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Indicateurs canadiens de durabilité de l'environnement

Plus tard cet hiver, Statistique Canada, au nom du Gouvernement du Canada, prévoit demander aux clients d'évaluer ces publications.

Si vous désirez participer à cette évaluation, veuillez fournir vos coordonnées.

Les Canadiens ont besoin d’avoir en main des indicateurs environnementaux clairement définis, soit une sorte de règle servant à mesurer les résultats obtenus à la suite des efforts déployés par les gouvernements, les industries et les citoyens afin de protéger et rétablir l’environnement. Après avoir pris conseil auprès d’experts, trois indicateurs environnementaux ont été retenus : ceux-ci permettront au gouvernement fédéral et à ses partenaires de mesurer les progrès accomplis et d’être imputables des résultats obtenus à la suite de mesures d’assainissement de l’eau et de l’air et de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Les indicateurs choisis pour ce premier exercice annuel de reddition de comptes sont les suivants : indicateur de la qualité de l’air; indicateur de réduction des émissions de gaz à effet de serre; indicateur de la qualité de l’eau douce.

De tels indicateurs de la durabilité de l’environnement canadien viennent suppléer les mesures de contrôle traditionnelles dans les domaines de la santé et de l’économie, par exemple le produit intérieur brut, afin que la population canadienne puisse mieux comprendre les relations existantes entre l’économie, l’environnement ainsi que la santé et le bien-être des gens. Ils ont été conçus pour aider les fonctionnaires responsables de l’élaboration des politiques et de la surveillance du rendement, et pour offrir à tous les Canadiens plus d’information sur les tendances en matière d’environnement.

Qualité de l’air

 

Qualité de l’air
De 1990 à 2004, l’indicateur d’ozone troposphérique a révélé une variabilité annuelle ainsi qu’une hausse moyenne de 0,9 p. 100 par année à l’échelle nationale. En 2004, les valeurs les plus élevées d’ozone troposphérique ont été enregistrées dans des stations de surveillance dans le Sud de l’Ontario, suivies de stations dans le Sud du Québec ou l’Est de l’Ontario. Dans le Sud de l’Ontario, la tendance est à la hausse depuis 1990; les autres régions ne présentent aucune augmentation ou diminution perceptible. En 2004, les concentrations les plus élevées de P2.5ont été enregistrées dans le Sud de l’Ontario, tandis que certaines régions de l’Est du Québec présentaient également des concentrations élevées. Pour la période de 2000 à 2004, les P2.5 n’affichent aucune tendance nationale perceptible.
GHG emissions icon Émissions de gaz à effet de serre
On a estimé que les émissions totales de GES du Canada ont atteint 758 mégatonnes d’équivalents en dioxyde de carbone en 2004, une hausse de 27 p. 100 par rapport à 1990. En 2004, les émissions de GES du Canada étaient de 35 p. 100 plus élevées que l’objectif à atteindre pour la période allant de 2008 à 2012, conformément au Protocole de Kyoto, soit 6 p. 100 inférieur au niveau de 1990.
Freshwater iconQualité de l'eau douce
Parmi 340 sites de surveillance du Sud du Canada, la qualité de l’eau douce était considérée comme « bonne » ou « excellente » dans 44 p 100 des sites, « moyenne » dans 34 p. 100 et « médiocre » ou « mauvaise » dans 22 p. 100 des sites. La qualité de l’eau douce de 30 sites du Sud du Canada était considérée comme « bonne » ou « excellente » dans 67 p. 100 des sites, « moyenne » dans 20 p. 100 des sites et « médiocre » ou « mauvaise » dans 13 p. 100 des sites. En 2004-2005, la qualité de l’eau douce dans les Grands Lacs était considérée comme « bonne » ou « excellente » pour le lac Supérieur, le lac Huron, la baie Georgienne, l'Est du lac Érié, « moyenne » pour la région centrale du la Érié et « médiocre » pour l'Ouest du lac Érié et le lac Ontario.

 





Créé le : 2005-10-21
Mis à jour le : 2006-11-23
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Contenu revu le : 2006-11-23Consulter les détails de la ressource
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