Modèles à suivre – À la recherche de solutions de rechange
Le Canada a réduit sa consommation de substances détruisant l'ozone beaucoup plus rapidement que ne l'exigeaient le Protocole de Montréal ou ses propres règlements. L'industrie, sensible aux pressions des consommateurs et stimulée par la perspective de réaliser des économies par un rendement amélioré, a joué un rôle de premier plan dans cette réussite et progresse plus rapidement que ne l'exige la loi. Les entreprises canadiennes sont au nombre de celles qui redéfinissent la réglementation et les normes de l'industrie à l'échelle du monde entier.
Les entreprises canadiennes ont également pu profiter des arrangements bilatéraux qu'offre le Fonds multilatéral établi en vertu du Protocole de Montréal. Les ententes bilatérales conclues directement avec des pays en voie de développement présentent un grand nombre d'avantages : elles contribuent à la réalisation de l'objectif environnemental de l'élimination des substances qui appauvrissent la couche d'ozone, elles permettent au Canada et aux entreprises canadiennes de jouer un rôle de chef de file sur la scène internationale, elles favorisent le développement des entreprises environnementales canadiennes et des débouchés secondaires, et elles n'entraînent pas de coûts supplémentaires (puisque, avec ou sans ententes bilatérales, le Canada contribue déjà au Fonds).
Voici quelques exemples d'entreprises canadiennes qui ont décidé de relever le défi et de protéger la couche d'ozone.
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