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Après L'école - Résultats d'une enquête nationale comparant les sortants de l'école aux diplômés d'études secondaires âgés de 18 à 20 ans - Janvier 1995

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8. Les résultats professionnelles et les résultats de vie

Introduction

Le fait qu'un élève abandonne l'école secondaire ou obtienne son diplôme a des conséquences importantes sur le plan professionnel et dans sa vie. Le présent chapitre porte sur les réalisations professionnelles et les résultats de vie des sortants et des diplômés après l'école secondaire. Les études et la formation des jeunes après l'école secondaire sont également importantes, mais ne seront pas évaluées, car on veut établir une comparaison entre sortants et diplômés "purs", c'est-à-dire entre les personnes de chaque catégorie qui n'ont ni continué leurs études, ni poussé leur formation.

Si l'on exclut les persévérants, 80 % de l'échantillon restant est constitué de diplômés de l'école secondaire, et 20 %, de sortants. Ensemble, diplômés et sortants forment trois groupes: a) les personnes qui font des études postsecondaires ou qui suivent d'autres programmes de formation; b) les personnes qui ont entrepris ou terminé des études postsecondaires ou un programme de formation; et c) les personnes qui ont peu ou pas de formation ou d'instruction supplémentaire.

La majorité des diplômés interrogés dans le cadre de l'enquête avaient continué leurs études ou poussé leur formation, alors que la majorité des sortants ne l'avaient pas fait. Parmi les diplômés, 65 % étaient inscrits à un programme d'études supérieures, 9 % avaient terminé leurs études ou leur formation supérieure, et 26 % avaient peu ou pas de formation ou d'instruction supplémentaire. II est intéressant de noter que parmi les sortants, 11% suivaient un programme d'études ou de formation supérieure, 6 % avaient terminé un tel programme, et 83 % avaient très peu de formation ou d'instruction supplémentaire. Ces derniers chiffres indiquent que certains sortants scolaires (17 %) font ou ont terminé des études supérieures.

L'Enquête auprès des sortants recueille des données sur le comportement de jeunes de dix-huit à vingt ans à un moment précis, soit entre avril et juin 1991. L'expérience professionnelle de ces jeunes varie selon leur niveau d'instruction et selon le moment de leur entrée sur le marché du travail. Comme mentionné plus haut, de nombreux diplômés ont fait des études postsecondaires, quelques-uns ont même terminé ces études, et certains sortants ont aussi entrepris des études postsecondaires ou reçu une formation supplémentaire. II n'est pas utile d'analyser l'expérience sur le marché du travail des élèves qui suivent encore un programme d'études. En outre, comme les chiffres sur les sortants et les diplômés qui ont terminé leurs études ou leur formation supplémentaire sont bas et font l'objet de variations d'échantillonnage, il est impossible de les analyser séparément.

La comparaison qui suit entre purs sortants et purs diplômés pourra fournir des estimations modestes des effets de l'abandon scolaire, car les sortants étudiés auront eu l'occasion d'accroître leur expérience professionnelle

L'emploi

La grande majorité des sortants et des diplômés (92 %) avaient eu un emploi depuis leur départ de l'école. Chez les hommes, une proportion semblable de sortants (97 %) et de diplômés (93%) avaient occupé un emploi, tandis que chez les femmes, les diplômées avaient travaillé dans une plus forte proportion que les sortantes (92 % contre 84 %). Les deux tiers des sortants et des diplômés avaient eu un seul emploi au cours des six mois précédents. Les diplômés avaient plus tendance que les sortants à avoir eu deux emplois et moins tendance à n'avoir eu aucun emploi au cours des six mois précédents (tableau 8-1).

Tableau 8-1. Nombre d'emplois occupés au cours des six derniers mois
Nombre d'emplois Total % Hommes % Femmes %
  Diplômés Sortants Diplômés Sortants Diplômés Sortants
1 68 67 69 68 67 65
2 21 14 20 16 23 10*
3+ 6 6* 7* 6* 5* --
None 5* -- 13 10* 6* 19

Plus que les diplômés, les sortants avaient tendance à être sans emploi la semaine précédant le jour de l'enquête. Chez les hommes, 34 % des sortants étaient sans emploi, contre 23 % des diplômés. Chez les femmes, 26 % des sortantes étaient sans emploi, contre 18 % des diplômées. Vingt-quatre pour cent des sortantes ne faisaient pas partie de la population active, contre 6 % des diplômées (diagramme 8-1).

Diagramme 8-1
Situation Professionnelle, selon le sexe

Diagramme 8-1 Situation Professionnelle, selon le sexe

Statistique Canada       Enquête auprès des sortants

Chez les hommes, les sortants étaient plus nombreux que les diplômés à occuper un emploi de col bleu dans le secteur primaire ou l'industrie de la transformation (62 % contre 48 %), et moins nombreux à avoir un emploi de col blanc dans un bureau, dans la vente ou dans les services (28 % contre 44 %). Chez les femmes, sortantes et diplômées étaient cantonnées dans des emplois de bureau, dans la vente ou dans les services; les sortantes avaient tendance à travailler dans les services (40 %), et les diplômées, à occuper un emploi de bureau ou un emploi connexe (39 %).

Fait étonnant, chez les hommes, 26 % des sortants et 17 % des diplômés travaillaient 50 heures ou plus par semaine (tableau 8-2). Une autre tranche de 47 % des sortants et de 56 % des diplômés travaillaient entre 40 et 49 heures par semaine. Les femmes avaient moins tendance à travailler de longues heures, mais 34 % des sortantes et 41 % des diplômés travaillaient entre 40 et 49 heures par semaine. Les différences entre sortants et diplômés étaient peu prononcées, mais 11 à 12 % des hommes, contre 24 à 26 % des femmes, travaillaient moins de 30 heures par semaine (tableau 8-2).

Les deux principales explications offertes dans le cas des emplois de moins de 30 heures par semaine étaient les suivantes: "Travail à temps partiel seulement" et "Ne pouvait pas obtenir plus d'heures" (tableau 8-3).

Tableau 8-2. Heures travaillées la semaine précédente, selon le sexe (%)
Heures Hommes Femmes
  Diplômés Sortants Diplômés Sortants
50+ 17 26 7* --
40-49 56 47 41 34
30-39 16 13* 25 35
< 30 11* 12* 26 24*

Tableau 8-3. Explication offerte pour avoir travaillé moins de 30 heures la semaine précédente (%)
Explication Diplômés Sortants
"Travail à temps partiel seulement" 42 49
"Ne pouvait pas obtenir plus d'heures" 41 37*

Montant et sources du revenu

Malgré de longues heures de travail, ni les sortants, ni les diplômés ne sont très à l'aise sur le plan financier. Dans le cadre de l'enquête, on a demandé aux personnes interrogées d'indiquer leur revenu personnel brut de toute provenance au cours des douze mois précédents. Cinquante et un pour cent des sortants et des diplômés de sexe masculin n'avaient un revenu personnel que de 10 000 dollars ou moins. Seuls 12 % des sortants et 11 % des diplômés de sexe masculin touchaient un revenu supérieur à 20 000 dollars. Chez les femmes, le revenu personnel des sortantes et des diplômées était encore plus faible. Soixante et un pour cent des sortantes et 66 % des diplômées avaient touché 10 000 dollars ou moins au cours de l'année précédente, et une proportion négligeable de femmes des deux groupes touchaient un revenu total de 20 000 dollars ou plus. Vingt-deux pour cent des sortantes ne connaissaient pas le montant de leur revenu personnel total, contre 13 % des diplômées. Dans l'ensemble, sortants et diplômés touchaient donc un revenu extrêmement modeste, sans doute en raison de leur faible niveau d'instruction et du fait que leur emploi soit au bas de l'échelle.

En ce qui concerne la provenance de ce revenu, et conformément aux tendances en matière d'emploi et d'antécédents familiaux analysées dans les chapitres précédents, on constate ce qui suit:

  • Plus de sortants (28 %) que de diplômés (23 %) touchaient de l'assurance-chômage.
  • Plus de sortants (18 %) que de diplômés (8 %) recevaient de l'aide sociale ou touchaient des prestations de bien-être.
  • Chez les femmes, trois fois plus de sortantes (30 %) que de diplômées (10 %) recevaient de l'aide sociale ou touchaient des prestations de bien-être.
  • Indépendamment de leur sexe ou de leur niveau d'instruction, environ 67 % des personnes interrogées ne recevaient aucun soutien financier de leur famille, y compris d'un époux ou d'un conjoint.
  • Chez les femmes, les sortantes étaient beaucoup plus nombreuses que les diplômées à toucher des allocations familiales (29 % contre 10 %).
  • Pour 34 % des sortants et 23 % des diplômés, le salaire de la personne interrogée était la seule source de revenu du ménage.

La recherche d'emploi

Si les personnes interrogées devaient chercher un emploi, quelles démarches entreprendraient-elles, et quel genre d'aide recevraient-elles? I1 ne semble pas y avoir beaucoup de différence entre sortants et diplômés du point de vue de leur démarche. Cependant, les sortants sont plus limités que les diplômés du fait de leur manque de techniques de recherche d'emploi, et ils s'attendent à une aide moins importante que ne le font les diplômés.

Par exemple, à la question "Connaissez-vous les centres d'emploi du Canada ou autres programmes fédéraux?", 27 % des sortants ont répondu non, contre 23 % des diplômés. Parmi ceux qui connaissaient ces programmes, 17 % des sortants on dit qu'ils ne s'en serviraient pas s'ils étaient à la recherche d'un emploi, contre 13 % des diplômés. La plupart des sortants et des diplômés (66 %) ne connaissaient pas les programmes d'emploi et de formation provinciaux; de plus, 20% des sortants et 14% des diplômés ont répondu qu'ils ne s'en serviraient pas. Les personnes interrogées étaient nombreuses à ne pas connaître l'existence des bureaux de placement privés (76 % - 78 %) (diagrammes 8-2-A-B-C).

La plupart des sortants et des diplômés ont indiqué qu'ils ne recevraient pas d'aide de conseillers d'orientation, ni de professeurs en matière de recherche d'emploi. C'était surtout le cas des sortants et des diplômés de sexe masculin (79 %). La plupart des sortants et des diplômés ont dit qu'ils communiqueraient directement avec les employeurs, demanderaient l'aide d'amis ou de parents ou auraient recours aux petites annonces des journaux. Cependant, les sortants étaient plus nombreux que les diplômés à déclarer qu'ils ne demanderaient pas l'aide d'amis ou de parents et qu'ils n'auraient pas recours aux petites annonces. Par exemple, chez les sortants, 19 % des hommes ont dit qu'ils n'utiliseraient pas les petites annonces, et 18 % des femmes, qu'elles ne recevraient pas d'aide de parents ou d'amis (tableau 8-4).

Bien que les pourcentages d'ensemble soient faibles, les sortants étaient plus nombreux que les diplômés à déclarer qu'ils éprouvaient de la difficulté à remplir les formulaires de demande d'emploi, et que leur manque de compétences en lecture, en expression écrite et en mathématiques limitaient leurs possibilités d'emploi. Notamment, 29 % des sortantes ont dit que leurs manque de compétences de base en mathématiques limitaient leurs possibilités d'emploi (tableau 8-5).

Formation reçue et perspectives d'avenir

Étant donné la concurrence mondiale actuelle, l'étendue de la formation offerte par l'entreprise privée est une question cruciale. Or, parmi les sortants, 66 % des femmes et 51 % des hommes qui faisaient partie de la population active n'avaient reçu aucune formation d'un employeur. De même, de nombreux diplômés, soit 47 % des femmes et 45 % des hommes, n'avaient pas reçu de formation en milieu de travail. Les personnes qui ont le plus besoin de formation, les sortants, sont donc les dernières à en recevoir.

Diagramme 8-2A
Connaissance et utilisation probable des centres d'emploi du Canada (CEC)

Diagramme 8-2A Connaissance et utilisation probable des centres d'emploi du Canada (CEC)

Statistique Canada       Enquête auprès des sortants

Diagramme 8-2B
Connaissance et utilisation probable des programmes d'emploi et de formation provinciaux (PEFP)

Diagramme 8-2B Connaissance et utilisation probable des programmes d'emploi et de formation provinciaux (PEFP)

Statistique Canada       Enquête auprès des sortants

Diagramme 8-2C
Connaissance et utilisation probable des bureaux de placement privés (BPP)

Diagramme 8-2C Connaissance et utilisation probable des bureaux de placement privés (BPP)

Statistique Canada       Enquête auprès des sortants

Tableau 8-4. Aide durant la recherche d'emploi
Aide durant la recherche d'emploi Hommes Femmes
Sortants Diplômés Sortants Diplômés
% % % %
Oui Non Oui Non Oui Non Oui Non
Aide de conseillers d'orientation ou de professeurs 21 79 31 69 31 69 33 67
Recours aux petites annonces des journaux 81 19 88 12 91 9* 95 5*
Aide d'amis ou de parents 85 15 91 9 82 18 90 10
Communication directe avec les employeurs 98 -- 97 -- 96 -- 97 --

Tableau 8-5. Compétences de base et recherche d'emploi
Compétences de base Hommes Femmes
Sortants Diplômés Sortants Diplômés
% Oui
Difficulté à remplir les formulaires de demande d'emploi 16 6* 17 5*
Compétences en lecture ou en expression écrite limitent les possibilités d'emploi 15 6* 18 6*
Compétences en mathématiques limitent les possibilités d'emploi 19 11 29 14

Les perspectives d'avenir de la génération actuelle de jeunes adultes peu instruits semblent incertaines. Cependant, la plupart des sortants et des diplômés prévoient poursuivre leurs études ou leur formation ou se disent intéressés à acquérir de nouvelles compétences (c'est le cas de 97 % des diplômés et de 96 % des sortants).

Les sortants ont plus tendance que les diplômés à vouloir étudier les techniques et les métiers du génie et des sciences appliquées, tandis qu'une plus forte proportion de diplômés s'intéressent aux services d'enseignement et de counselling, aux services récréatifs, au commerce, à la gestion et à l'administration, au génie et aux sciences appliquées ainsi qu'aux professions de la santé (tableau 8-6).

L'incertitude ou l'indécision face à la carrière , le manque de connaissances et l'absence de direction peuvent constituer d'importants facteurs lorsqu'il s'agit d'orienter ses études ou sa formation. Les diplômés ont peut-être plus tendance que les sortants à avoir une vision précise de leur orientation professionnelle à long terme, ce qui les motive et donne une structure à leur cheminement scolaire. Par contre, les sortants n'ont peut-être pas de vision de cette sorte et semblent donc manquer de motivation et de direction. Cette incertitude se traduit aussi par le fait que les sortants étaient deux fois plus nombreux que les diplômés à ne pas savoir où ils pouvaient obtenir le genre de formation ou d'instruction souhaitée (20 % contre 9 %), et qu'une plus grande proportion de sortants (24 %) que de diplômés (13 %) ont répondu "aucune spécialisation" ou "ne sais pas" à la question sur les compétences ou le genre de formation qu'ils souhaitaient acquérir.

Activités de loisir

On a demandé aux personnes interrogées quels étaient leurs loisirs. Plus de sortants que de diplômés ont déclaré s'adonner "rarement" ou "jamais" à la plupart des activités de loisir.

L'activité de loisir la plus populaire est de passer du temps avec des amis, mais les sortants sont deux fois plus nombreux que les diplômés à ne le faire que rarement.

L'importance des différences entre sortants et diplômés varie selon le sexe. Chez les hommes, 28 % des sortants, contre 18 % des diplômés, ont déclaré ne jamais pratiquer de sports, ou ne le faire que rarement. Chez les femmes, à la question "À quelle fréquence lisez-vous des journaux, des revues ou des livres?", 17 % des sortantes ont répondu "rarement ou jamais", contre 9 % des diplômées. Une proportion beaucoup plus grande de sortants que de diplômés de sexe masculin (42 % contre 29%) ont indiqué ne jamais regarder la télévision ou ne le faire que rarement (diagramme 8-3).

Satisfaction face à l'emploi, aux finances et à la vie

Dans l'ensemble la satisfaction professionnelle est élevée (86 %). Cependant, on constate une insatisfaction profonde face à la situation financière, les sortants étant plus souvent insatisfaits que les diplômés à ce chapitre (45 % contre 39 %). Dans l'ensemble, les deux groupes étaient satisfaits de leur vie, mais 15 % des sortants en étaient insatisfaits, contre 8 % des diplômés.

Tableau 8-6 Compétences ou genre de formation souhaitées, selon le sexe
Services d'enseignement ou de counselling et services récréatifs Sortants(%) Diplômés(%)
Beaux-arts et arts décoratifs -- 6
Sciences humaines et domaines connexes 8 6
Sciences sociales et domaines connexes -- 3*
Commerce, gestion et administration 6* 9*
Sciences ou technologie de l'agriculture et de la biologie 12 20
Génie et sciences appliqués 4* 3*
Techniques et métiers en génie et en sciences appliqués -- 5
Professions de la santé, des sciences et de la technologie 32 25
Mathématiques et sciences physiques -- 6
Toutes les autres spécialisations non classifiées ailleurs 3* --
Aucune spécialisation 11 --
Ne sait pas 13 13

Diagramme 8-3 Activités de loisir, selon le sexe

Diagramme 8-3 Activités de loisir, selon le sexe

Statistique Canada       Enquête auprès des sortants

Résumé

Les perspectives des sortants sur le marché du travail et dans la vie semblent plutôt sombres. Ils sont beaucoup plus nombreux que les diplômés à ne pas avoir poursuivi leurs études ou leur formation. Plus de sortants que de diplômés ont traversé des périodes de chômage, chez les hommes plus de sortants que de diplômés exerceraient un emploi de col bleu et chez les femmes plus de sortantes que de diplômés occupaient un emploi dans les services. Malgré la longueur de leur semaine de travail, sortants et diplômés ont un faible revenu, et les sortants dépendent davantage de l'assurance-chômage, de l'aide sociale et des allocations familiales. L'insatisfaction financière est élevée, surtout chez les sortants.

Parce qu'ils travaillent de longues heures, les sortants peuvent éprouver des difficultés à améliorer leur situation économique et à perfectionner leurs compétences. Plus de sortants que de diplômés éprouvent de la difficulté à remplir des formulaires de demande d'emploi et admettent que leur manque de compétences de base limite leurs possibilités. Les sortants se montrent plus incertains que les diplômés face à leurs perspectives de carrière.

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Mise à jour :  2006-11-21 haut Avis importants