
- minimiser les chevauchements entre les ministères fédéraux dans de nombreuses
sphères dactivités, comme la législation, lapplication de la
réglementation, la gestion du risque, les services de laboratoire, les systèmes
informatiques, les communications et le recouvrement des coûts;
- définir et établir clairement a) que Santé Canada est responsable de
létablissement des normes et des politiques relatives à la salubrité et à la
valeur nutritive des aliments vendus au Canada, et b) que lACIA est responsable de
la mise en oeuvre de ces normes;
- surmonter les contraintes du système ministériel et permettre ainsi un remaniement
plus profond du service dinspection des aliments;
- montrer la volonté du gouvernement fédéral dapporter dimportants
changements organisationnels afin de rehausser lharmonisation fédérale-provinciale
qui est jugée être essentielles pour réaliser pleinement la vision et les objectifs du
Système canadien dinspection des aliments;
- faciliter la répartition des ressources dinspection en fonction du risque;
- répondre aux demandes des provinces et de lindustrie qui désirent bénéficier
dun guichet fédéral unique;
- fournir le meilleur véhicule à la gestion de la transition afin de rehausser les
partenariats avec lindustrie et dintensifier la participation provinciale à
lélaboration dun système dinspection qui sapplique vraiment à
tout le pays.
La Loi sur lAgence canadienne dinspection des aliments confère à
lAgence certaines souplesses qui laideront à réduire les répétitions et
les chevauchements entre les paliers gouvernementaux, à rehausser la collaboration
fédérale-provinciale, à améliorer la prestation des services et à contribuer à
établir un système plus efficient et plus efficace. Par exemple, en ce qui concerne la
marge de manoeuvre financière, lAgence aura le pouvoir de mettre en place des
systèmes appliquant les Principes comptables généralement reconnus. Cela lui permettra
doffrir une meilleure information financière à ses gestionnaires. LAgence
jouit également dune gamme dautres possibilités et notamment du pouvoir
daccréditer des laboratoires, de vendre des brevets, de délivrer des permis de
processus dinspection par lindustrie ou encore de fournir une formation
spécialisée, pour nen nommer que quelques-unes. En tant quemployeur distinct
ne relevant pas de la Loi sur lemploi dans la fonction publique,
lAgence a mis en place une série de politiques, de programmes et de services en
matière de ressources humaines qui sont la pierre angulaire de linfrastructure de
ressources humaines de lorganisation. Elle axera maintenant ses efforts sur les
étapes de mise en oeuvre et de suivi tout en continuant à sadapter et à
améliorer ses politiques, ses programmes et ses services. Elle a déterminé, dans son
cadre de gestion du rendement de lorganisation, les indicateurs de ressources
humaines qui serviront de base pour examiner ses progrès et sy ajuster.
Plan des ressources humaines
LACIA est en train de bâtir un cadre intégré et souple des ressources humaines
(RH) pour assumer ses nouvelles responsabilités demployeur distinct. Ce cadre
concourt à lévolution du système dinspection et assure aux gestionnaires
les services, les programmes et les politiques qui leur permettent de réaliser avec
efficacité et efficience les priorités et les objectifs de lAgence.
De concert avec ses administrateurs et ses employés, lACIA semploiera
maintenant à la mise en oeuvre et à la surveillance de ses activités en matière de
ressources humaines. Pour cela, elle insistera sur les valeurs fondamentales énoncées
dans son Plan dentreprise. Les valeurs et les principes de lACIA sont les
motifs structuraux grâce auxquels les employés et les gestionnaires peuvent renforcer
leur compréhension commune des objectifs de lorganisation et ensemble, entreprendre
avec succès les changements qui simposent.
Par ailleurs, lAgence continuera à honorer ses obligations envers la Loi sur
léquité en matière demploi et la Loi sur les langues officielles. Elle
consultera ses employés, leurs syndicats et les autres intervenants au sujet des
changements proposés et de leurs répercussions, et sollicitera des suggestions en vue
délaborer et de mettre en oeuvre de nouvelles façons dagir.
Pour sassurer que ses Services des ressources humaines sont axés sur la
clientèle et cadrent bien avec ses objectifs et sa stratégie de ressources humaines,
lACIA :
- procède à lintégration à ses activités de RH dune approche fondée sur
les valeurs;
- conçoit un nouveau système de classification;
- sacquitte de ses activités en matière de ressources humaines et élabore des
programmes et des politiques qui tiennent compte de ses priorités;
- met en place un nouveau cadre de négociation collective.
Pour terminer, afin dévaluer lefficacité et lefficience du cadre RH
de lACIA, des indicateurs de rendement ont été conçus pour permettre à
lorganisation de mesurer deux résultats clés dans ce domaine, désignés dans le
Plan dentreprise, qui sont :
- que les valeurs et les principes organisationnels de lACIA se traduisent dans les
pratiques de lorganisation;
- que les employés de lACIA aient les compétences nécessaires à
lexécution de leurs tâches courantes et futures.
D. Plan des dépenses
(en millions de dollars) |
Prévision (1)
des dépenses 1998-1999 |
Dépenses prévues(2) 1999-2000 |
Dépenses prévues(2) 2000-01 |
Dépenses prévues(2) 2001-2002 |
|
Dépenses brutes de programme |
|
|
|
|
Agence canadienne dinspection des aliments Aliments sûrs,
accès aux marchés et protection des consommateurs |
355,9 |
311,2 |
304,5 |
299,3 |
Moins : Recettes à valoir sur le crédit |
47,4 |
47,4 |
47,4 |
47,4 |
|
|
Dépenses nettes de programme(3) |
308,5 |
263,8 |
257,1 |
251,9 |
Moins : Recettes à valoir sur le Trésor |
0,9 |
0,9 |
0,9 |
0,9 |
Plus : Coût des services fournis par dautres
ministères |
17,5 |
16,5 |
16,6 |
16,6 |
|
|
Coût net de lAgence |
326,9 |
279,4 |
272,8 |
267,6 |
|
Notes :
(1) La prévision des dépenses pour 1998-1999 comprend le budget
supplémentaire de 40,5 millions de dollars.
(2) Comprend les approbations qui ne figurent pas dans les niveaux de
référence.
(3)
Prévision des dépenses 1998-1999 |
308,5 |
Moins : Report de 1997-1998 |
13,6 |
Réduction des ressources pour le projet An 2000
|
9,1 |
Temporarisation - rationalisation et financement de restructuration |
4,7 |
Temporarisation - financement de transition |
4,5 |
Ajustement aux niveaux de ressources |
4,0 |
(S) Paiements dindemnités |
1,1 |
Autres changements mineurs (< 1,0 M$) |
7,7
_____ |
Dépenses prévues 1999-2000 |
263,8
_____ |
|
|
Dépenses prévues 1999-2000 |
263,8 |
Moins : Temporarisation de laccord sur le PC |
3,6 |
Réduction des niveaux de ressources pour le projet An 2000
|
2,5 |
Autres changements mineurs (< 1,0 M$)
|
0,6
_____ |
Dépenses prévues 2000-2001 |
257,1 |
Moins : Temporarisation des ressources pour le projet An
2000 |
0,6 |
Premier paiement du prêt pour le projet An 2000
|
4,5 |
Autres changements mineurs (< 1,0 M$)
|
0,1 _____ |
Dépenses prévues 2001-2002 |
251,9
_____ |
Section III : Plans, priorités, stratégies et
résultats prévus
A. Résumé des priorités et des résultats prévus
Fournir aux Canadiens : |
Attesté par : |
Les services dinspection fédéraux et les
services connexes dans les domaines de lalimentation, de la santé animale et de la
protection des végétaux
|
- |
contribution de lACIA au maintien dun approvisionnement
alimentaire salubre et à la diffusion dinformation fidèle sur les produits |
- |
contribution de lACIA au maintien de la santé des animaux et des
végétaux, de façon à protéger nos ressources de base |
- |
facilitation, par lACIA, du commerce des aliments, des animaux, des
végétaux et de leurs produits |
LACIA est à mettre en place son cadre de gestion du rendement. Ce système de
planification et de rapports se veut une approche rationnelle qui permettra de comprendre
les liens entre les activités de programme et les résultats prévus. Le cadre appuie la
structure de planification et de rapports (responsabilisation) décrite dans la Loi
sur lACIA - c.-à-d. objectifs de lorganisme et stratégies permettant de
les atteindre, partenaires de lACIA et rendement prévu au cours de la période de
planification (1997-2000).
Le Plan dactivité de lACIA présente un cadre global de gestion du
rendement, mais il reste beaucoup defforts à déployer pour mettre en place les
systèmes de planification et de rapports correspondant à nos divers programmes et
niveaux dopération. Chaque programme et secteur opérationnel (par exemple le
programme dinspection des viandes) a défini ses objectifs et mesures de rendement.
On élabore en ce moment les systèmes dinformation nécessaires pour recueillir
linformation et faire rapport à ce sujet. Ces systèmes seront mis en oeuvre sur
une période de deux à trois ans. Ce délai est nécessaire pour tenir compte des
exigences du passage à lan 2000. À mesure que ces systèmes dinformation
seront mis au point et entreront en fonction, lAgence disposera dune meilleure
information sur laquelle fonder ses rapports sur le rendement.
On trouvera à la section B - Plan des programmes et des secteurs dactivité, une
description plus détaillée des priorités, stratégies et résultats prévus de
lAgence.
B. Plans des programmes et des secteurs dactivité
Objectifs :
- Contribuer au maintien dun approvisionnement alimentaire salubre et à la
diffusion dinformation fidèle sur les produits
- Contribuer au maintien de la santé des animaux et des végétaux, de façon à
protéger nos ressources de base |
Ressources : 263,8 millions de dollars |
Priorités1 |
Stratégies |
Résultats prévus |
Extrants programmes/ coût-efficacité |
Extrants courants2 |
- Efficacité et efficience du
système dinspection |
- Remaniement des programmes |
- Politiques et programmes propres à aider
lindustrie à concevoir et à mettre en place des systèmes de gestion des risques
liés aux aliments. - Adoption, par lindustrie, de systèmes de gestion de
linspection (PASA, PGQ). |
- Respect, par lindustrie, des normes en
matière de salubrité, de qualité, de procédés et dinformation sur les produits. -
Information pertinente et appropriée sur les normes en matière de salubrité, de
qualité, de procédés et dinformation sur les produits.
- Système dinspection et de certification fondé sur le risque. |
- Actualisation et regroupement des lois |
- Simplification des lois et règlements
fédéraux. |
- Harmonisation provinciale et internationale des
normes et pouvoirs législatifs en matière de salubrité, de qualité, de procédés et
dinformation sur les produits. |
- Amélioration de la prestation des services |
- Normes de service répondant aux besoins de
lAgence et de lindustrie. |
- Satisfaction à légard des processus de
certification et dinspection. |
- Amélioration de la gestion des ressources |
- Meilleure utilisation des ressources. -
Adoption, par lindustrie, de systèmes de gestion de linspection (PASA, PGQ).
- Autres modes de prestation, ex. : accréditation, intégration, et partenariats. |
- Système dinspection et de certification
fondé sur le risque. |
(1) Les priorités et stratégies de ce tableau se retrouvent dans le Plan
dactivité 1997-2000 de lACIA.
(2) Les extrants courants représentent le rendement prévu des activités centrales de
lAgence, qui sont liées aux objectifs de cette dernière.
Objectifs :
- Contribuer au maintien dun approvisionnement alimentaire salubre et à la
diffusion dinformation fidèle sur les produits
- Contribuer au maintien de la santé des animaux et des végétaux , de façon à
protéger nos ressources de base |
Priorités |
Stratégies |
Résultats
prévus |
Extrants
programmes/ coût-efficacité |
Extrants courants |
- Coopération intergouvernementale |
- Prestation intégrée des programmes
dinspection |
- Autres modes de prestation, ex. :
accréditation, intégration, et partenariats. |
- Satisfaction à légard des processus de
certification et dinspection. |
- Système canadien dinspection des aliments |
- Simplication des lois et règlements fédéraux. |
- Harmonisation provinciale et internationale des
normes et pouvoirs législatifs en matière de salubrité, de qualité, de procédés et
dinformation sur les produits. |
Objectif :
- Contribuer au maintien dun approvisionnement alimentaire salubre et à la
diffusion dinformation fidèle sur les produits. |
- Protection des consommateurs |
- Sensibilisation à la salubrité des aliments |
- Communications - sensibilisation accrue du
consommateur à la salubrité des aliments. |
- Les aliments, les animaux, les végétaux et
leurs produits sont perçus comme étant salubres. |
- Étiquetage |
- Communications - meilleur accès à
linformation pour les partenaires. |
- Respect, par lindustrie, des normes en
matière de salubrité, de qualité, de procédés et dinformation sur les produits. |
- Retrait de produits et intervention
durgence |
- Communications - meilleure sensibilisation du
consommateur à la salubrité des aliments; - meilleur accès à linformation pour
les partenaires. |
- Gestion efficace et efficiente, de concert avec
les partenaires, des foyers de maladies et de ravageurs, de la non-conformité des
produits et du non-respect des normes. |
Compréhension des besoins des consommateurs |
- Communications - meilleure sensibilisation des
consommateurs à la salubrité des aliments; - meilleur accès à linformation
pour les partenaires. |
- Les aliments, les animaux, les végétaux et
leurs produits sont perçus comme étant salubres. |
Objectif :
- Faciliter le commerce des aliments, des animaux, des plantes et de leurs produits |
Priorités |
Stratégies |
Résultats
prévus |
|
|
Extrants
programmes/ coût-efficacité |
Extrants courants |
- Accès aux marchés |
- Harmonisation des normes techniques |
- Réduction des exigences dinspection et de
certification pour faciliter laccès aux marchés. |
- Harmonisation provinciale et internationale des
normes et des pouvoirs législatifs en matière de salubrité, de qualité, de procédés
et dinformation sur les produits. |
- Accès aux marchés pour les exportations
canadiennes |
- Adoption, par lindustrie, de systèmes de
gestion de linspection (PASA, PGQ). - Politiques et programmes propres à aider
lindustrie à concevoir et à mettre en oeuvre des systèmes de gestion des risques
liés aux aliments. |
- Accès de lindustrie aux marchés. |
- Influence sur les normes internationales |
- Cohérence entre nos obligations internationales
et nos normes en matière de salubrité, de qualité, de procédés et dinformation
sur les produits. - Nos normes en matière de salubrité, de qualité, de procédés et
dinformation sur les produits cadrent avec les intérêts et les objectifs du
Canada. |
- Cohérence entre nos obligations internationales
et nos normes en matière de salubrité, de qualité, de procédés et dinformation
sur les produits. - Nos normes en matière de salubrité, de qualité, de procédés et
dinformation sur les produits cadrent avec les intérêts et les objectifs du
Canada. |
- Contestation du recours abusif aux mesures
techniques |
- Réduction des obstacles techniques au commerce. |
- Réduction des obstacles techniques au commerce. |
Les priorités, stratégies et résultats prévus exposés dans ce tableau se fondent
sur le cadre de gestion du rendement décrit dans le Plan dactivité de lACIA
pour la période 1997-2000. Compte tenu de la réorganisation récente de lACIA en
fonction du continuum des productions végétales et animales, on procédera à un examen
du cadre de gestion du rendement afin de déterminer si des modifications simposent.
C. Rapports densemble
Diagramme sur les initiatives législatives et
réglementaires
Lois et règlements |
Résultats prévus |
Groupe de travail sur le renouveau législatif :
- Un groupe de travail est actuellement chargé de rédiger un projet de loi visant à
actualiser et à refondre diverses lois fédérales, et à élaborer un cadre
réglementaire qui décrira la portée et lampleur des règlements promulgués sous
le régime de la nouvelle législation.
- On prépare le dépôt de la législation au Parlement.
|
Simplification des lois et règlements fédéraux grâce aux mesures
suivantes :
- refonte - combiner les textes législatifs existants qui réglementent des secteurs
uniques en une loi plus englobante couvrant plusieurs secteurs semblables (par exemple
poisson et viandes).
- actualisation - améliorer lefficacité et lefficience de la législation
existante pour faire en sorte quelle soit à jour, cohérente, de portée nationale
et accordée aux besoins actuels et futurs de lACIA.
|
Autres grandes initiatives réglementaires |
Réglement sur les sanctions administratives pécuniaires |
Outil de mise en application permettant à lACIA dinfliger des
amendes pour le non-respect des règlements dans certains secteurs. |
Stratégies de développement durable
- LAgence coordonnera ses politiques de développement durable avec celles des
autres organismes fédéraux qui jouent un rôle dans le secteur agroalimentaire canadien.
Elle tablera sur les stratégies de développement durable (SDD) dAgriculture et
Agroalimentaire Canada (AAC), du ministère des Pêches et Océans, de Santé Canada et
dIndustrie Canada.
- Le RPP dAAC comprend quatre éléments SDD à légard desquels lACIA
assume la responsabilité principale.
Diagramme sur les initiatives de préparation à
lan 2000
Lobjectif global du projet de préparation à lan 2000 est de fournir une
structure de responsabilisation de la gestion et un plan daction propre à réduire,
dune manière financièrement responsable, les risques et les responsabilités
financières que pourrait susciter le problème de datation de lan 2000 pour
lACIA.
Préparation à lan 2000 |
Résultats prévus |
Dépendance à légard des fournisseurs de
biens et de services : - Examiner la préparation de diverses organisations avec
lesquelles lACIA fait affaire et préparer des plans durgence pour atténuer
les risques advenant des pannes causées par le passage à lan 2000. |
- perturbation minimale des achats de biens et de
services de façon à maintenir la capacité opérationnelle de lACIA. |
Systèmes intégrés : - Effectuer la
vérification et les corrections nécessaires du matériel de laboratoire, des
installations, des téléphones et du matériel de bureau, et préparer des plans
durgence. |
- continuité opérationnelle le et après le 1er
janvier 2000. - perturbation minimale de la prestation des services de laboratoire et
dinspection là où ils sont essentiels à la réalisation de la mission de
lAgence. |
Systèmes dinformation : - Élaborer 15
nouveaux systèmes nationaux conformes pour remplacer 91 systèmes existants non
conformes. Tous les systèmes de lAgence doivent être vérifiés, et des plans
durgence doivent être préparés pour tous les systèmes nationaux. |
- nouveaux systèmes en place et opérationnels, et
processus prévus pour pallier aux interruptions de service. Information fournie aux
utilisateurs. |
Infrastructure informatique : - Vérifier et
mettre en place une infrastructure conforme à lan 2000, incluant le matériel, les
logiciels et les éléments de réseau, et atténuer les risques en dressant des plans
durgence. |
- Infrastructure conforme à lan 2000 en
place et opérationnelle, avec processus et matériel appropriés pour atténuer les
perturbations de service. |
Préparation sectorielle : - Collaborer avec AAC
à lévaluation de la préparation sectorielle. |
- plan daction en place pour faire face aux
répercussions possibles de lan 2000 sur la chaîne dapprovisionnement
alimentaire. |
Gestion du risque/plans durgence : - Au
terme dun examen juridique et dune évaluation du risque, préparer des
procédures durgence détaillées pour chaque fonction critique de lAgence et
pour les biens qui les appuyent.
- Surveiller les risques décrits dans le plan de gestion du risque de lAgence et
prendre au besoin des correctifs. |
- élaboration de procédures durgence
détaillées et surveillance continuelle des mesures datténuation des risques. |
Communications : - Vaste programme de
communications internes, externes et internationales sur les procédures de préparation
à lan 2000. |
- les partenaires de lAgence sont plus
sensibilisés et mieux au fait des répercussions possibles du passage à lan 2000
et des mesures prises par lAgence pour sy préparer. |
Section IV : Renseignements supplémentaires
Tableau 1 : Autorisations de dépenser - Résumé du
ministère, Partie II des dépenses
Crédit |
(en millions de dollars) |
Budget des dépenses principal
1999-2000 |
Budget des dépenses principal
1998-1999 |
|
|
Agriculture et Agroalimentaire |
|
|
|
Agence canadienne dinspection des aliments |
|
|
20 |
Dépenses de fonctionnement et contributions |
210,6 |
213,1 |
25 |
Dépenses en capital |
9,4 |
10,4 |
(S) |
Paiements dindemnisation conformes aux exigences prévues par les
règlements pris en vertu de la Loi sur la santé des animaux et de la Loi
sur la protection des végétaux et autorisé en vertu de la Loi sur
lAgence canadienne dinspection des aliments (Lois du Canada 1977,
chapitre 6) |
2,0 |
1,5 |
(S) |
Contributions aux régimes davantages sociaux des employés |
39,0 |
43,0 |
|
|
|
|
Total de lAgence |
261,0 |
268,0 |
|
Nota : Ce tableau présente les chiffres du Budget des dépenses
principal pour 1998-1999 et 1999-2000. Le Plan des dépenses de la page 17 donne les
prévisions des dépenses pour 1998-1999 qui comprennent le Budget des dépenses
supplémentaires (40,5 millions de dollars) et les dépenses prévues pour 1999-2000 qui
comprennent les autorisations non décrites dans les niveaux de référence.
RENSEIGNEMENTS SUR LE PERSONNEL
Tableau 2.1 : Structure organisationnelle et
présentation des dépenses prévues par programme et secteur dactivité
Organisation et composition des programmes
Agriculture et Agroalimentaire Canada
Ministre |
Agence canadienne dinspection des aliments
Président |
Aliments sûrs, accès aux marchés et protection des
consommateurs |
Responsabilité à légard des dépenses prévues
par programme et secteur dactivité pour 1999-2000
(en millions de dollars) |
Poste responsable |
|
|
|
|
Président - |
|
Programme
Secteur dactivité |
Agence canadienne dinspection des aliments |
Total |
|
Agence canadienne dinspection des aliments |
|
|
Aliments sûrs, accès aux
marchés et protection des consommateurs |
263,8 |
263,8 |
|
|
Total des dépenses prévues (Net) |
263,8 |
263,8 |
|
Tableau 2.2 : Équivalents temps plein (ETP) prévus par
programme et secteur dactivité
|
Prévision 1998-1999 |
Prévu 1999-2000 |
Prévu 2000-2001 |
Prévu 2001-2002 |
|
Agence canadienne dinspection des aliments |
|
|
|
|
|
|
Aliments sûrs, accès aux marchés et
protection des consommateurs |
4 556 |
4 354 |
4 354 |
4 354 |
|
RENSEIGNEMENTS SUR LES PROJETS DIMMOBILISATIONS
Tableau 3.1 : Dépenses en capital prévues par
programme et secteur dactivité
(en millions de dollars) |
Prévision des dépenses 1998-1999 |
Dépenses prévues 1999-2000 |
Dépenses prévues 2000-2001 |
Dépenses prévues 2001-2002 |
|
Agence canadienne dinspection des aliments |
|
|
|
|
Aliments sûrs, accès aux marchés et protection des consommateurs |
11,5 (1) |
9,4 |
9,4 |
4,9 |
|
|
Total de lAgence |
11,5 |
9,4 |
9,4 |
4,9 |
|
(1) Les dépenses en capital ont été réduites pour
1998-1999 afin de pouvoir prendre en charge les priorités des exercices futurs. Ces
priorités sont, entre autres, le regroupement de leffectif de lACIA dans les
principaux centres; lachèvement dun examen des services de laboratoire et la
planification des projets afin de regrouper le personnel de bureau de la RCN à la Ferme
centrale expérimentale.
Tableau 3.2 : Projets par programme et secteur
dactivité
(en millions de dollars) |
Coût total estimatif courant |
Coût prévu jusquau 31 mars 1999 |
Dépenses prévues 1999-2000 |
Dépenses prévues 2000-2001 |
Dépenses prévues 2001-2002 |
Besoins en dépenses des exercices futurs |
|
Agence canadienne dinspection des aliments
Aliments sûrs, accès aux marchés et protection des consommateurs |
Projets en cours délaboration de 5 000 000 $ ou
moins |
|
11,5 |
9,4 |
9,4 |
4,9 |
9,4 |
|
AUTRES RENSEIGNEMENTS FINANCIERS
Tableau
4 : Sommaire des articles courants de dépenses par programme
(en millions de dollars) |
Prévisions des dépenses 1998-1999 |
Dépenses prévues(1)
1999-2000 |
Dépenses prévues(1) 2000-2001 |
Dépenses prévues(1) 2001-2002 |
|
Personnel |
|
|
|
|
Traitements et salaires
|
212,7 |
195,9 |
195,7 |
195,7 |
Contributions aux régimes davantages sociaux des employés
|
43,0 |
39,2 |
39,2 |
39,2 |
|
|
|
255,7 |
235,1 |
234,9 |
234,9 |
Biens et Services |
|
|
|
|
Transport et communications
|
22,7 |
17,2 |
15,0 |
15,5 |
Information
|
1,8 |
1,7 |
1,7 |
1,6 |
Services professionnels et spéciaux
|
21,7 |
15,5 |
12,9 |
11,7 |
Locations
|
1,7 |
1,0 |
1,7 |
1,6 |
Achats de services de réparation et dentretien
|
2,2 |
4,4 |
2,4 |
2,2 |
Services publics, fournitures et approvisionnement
|
19,1 |
14,8 |
14,9 |
15,3 |
Dépenses en capital secondaires
|
15,6 |
9,9 |
9,9 |
9,9 |
|
|
|
84,8 |
64,5 |
58,5 |
57,8 |
|
|
Total des dépenses de fonctionnement |
340,5 |
299,6 |
293,4 |
292,7 |
Dépenses en capital importantes |
11,5 |
9,4 |
9,4 |
4,9(2) |
Paiements de transfert |
|
|
|
|
Crédits
|
0,8 |
0,2 |
0,2 |
0,2 |
Législatifs
|
3,1 |
2,0 |
1,5 |
1,5 |
|
|
|
3,9 |
2,2 |
1,7 |
1,7 |
|
|
Dépenses budgétaire brutes |
355,9 |
311,2 |
304,5 |
299,3 |
Moins : Recettes à valoir sur le crédit |
47,4 |
47,4 |
47,4 |
47,4 |
|
|
Dépenses budgétaire nettes |
308,5 |
263,8 |
257,1 |
251,9 |
|
(1) Voir la note (2) qui suit le Plan des dépenses de la page
17.
(2) La réduction des dépenses en capital importantes montre
lintention de lAgence de faire paraître dans celles-ci, plutôt que dans
dautres dépenses de fonctionnement, le premier versement du remboursement de
lemprunt de lan 2000
Tableau 5 : Ressources par programme et secteur
dactivité pour lexercice du Budget des dépenses
(en millions de dollars) |
|
Budgétaire
|
|
|
|
|
ETP |
Fonction-nement |
Capital |
Contri- butions |
Crédits bruts |
Postes législatifs |
Dépenses brutes prévues |
Moins : Recettes à valoir sur le crédit |
Dépenses nettes prévues |
|
Agence canadienne dinspection des aliments |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Aliments sûrs, accès aux marchés et protection des consommateurs |
4 354 |
299,6 |
9,4 |
0,2 |
306,2 |
2,0 |
311,2 |
47,4 |
263,8 |
|
Tableau 6: Contributions par programme et secteur
dactivité
(en millions de dollars) |
Prévisions des dépenses 1998-1999 |
Dépenses prévues 1999-2000 |
Dépenses prévues 2000-2001 |
Dépenses prévues 2001-2002 |
|
Agence canadienne dinspection des aliments |
|
|
|
|
Aliments sûrs, accès aux marchés et protection des consommateurs |
|
|
|
|
Versement aux provinces conformément aux règlements édictés par le
gouverneur en conseil sur lindemnisation des victimes de la rage, de montants ne
dépassant pas les deux cinquièmes des montants payés par les provinces aux
propriétaires danimaux morts de la rage |
0,1 |
0,1 |
0,1 |
0,1 |
Contributions à lappui des initiatives qui contribuent à
améliorer, à faire avancer et à promouvoir le système fédéral dinspection |
0,7 |
0,1 |
0,1 |
0,1 |
(L) Paiements dindemnisation conformes aux exigences prévues par
les règlements pris en vertu de la Loi sur la santé des animaux et de la Loi
sur la protection des végétaux et autorisés en vertu de la Loi sur
lAgence canadienne dinspection des aliments |
3,1 |
2,0 |
1,5 |
1,5 |
|
|
Total |
3,9 |
2,2 |
1,7 |
1,7 |
|
Tableau 7 : Recettes par programme
(en millions de dollars) |
Prévisions de recettes 1998-1999 |
Recettes prévues 1999-2000 |
Recettes prévues 2000-2001 |
Recettes prévues 2001-2002 |
|
Recettes à valoir sur le crédit |
47,4 |
47,4 |
47,4 |
47,4 |
Recettes à valoir sur le Trésor |
|
|
|
|
Produits de la vente de biens de lÉtat
|
0,4 |
0,4 |
0,4 |
0,4 |
Autres recettes non fiscales
|
0,5 |
0,5 |
0,5 |
0,5 |
|
|
Total des recettes |
48,3 |
48,3 |
48,3 |
48,3 |
|
Tableau 8 : Coût net du programme pour
lexercice du Budget des dépenses
(en millions de dollars) |
Agence canadienne dinspection des aliments |
|
Dépenses brutes prévues |
311,2 |
|
Plus :
Services fournis sans frais |
|
a) Installations fournies par Travaux publics et Services gouvernementaux
Canada (TPSGC) |
5,7 |
b) Cotisations couvrant la part des employés des primes dassurance
et les coûts payés par le SCT |
10,7 |
c) Contributions au régime dinvalidité des employés fournies par
Ressources humaines Canada |
0,0 |
d) Traitements et coûts connexes des services juridiques fournis par
Justice Canada |
0,1 |
|
|
Total |
16,5 |
|
|
Coût total du programme |
327,7 |
Moins : |
|
Recettes à valoir sur le crédit |
47,4 |
Recettes à valoir sur le Trésor |
0,9 |
|
|
Coût net du programme |
279,4 |
|
Coût net estimatif du programme en 1998-1999 |
326,9 |
|
AUTRES INFORMATIONS
Tableau 9 : Liste des lois et des règlements
A. Lois et règlements actuellement en vigueur
Lois Loi sur les sanctions administratives
pécuniaires en matière dagriculture et dagroalimentaire
Loi sur les produits agricoles au Canada
Loi sur lAgence canadienne dinspection des aliments
Loi sur lemballage et létiquetage des produits de consommation
Loi relative aux aliments du bétail
Loi sur les engrais
Loi sur linspection du poisson
Loi sur les aliments et drogues
Loi sur la santé des animaux
Loi sur linspection des viandes
Loi sur la protection des obtentions végétales
Loi sur la protection des végétaux
Loi sur les semences |
S.C. 1995, c. 40
S.R., c. 20 (4e suppl.)
S.C., 1997, c. 6
S.R., c. C-38
S.R., 1985, c. F-9
S.R., 1985, c. F-10
S.R., 1985, c. F-12
S.R., c. F-27
S.C., 1990, c. 21
S.R., c. 25 (1er suppl.)
S.C., 1990, c. 20
S.C., 1990, c. 22
S.R., c. S-8 |
Arrêtés Arrêté sur les prix applicables
aux produits laitiers
Arrêté sur les prix applicables aux oeufs et aux ovoproduits
Arrêté sur les prix applicables aux aliments du bétail
Arrêté sur les prix applicables aux engrais
Arrêté sur les prix applicables aux fruits et légumes frais
Ordonnance sur le nématode doré
Arrêté sur les prix applicables au miel
Arrêté sur linterdiction de limportation des abeilles, 1997
Arrêté sur les prix applicables au classement des carcasses de bétail
Arrêté sur les prix applicables aux produits de lérable
Arrêté fixant le prix à payer pour les heures supplémentaires
Arrêté sur les droits exigibles protection des végétaux
Arrêté sur les prix applicables aux produits transformés
Arrêté sur les droits relatifs aux services de quarantaine et dinspection
Ordonnance sur les maladies à déclarer
Arrêté sur les graines de mauvaises herbes |
Avis ministériel Avis sur les frais
relatifs aux semences
Avis des prix applicables à la santé des animaux |
Règlements Règlement dindemnisation
relatif à lanthrax
Règlement sur les droits dinspection antiparasitaire
Règlement sur les oeufs
Règlement sur la production daubergines et de tomates (Central Saanich)
Règlement sur les produits laitiers
Règlement exemptant certains animaux de linspection et du certificat
dexportation
Règlement sur les aliments du bétail, 1983
Règlement sur les engrais
Règlement sur les fruits et légumes frais
Règlement sur linspection du poisson
Règlement sur les aliments et drogues
Règlement sur lexclusion de la définition de couvoir
Règlement sur la santé des animaux
Règlement sur le miel
Règlement sur la délivrance de permis et larbitrage
Règlement sur le classement des carcasses de bétail et de volaille
Règlement sur les produits de lérable
Règlement sur les plafonds des valeurs marchandes des animaux détruits
Règlement sur linspection des viandes, 1990
Règlement sur la protection des obtentions végétales
Règlement sur la protection des végétaux
Règlement visant à restreindre la production et à interdire la vente de pommes de terre
(Central Saanich)
Règlement sur les oeufs transformés
Règlement dindemnisation relative à la rage
Règlement sur les produits transformés
Règlement sur les droits de vaccination contre la rage
Règlement sur les maladies déclarables
Règlement sur les semences
Règlement sur le transport des ongulés |
(3) LACIA ne soccupe que de la mise en oeuvre des dispositions relatives
aux aliments (parag. 11(2) de la Loi sur lACIA).
(4) LACIA est chargée de la mise en application et de ladministration des
dispositions relatives aux aliments (alinéa 11(3)a) de la Loi sur lACIA), à
lexclusion des dispositions relatives à la santé publique, à la sécurité ou à
la nutrition (alinéa 11(3)b) de la Loi sur lACIA).
(5) Seulement les articles appliqués par lACIA
Règlements proposés
Initiatives en cours |
Règlement sur la protection des végétaux (modification des annexes I et
II) |
reporté de 1998 |
Règlement sur les semences (modifications de la partie II -
pommes de terre de semence) |
reporté de 1998 |
Règlement sur le classement des carcasses de bétail et de volaille
(technologie de classement du boeuf) |
reporté de 1998 |
Règlement sur linspection des viandes, 1990
(désossage mécanique) |
reporté de 1997 |
Règlement sur linspection des viandes, 1990
(nettoyage et désinfection de léquipement et des locaux) |
reporté de 1997 |
Règlement sur linspection des viandes, 1990
(programme pour certifier les produits exempts de facteurs de croissance hormonaux) |
reporté de 1997 |
Règlement sur linspection des viandes, 1990
(autorisation de mise en marché temporaire) |
reporté de 1998 |
Règlement sur les fruits et légumes frais
(modifications dordre administratif) |
reporté de 1998 |
Règlement sur les produits laitiers
(Code laitier national) |
reporté de 1998 |
Règlement sur les aliments et drogues
(Examen de la réglementation) |
|
(i) Exemption de létiquetage pour les
adjuvants de fabrication
(ii) Révision des exigences relatives aux ingrédients et aux composants
(iii) Révision des dispositions sur la lisibilité |
reporté de 1998
reporté de 1998
reporté de 1998 |
Règlement sur les aliments et drogues
(modification de la teneur en gras de la viande hachée) |
reporté de 1998 |
Règlement sur les produits transformés
(récrire) |
reporté de 1997 |
Modifications densemble diverses
(dordre administratif) |
reporté de 1997 |
(6) Plusieurs de ces initiatives pourront être incorporées au processus de renouveau
réglementaire si linitiative législative reçoit lapprobation du Parlement.
Initiatives en cours |
|
Règlement sur les semences
(modifications de la qualité des semences) |
amorcé en 1997 et à terminer dici 1999 |
Règlement sur linspection du poisson
(à inclure dans les exigences relatives au PGQ remanié)
- Permis dexportation de poisson
- Poisson salé de type Gaspé |
reporté de 1997 |
Règlement sur lenregistrement des établissements
daliments du bétail médicamentés
Règlement sur linspection des viandes, 1990 (HACCP obligatoire) |
reporté de 1998
amorcé en 1998 |
Initiatives futures |
Règlement sur les zones de contrôle (nouveau)
Règlement sur les maladies déclarables (récrire)
Modification des dispositions de dépistage de la pullorose en couvoir (récrire)
Indemnisation/Plafonds des valeurs marchandes des animaux détruits (examen)
Règlement sur les aliments et drogues (autre examen de la réglementation)
Règlement sur les aliments et drogues (modification des normes de composition)
Règlement sur les aliments et drogues (modifications courantes touchant les exigences en
matière détiquetage et de publicité des aliments, les pouvoirs et fonctions des
inspecteurs, les exigences dimportation, lharmonisation avec dautres
règlements, et dautres incohérences)
Règlement sur les semences (modification de lhomologation des variétés)
Code national dhorticulture (bonnes pratiques de fabrication pour les produits
alimentaires à base de végétaux) |
Tableau 10 : Références
Renseignements généraux : |
Agence canadienne dinspection des aliments - siège social
59, promenade Camelot
Nepean (Ontario) K1A 0Y9
(613) 225-2342 |
Information sur lAgence : |
1-800-442-2342 |
Réseau World Wide Web : |
http://www.cfia-acia.agr.ca |
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