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Aliments > Évaluation chimique > Rapports annuels sur les résidus de produits chimiques  

Rapport
sur les pesticides produits chimiques agricoles, polluants environnementaux et autres impuretés dans les produits agroalimentaires d'origine végétale

Année financière 2001-2002

Volume 2

Fruits et légumes frais
Fruits et légumes transformés
Sirop d'érable

Programme national de dépistage des résidus chimiques de l'ACIA
(PNDRC)


Index

  1. Rationalisation du programme de dépistage des résidus chimiques
    • Critères de décision relatifs à l'inclusion et à l’échelonnement des composés chimiques
    • Considérations statistiques
  2. Définitions des programmes
  3. Base juridique
  4. Laboratoires participants et adresses

Fruits et légumes frais

  1. Sommaire de la conformité pour les fruits et les légumes – Évolution sur cinq ans des résidus chimiques

  2. Sommaire des analyses de résidus pour les produits frais canadiens

  3. Sommaire des analyses de résidus pour les produits frais importés

  4. Prévalence des pesticides dans les fruits et légumes frais canadiens en 2001-2002 déterminée par la méthode de dépistage des pesticide (analyse multi-résidus)

  5. Prévalence des pesticides dans les fruits et légumes frais importés en 2001-2002 déterminée par la méthode de dépistage des pesticide (analyse multi-résidus)

  6. Sommaire par pays

  7. Fréquence des contaminations multiples

  8. Vérification des fruits et légumes frais canadiens, par produit et test

    Abricots
    Asperges
    Aubergines
    Betteraves
    Bleuets
    Brocolis
    Carottes
    Céleri
    Cerises
    Champignons
    Choux
    Choux de Bruxelles
    Choux-fleurs
    Concombres
    Concombres (de serre)
    Courges
    Courgettes
    Divers
    Épinards
    Fraises
    Framboises
    Haricots
    Laitue
    Laitue frisée
    Légumes chinois
    Maïs sucré
    Mûres
    Oignons jaunes
    Oignons vert
    Pak-choï
    Panais
    Pêches
    Poires
    Pois
    Poivrons
    Pommes
    Pommes de terre
    Prunes
    Racine de ginseng
    Radis
    Raisins
    Scarole
    Tomates
    Tomates (de serre)
  9. Surveillance des fruits et légumes frais canadiens suspects, par produit et test

    Betteraves
    Carottes
    Cerises
    Choux
    Concombres
    Laitue
    Mûres
    Pommes
    Pommes de terre
    Racine de ginseng
    Radis
  10. Vérification des fruits et légumes frais importés, par produit et test

    Abricots
    Ail
    Ananas
    Artichauts
    Asperges
    Aubergines
    Avocats
    Bananes
    Bananes plantains
    Barbadines
    Bette à carde
    Betteraves
    Bleuets
    Brocofleurs
    Brocolis
    Canneberges
    Caramboles
    Carottes
    Céleri
    Cerises
    Champignons
    Chicorée frisée
    Chou-raves
    Choux
    Choux chinois
    Choux de Bruxelles
    Choux frisés
    Choux-fleurs
    Citrons
    Citrouilles
    Collard
    Concombres
    Courges
    Courgettes
    Cresson
    Dates
    Dashines
    Eddoe
    Épinards
    Figues
    Fraises
    Framboises
    Fruits de la passion
    Grenades
    Guyaves
    Haricots
    Ignames
    Kakis
    Kiwis
    Kumquats
    Laitue
    Laitue chinoise
    Laitue frisée
    Légumes chinois
    Limes
    Litchis
    Maïs sucré
    Mangues
    Melons
    Menthe
    Mûres
    Navets
    Nectarines
    Noix de coco
    Oignons jaunes
    Oignons verts
    Okra
    Oranges
    Pak-choï
    Pamplemousses
    Panais
    Papayes
    Pastèques
    Patates douces
    Pêches
    Persil
    Piments forts
    Poireaux
    Poires
    Poires Asiatiques
    Poires cactus
    Pois
    Pois mange-tout
    Poivrons
    Pomélos
    Pommes
    Pommes de terre
    Potirons
    Prunes
    Rabioles
    Racine de gingembre
    Racine de ginseng
    Radis
    Raisins
    Ramboutans
    Riz
    Scaroles
    Tamarillos
    Tangelos
    Tomates
    Tomates (de serre)
    Variés
    Yucca
    Non-précisés
  11. Surveillance des fruits et légumes frais importés suspects, par produit et test

  12. Bananes
    Bleuets
    Céleri
    Champignons
    Choux-fleurs
    Épinards
    Fraises
    Graines de tournesol
    Laitue frisée
    Oranges
    Pamplemousses
    Pastèques
    Pêches
    Poireaux
    Poires Asiatiques
    Pois mange-tout
    Pommes
    Radis
    Raisins
    Tomates

Fruits et légumes transformés

  1. Sommaire de la conformité pour les fruits et les légumes – Évolution sur cinq ans des résidus chimiques

  2. Vérification des fruits et légumes transformés canadiens, par produit et test

    Champignons en conserve
    Jus de pommes
    Pâte de tomates
    Produits de pomme
    Sauce aux prunes
    Vinaigrettes
  3. Vérification des fruits et des légumes transformés importés, par produit et test

    Abricots déshydratés
    Abricots en conserve
    Ananas en conserve
    Asperges en conserve
    Carottes en conserve
    Champignons déshydratés
    Champignons en conserve
    Confiture de fruits mélangés
    Épinards en conserve
    Figues déshydratées
    Haricots en conserve
    Jus de fruits
    Marinades
    Pêches en conserve
    Poires en conserve
    Produits de poire
    Produits de pomme
    Produits de prune
    Produits d'orange
    Produits transformés - Divers
    Prunes en conserve
    Raisins secs
    Salade de fruits en conserve
    Sauces
    Tomates déshydratées
    Tomates en conserve
  4. Surveillance des fruits et légumes transformés importés suspects, par produit et test

    Abricots en conserve
    Tomates déshydratées

Vérification du sirop d'érable importé, par produit et test

  1. Sommaire de la conformité
  2. Vérification des produits canadiens, par test
  3. Surveillance des produits canadiens suspects

Rationalisation du Programme DE DÉPISTAGE DES résidus chimiques

L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a pour politique de gérer le programme de dépistage des résidus chimiques conformément aux principes énoncés dans le manuel intitulé Plan quinquennal exhaustif pour la gestion des risques chimiques et biologiques. Ce manuel décrit en détail les approches utilisées. Il est entendu qu’aucun organisme gouvernemental ne peut constamment surveiller toutes les combinaisons de résidus et de produits de consommation et qu’il n’est pas non plus nécessaire de le faire afin de protéger les consommateurs. Lorsqu’on comprend clairement les paramètres toxicologiques, pharmacocynétiques et physiologiques, il est possible d’évaluer quantitativement les risques les plus importants pour la santé du public. Cette approche est habituellement appelée Évaluation ordonnée des risques.

Critères de décision relatifs à l'inclusion et à l’échelonnement des composés chimiques

Pour être inclus, il faut que le produit chimique, qu'il s'agisse d'un médicament vétérinaire, d'un produit chimique agricole ou d'un polluant environnemental, soit capable de former un résidu dans l'aliment. Évidemment, s’il n’y a pas formation de résidu, le risque inhérent est absent, et la vérification devient inutile. Une fois qu’un programme d’échantillonnage et d'analyse est en place depuis au moins trois ans, on évalue les données combinées pour déterminer s'il est encore justifié de le poursuivre. Cette période sera beaucoup plus longue que trois ans pour les programmes dont la fréquence d'échantillonnage est inférieure à 300 échantillons par année. On peut abandonner provisoirement un programme si les analyses ne donnent aucun résultat positif pendant trois années consécutives et pour au moins 300 échantillons. Donc, après une phase de vérification initiale menée sur trois années consécutives, si une grandeur d'échantillonnage statistiquement valide ne révèle rien d'anormal, le programme annuel est discontinué tant qu'il n'y a pas de changement de situation qui justifierait sa réinstitution.

Étant donné le manque de ressources, il faut toujours établir par ordre de priorité les résidus pour lesquels la vérification sera instituée. Pour un risque chronique, le plus grand danger n'est pas nécessairement lié à la toxicité ou à l'exposition la plus élevée, mais c’est la seule hypothèse raisonnable dont on dispose pour juger de l’importance d’une vérification. C'est le modèle utilisé tout au long du processus. Pour établir les priorités, on se sert de la cote d'évaluation des risques fournie par le Système d'évaluation des composés (SEC). Cette façon de faire garantit l'affectation des ressources aux programmes les plus prioritaires. Il peut arriver que l'on inclue dans le programme des composés qui n’ont pas une cote de priorité élevée, s'ils font partie d'une analyse multi-résidus.

L'ACIA choisit, entre autres, à partir d'une longue liste de contaminants chimiques potentiels : des médicaments vétérinaires (aussi bien approuvés que non approuvés), des pesticides (aussi bien approuvés que non approuvés), des métaux et des éléments toxiques ainsi que des polluants environnementaux. À partir de cette liste dont elle dispose, l'ACIA essaie d'affecter ses ressources d'inspection et d'analyse aux contaminants les plus préoccupants pour la santé publique. Pour ce faire, elle se sert d'un double calcul. Le premier élément de calcul, qui s'applique aux nouveaux programmes ou à ceux pour lesquels il existe peu de résultats d'analyse historiques, on se sert du système SEC. Dans ce cas, le risque est estimé sur une échelle allant de A-1 à D-4 où la lettre correspond au danger pour la santé déterminé à partir d'études de la toxicité chez les animaux. On trouve cette information sur le degré de danger dans la littérature scientifique. Le deuxième élément de calcul, soit la désignation numérique, correspond au niveau d'exposition de la population au contaminant en question. Ce niveau d’exposition est établi à partir de toutes les sources, pas seulement des aliments. On trouve aussi cette information dans la littérature scientifique, auprès de Santé Canada ou d’organismes internationaux, comme le Comité conjoint FAO-OMS sur les additifs alimentaires ou les réunions conjointes FAO-OMS sur les résidus de pesticides.

Considérations statistiques

Bien que le programme de dépistage ne soit pas conçu pour fournir des estimations statistiques très exactes des pourcentages d’infraction au sein d’une population, ces estimations sont facilement accessibles sous forme d’information accessoire. Par exemple, si aucune infraction n’est décelée pour un échantillon de 300 unités, on peut conclure avec un intervalle de confiance de 95 % que le taux d’infraction dans la population est inférieure à 1,00 %.

Bien que la précision diminue rapidement avec les échantillons plus petits, on peut quand même en tirer de l’information utile. Les petits échantillons doivent être analysés sur de plus longues périodes avant qu’on puisse tirer des conclusions significatives des données recueillies. En outre, il est beaucoup plus difficile de dégager des tendances sur de courtes périodes à partir de petits échantillons. Avec un échantillon de 300 unités, les tendances saisonnières peuvent ressortir, particulièrement si l’écart saisonnier est important. Par contre, les écarts saisonniers ne seraient pas aussi évidents dans le cas d’échantillons de moins de 150 unités par année.

Si la vérification initiale montre qu’un contaminant d’un aliment donné pose un sérieux problème d’échantillonnage, alors les plans d’échantillonnage pourront être rajustés, mais seulement dans la mesure où cet effort aidera à la compréhension du problème ou facilitera la réglementation. Cet échantillonnage accru pourrait permettre d’étudier les tendances, la variation géographique et la prévalence saisonnière et faciliter ainsi la conception de stratégies correctives efficaces. Il n’est pas très utile d’augmenter simplement la taille de l’échantillon de vérification, sans avoir une stratégie pour déterminer d’abord les avantages potentiels d’une telle augmentation. Dès qu’un problème a été décelé par le programme de vérification, l’efficacité de la stratégie corrective dépendrait non pas d’un taux accru de surveillance, mais plutôt de la mise en place d’un suivi efficace ou d’un échantillonnage de surveillance.


DÉFINITIONS DES PROGRAMMES

Pour harmoniser les programmes d’échantillonnage et d’analyse des organisations gouvernementales et des principaux partenaires commerciaux du Canada, on a choisi les définitions suivantes qui semblent conformes aux exigences des programmes respectifs de toutes les parties. Il est possible de préciser ces définitions en décrivant les étapes opérationnelles particulières à chaque agence sans s’écarter de la signification fondamentale ni de l’utilité de ces définitions.

Objectifs de l’échantillonnage Type de programme Objectif
Non biaisé Vérification Dépistage de problèmes potentiels
Dirigé, limité ou géographique Surveillance Caractérisation des problèmes soupçonnés
Dirigé Conformité Résolution des problèmes décelés

La vérification ou collecte de données vise à fournir un profil d’information sur la présence de résidus chimiques, d’additifs alimentaires et d’agents microbiologiques pathogènes dans des populations d’échantillons prédéterminées. L’information issue de la vérification est normalement obtenue par sélection statistique d’échantillons choisis de manière aléatoire parmi des populations apparemment normales. Les lots échantillonnés ne sont pas conservés et ils se retrouvent habituellement sur le marché de la consommation avant que les résultats soient connus. La seule vérification ne peut entraîner aucune intervention directe.

Le programme de vérification sert : à établir des limites maximales de résidus pour déceler les tendances de contamination, à respecter des engagements internationaux, à repérer des problèmes potentiels qui seront soumis à des activités de surveillance et à évaluer l’efficacité des programmes correctifs.

La surveillance est conçue pour vérifier des soupçons de risque potentiel pour la santé révélés par le programme de vérification. Elle vise des populations cibles (p. ex. denrée ou région spécifiques). Ce programme permet de déceler des infractions aux lois et règlements canadiens et d’amorcer une enquête plus poussée, dans le cadre de mesures visant à assurer la conformité. S’il le faut, le produit est retenu jusqu’à ce que les résultats des analyses indiquent la voie à suivre. Dans le cas d’une surveillance, l’échantillonnage est dit « biaisé » ou « dirigé » et suit les spécifications du Codex Alimentarius. Si les résultats de la surveillance montrent qu’il y a infraction, il faudra, avant d’intervenir, appliquer les techniques de confirmation prescrites. L’éducation est un moyen important de corriger les problèmes mis en évidence.

La conformité est une mesure réglementaire visant à empêcher la commercialisation d’un produit reconnu contaminé ou falsifié, ou à l’éliminer du marché. Elle présuppose l’existence d’une réglementation ou de lignes directrices pertinentes et applicables. Cette intervention est toujours dirigée contre une source spécifique (p. ex. la partie jugée légalement responsable). Le produit est retenu jusqu’à ce que les résultats d’analyse indiquent la bonne façon de s’en débarrasser. Pour ces analyses, on effectue un échantillonnage en profondeur, conforme aux spécifications du Codex alimentarius. Il est essentiel d’établir une chaîne de possession de l’échantillon si l’on prévoit intenter des poursuites judiciaires.

Des enquêtes spéciales ou pilotes servent à amasser de l'information sur la présence de résidus qui ne satisfont pas aux exigences des autres volets du Programme. Par exemple, on pourrait inclure ici des enquêtes initiales ou des enquêtes de dépistage de composés ne répondant pas aux critères de santé et de salubrité, comme les mélanges d'aliments pour animaux. Ces enquêtes sont généralement limitées par le manque de ressources.

Les opérations éclairs servent à établir la situation à un certain point choisi au hasard durant l'année financière. Elles ne sont pas annoncées. Elles consistent à prélever des échantillons de chaque troupeau présenté pour l'abattage pendant une certaine période de temps habituellement brève (2 à 6 semaines).


Base juridique

La Loi sur les aliments et drogues du Canada prévoit certaines restrictions quant à la production, la vente, la composition et le contenu d’aliments et de produits alimentaires. L’article 4 (ci-dessous) de la Loi décrit les interdictions frappant la vente des aliments. Du point de vue des programmes de dépistage des résidus chimiques et de la contamination, les restrictions les plus importantes sont celles qui figurent aux alinéas 4a) et 4d). S’il est vrai qu’une Évaluation des dangers pour la santé pourrait établir que des aliments contreviennent aux 5 alinéas,

Interdiction de vendre des aliments (Loi sur les aliments et drogues)

4. Il est interdit de vendre un aliment qui, selon le cas :

(a) contient une substance toxique ou délétère, ou en est recouvert;

(b) est impropre à la consommation humaine;

(c) est composé, en tout ou en partie, d’une substance malpropre, putride, dégoûtante, pourrie, décomposée ou provenant d’animaux malades ou de végétaux malsains;

(d) est falsifié;

(e) a été fabriqué, préparé, conservé, emballé ou emmagasiné dans des conditions non hygiéniques.

la restriction le plus souvent invoquée par les inspecteurs de l’ACIA est l’interdiction de vendre des aliments « falsifiés » (4d). Bien que des normes concernant la « falsification » se retrouvent partout dans le Règlement sur les aliments et drogues, la plupart figurent dans le Titre 15 du Règlement. Les principaux articles du Titre 15 sont présentés dans l’encadré ci-dessous.

Falsification des aliments (Règlement)

B.15.001.Un aliment mentionné à la colonne III du tableau I du présent titre est falsifié s’il contient l’une des substances inscrites en regard dans des proportions supérieures à celles prévues, exprimées en parties par million, figurant à la colonne II pour cet aliment.

B.15.002.

(1) Sous réserve des paragraphes (2) et (3), un aliment est falsifié s’il contient un produit chimique agricole ou un de ses dérivés, dans des proportions supérieures à 0,1 partie par million, à moins qu’il ne soit visé aux tableaux du titre 16 et utilisé conformément à ces tableaux.

(2) Sous réserve du paragraphe (3), un aliment n’est pas visé par l’alinéa 4d) de la Loi s’il ne contient que les produits chimiques agricoles suivants :

(a) un produit fertilisant;

(b) un adjuvant ou un véhicule de produit chimique agricole;

(c) un sel de bromure inorganique;

(d) du dioxide de silicium;

(e) du soufre; ou

(f) des spores viables de Bacillus thuringiensis Berliner.

(3) Tout aliment contenant un tel aliment ou fait d’un produit de celui-ci est exempté de l’application de l’alinéa 4d) de la Loi si la quantité de produits chimiques agricoles visés aux colonnes I et II présents dans l’aliment ou ajoutés à celui-ci ne dépasse pas la limite maximale, exprimée en parties par million, prévue à la colonne III pour cet aliment

(4) Un aliment faisant l’objet d’une Autorisation de mise en marché provisoire publiée aux termes du paragraphe B.01.056(6) est exempté de l’application de l’alinéa 4d) de la Loi quant à tout produit chimique agricole, ses dérivés et toute drogue pour usage vétérinaire mentionnée dans l’autorisation qui sont présents dans l’aliment en une quantité ne dépassant pas la limite maximale de résidus, exprimée en parties par million, qui y est précisée.

B.15.003. Les aliments énumérés à la colonne IV du tableau III du présent titre, dans lesquels se trouve une drogue mentionnée à la colonne I qui correspond, après analyse, à la substance nommée à la colonne II, sont exemptés de l’application de l’alinéa 4d) de la Loi si la quantité de drogue présente ne dépasse pas la limite maximale de résidus, exprimée en parties par million, indiquée dans la colonne III de cette substance pour cet aliment.

 

Laboratoires participants et adresses
Nom du laboratoire Adresse

Cantest Ltd., Burnaby (C.-B.)

http://www.cantest.com/

Cantest Limited
4606 Canada Way
BURNABY (Colombie-Britannique)
V5G 1K5
Tél.:(604) 734-7276

J-R Laboratory, Burnaby (C.-B.)

http://www.jrlabs.ca/

J-R Laboratories Limited,
Unit # 12, 3871 North Fraser Way,
BURNABY (Colombie-Britannique)
V5J 5G6
Tél.:(604) 432-9311

Laboratoire des aliments d'Ottawa

Laboratoire des aliments d'Ottawa
Agence canadienne d'inspection des aliments
Ferme expérimentale centrale, Immeuble 22
Ottawa (Ontario)
K1A 0C5

Laboratoire des aliments de Darmouth

Laboratoire des aliments de Darmouth
Agence canadienne d'inspection des aliments
1992 Baffin Street,
Dartmouth (N.-É.)
B3B 1Y9

Laboratoire des aliments de Calgary

Laboratoire des aliments de Calgary
Agence canadienne d'inspection des aliments
3650 - 36 Street N.-O.
Calgary (Alberta)
T2L 2L1

Maxxam Analytics Inc

http://www.maxxam.ca/

Maxxam Analytics Inc.,
5550 McAdam Road,
Mississauga (Ontario)
L4Z 1P1
Tél.:(905) 890-2555



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