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Page d'accueil des villes s'étant distinguées au point de vue météorologique
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Au sujet de l'étude sur les villes ayant terminé en tête de leur catégorieLes 100 villesLes 100 plus grandes villes ont été sélectionnées à partir des données du recensement canadien de 2001, en tenant compte de la population. Cela représente environ 70 % de la population canadienne. Les villes sélectionnées pour faire partie de la liste devaient avoir une population d'au moins 15 000 habitants et disposer d'une station météorologique officielle à proximité où des instruments d'Environnement Canada allaient être utilisés et des procédures d'observation standards allaient être observées. Pour les villes ne disposant pas d'un programme d'observation météorologique complet, une ou plusieurs stations avoisinantes ont été utilisées pour produire des valeurs représentatives pour la région, là où c'était possible. La liste des villes canadiennes ayant terminé en tête de leur catégorie météorologique contient 100 noms, mais elle ne représente pas nécessairement les extrêmes pour le pays tout entier. Il est fort possible que des pluies plus abondantes, des températures plus froides et des vents plus forts se soient produits dans de plus petites communautés non comprises dans la liste, qui contient des noms connus de tous. Les petites localités à l’extérieur des sentiers battus sont souvent au Canada les vraies championnes des conditions météorologiques dans ces catégories respectives. Par exemple, le parc national des Glaciers (Mt Fidelity) (C.-B.) avec une chute de neige moyenne annuelle de 1 471 cm, ou Manyberries (Alb.) avec ses 2 568 heures d’ensoleillement par année, ou encore St. Lawrence (T.-N.-L.) avec 132 jours de brouillard par année. Les 72 catégories météorologiquesParmi les éléments météorologiques analysés dans le cadre de cette étude, on compte les suivants : température, pluie et neige, soleil radieux, pression atmosphérique, visibilité, nébulosité, vitesse du vent, humidité et conditions météorologiques (p. ex.: orages, poudrerie, brouillard, fumée et brume). À partir de ces éléments de base, 72 catégories météorologiques ont été créées avec un axe de temps saisonnier ou annuel (p. ex. : ville la plus ensoleillée en hiver ou endroit recevant le plus de brouillard par année). La détermination d'une ville gagnante dépend de la façon dont la catégorie est définie. Par exemple, quelle ville peut se targuer d'être l'endroit le plus ensoleillé au Canada ? Tiendrons-nous compte de la journée la plus ensoleillée, ou du mois, été, ou an le plus ensoleillé en moyenne ? Aux fins de cette étude, la ville la plus ensoleillée a été définie comme étant la localité avec le plus grand nombre d'heures de soleil ardent sur une année complète. Puisque cet élément météorologique suscite beaucoup d'intérêt, un total de neuf catégories ont été créées pour la distinction de l'endroit " le plus ensoleillé ", dont des données saisonnières (comme l'" hiver le plus ensoleillé ") et le résultat final tient compte du nombre d'heures et de jours d'ensoleillement. Pour les autres éléments météorologiques, comme la pression atmosphérique, il y a seulement une catégorie - la ville ayant la pression moyenne à l'heure la plus basse sur toute l'année. Plusieurs des définitions, comme celle des jours de chaleur (30° C ou plus), ou des jours de froid (-20 ° C ou moins) sont des concepts météorologiques standards. L'axe de temps - 30 ansLes données de base utilisées aux fins de cette étude sont les " normales " climatiques. Une normale est la moyenne pour un élément météorologique (p. ex. : température ou pluie) pour un endroit spécifique sur une période de temps relativement longue. L'axe de temps est habituellement de trois périodes consécutives de 10 ans. Conformément aux normes internationales, les pays calculent à nouveau leurs normales toutes les décennies pour refléter tout changement climatique. En 2003, le service météorologique d'Environnement Canada a réuni un nouvel ensemble de normales climatiques pour le Canada couvrant la période de 1971 à 2000. Les normales publiées et les statistiques qui les accompagnent sont utilisées comme données de référence de base pour les 10 années suivantes. Ce site peut illustrer les classements complets pour chaque catégorie météorologique pour toutes les villes analysées. Parce qu'il n'a pas été possible de calculer les normales de toutes les catégories pour les 100 stations, les données de certains éléments (environ 15) sont basées sur seulement 82 villes. Cependant, pour les 50 plus grandes villes canadiennes, les données sont complètes. |
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