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La superstar internationale Harry Belafonte animera la dixième édition annuelle de la Soirée d’opéra Noir et Blanc au profit de l’Orchestre du Centre national des Arts et d’Opéra Lyra Ottawa

19 octobre 2006

OTTAWA -- Quand s’amorcera l’édition spéciale du dixième anniversaire de la Soirée d’opéra Noir et Blanc à la salle Southam du Centre national des Arts (CNA), le 17 février 2007, les étoiles feront briller la scène de tous ses feux. L’animateur de cette soirée ayant pour thème Héros et héroïnes de la scène sera nul autre que le légendaire artiste et humaniste Harry Belafonte. L’Orchestre du Centre national des Arts (OCNA) sera dirigé par Jack Everly, premier chef des concerts Pops de l’OCNA, et augmenté du Chœur d’Opera Lyra Ottawa sous la direction du chef de chœur Laurence Ewashko.

Gala de financement présenté chaque hiver au profit de l’Orchestre du Centre national des Arts et d’Opera Lyra Ottawa, la Soirée d’opéra Noir et Blanc est une présentation de Bell Canada, en collaboration avec Enbridge Gas Distribution et le Casino du Lac-Leamy. Ce concert-bénéfice promet d’être inoubliable, avec au programme quelques-uns des plus fabuleux airs et duos du répertoire lyrique. Accessible et divertissante, cette soirée offre un mélange irrésistible de gastronomie, de mode et de musique. La Soirée d’opéra Noir et Blanc est incontestablement, année après année, l’un des joyaux de la vie sociale à Ottawa.

Depuis le lancement, en 1955, de son célèbre Calypso – le premier album de l’histoire qui se soit écoulé à plus d’un million d’exemplaires, et le disque qui fut à l’origine de la première vague de musique antillaise en Amérique du Nord – jusqu’à sa participation au collectif We Are the World, le grand Harry Belafonte est un artiste maintes fois primé qui s’est illustré dans tous les registres qu’il a abordés – autant comme chanteur, sur scène et sur disque, qu’en tant qu’acteur vedette du cinéma, de Broadway et de la télévision ou en qualité de producteur. En 1994, le président des États-Unis, Bill Clinton, lui a remis la National Medal of Arts pour son apport à la vie culturelle de son pays. M. Belafonte a aussi gagné le respect de ses contemporains pour son engagement en faveur des droits de la personne aux États-Unis et partout dans le monde.

La Soirée d’opéra Noir et Blanc met fièrement en valeur le talent canadien; les recettes de la soirée sont partagées également entre l’Orchestre du Centre national des Arts et Opera Lyra Ottawa. Depuis son lancement en 1998, la Soirée a permis de recueillir plus de 1,8 million $ pour contribuer à l’épanouissement de la prochaine génération de talents musicaux par la formation, le mentorat et la programmation.

La Soirée en est maintenant à sa dixième année et son succès va toujours grandissant; pour cette édition anniversaire, on a placé la barre très haut en ce qui concerne les recettes. M. Lawson Hunter, qui a gracieusement accepté d’assumer la présidence du comité organisateur de la Soirée d’opéra Noir et Blanc pour la deuxième année consécutive, voit dans l’édition 2007 de l’événement une occasion en or d’appuyer et de développer la très dynamique scène culturelle outaouaise. « Cette année », dit-il, « nous célébrons dix ans d’un partenariat fructueux entre deux organisations qui sont de véritables trésors pour notre ville. L’an dernier, la Soirée d’opéra Noir et Blanc a engrangé 345 000 $ pour Opera Lyra Ottawa et l’Orchestre du Centre national des Arts; cet appui a permis aux deux organisations de procurer à la collectivité une programmation artistique et un rayonnement communautaire inégalés. Avec le fidèle appui de notre collectivité, je sais que nous pourrons poursuivre plus avant sur la voie du succès et fournir encore plus d’opportunités aux jeunes Canadiens qui aspirent à une carrière en musique. »

La Soirée d’opéra Noir et Blanc aura lieu le samedi 17 février 2007 au Centre national des Arts.

Les billets « Soirée » à 275 $ chacun donnent accès au cocktail, au dîner, au concert proprement dit, et à la réception de fin de soirée en présence des artistes.

Les billets « Concert plus » à 175 $ chacun donnent accès au concert et à la réception de fin de soirée.

On peut se procurer des billets « Soirée » et « Concert plus » en s’adressant à la Fondation du CNA au (613) 947-7000, poste 322 ou à Opera Lyra Ottawa au (613) 232-9200, poste 225.

Les billets pour le concert seulement sont à 75 $, 65 $ et 50 $ chacun. Veuillez prendre note que Ticketmaster acceptera les commandes de billets pour le concert à compter du 13 novembre 2006.

On peut se procurer des billets à la Billetterie du CNA (en mains propres seulement) ou, dans le réseau Ticketmaster (frais de service en sus), au (613) 755-1111 ou en ligne, via le site Web du CNA <www.nac-cna.ca >. Plus de détails sur l’événement dans le site Web du CNA ou à l’adresse www.operalyra.ca .

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Renseignements :
Gerald Morris, Centre national des Arts
(613) 947-7000, poste 249
gmorris@nac-cna.ca

Karl Balisch, Opera Lyra Ottawa
(613) 233-9200, poste 229
marketing@operalyra.ca


HARRY BELAFONTE
Le légendaire Harry Belafonte compte parmi les très rares artistes dont on peut dire qu’ils ont contribué à forger l’identité d’une génération. Artiste de scène accompli et supérieurement talentueux, il est parti de rien pour devenir une vedette immensément populaire dans le monde entier.

Ayant grandi à Harlem après la Seconde Guerre mondiale, il s’est d’abord orienté vers le théâtre, se produisant notamment avec l’American Negro Theatre, en plus de suivre des classes d’art dramatique en compagnie de jeunes acteurs encore inconnus comme Marlon Brando, Walter Matthau et Tony Curtis. Par la suite, il a délaissé le théâtre (non sans avoir remporté un prix Tony) pour se consacrer à la musique, chantant dans des clubs de Harlem aux côtés de géants du jazz comme Charlie Parker et Miles Davis. Il a aussi prêté une oreille attentive à des artistes folk comme Leadbelly, Woody Guthrie et Pete Seeger. Ces influences, alliées à ses propres racines jamaïcaines, l’ont amené à forger son propre style musical — qui allait atteindre sa pleine maturité avec Calypso, son formidable album paru en 1956. Ce disque, qui l’a propulsé sur la voie du succès, allait devenir le premier « 33 tours » de l’histoire à s’écouler à plus d’un million d’exemplaires.

Après des centaines de concerts, de nombreuses tournées mondiales et productions de Broadway et des dizaines d’enregistrements à succès, Hollywood a fait signe à M. Belafonte, dont le charisme s’est vite révélé aussi prégnant à l’écran que sur scène. Il n’a jamais manqué de travail par la suite, s’illustrant notamment dans les films Carmen Jones (le premier long-métrage à bénéficier d’une distribution entièrement afro-américaine), The Flesh and the Devil et Island in the Sun (qui fit scandale en son temps, et dont il avait écrit et interprété la chanson thème). Il s’est ensuite tourné vers la télévision, produisant pour le petit écran (avec le concours d’un jeune réalisateur canadien encore inconnu du nom de Norman Jewison) une comédie musicale à grand spectacle intitulée Tonight with Belafonte. L’œuvre a remporté un prix Emmy et récolté les plus grands éloges de la critique; par la suite, sa compagnie a produit plusieurs autres émissions citées aux prix Emmy — dont un grand nombre mettant en vedette des artistes de la trempe de Sidney Poitier, Diahann Carroll, Sammy Davis, Jr. et Duke Ellington. Également découvreur de talents, il a lancé les carrières des comédiens Richard Pryor et Redd Foxx, entre autres.

Dans les années 1950, M. Belafonte s’est engagé dans le mouvement des droits civiques; en 1960, il a été nommé conseiller culturel du Peace Corps par le président Kennedy — devenant ainsi le premier artiste de scène à recevoir un tel honneur. Il s’est lié d’amitié avec Martin Luther King et, plus tard, avec Nelson Mandela; il a été l’un des premiers à comprendre tout le parti que l’on pouvait tirer du show-business pour influer sur les décisions politiques.

Longtemps avant l’ère moderne des concerts « Live Aid », Harry Belafonte est ainsi devenu un facteur d’unité aussi bien dans son pays qu’en Afrique. Il continue à se dépenser sans compter pour le bien de ses semblables, croit toujours à la justice sociale — et chante encore à sa manière inimitable, ravissant ses auditoires avec un mélange de nouvelles chansons et de ses plus grands classiques.

JACK EVERLY, chef d’orchestre
Premier chef du très apprécié programme des concerts Pops de l’Orchestre du Centre national des Arts (CNA) depuis 2004, Jack Everly reste fidèle à sa passion de toujours pour la musique populaire. Bien connu des auditoires d’Ottawa, où il a dirigé des concerts comme Musique Pops aux couleurs britanniques (2004), Une soirée avec Gershwin et La Gloire de la comédie musicale hollywoodienne (2003), pour n’en citer que quelques-uns parmi les plus récents, il compte aussi à son actif, également au CNA, Divas de Broadway et, la saison dernière, l’hilarant Les années 1950 : l’âge d’or du noir et blanc.

Le maestro Everly exerce ses talents non seulement à Ottawa mais aussi ailleurs, se produisant régulièrement comme chef invité avec de nombreux orchestres en Amérique du Nord en plus d’œuvrer comme chef principal des concerts Pops auprès des orchestres symphoniques de Baltimore et d’Indianapolis. Pour ce dernier ensemble, il assure aussi la direction musicale du programme A Yuletide Celebration, une production théâtrale des Fêtes qui remporte toujours un grand succès. L’enregistrement qu’il a tiré de l’événement, A Yuletide Celebration, Volume One (2004), a fracassé des records de vente.

Parmi les nombreux accomplissements de M. Everly à la scène, au cinéma et au petit écran, mentionnons qu’il a assuré la direction musicale du célèbre American Ballet Theatre, pour lequel il a dirigé au-delà de cinquante tournées internationales; en outre, il a dirigé Carol Channing des centaines de fois dans différentes productions de Broadway de la pièce Hello, Dolly!, dirigé les chansons du film d’animation Le Bossu de Notre-Dame de Disney, et dirigé un grand nombre d’enregistrements de succès de Broadway — incluant l’album Everything’s Coming Up Roses: The Complete Overtures of Broadway’s Jule Styne, qui a été encensé par la critique. Il a aussi prêté son concours, à titre de chef d’orchestre ou de directeur musical, à de nombreux enregistrements de CD, pour ne mentionner que l’album In The Presence (2005) avec le ténor Daniel Rodriguez.

Jack Everly se partage actuellement entre Ottawa et Indianapolis, où il assure la direction musicale du Symphonic Pops Consortium, une organisation qu’il a contribué à mettre sur pied.

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