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Titre de la section : Faits et mythes

Faits et mythes

Mariages de convenance

Question

Abus du système d’immigration par le biais des mariages de convenance.

Réalité

Conclut un mariage de convenance la personne qui se marie pour l’unique raison d’immigrer au Canada.

Les mariages de convenance sont interdis par la législation canadienne sur l’immigration. Les agents de Citoyenneté et Immigration Canada reçoivent une formation particulière afin de reconnaître les demandes véritables d’immigration et savent détecter les mariages de convenance. Ils ont recours à diverses techniques pour découvrir les mariages frauduleux, dont les vérifications des pièces d’identité, les vérifications sur place et les entrevues avec les répondants et les demandeurs.

De plus, le système canadien d’immigration est conçu de façon à décourager les mariages de convenance. Toute personne voulant parrainer son conjoint ou partenaire qui souhaite immigrer au Canada prend un engagement légal important et doit subvenir aux besoins du conjoint ou partenaire pendant trois ans, même si la relation échoue. Si le couple se sépare et que la personne parrainée reçoit de l’aide sociale, le répondant doit rembourser le montant de l’aide sociale versée à son ancien conjoint. Vu les obligations légales, le parrainage doit être pris au sérieux et chacun doit s’assurer de l’authenticité de son mariage.

Citoyenneté et Immigration Canada admet que même les unions véritables peuvent échouer. Toutefois, si une personne conclut un mariage de convenance et immigre au Canada, des mesures d’exécution peuvent être exercées contre elle et entraîner son expulsion. L’Agence des services frontaliers du Canada est l’organisme chargé de prendre de telles mesures.

 

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