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SCF: Activités en cours dans les Territoires du Nord-Ouest et le Nunavut

 

 

Projets sur le terrain : Oies et Cygnes

Bureau de coordination du Projet conjoint sur les oies de l'Arctique (PCOA) (carte)

Environnement Canada, Service canadien de la faune (SCF) gère le bureau de coordination pour le PCOA. Le bureau, situé à Edmonton, recueille les propositions de projets, offre un financement pour les projets et suit les données financières. Le bureau de coordination dirige également des activités de communication, offre son aide pour tout ce qui concerne les documents relatifs aux politiques et aux programmes et assure la liaison entre le comité technique du PCOA et le conseil de direction, les partenaires et les autres parties intéressées.

Durée : En cours

Partenaires : SCF Pacifique et Yukon, Prairies et Nord, Québec, Ontario, HQ, ÉPCP, gouvernements des Territoires du Nord-Ouest, du Manitoba, de l'Ontario, DU, USFWS, U.S. Flyways, gouvernements d'États,

Personne contact : Deanna Dixon

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Gestion de l'accroissement des populations de l'Oie des neiges (carte)

La population des petites oies des neiges du milieu du continent, en expansion rapide, cause des dommages étendus aux marais côtiers le long de la côte ouest de la baie d'Hudson. Ce problème a incité des gestionnaires de la faune à envisager diverses mesures de réduction de cette population par la chasse. Le SCF, en collaboration avec les gouvernements territoriaux et provinciaux du Canada et les gouvernements américains fédéral et d'États, met en place de nombreuses techniques permettant d'augmenter la récolte d'oies des neiges et d'empêcher l'aggravation des dommages causés par cette espèce à l'environnement. Le nombre des grandes oies blanches augmente aussi, entraînant de sérieux problèmes de dommages aux récoltes.

Durée : En cours

Partenaires : Projet conjoint sur les oies de l'Arctique, gouvernements des Territoires du Nord-Ouest, du Nunavut, du Manitoba, de la Saskatchewan, de l'Alberta, de l'Ontario et du Québec; USFWS, gouvernement d'États des États-Unis, DU.

Personne contact : Jim Leafloor Raymond Sarrazin Deanna Dixon

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Lien entre l'abondance des oiseaux de rivage et des passereaux nicheurs avec la colonie d'oies des neiges de l'île Banks (carte)

Les effectifs croissants de petites oies blanches sur l'île Banks pourraient entraîner la perte à court terme d'habitats importants pour les oies et d'autres oiseaux migrateurs. L'objet de cette étude est de déterminer l'abondance des oiseaux de rivage et des passereaux nicheurs à l'intérieur et à des distances croissantes de la colonie des oies des neiges de l'île Bank et d'évaluer l'impact de l'accroissement des effectifs des petites oies blanches sur l'habitat des basses terres de la toundra de l'île Banks. Des travaux sur le terrain ont été effectués en 2002. L'analyse des données et la préparation des rapports sont en cours.

Durée : 1999 à 2002

Partenaires :

Personne contact : Paul Latour, Jim Hines

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Impact de l'augmentation de la chasse sur la population d'oies des neiges de l'Arctique occidentale (carte)

Les effectifs des oies des neiges ont considérablement augmenté sur l'île Banks mais restent faibles sur le continent (p. ex. sur l'île Kendall) ou ont diminué par endroit (rivière Anderson). Bien qu'il soit probablement opportun d'intensifier la chasse sur l'ensemble de la population des oies des neiges dans l'Arctique occidentale, il faut néanmoins évaluer l'impact qu'une telle intensification à l'intérieur et à l'extérieur de la RDI pourrait avoir sur les effectifs des oies. Il faut en particulier déterminer, à l'intérieur de la RDI, quel serait l'impact d'une intensification de la chasse des oies sur les petites colonies du continent et sur la grande colonie de l'île Banks. L'étude sera menée en baguant des oies des différentes colonies afin de déterminer d'où viennent les oies abattues. L'étude devrait permettre de délimiter les secteurs où une chasse sélective des oies de l'île Banks pourrait prendre place sur le continent de la RDI et fournir également des renseignements précieux sur le décalage des distributions d'automne, d'hiver et de printemps des oies des neiges de l'Arctique occidental.

Durée : 1999 à 2004

Partenaires : CCGF, ÉPCP

Personne contact : Jim Hines

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Impacts des oies des neiges sur la basse toundra de l'île Banks (carte)

La colonie de petites oies blanches sur l'île Banks a rapidement grandi (plus de 6 % d'augmentation des effectifs depuis 1981). À long terme, un tel taux d'accroissement démographique pourrait entraîner des dommages importants à l'habitat de basse toundra dont dépendent l'oie des neiges et de nombreuses autres espèces. Les dommages infligés à l'écosystème de la toundra et l'effondrement des populations d'oies des neiges et de bœufs musqués qui pourrait en résulter auraient des répercussions socio-économiques importantes sur la communauté des Inuvialuit de Sachs Harbour (Territoires du Nord-Ouest) dont le style de vie est essentiellement basé sur la subsistance, et sur d'autres communautés Inuvialuit qui chassent un grand nombre d'oies des neiges chaque printemps.

Il est nécessaire d'évaluer la condition actuelle des habitats dans les basses terres de l'île Banks et les impacts des oies sauvages sur les autres espèces. Les gestionnaires doivent se faire une idée de l'urgence de la situation compte tenu des risques d'intensifier la chasse des oies des neiges de l'île Banks et ils doivent savoir si les oies des neiges sur cette île sont vraiment en surabondance. Cette étude permettrait de répondre à ce besoin en effectuant des mesures extensives (par télédétection) et intensives (sur le terrain) afin d'évaluer et de surveiller l'habitat.

Durée : 1999 à 2002

Partenaires : CCGF, ÉPCP

Personne contact : Jim Hines

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Écologie nutritionnelle et biologie des populations d'oies de Ross au lac Karrak (carte)

La plus grande colonie connue d'oies de Ross se trouve au lac Karrak (Nunavut). Le présent projet a pour objet de construire un modèle capable de décrire les fluctuations saisonnières (printemps-automne) des populations d'oies de Ross en Amérique du Nord. Il consistera à déterminer quels sont les facteurs (par ex. l'abondance de la nourriture au printemps, la météo dans l'Arctique, etc.) qui influent le plus sur l'effectif des populations de ces oies.

Durée : En cours.

Partenaires : ÉPCP, University of Saskatchewan, DU, GTNO, GNU et MAINC.

Personne(s) contact : Ray Alisauskas.

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Surveillance des taux de survie et de récupération des oies rieuses du milieu du continent (carte)

Le baguage récent d'oies rieuses du milieu du continent dans les parties centrale et occidentale de l'Arctique et en Alaska a permis d'obtenir de précieux renseignements sur leur distribution migratoire et hivernale. L'étude a révélé que les populations Est et Ouest de cette espèce, autrefois considérées comme distinctes, se mélangent considérablement en dehors de leur aire de reproduction. Il est nécessaire d'estimer les taux de survie annuels afin d'évaluer les effets des changements apportés aux mesures de réglementation et autres mesures de gestion. Un programme de baguage s'étalant sur cinq ans est actuellement en cours.

Durée : De 1998 à 2002.

Partenaires : Conseils de la voie migratoire du Mississippi et de la voie migratoire centrale, et ÉPCP.

Personne contact : Ray Alisauskas.

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Dispersion des oies de l'Arctique (carte)

Les dommages présents et à venir aux écosystèmes arctiques qui résultent de la croissance exponentielle des populations d'oies des neiges constituent l'un des plus importants enjeux de la gestion de la sauvagine en Amérique du Nord. Le problème principal réside dans la disparition d'écosystèmes arctiques qui résulte de la surexploitation de communautés végétales par l'Oie des neiges. Ces communautés végétales sont en nombre fini, elles ne se rencontrent que dans une partie de l'Arctique et sont principalement confinées aux zones côtières. On prévoit que l'élimination à grande échelle de cette végétation entraînera non seulement le déclin des oies des neiges mais aussi celui de la biodiversité par les impacts négatifs qu'une telle destruction aurait sur les autres populations d'animaux sauvages qui dépendent des habitats de l'Arctique. Les spécialistes conviennent donc généralement qu'il est nécessaire d'inverser la tendance démographique des oies des neiges. La croissance de ces populations dépend du recrutement, du taux de survie, de l'immigration et de l'émigration. La présente étude permettra d'obtenir une estimation des flux d'immigration et d'émigration.

Durée: 1999 à 2003

Partenaires :

Personne contact : Ray Alisauskas

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Recensement des oies des neiges et des oies de Ross dans l'Arctique canadien par photographie aérienne à la verticale (carte)

Le SCF recense les populations d'oies des neiges et d'oies de Ross de l'Arctique canadien par photographie aérienne depuis le début des années 1970. Les chercheurs s'efforcent de recenser chacune des principales aires de reproduction tous les cinq ans afin de suivre les changements d'effectif des diverses populations. Ces données sont utilisées pour décider des dates d'ouverture et de fermeture de la chasse, des limites de prises et autres mesures de gestion connexes.

Durée : En cours.

Partenaires : ÉPCP, CCGF, USFWS.

Personnes contact : Dale Caswell, Keith Warner et Kathy Meeres.

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Effectif, distribution et taux de survie des oies de l'Arctique orientale (carte)

Ce projet porte sur plusieurs espèces en danger. Le SCF surveille l'effectif des petites bernaches du Canada, des petites oies des neiges, des oies de Ross, des grues du Canada et des cygnes siffleurs sur la Grande plaine de Koukdjuak (dans l'ouest de l'île de Baffin) et le long de la côte ouest de la baie d'Hudson. Les oiseaux marqués sont surveillés tout au long de leur migration et durant leur séjour dans leurs quartiers d'hiver afin de déterminer la distribution et le taux de survie de chaque espèce. Ces données sont utilisées pour la mise à jour des règlements de chasse. Les gestionnaires s'en servent également pour établir les règlements de chasse et élaborer des mesures de gestion visant à augmenter la chasse des oies blanches (petites oies des neiges et oies de Ross).

Durée : De 1991 à 2007

Partenaires : PCOA, GTNO, USFWS, ÉPCP, GNU, gouvernement du Manitoba, Conseils de la voie migratoire du Mississippi et de la voie migratoire centrale, Wildlife Management Institute, CGRFN et OCT d'Arviat.

Personne contact : Dale Caswell.

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Grande Oie des neiges : Écologie alimentaire et influence sur l'habitat de l'île Bylot (carte)

L'effectif des grandes oies des neiges a atteint un niveau record ces dernières années et il continue d'augmenter. Les densités élevées qui en résultent pourraient entraîner une dégradation de l'habitat sur l'île Bylot, qui abrite une grande partie de la population. Cette étude vise à déterminer comment les habitudes alimentaires de la Grande Oie des neiges affectent la qualité de son habitat et comment cette dernière (et d'autres facteurs) influe sur la productivité de l'espèce.

Durée : En cours.

Partenaires : PCOA, ÉPCP, Université Laval

Personne contact : Richard Cotter.

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Études des oies de la baie James (carte)

Les terres humides riveraines de la baie James constituent le lieu principal de rassemblement pour la Bernache cravant à ventre pâle, la Bernache du Canada et la Petite Oie des neiges, autant d'espèces importantes pour les chasseurs cris et inuits du Nord du Québec. De nombreuses bernaches du Canada nichent et élèvent leurs petits dans les marais d'eau douce voisins du rivage. Cette étude permettra d'obtenir des renseignements sur les besoins écologiques des oies pendant leurs périodes de rassemblement et de reproduction de façon à évaluer, prévoir et diminuer l'impact des activités de la région.

Durée : En cours.

Partenaires : PCOA, Société d'énergie de la baie James, Groupe Environment Shooner et Eeyou Corporation.

Personne contact :

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Statut, démographie et utilisation de l'habitat d'hiver de la Bernache cravant de l'Extrême-Arctique occidental (carte)

Les bernaches de l'Extrême-Arctique occidental (EAO) nichent principalement sur les îles Prince Patrick et Melville dans l'archipel arctique canadien occidental et hivernent presque exclusivement dans la baie Padilla, dans l'État de Washington. Bien que davantage de travaux de recherche soient nécessaires, l'analyse de l'ADN mitochondrial et les observations sur le terrain suggèrent que ces oiseaux sont peut-être distincts de toutes les autres populations de bernaches en Amérique du Nord. Si c'est le cas, la population de l'EAO, dont l'effectif est seulement de 4000 à 8000 oiseaux, seraient l'une des populations d'oies les plus rares du monde.

Des données démographiques de base sont nécessaires pour comprendre la dynamique de cette population et pour s'assurer que le recrutement est au moins égal à la chasse et à la mortalité naturelle à long terme. On ne sait rien, par exemple, de la stratégie de migration de ces oiseaux à l'automne. Il est nécessaire d'évaluer les différences entre les bernaches de l'EAO et les bernaches noires pour ce qui est de la sélection des habitats sur les sites importants (notamment sur les aires protégées) et des habitats utilisés l'hiver et pendant la saison de la chasse.

Durée : jusqu'à 2003-2004

Partenaires : PCOA, ÉPCP

Personne contact : Sean Boyd

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Baguage et recensement des oies des neiges (carte)

Objet : Suivre et évaluer la dynamique des populations d'oies des neiges avant, pendant et après les ajustements importants des programmes de gestion de la chasse pour toutes les grandes colonies.

Durée : 1998 à 2008

Partenaires : PCOA, US Flyways, USFWS

Personne contact : Dale Caswell

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La Voie verteMC, site Web d'Environnement Canada
Mise à jour le : 2005-03-03
Contenu revu le : 2006-06-06
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