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Rapport Annuel 1999-2000

Table des matières

Message du président du Conseil d'administration Profil organisationnel
Direction Survol de la SECB
Conjoncture économique Accent sur le developpement 1999-2000
Priorités de dévelopment Activies
Analyse interne Relations coopératives
États financiers

L ’honorable John Manley
Ministre de l ’Industrie,ministre responsable de l ’Agence de
promotion économique du Canada atlantique
Chambre des Communes
Ottawa (Ontario)K1A 0A6

Monsieur le Ministre,
Au nom du Conseil d ’administration,j ’ai le plaisir de vous présenter le Rapport annuel de la Société d ’expansion du Cap-Breton pour l ’exercice terminé le 31 mars 2000.

Ce rapport annuel est soumis conformément aux dispositions de la Loi sur la gestion des finances publiques et de la Loi organique de 1987 sur le Canada atlantique .Il renferme les états financiers annuels ainsi que le rapport du vérificateur.

Veuillez agréer,Monsieur le Ministre,l ’assurance de ma considération distinguée.

Le président du Conseil d ’administration
Société d ’expansion du Cap-Breton
Michael Horgan

Message du président du Conseil d'administration   [Contents]


L ’exercice 1999-2000 s ’est avéré turbulent pour l ’économie de l ’Île du Cap-Breton et,par conséquent,pour la Société d ’expansion du Cap-Breton (SECB)elle-même.De par son mandat de promotion du développement industriel dans l ’Île du Cap-Breton,la Société vit au même pouls que l ’économie de l ’Île.

L ’année a commencé avec l ’annonce du gouvernement fédéral de fermer ou de privatiser les houillères de la Société de développement du Cap-Breton (DEVCO),le plus gros employeur de l ’Île.En même temps,le gouvernement fédéral créait un fonds en vue de l ’adaptation économique des localités cap-bretonnaises,aux prises avec la nécessité de redresser et de diversifier l ’économie.Ces deux annonces comportent d ’importantes ramifications pour la SECB.L ’impact économique de l ’annonce au sujet de la DEVCO met tous ceux qui oeuvrent au développement économique de la région au défi de redéfinir et de reconstruire les assises économiques de l ’Île.

Des consultations intensives ont été amorcées pour recueillir l ’opinion des résidents sur l ’utilisation optimale de ce fonds,de sorte à faire bénéficier l ’économie locale de retombées à long terme.La SECB a joué un rôle-clé dans l ’organisation et la coordination du processus de consultation.Elle a servi de secrétariat,avec son vice-président siégeant parmi les membres du groupe consultatif.Cette orientation s ’est révélée opportune pour le nouveau vice-président et directeur général de la Société,Rick Beaton,qui depuis le 1 er novembre 1999 remplace Keith Brown,vice-président sortant qui a repris ses fonctions dans le domaine de l ’éducation, après deux ans de service auprès de la SECB.

Comme autres changements de personnel cette année,notons le départ de deux membres de longue date au Conseil d ’administration,soit madame Gail Rudderham-Chernin et monsieur Charles Smith,qui tous deux ont généreusement offert de leur temps et de leur expertise à la Société et à la collectivité au cours des cinq dernières années.En même temps,le Conseil a accueilli deux nouveaux directeurs,madame Ferne MacLennan et monsieur Spiro Trifos,qui apportent une vaste somme d ’expérience à la Société.

À la lumière de la transition qui occupe la collectivité et conformément aux recommandations issues du processus d ’examen étalé sur cinq ans,la Société a entrepris un nouveau processus de planification stratégique auquel ont participé tous les membres de la Société et certains intervenants clés du public.Ceci visait à miser davantage sur le respect des objectifs et l ’imputabilité,et à élaborer un plan qui tienne compte du rôle de la SECB dans l ’exécution de programmes au nom du gouvernement canadien.La planification a également tenu compte des thèmes majeurs et des objectifs de développement issus des consultations liées au Fonds d ’adaptation économique de la DEVCO.

En rapport avec ses activités de développement économique,la Société a réalisé des progrès au chapitre de l ’atteinte de ses objectifs,comme il est indiqué dans la Plan d ’entreprise de 1999-2000. La SECB a continué d ’oeuvrer avec le secteur privé,les réseaux industriels et la collectivité locale pour mettre sur pied des projets servant à renforcer et à élargir les assises économiques de l ’Île. Malgré les difficultés économiques éprouvées dans certains secteurs,des progrès se font remarquer en plusieurs endroits.1999 a connu en outre plusieurs développements en rapport avec les compagnies du secteur de la technologie de l ’information,de même que de nouveaux débouchés dans le domaine de l ’exportation.Les possibilités de formation dans le secteur pétrolier et gazier se sont raffermies de sorte à préparer les Cap-Bretonnais aux développements extra-côtiers.Les recettes touristiques ont continué d ’augmenter progressivement.À la fin de l ’exercice financier,le premier ministre du Canada a annoncé que le gouvernement fédéral,par le biais de la SECB,offrait un soutien financier pour la création d ’un centre d ’appel (900 emplois)à Sydney.

L ’économie de l ’Île du Cap-Breton continue de subir des changements structurels radicaux,passant de la production de biens à la procuration de services fondés sur le savoir.Le défi est considérable, et la SECB est bien placée pour travailler avec d ’autres paliers d ’administration publique et avec la population de l ’Île en vue de rassembler les ressources qui pourront répondre à ces défis.Le mandat flexible et vaste de la Société,et sa qualité d ’administratrice d ’autres programmes fédéraux constituent un atout majeur pour la collectivité;ils serviront grandement à long terme en vue d ’instaurer une nouvelle économie.

Michael Horgan
Président du Conseil d ’administration
Société d ’expansion du Cap-Breton

Profil organisationnel   [Contents]


La SECB est une société d ’État fédérale établie aux termes de la Partie II de la Loi organique de 1987 sur le Canada atlantique . Elle poursuit l ’œuvre de la Division du développement industriel de la DEVCO,créée en 1967 afin de superviser la réduction de l ’exploitation des houillères du Cap-Breton et de contribuer à la diversification de l ’économie locale.

Ce vaste mandat permet à la SECB une grande flexibilité dans ses activités de développement économique.Il a fait ses preuves;il reste toujours aussi pertinent aujourd ’hui,avec la période de bouleversements et d ’ajustements que traverse l ’économie cap-bretonnaise.La SECB possède l ’autorité législative nécessaire pour développer tous les secteurs de l ’économie,sauf celui des charbonnages.

Rôle de la SECB dans le développement économique

L ’énoncé de mission de la SECB la situe par rapport aux problèmes majeurs influant sur l ’économie de l ’Île du Cap-Breton et de la région de Mulgrave.

La SECB reconnaît l ’importance du savoir collectif à l ’égard du développement local et rural.En tant que société d ’État,la SECB s ’implique depuis de nombreuses années dans le développement économique communautaire (DEC),qu ’elle soutient de manière continue. Grâce à son travail avec les divers organismes communautaires (p.ex., administrations de développement régional ou ADR,organismes communautaires de développement commercial et groupes locaux de DEC)et par le biais de rencontres et de discussions régulières partout en région,la SECB aide les localités à trouver les connaissances et l ’expérience requises pour améliorer leur économie.

Bien que l ’Île du Cap-Breton soit confrontée à de graves défis,la SECB entrevoit maintes occasions de croissance.L ’an dernier,la Société a identifié des secteurs de l ’économie cap-bretonnaise qui sont les plus susceptibles de créer un développement durable.Elle a adopté la notion de champs d ’activité sectorielle et elle a par la suite identifié quatre champs prioritaires en vue d ’investissements :les industries du savoir,le tourisme /la culture /le divertissement,les industries fondées sur les ressources,le pétrole et le gaz naturel.

Le regroupement des industries du savoir à l ’Île du Cap-Breton,avec son potentiel de création d ’emplois et de production de revenus,comporte à la fois les technologies éducatives,le multimédia, l ’assainissement de l ’environnement,la conception de logiciels et de systèmes,les centres d ’appel,les services de santé et de bien-être,ainsi que la recherche et le développement spécialisés.

En moyenne,9 900 personnes sont employées dans le secteur tourisme/culture/divertissement, ce qui représente 18 pour cent de la main-d ’œuvre de l ’Île.La popularité de la musique et de la danse du Cap-Breton et l ’intérêt général pour leurs équivalents celtiques,mi ’kmaqs et acadiens ont mené à une industrie en plein essor,fortement liée au développement du tourisme.

Le champ d ’activité des industries fondées sur les ressources est l ’un des fondements de l ’économie du Cap-Breton rural.La production agricole s ’est grandement accrue au cours des dix dernières années;le comté du Cap-Breton est désormais le deuxième producteur horticole de la province.Le développement forestier,couplé avec la mise en marché de produits à valeur ajoutée tels que les parquets de bois,et celui de la pêche,avec ses marchés spécialisés,contribuent à faire progresser les choses.

Le Projet énergétique extra-côtier Sable (PEES/ SOEP)vise l ’un des plus vastes gisements de gaz naturel connus en Amérique du Nord.D ’autres gisements au nord-est des côtes du Cap-Breton, tels que le sous-bassin Laurentian,recèlent également un immense potentiel.Si elle sait tirer son épingle du jeu,l ’Île du Cap-Breton pourra tirer des avantages considérables de ces mises en valeur.

À même ces quatre champs d ’activité principaux,la SECB se concentre sur des priorités et des activités stratégiques spécifiques. Ces priorités qui soutendent les principaux champs d ’activités peuvent servir à créer un environnement mieux propice à la croissance économique.Les voici :

  • Jeunesse
  • Accès au capital
  • Développement des exportations
  • Recherche et développement
  • Développement des ressources humaines
  • Commercialisation -Destination économique et touristique

Chacun de ces domaines sera l ’objet d ’une attention toute particulière,dans le cadre des secteurs stratégiques identifiés pour 1999-2000 en vue du développement.Quant à Commercialisation – Destination économique et touristique,,ce secteur sera considéré à même les priorités de développement.

L ’aire géographique modeste couverte par la SECB,le contrôle qu ’elle exerce localement et la flexibilité de son mandat la rendent capable de concevoir des initiatives précisément axées sur les besoins et les priorités locales.Face à chaque problème,la SECB peut choisir une approche globale ou multiforme,ce qui lui permet de rassembler tous les partenaires économiques et d ’obtenir leur idées et leur participation.

Liens avec l ’APECA

En plus d ’administrer ses propres programmes,la SECB voit à l ’exécution dans la région d ’autres programmes fédéraux,nommément ceux de l ’APECA.Les activités de la SECB consolident l ’efficacité des programmes de l ’APECA,tandis que l ’ensemble de la collectivité de l ’Île du Cap- Breton tire profit de cette association originale. Le président de l ’APECA est,de par ces fonctions,également président et premier dirigeant de la SECB.Le vice-président de la SECB est membre invité auprès de l ’exécutif de l ’APECA.En 1994,la SECB a conclu un protocole d ’entente par lequel elle administre les programmes de l ’APECA à l ’Île du Cap-Breton et dans la région de Mulgrave.Ceci a permis à la SECB de concevoir une approche au développement qui s ’harmonise avec les programmes existants de l ’APECA.Voici quels ont été,au cours de l ’année écoulée,ces programmes de l ’APECA offerts par la SECB :

Le Programme de développement des entreprises (PDE) sert à aider les petites et les moyennes entreprises (PME)à prendre de l ’expansion et à se moderniser,au moyen d ’un capital accessible sous la forme de prêts non garantis et sans intérêts.Il offre également de l ’aide aux organismes sans but lucratif qui fournissent des services aux entreprises.

Le Programme de services-conseil offre aux clients commerciaux l ’accès à des conseils d ’experts afin de tenir compte des débouchés et de résoudre des problèmes.

Le Programme de COOPÉRATION les ententes de coopération sont des initiatives fédérales-provinciales exhaustives,à coûts partagés,qui servent à améliorer l ’environnement en vue de la croissance économique.

Le Programme d’adaptation et de restructuration des pêches canadiennes créé en 1998 sous le nom de MARC (Mesures d ’adaptation et de restructuration des pêches),vise à aider les personnes et les collectivités du littoral à faire face aux réductions dans la pêche du poisson de fond de l ’Atlantique.

Le Programme de travaux d’infrastructure Canada – Nouvelle-Écosse vise à accélérer la reprise économique au moyen de la création d ’emplois à court et à long termes grâce à des investissements locaux,tout en revitalisant et rehaussant l ’infrastructure physique des collectivités locales.

Direction   [Contents]


La SECB est soumise au système de contrôle et de responsabilité établi selon la Loi sur la gestion des finances publiques (LGFP).Elle est gérée par un Conseil d ’administration de sept personnes;elle relève du Parlement par l ’intermédiaire du ministre de l ’Industrie, secondé par un secrétaire d ’État.Le Conseil se compose du président,du vice-président et de cinq autres membres nommés par le gouverneur en conseil,sur la recommandation du ministre de l ’Industrie.Tel qu ’établi selon la loi constituante de la Société,le président de la Société est le président de l ’APECA;il préside également le Conseil d ’administration et agit en qualité de premier dirigeant de la Société.

Le Conseil d ’administration a la responsabilité d ’un certain nombre de fonctions,dont :la direction stratégique,la protection des biens de la Société,la gestion du rendement et la responsabilité devant la Couronne.Il comprend un comité permanent (Comité de vérification), lequel se réunit régulièrement pour veiller que la Société tient des registres financiers et protège ses biens de manière adéquate.

Au cours de la dernière année,le Conseil d ’administration s ’est efforcé d ’améliorer son rendement en se concentrant sur certains problèmes relatifs au mode de direction.La participation des membres à l ’élaboration des politiques s ’est accrue et,nouveaux et anciens, ceux-ci ont eu l ’occasion de recevoir de la formation.On tâche actuellement de définir la position du Conseil d ’administration par rapport à des points de gestion,conformément aux directives du Conseil du Trésor sur la régie des sociétés d ’État.

Le Conseil d ’administration se réunit en moyenne sept fois l ’an.Il opère efficacement avec la gestion de la SECB et reçoit régulièrement des mises à jour sur les activités et la situation financière de la Société.Non seulement le Conseil approuve- t-il le Plan d ’entreprise annuel,mais encore,il peut contribuer à son élaboration.De plus,il est tenu d ’approuver tout engagement au-delà de 150 000 $ (le pouvoir de signature pour des montants moindres est conféré au président,au vice-président et aux cadres supérieurs).

Survol de la SECB   [Contents]


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Conjoncture économique   [Contents]


Bien qu ’elle connaisse une certaine croissance dans divers secteurs,l ’économie cap-bretonnaise ne se ressent pas encore de la forte croissance manifestée dans d ’autres régions,tant à l ’échelle provinciale que nationale.Le tableau qui suit compare les données sur la main-d ’oeuvre aux niveaux régional,provincial et national.SEE PDF FORMAT

L ’Île du Cap-Breton se caractérise à la fois par un faible taux de participation et par un taux de chômage élevé,en comparaison avec la Nouvelle-Écosse et le Canada.Cette dissymétrie se reflète également dans le faible taux d ’emploi (c.-à-d.le nombre de personnes actives par rapport à l ’ensemble de la population en âge de travailler).Seulement 43 pour cent de la population apte à travailler est effectivement employée,contre une moyenne nationale de 61 pour cent.Le tableau suivant présente le taux d ’emploi au Cap-Breton par rapport au Canada pendant une période donnée.

Le graphique met en évidence deux aspects majeurs de l ’économie cap-bretonnaise.Tout d ’abord, tandis que le Canada traverse une période où les emplois sont à la hausse,au Cap-Breton l ’emploi a décliné entre 1998 et 1999.Ensuite,l ’économie cap-bretonnaise est marquée par les saisons,avec une hausse de l ’emploi au cours des mois d ’été (juillet-septembre),suivie d ’une forte perte en automne-hiver, puis d ’une reprise au printemps.

Accent sur le développement 1999-2000   [Contents]


Soutien à la prestation des programmes


Programmes de l ’APECA

La SECB a la responsabilité d ’exécuter les programmes de l ’APECA à l ’Île du Cap-Breton et dans la région de Mulgrave,soit les suivants : Programme de développement des entreprises, Programme d ’adaptation et de restructuration des pêches,Développement des collectivités, programme de COOPÉRATION et Programme de travaux d ’infrastructure Canada -Nouvelle- Écosse.

En 1999-2000,141 offres de soutien financier de l ’APECA ont été faites,pour un total de plus de11,3 millions de dollars.Ceci a résulté en la création de plus de 429 emplois.Le présent document ne rend pas compte des programmes de l ’APECA,vu que l ’APECA soumet séparément son rapport au Parlement.

Industries fondées sur le savoir


L ’an dernier,la SECB a offert un soutien financier aux industries du savoir par le biais d ’un accès au capital,du perfectionnement des ressources humaines,du développement du commerce extérieur et d ’activités centrées sur les jeunes.

Accès au capital

La SECB a joué un rôle déterminant dans l ’implantation d ’un centre de services de données électroniques.Cette entreprise permettra la création de 900 postes à temps plein à Sydney au cours des quatre prochaines années.Le Centre, qui ouvrira ses portes au cours de l ’été 2000, répondra aux besoins de clients d ’EDS en matière de technologie de l ’information partout en Amérique du Nord.L ’essentiel des activités se concentrera sur les services aux clients au moyen du téléphone,du télécopieur,du courrier électronique et d ’Internet.

En collaboration avec la Province de la Nouvelle- Écosse et DRHC,la Société a également joué un rôle capital afin d ’attirer à Sydney un centre d ’appel (500 emplois).De plus,une compagnie de films d ’animation s ’est établie à Silicon Island tard dans l ’année et vers la fin de l ’exercice,celle-ci avait déjà à moitié atteint son objectif de création de 32 emplois.Et finalement,une nouvelle installation de fabrication a lancé ses opérations à l ’Île du Cap- Breton avec l ’appui de la SECB,passant de 18 employés à 60 employés en mars 2000.

Perfectionnement des ressources humaines

Au cours de 1999-2000,la Société a continué de promouvoir le développement de ce secteur,grâce à sa participation aux rencontres mensuelles du Groupe consultatif sur la technologie (GCT/TAG). Ces rencontres attirent en moyenne 60 à 100 participants.

Développement des exportations

Dans le domaine du développement commercial, la SECB a participé à des salons importants, comme l’exposition Commerce ‘99 Business and Technology Solutions, à Ottawa, et le 1999 Canadian High Technology Show, à Mississauga. De plus, la Société s’est associée à l’APECA pour offrir un séminaire sur le commerce électronique et elle a fait la promotion du 3 e Festival annuel des Médias numériques de l’Atlantique.

Jeunesse

La SECB a mené de nombreux projets conjoints avec le Collège universitaire du Cap-Breton (UCCB),en vertu d ’un protocole d ’entente par lequel les deux organisations se sont entendues pour collaborer en vue du développement socio- économique de l ’Île.Ces projets sont axés sur la jeunesse,le développement économique communautaire et la réalisation de cédéroms pour le secteur culturel.

La SECB a appuyé un sondage parmi les jeunes (élèves de 8 e -12 e année)qui a été effectué partout dans l ’Île.Les résultats guideront la mise au point d ’un plan stratégique pour les jeunes à l ’Île du Cap-Breton.

Tourisme /Divertissement /Culture


L ’Île du Cap-Breton a connu une année intéressante en rapport avec le tourisme,le divertissement et la culture.La Société a appuyé ce secteur en pleine croissance au moyen d ’efforts dans les domaines des activités commerciales et des exportations.

Développement des exportations

En mai 1999,la SECB a mené une mission commerciale à Boston,dans le cadre d ’une importante entreprise de marketing lancée à propos du nouveau traversier CAT.Quinze exploitants du secteur privé ont pu participer à ce salon commercial étalé sur trois jours et ciblant les états de la Nouvelle-Angleterre.

Au cours de 1999-2000,la Société a continué de participer aux rencontres mensuelles du Groupe consultatif sur la culture et le patrimoine (GCCP/ CHAG).En outre,le rôle de la SECB en rapport avec l ’organisation de festivals et d ’événements spéciaux s ’est étendu à un appui à l ’organisation, la commercialisation et la présentation du 3 e Festival international Couleurs celtiques (1999)et à celles du 12 e Gala musical annuel de la Côte Est (ECMA 2000),tenu à Sydney.Les retombées économiques de Couleurs celtiques ont dépassé les 4 millions de dollars.

En novembre 1999 a eu lieu,à l ’essai,le parcours du nouveau train Bras d ’Or de Via Rail,avec une centaine d ’exploitants touristiques à bord.Le train, qui entrera en service en mai 2000,offrira une nouvelle expérience au voyageur.Tout semble indiquer que ce produit contribuera à diversifier le produit touristique à l ’Île du Cap-Breton et à attirer de nouveaux visiteurs.La SECB a collaboré avec Tourisme Cap-Breton afin de développer l ’infrastructure de l ’Île et la visibilité de celle-ci auprès des visiteurs.

Un autre projet stimulant a consisté en la mise au point d ’un nouveau produit culturel,soit le Centre généalogique du Village des Hautes- Terres,avec une campagne de commercial- isation qui s ’est mérité un prix.

Les rénovations considérables apportées au Collège gaélique des arts et traditions celtiques,à St.Ann ’s,a contribué à raffermir le rôle de cette institution sur le plan touristique.La Société a également appuyé le marketing pour le Granville Green,la série Ceilidh at the Creamery et le Isle Quilt Market,tous à Port Hawkesbury.Grâce au soutien accordé par la SECB au développement de l ’infrastructure,la Creamery sert maintenant d ’escale (la seule au Cap-Breton)lors du parcours du train Bras d ’Or de Via Rail entre Halifax et Sydney.

Industries fondées sur les ressources


Une forte croissance en 1999-2000 a marqué les industries fondées sur les ressources à l ’Île du Cap- Breton.La Société s ’est concentrée sur le développement du commerce international dans ce secteur.

Développement des exportations

La création de Bras d ’Or Producers Cooperative Ltd.,regroupant les quatre plus importants producteurs à l ’Île du Cap-Breton,a facilité pour les entreprises le processus de commande et d ’expédition partout à travers le monde.Dans le secteur forestier,la SECB s ’est intéressée aux produits à valeur ajoutée en matière de parquets en bois,s ’activant avec des entreprises telles que Forest Insight,qui a ouvert une usine de fabrication de parquets préfinis.De plus,en collaboration avec la Société canadienne d ’hypothèque et de logement (SCHL),la SECB a contribué à propulser le secteur de la construction vers les marchés internationaux,par le biais de débouchés commerciaux avec diverses compagnies.

La SECB,en partenariat avec le Ministère de l ’Agriculture et de la Commercialisation de la Nouvelle-Écosse,a mené une mission commerciale aux salons canadiens sur l ’alimentation et les boissons à la Barbade,à St.Maartens et en Jamaïque.On prévoit des ventes de 500 000 $à la suite de ces salons, sans oublier le potentiel d ’exportation.À la fin de 1999,la SECB a également parrainé un salon commercial sur les produits forestiers, alimentaires et agricoles en Allemagne,ce qui a entraîné des ventes de 400 000 $au bénéfice de compagnies cap-bretonnaises.

Pétrole et gaz naturel


En rapport avec l ’exploitation des gisements de pétrole et de gaz naturel au large des côtes de la Nouvelle-Écosse,la SECB a continué d ’optimiser les avantages économiques à court et à long terme qui sont propres à la région couverte par son mandat.En particulier,elle s ’est penchée sur les domaines du commerce et du perfectionnement des ressources humaines.

Développement des exportations

La Société a assuré une présence à des salons commerciaux et congrès tenus en Amerique du Nord et en Europe,y compris la Eastern Canadian Natural Gas Conference,la Nova Scotia Offshore Trade Fair et la CORE Conference à Halifax,le congrès Offshore Europe à Aberdeen (G.-B.);sans oublier la Offshore Technology Conference à Houston (Texas).Cette participation a fourni une excellente occasion de promouvoir l ’Île du Cap-Breton auprès de l ’industrie pétrolière.

La réalisation du bulletin trimestriel Pipeline East s ’est poursuivie en 1999-2000.Cette publication largement distribuée au Canada et aux États-Unis fait la promotion de la région auprès des intervenants de l ’industrie pétrolière et gazière,en même temps qu ’elle tient le milieu local au courant des débouchés associés aux activités de l ’industrie.

Le Groupe du potentiel gazier extra-côtier (POGO)a continué de tenir régulièrement des rencontres.Ce groupe permet aux entreprises locales d ’accéder à l ’information relative aux contrats pour le projet Sable.La SECB a en outre mis sur pied des ateliers en vue de rapprocher l ’industrie de la pêche et celle du pétrole/gaz naturel,et de déterminer comment celles-ci peuvent coexister.

Perfectionnement des ressources humaines

La formation a figuré au premier plan des initiatives annuelles,la SECB travaillant étroitement avec le Collège universitaire du Cap-Breton (UCCB),le Campus Marconi et celui de la Région du Détroit du Collège communautaire de la Nouvelle-Écosse,de sorte à identifier les besoins de l ’industrie pétrolière et gazière,et de concevoir les programmes de cours susceptibles de répondre à ces besoins. Ainsi,la main-d ’oeuvre du Cap-Breton saura faire face aux défis de cette industrie qui prend toujours plus d ’ampleur sur la Côte Est.

La Société a travaillé conjointement avec le Nova Scotia Petroleum Directorate à une étude sur le potentiel de fabrication.Cette étude servira à déterminer les modalités de collaboration entre des entreprises de la Nouvelle-Écosse et du Nouveau-Brunswick en vue de s ’assurer une part plus appréciable des emplois du Volet II du Projet Sable (lequel entraînera la construction de trois plates-formes de forage).

Priorités de développement   [Contents]


Commercialisation – Destination économique

Campagne de rehaussement de l ’image du Cap-Breton

Le besoin de rehausser l ’image de l ’Île du Cap- Breton a été identifié comme l ’une des priorités de la Société.Une série de mesures ont été prises l ’an dernier,la SECB continuant de promouvoir l ’Île en tant qu ’endroit privilégié où vivre et brasser des affaires.

En 1999,on a mis au point un nouveau commercial télévisé pour distribution nationale. Ce commercial fait valoir des industries émergentes et en croissance à l ’Île.De plus,la campagne «D ’ici,la perspective est mondiale ", lancée dans la presse à l ’automne 1999, comprenait des annonces sur des secteurs de croissance économique,parmi lesquels des industries exportant leurs produits à l ’échelle internationale.

Pour évaluer l ’efficacité de sa campagne de promotion,la SECB a entrepris une étude quantitative mesurant l ’opinion de résidents de Halifax-Dartmouth et de l ’Île du Cap-Breton quant à l ’image qu ’ils se font généralement de l ’Île.L ’étude visait à déterminer si cette image s ’était modifiée.Les résultats indiquent que les souvenirs favorables créés par les annonces ont été dilués par les nouvelles défavorables concernant l ’économie.En conséquence, l ’opinion publique reste sensiblement la même.

Marketing touristique

La campagne de marketing 1999-2000 a inclus des activités génériques,telles que l ’insertion d ’annonces et de cartes détachables dans le guide touristique de la Nouvelle-Écosse Du rêve à l ’aventure et plusieurs magazines en Ontario,au Québec et en Nouvelle-Angleterre.

Une étude sur la publicité et la promotion a été effectuée en collaboration avec la Province de la Nouvelle-Écosse en vue de mesurer l ’impact de la publicité,en termes de sollicitation de demandes de renseignements et d ’incitation à traduire ces demandes en vacances au Cap-Breton.Les résultats de cette recherche révèlent,en bref,les données suivantes :le nombre de demandes d ’information a dépassé les 100 000,ce qui représente une augmentation de 160 %par rapport à l ’an dernier;le nombre de groupes de visiteurs (en réponse à la publicité)a presque doublé,passant de 13 520 à 24 240;cet afflux touristique a occasionné quelque 25 millions de dollars en dépenses effectuées à l ’Île.On s ’est par ailleurs aperçu que,si la promotion de l ’Île du Cap- Breton relevait exclusivement de la Province, le nombre de visites résultant de promotions baisserait de plus de 25 %.

Pour une troisième année consécutive,le tourisme à l ’Île du Cap-Breton a connu un essor.Les recettes en 1999 comptaient pour plus de 230 millions de dollars (soit une hausse de 10 %).Ce secteur est responsable du maintien de plus de 6 600 emplois directs et indirects.

La SECB,en partenariat avec la Province de la Nouvelle-Écosse et des exploitants touristiques,a offert des visites de familiarisation au cours de 1999. L ’industrie touristique a reçu 43 rédacteurs,tandis que onze visites de familiarisation se sont déroulées avec 219 agents de voyage,voyagistes et grossistes. Le secteur privé a contribué pour plus de 85 000 $(en espèces)à ce programme,ce à quoi s ’est ajouté un investissement de 46 000 $ de la part de la SECB.Pour l ’essentiel,l ’effet médiatique résultant de ces tournées ne se fera sentir que plus tard en 2000 ou subséquemment. À titre indicatif,on estime à 8,7 millions de dollars la valeur de la couverture médiatique en 1998.

La revitalisation du site web sur le tourisme est actuellement en cours.Le site présentera des renseignements aux visiteurs potentiels,tout en aidant la Société à recueillir des données utiles aux prochaines campagnes de marketing.

Activités   [Contents]


Vente de Sydport

En septembre 1999,la SECB en est arrivée à une entente avec la Laurentian Energy Corporation Inc.de Sydney en vue de la cession du parc industriel Sydport.Jusqu ’alors,le parc avait été la propriété de la SECB et de son prédécesseur,la Division du Développement industriel de DEVCO,depuis 1969.

Le coût d ’acquisition du parc a été de 3,7 millions de dollars (incluant un intérêt annuel de 6,75 %sur une période de trois ans).La SECB offre une hypothèque sur la propriété pour une période de trois ans,avec option d ’une extension de deux ans.Pendant la même période,Laurentian devra investir dans le parc au moins 5,1 millions de dollars en amélioration des immobilisations,et créer au moins 100 nouveaux emplois.La Société peut renoncer à l ’hypothèque et à l ’intérêt y afférent par des crédits pour la création d ’un nombre d ’emplois précis.

Filiales à part entière

La SECB détient trois filiales à part entière qui sont présentement inactives.

Centre de ressources

Le Centre de ressources de la SECB à Point Edward est un investissement dans l ’infrastructure aux fins de soutien du développement du secteur des ressources.Le Centre œuvre avec le Collège universitaire du Cap-Breton (UCCB),le gouvernement provincial et des ministères fédéraux pour mener des recherches sur les industries basées sur les ressources de l ’Île.

À l ’automne 1999,le Centre a conclu un programme de recherche mené sur trois ans, en collaboration avec la Nova Scotia Power, sur la récupération des cendres dispersées dans l ’atmosphère.Il a également mené un programme de recherche sur l ’isolation des serres,ainsi qu ’un projet de compostage par les vers de terre,au nom du programme Atlantic Coastal Action.

Le Centre a continué de gérer 1 400 acres de boisés et de travailler avec le Conseil scolaire Cap-Breton –Victoria,en relation avec un programme de formation en foresterie.Il a également œuvré avec le secteur privé pour développer une bleuetière qui a récolté 8 000 livres de bleuets (myrtilles)en 1999.Au printemps de 1999,un site PAC a été inauguré dans l ’édifice principal afin d ’offrir un service d ’ordinateurs et d ’Internet à la collectivité locale.

Centre pour entreprises de la Région du Détroit (Port Hawkesbury)

La SECB a continué d ’exploiter le Centre pour entreprises de la Région du Détroit,qui héberge le bureau régional de la Société à Port Hawkesbury.Cet endroit sert également au démarrage de petites et moyennes entreprises;il renferme de plus les bureaux de la Commission de planification du district du Détroit,de la Société de développement de la région du Détroit et des Hautes-Terres,de InRich Business Development Centre Ltd.,et ceux du ministère provincial du Développement économique.

Analyse interne   [Contents]


La Société a entrepris une étude afin d ’obtenir des renseignements cruciaux sur la satisfaction de sa clientèle à l ’Île du Cap-Breton.Plus précisément,cette étude entend réaliser ce qui suit :

  • déterminer le niveau de satisfaction de la clientèle et du public
  • identifier les forces et les faiblesses au sein de la Société
  • déterminer l ’attitude entre les différents emplacements en fonction des services reçus
  • aider la Société dans l ’élaboration de son plan stratégique
  • définir les orientations pour les cinq prochaines années
  • fournir un cadre de référence en vue d ’améliorer la prestation des services et l ’élaboration d ’un plan d ’action pour le service à la clientèle

Les résultats de cette étude ne seront disponibles qu ’au cours du prochain exercice.

Préparation à l ’an 2000

En 1999,la SECB a entrepris un ambitieux programme afin de permettre à ses opérations de se dérouler normalement au cours de la transition à l ’an 2000.Ce programme comprenait les étapes suivantes :évaluation et établissement de priorités,planification,tests et validation,mise sur pied,élaboration et évaluation de plans d ’urgence, de même qu ’une vérification indépendante portant sur l ’évaluation des risques.

Le 1 er janvier 2000,tous les systèmes ont été relancés et mis à l ’essai pour déterminer s ’ils allaient fonctionner adéquatement en l ’an 2000. La transition s ’est effectuée sans une seule anicroche,tandis que le fonctionnement ultérieur n ’a connu aucun problème relié au passage à l ’an 2000.

Planification stratégique

Tout au long de 1999-2000,la Société s ’est livrée à une planification stratégique menant à l ’élaboration de son nouveau plan d ’entreprise. Cette démarche visait à mettre davantage l ’accent sur des objectifs et sur l ’imputabilité,et à instaurer un plan qui rende compte du rôle de la SECB en tant qu ’agent de prestation de services au nom du gouvernement canadien.Au cours de cette planification,on a réalisé une étude du milieu et recueilli des renseignements de bon nombre de sources,dont le Conseil d ’administration,le personnel,des représentants de différents secteurs économiques,les données démographiques de Statistique Canada,des renseignements sur les programmes actuels de développement économique et divers documents sur les politiques.

Le processus de planification stratégique a tiré profit également des consultations,à la grandeur de l ’Île,entreprises par le gouvernement fédéral à la suite de l ’annonce de la fermeture/privatisation de la DEVCO.Les résultats ont marqué l ’orientation des stratégies de la Société de même que son Plan d ’entreprise 2000-2001.

Meilleure concentration sur les objectifs

Le Plan d ’entreprise continue de refléter l ’accent mis par la SECB sur la prestation d ’un soutien à la mesure de son mandat de création d ’emplois durables,à long terme.Pour y arriver,la Société a insisté sur des projets qui rehaussent la compétitivité des entreprises et améliorent le commerce et les possibilités d ’investissements.

De sorte à tenir compte de ces nouvelles orientations,on a mis sur pied une structure organisationnelle qui met en rapport la Société et ses objectifs stratégiques.La nouvelle structure répartit la Société en divisions commerciales et en divisions non commerciales.Tandis que la Société conserve son orientation de base sur des secteurs économiques clairement identifiés (pétrole et gaz naturel,tourisme,industries du savoir et industries fondées sur les ressources),elle s ’est adjoint de nouvelles unités qui renforceront ses possibilités dans ces secteurs.

Les nouvelles unités sont les suivantes :un bureau associé à Halifax,qui travaille avec le secteur privé et tous les paliers de gouvernement à défendre les intérêts de l ’Île du Cap-Breton;un service au commerce et à l ’investissement consacré aux entreprises du Cap-Breton,afin que celles-ci créent des relations commerciales et élargissent leurs activités vers l ’extérieur;une unité sur les politiques vouée à la recherche,qui travaillera étroitement avec l ’APECA et la Province.

Meilleure imputabilité

Encore une fois,la SECB s ’engage à mettre sur pied des mesures qui continueront à mieux assurer son imputabilité face au Conseil d ’administration, au gouvernement canadien et au public.D ’abord, la SECB a élaboré un plan d ’entreprise qui cerne des objectifs précis et fixe des résultats mesurables à atteindre.Ensuite,elle a travaillé de concert avec le Conseil du Trésor et s ’est engagée à répondre aux lignes directrices actuelles de cet organisme. Troisièmement,elle a mis au point une fonction d ’examen interne pour aider la gestion à atteindre et à conserver des pratiques optimales dans ses opérations.Enfin,la Société s ’engage à travailler plus étroitement avec son Conseil d ’administration pour préciser la position du Conseil sur certains points relatifs à la régie,et pour accroître la participation du Conseil dans l ’élaboration de politiques.

Rôle en tant qu ’agente de prestation de services

En reconnaissant à même le Plan d ’entreprise son rôle en tant qu ’agente de prestation de services,la Société a mis en valeur ses plus grands atouts,soit : son accessibilité,sa participation au niveau local,la flexibilité et la diligence permises par son statut de société d ’État.De par son rôle d ’agent de prestation, la SECB continuera de miser sur ses forces et d ’utiliser ses propres programmes et ses outils de développement économique de façon à améliorer la prestation des programmes à l ’Île du Cap-Breton.

Relations coopératives   [Contents]


La SECB travaille avec tous les paliers d ’administration publique et avec le secteur privé pour redresser la situation économique de l ’Île du Cap-Breton.Au cours de l ’année écoulée,la Société s ’est associée aux comités et conseils suivants :

Le Comité de partenariats en développement des ressources humaines

– créé en vue d ’améliorer l ’aptitude des collectivités à déterminer leurs besoins,à identifier leurs points forts et à bâtir sur les forces requises pour élaborer des programmes et services adéquats et durables, conformes aux priorités établies par l ’Entente sur le développement du marché du travail.La SECB, tout comme d ’autres ministères fédéraux,des conseils scolaires et des institutions d ’enseignements, siège à ce comité.

L ’ Entente de COOPÉRATION Canada – Nouvelle-- Écosse sur la diversification économique

– La SECB est un membre actif du comité de gestion de cette entente.Il s ’agit d ’une entente entre la province et le gouvernement fédéral visant à cibler des initiatives stratégiques pour la Nouvelle-Écosse qui seront susceptibles de produire une croissance économique.

Le Comité des maires et préfets

– une initiative parrainée par la SECB en vue de regrouper des élus municipaux et des représentants de ministères fédéraux et provinciaux,pour discuter conjointement de développement économique.

Le Comité partenarial des personnes handicapées du Cap-Breton

–La SECB travaille étroitement avec DRHC et 14 organismes locaux,principalement dans le but d ’employer les personnes handicapées.

Le Groupe de travail fédéral-provincial pour des collectivités viables

–La SECB est membre de ce groupe comprenant 35 ministères fédéraux et provinciaux,qui examine des façons de travailler plus efficacement ensemble et avec les collectivités en vue d ’appuyer les efforts locaux pour améliorer la viabilité.

Le Conseil fédéral de la Nouvelle-Écosse

– Ce conseil a créé un sous-comité axé spécialement sur le développement économique de l ’Île du Cap- Breton,qui a pour fonction de rassembler plusieurs ministères fédéraux afin de se pencher sur les questions touchant le développement économique au Cap-Breton.

Développement économique communautaire

–La SECB a collaboré au cours de l ’année écoulée avec ses partenaires :la Société de développement économique du comté du Cap- Breton,la Société de développement régional du Détroit et des Hautes-Terres et les trois corporations locales de développement économique,soit InRich Business Development Centre Inc.,Coastal Business Opportunities Inc. et Northside Economic Development Assistance Corporation,afin de les aider aux projets de développement local.

En travaillant avec ses partenaires,la SECB est en mesure de fournir son expertise ainsi que des fonds pour aider les groupes communautaires à leur planification stratégique et à l ’édification de la collectivité.

Ses liens avec ses autres partenaires subventionnaires,soit DRHC,Développement économique Nouvelle-Écosse,Partenariat rural et Services communautaires Nouvelle-Écosse ont permis à la SECB d’augmenter la disponibilité des capitaux et des services,à la fois dans les régions urbaines et rurales de l ’Île.

Dernière modification : 2001-11-23

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