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Après L'école - Résultats d'une enquête nationale comparant les sortants de l'école aux diplômés d'études secondaires âgés de 18 à 20 ans - Janvier 1995

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1. Introduction

Pourquoi faire une enquête sur les sortants de l'école secondaire?

En 125 ans à peine, le Canada est devenu l'un des plus riches pays du monde. Son niveau de prospérité économique, mesuré par le PNB et le PIB par habitant, est élevé (le neuvième et le troisième au monde, respectivement), et le taux de croissance de son PIB au cours de la dernière décennie est le plus élevé au monde après celui du Japon1. Les Canadiens jouissent également d'une longue espérance de vie, d'un faible taux de mortalité infantile, d'un niveau de scolarisation élevé et d'un accès relativement libre aux études postsecondaires2. D'après des classements internationaux, notre qualité de vie dans l'ensemble, ou "indice de développement humain", est en première ou deuxième position mondiale3.

On se préoccupe cependant de plus en plus de certains traits généraux de la société canadienne, tels que le taux élevé de chômage, le grand nombre de familles monoparentales dirigées par des femmes, le grand nombre d'enfants vivant dans la pauvreté4, l'analphabétisme, la baisse du revenu familial après impôt5, le ralentissement de la productivité6, la concurrence accrue sur les marchés internationaux et les inefficacités de notre système scolaire.

Par ailleurs, on reconnaît de plus en plus les liens étroits qui existent entre ces divers phénomènes. La réussite sur les marchés internationaux tient à la productivité économique et à l'innovation technologique, qui à leur tour proviennent des connaissances, des compétences et de la détermination d'une main-d'oeuvre scolarisée et bien rémunérée, qui effectue un travail stimulant et valorisant.

L'introduction de techniques et de compétences de pointe est censée mener à une économie concurrentielle à la réussite sur les marchés internationaux, à un niveau de vie élevé et à une bonne qualité de vie.

"Selon nous, il faut élaborer une nouvelle vision de l économie canadienne. Il faut que les ressources naturelles abondantes du pays soient pleinement exploitées, que les entreprises et les gouvernements mettent l'accent sur l'acquisition de compétences et de techniques de pointe, que l'exigence des consommateurs pousse les entreprises à créer des produits et à inventer des procédés de pointe, que les entreprises canadiennes soit beaucoup plus nombreuses sur les marchés mondiaux, et que la concurrence nous pousse vers un perfectionnement continu7."

La prospérité du Canada dans une économie mondiale où la concurrence est très forte est l'une des préoccupations du gouvernement et lui a fait reconnaître l'importance stratégique de l'enseignement8. Dans une économie mondiale dominée par les techniques et les connaissances de pointe, qui elles-mêmes sont de plus en plus déterminées par les compétences, la créativité et les facultés d'adaptation de la main-d'oeuvre, I'enseignement occupe une place prépondérante.

" Une économie innovatrice et productive est surtout le fait des compétences et de la créativité humaines. La technologie est inventée par des gens et ne peut être pleinement mise à profit que si elle est utilisée correctement par des personnes qualifiées9."

À la lumière des changements qui se dessinent dans la structure économique canadienne, on estime que 40 % des nouveaux emplois créés entre 1989 et l'an 2000 exigeront plus de seize années de scolarité et de formation10. À l'avenir, étant donné l'importance pour le gouvernement de planifier la transition vers une économie de pointe, où prime l'esprit d'entreprise, et qui offre des emplois hautement qualifiés et bien rémunérés, la plupart des nouveaux emplois exigeront au moins un diplôme d'études secondaires ou l'équivalent.

Par rapport à d'autres pays, le Canada jouit d'un haut niveau d'instruction, de faibles différences dans les résultats scolaires des filles et des garçons au secondaire et d'un accès facile aux études postsecondaires. Toutefois, on s'inquiète sérieusement de l'acquisition des compétences de base chez les élèves du secondaire, du contenu et de la qualité de l'enseignement, des résultats obtenus par les élèves aux épreuves standard de sciences et de mathématiques et du nombre d'élèves qui ne terminent pas leurs études secondaires11.

Selon les estimations actuelles, plus de 30 % des jeunes Canadiens abandonnent leurs études secondaires. Les taux d'abandon scolaire correspondants du Japon et de l'Allemagne, deux des principaux concurrents du Canada, sont beaucoup moins élevés. Au Japon, moins de 2 % des élèves ne terminent pas leurs études secondaires; en Allemagne, ce taux est inférieur à 10%12. Selon ces estimations, le taux de départ du secondaire au Canada est trots fois plus élevé que celui de l'Allemagne et quinze fois plus élevé que celui du Japon.

Si une part importante des jeunes Canadiens quittent l'école secondaire prématurément, cela risque de "créer un groupe de plus en plus important de personnes souvent fonctionnellement analphabètes, dans une large mesure impossibles à former et de moins en moins employables13". Pour la société canadienne et pour les élèves qui abandonnent l'école secondaire, les coûts économiques de cet abandon sont élevés. Au Canada, sur une seule année scolaire, ce coût est estimé à quatre milliards de dollars14. Par comparaison aux diplômés du secondaire, les sortants scolaires sont plus susceptibles d'être chômeurs et de toucher un revenu plus faible sur toute une vie. De plus, I'abandon scolaire est associé à d'autres conditions néfastes: mauvaise santé, délinquance, crime, abus d'intoxicants, dépendance économique et faible qualité de vie dans l'ensemble.

Pour réduire le taux d'abandon scolaire de 3 % par année15 ou à 10 % d'ici l'an 200016, il faut très bien connaître les facteurs qui influencent cet abandon. Le départ du secondaire est-il le fait d'innombrables influences indépendantes qui échappent aux tentatives d'intervention et d'amélioration, ou est-il plutôt le symptôme de problèmes structurels profondément ancrés dans notre système scolaire, mais qui peuvent être corrigés?

Conclusions des précédents travaux de recherche

De très nombreux travaux de recherche ont voulu déterminer les causes du décrochage et repérer les élèves qui y sont prédisposés. Le profil des décrocheurs comporte des variables socio-économiques et psychologiques ainsi que des variables liées à la structure familiale, aux branches du secondaire, à l'école et à l'emploi. Beaucoup de sortants proviennent de milieux socio-économiques défavorisés17 ou de familles monoparentales18 ont suivi un programme obligatoire ou une branche scolaire non spécialisée19, ont échoué au moins un cours durant leurs études secondaires, travaillent plus de quinze heures par semaine, manquent d'estime de soi, sont frustrés dans leur apprentissage et se fixent des buts à court plutôt qu'à long terme, se sentent isolés de leurs professeurs et de leurs pairs, ne se sentent pas concernés par leur programme d'études et pensent de manière concrète plutôt qu'abstraite20.

De nettes différences entre décrocheurs et diplômés sont visibles dès la troisième année du primaire, les premiers manifestant des difficultés scolaires et obtenant de faibles résultats aux tests de rendement21. Avant la 9e année, on constate déjà chez eux une tendance à redoubler et un fort taux d'absentéisme scolaire. Les chercheurs conviennent également que de nombreux sortants ont un faible taux d'assiduité, manifestent des comportements déviants ou délinquants et, dans de nombreux cas, ont été renvoyés de l'école à un moment ou à un autre22.

L'intérêt que l'on porte aux diverses philosophies d'enseignement et à leurs incidences s'est accru ces dernières années. Toutefois, les chercheurs américains se sont penchés dès 1960 sur les conflits entre les principales philosophies d'enseignement et les sous-cultures adolescentes. Certains chercheurs ont pensé que les sous-cultures sportives et sociales allaient à l'encontre des objectifs scolaires et donc affaiblissaient les résultats des élèves23. D'autres se sont demandés si l'école fonctionnait en vase clos ou si elle s'adaptait plutôt au sexe et aux antécédents socio-économiques des élèves, qui en retour ont une incidence sur les aspirations et les résultats de ces derniers24. De même, au Canada, les chercheurs se sont demandés si la formation de branches d'études dans les écoles influençait de façon marquée les projets et les aspirations des élèves, ou si les programmes d'études traduisaient des différences socio-économiques et des différences d'aptitudes25.

Une autre série de variables employées dans la recherche sur l'abandon des études secondaires a trait aux attitudes des élèves face aux programmes d'études, à leurs pairs, aux professeurs et aux conseillers et à leur taux de participation aux activités parascolaires26

Diagramme 1-1 Modèle des causes et des conséquences de l'abandon scolaire

Diagramme 1-1 Modèle des causes et des conséquences de l'abandon scolaire

II existe deux grands courants de pensée pour expliquer le processus de l'abandon scolaire27. Selon le courant "frustration-estime de soi", l'école n'offre ni un enseignement, ni un milieu émotionnel adéquats aux élèves qui ont des difficultés d'apprentissage. Lorsque ces élèves s'aperçoivent qu'ils ont de la difficulté à suivre le niveau de la classe, ils éprouvent de la honte et une certaine frustration. Leur estime de soi s'en trouve atteinte, et leurs difficultés d'apprentissage s'accentuent, ce qui les pousse finalement à abandonner l'école avant d'obtenir leur diplôme. Selon le courant de pensée "participation-identification", les élèves qui participent aux activités scolaires obtiennent de meilleures notes, développent un sentiment d'appartenance et se donnent des buts liés au travail scolaire. Une telle prise en main de leurs études accroît leur participation et produit de bons résultats, dont l'obtention d'un diplôme28.

Indépendamment de ces courants de pensée, la recherche met l'accent sur l'importance des études et sur la nécessité d'intégrer les élèves dans la philosophie d'enseignement et le système scolaire, si complexes soient-ils.

 

Guide d'analyse

L'abandon des études secondaires est un processus plutôt qu'une décision ponctuelle. Le diagramme 1-1 présente un modèle des facteurs qui influencent le départ de l'école ainsi que des conséquences de ce départ. Le modèle servira de guide aux analyses descriptives du présent rapport. II permet d'abord d'étudier les liens entre l'obtention d'un diplôme et les variables touchant les antécédents, comme le niveau socio-économique, la composition de la famille, la province et le sexe des élèves. Deuxièmement, le modèle permet d'établir des liens entre le départ de l'école secondaire et les variables intermédiaires, comme le vécu scolaire, les résultats obtenus, la participation au marché du travail durant l'année scolaire et les comportements déviants. Enfin, le modèle permet d'aborder les conséquences de l'obtention ou de la non-obtention d'un diplôme d'études secondaires sur le plan des résultats professionnels et de la qualité de vie en général, y compris les conséquences sur l'alphabétisation et le mode de vie.

On présentera des analyses descriptives pour établir un profil des diplômés et des sortants selon des variables liées aux antécédents sociaux, au vécu scolaire, à l'emploi après l'école secondaire et au mode de vie. Sont exclus de ces analyses les élèves qui étaient encore à l'école (les "persévérants"). Les élèves qui ont quitté l'école puis y sont retournés (les "ex-décrocheurs") y sont mentionnés à des fins précises. Le rapport porte sur les ressemblances et les différences entre sortants et diplômés de l'école secondaire.

Les chapitres de la présente publication suivent la succession chronologique des variables du modèle:

  • Dans le chapitre 2, on examine les diverses techniques d'estimation des taux d'abandon scolaire, leurs avantages et leurs limites. Les taux nationaux et provinciaux qui s'appliquent aux sortants scolaires selon le sexe sont tirés de l'Enquête auprès des sortants publiée par Statistique Canada en 1991.
  • Le chapitre 3 porte sur les différences entre les caractéristiques démographiques et les antécédents des sortants et des diplômés: structure familiale, état matrimonial, personnes à charge, niveau de scolarité et profession des parents, lieu de naissance, invalidité et appartenance à un groupe linguistique ou autochtone.
  • Dans le chapitre 4, on compare le vécu scolaire des sortants et des diplômés: raisons du départ, intérêt porté aux cours, participation à l'école et vie sociale, tendances des amitiés, raisons du retour éventuel à l'école et réactions au départ de l'école.
  • Dans le chapitre 5, on examine les différences entre sortants et diplômés sur le plan des résultats scolaires, surtout en ce qui concerne les cours obligatoires de mathématiques, de sciences et de langues.
  • Le chapitre 6 porte sur les différences entre la situation professionnelle, pendant l'année scolaire, des sortants et des diplômés et sur le nombre d'heures de travail, le cas échéant. La participation au marché du travail est mise en relation avec les résultats scolaires, le vécu à l'école et le risque d'abandon scolaire.
  • Dans le chapitre 7, on examine les différences entre sortants et diplômés sur le plan des comportements déviants comme la consommation d'alcool, I'abus d'intoxicants et les activités criminelles.
  • Dans le chapitre 8, on décrit la situation de l'emploi et du revenu et les autres expériences des sortants et des diplômés après l'école secondaire.
  • Enfin, le chapitre 9 pose les questions auxquelles les travaux de recherche devront répondre à l'avenir.

Méthode employée pour l'enquête auprès des sortants

L'Enquête auprès des sortants, parrainée par Emploi et Immigration Canada, a été menée par Statistique Canada entre avril et juin 1991. À l'aide des dossiers d'allocations familiales, on a formé un échantillon aléatoire stratifié de 18 000 personnes âgées de dix-huit à vingt ans. Au moyen d'entrevues téléphoniques assistées par ordinateur, on a recueilli des données démographiques ainsi que des renseignements sur les antécédents des personnes interrogées, sur leur vécu scolaire, sur leur expérience professionnelle au sortir de l'école ainsi que d'autres indicateurs de résultats. En outre, les entrevues ont permis de distinguer les personnes qui fréquentaient encore l'école (les "persévérants") de celles qui avaient obtenu leur diplôme (les "diplômés") et de celles qui avaient abandonné (les "sortants"). Au total, on a pu communiquer avec 10 782 personnes, soit 60 % de l'échantillon, et 9 460 d'entre elles ont été interrogées (faux de réponse de 88 %). Les participants à l'enquête représentent une population de 184 000 sortants, 241 000 persévérants et 711000diplômés. L'annexe A contient une description détaillée de la méthode de l'enquête.

Terminologie

Dans le présent chapitre, les mots "décrocheur" et "sortant scolaire" sont utilisés de façon interchangeable, ce qui reflète l'emploi de ces mots dans les travaux de recherche et leur acceptation courante. Malheureusement, le qualificatif "décrocheur" est employé à tort et à travers aujourd'hui. On s'en sert pour désigner tous les élèves qui abandonnent leurs études secondaires, quelles que soient les raisons ou les circonstances de leur départ. Le mot a également une connotation péjorative et comporte même une note de blâme, comme s'il traduisait un échec personnel. Or, les personnes qui abandonnent leurs études forment un groupe assez hétérogène; leur profil ne correspond pas au stéréotype du décrocheur, surtout sur le plan des résultats quelles obtiennent à l'école. Par conséquent, nous préférons empIoyer l'expression "sortant scolaire" dans la présente publication. On trouvera au chapitre 2 quelques-unes des définitions et des distinctions utilisées dans le reste du texte.

Remarques et notes bibliographiques


1 Banque mondiale, Rapport sur le développement dans le monde, 1992, Oxford University Press, New York, 1992.

2 Banque mondiale, Rapport sur le développement dans le monde, 1992, Oxford University Press, New York, 1992; le Conseil économique du Canada, Les chemins de la compétence, Approvisionnements et Services Canada, Ottawa, 1992.

3 Programme des Nations unies pour le développement (PNUD),Rapport mondial sur le développement humain, 1992, Oxford University Press, New York, 1992, p. 19 d (PNUD) Rapport mondial sur le développement humain, 1993.

4 Ng, Edward, "Les enfants et les, personnes âgées: le partage des ressources de l'état", Tendances sociales canadiennes, Statistique Canada, Approvisionnements et Services Canada, Ottawa, été 1992; Cregheur, Alain et Devereaux, Mary Sue, "Les enfants au Canada",Tendances sociales canadiennes, Statistique Canada, Approvisionnements et Services Canada, Ottawa, été 1991; le Conseil économique du Canada, La nouveaux visage de la pauvreté:la sécurité du revenu des familles canadiennes: résumé, Approvisionnements et Services Canada, Ottawa, 1992.

5 Statistique Canada 13-210, Revenu après impôt, répartition selon la taille du revenu au Canada, Industrie, Sciences et Technologie Canada, Ottawa, 1992.

6 La compétitivité mène à la prospérité, Approvisionnements et Services Canada document d'étude du gouvernement du Canada, Ottawa, 1991.

7 Porter, Michael E., Canada at the Crossroads: Summary Report, rapport présenté au National Council on Business Issues et au gouvernement du Canada, National Council on Business Issues, Ottawa, octobre 1991, p. 72.

8 Conferenoe Board du Canada, Les coûts du décrochage scolaire pour le Canada, Ottawa, mai 1992.

9 La compétitivité mène à la prospérité, Approvisionnements et Services Canada, document d'étude du gouvernement du Canada, Ottawa, 1991, p. 8.

10 Emploi et Immigration Canada, 1990. L'emploi au futur: tertiarisation et polarisation, une déclaration du Conseil économique du Canada, Approvisionnements et Services Canada, Ottawa, 1990.

11 Les chemins de la compétence, une déclaration du Conseil économique du Canada, Approvisionnements et Services Canada, Ottawa, 1992.

12 Les chemins de la compétence, une déclaration du Conseil éconornique du Canada, Approvisionnements et Services Canada, Ottawa, 1992.

13 Bien apprendre... bien vivre, document d'étude du gouvernement du Canada, Approvisionnements et Services Canada, Ottawa, 1991.

14 Conference Board du Canada, La coûts du décrochage scolaire pour le Canada, Centre d'inforrnation sur Ies publications, du Conference Board, Ottawa, mai 1992.

15 Les chemins de la compétence, une déclaration du Conseil économique du Canada, Approvisionnements et Services Canada, Ottawa, 1992.

16 Bien apprendre... bien vivre, document d'étude du gouvernement du Canada, Approvisionnements et Services Canada, Ottawa, 1991.

17 Radwanski, George, "Étude sur le système d'éducation et les abandons scolaires en Ontario", ministère de l'Éducation de l'Ontario, Toronto, 1987.

18 Bloch Deborah Perlmutter, "Missing measures of the who and why of school dropouts: implications for policy and research", The Career Development Quarterly, vol. 40, scptembre 1991, w. 37-47: Radwanski, George, "Étude sur le système d'éducation et les abandons scolaires en Ontario", ministère de l'Éducation de l'Ontario, Toronto, 1987.

19 Quirouette, P., Sanin-Denis, O. et Hout, N., "Décrocheurs francophones, une étude du dépistage des décrocheurs probable au sein des écoles secondaires françaises de l'Ontario", ministère de l'Éducation de l'Ontario, Toronto, novembre 1990; Radwanski, George, Étude sur le système d'éducation et les abandons scolaires en Ontario, ministère de l'Éducation de l'Ontario, Toronto, 1987.

20 Radwanski, George, Étude sur le système d'éducation et la abandons scolaires en Ontario, ministère de l'Éducation de l'Ontario, Toronto, 1987.

21 Barrington, Byron L. et Hendricks, Bryan, "Differentiating characteristics of high school graduates, dropouts and non-graduates", Journal of Educational Research, 82(6), 1989, pp. 309-319.

22 Binkley, Edward M. et Hooper, Richard W. "Statistical profile of students who dropped out of high school during the school year 1987-88", Nashville-Davidson County Metro. Public Schools Research, rapport 143, juin 1989, pp. 7-51.

23 Coleman, J.S., "The adolescent subculture and academic achievement", The American Journal of Sociology, vol. LXV, 1960; The Adolescent Society: The Social Life of the Teenager and its Impact on Education, The Free Press of Glencoe, New York, 1961.

24 Hauser, RM., Sewell, W.H. et Alwin, D.F., "High school effects on achievement", Schooling and Achievement in American Society, Academic Press, New York, 1977.

25 Breton, R., "Academic stratification in secondary schools and the educational plans of students", Canadian Review of Sociology and Anthropology, 7(1), 1970, pp. 17-34; Gilbert, Sid d McRoberts, H., "Academic stratification and education plans: a reassessment", Canadian Review of Sociology and Anthropology, 14(1), 1977, pp. 34-47; Breton, R., `Le rôle de l'école et de la société dans Ie choix d'une carrière chez la jeunesse canadienne", Main-d'oeuvre et Immigration, Ottawa, 1972.

26 Radwanski, George, "Étude sur Ie système d'éducation et les abandons scolaires en Ontario", ministère de l'Éducation de l'Ontario, Toronto, 1987; Quirouette, P., Sanin-Denis, O. et Hout, N., "Décrocheurs francophones, une étude du dépistage des décrocheurs probables au sein des écoles secondaires françaises de l'Ontario", ministère de l'Éducation de l'Ontario, Toronto, novembre 1990; Tanner, J., "Reluctant rebels: a case study of Edmonton high school dropouts ", Canadian Review of Sociology and Anthropology,27(1), 1990.

27 Rumberger, RW., "High school dropouts, a review of issues and evidence", Review of Educational Research, vol. 57, n. 2, été 1987, pp. 101-121.

28 Finn, J.D., "Withdrawing from school ", Review of Educational Research, vol. 59, n. 2, été 1989, pp. 117-142.

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Mise à jour :  2006-08-16 haut Avis importants