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Le marché de la biotechnologie
en Inde

Juin 2002

 

© Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international
FaxLink no 42587

Rapport préparé par le Centre des études de marché
Direction de l'appui aux marchés (TCM)
Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international
125, promenade Sussex, Ottawa K1A 0G2
Téléc. : (613) 943-1103
Courriel : mrc@dfait-maeci.gc.ca


Le Centre des études de marché produit à l'intention des exportateurs canadiens un grand nombre de rapports par région et par secteur. Ces rapports sont disponibles sur :
- le site Internet InfoExport du MAECI (http://www.infoexport.gc.ca).

Le gouvernement du Canada a préparé le présent rapport en se fondant sur des sources d'information primaires et secondaires. Il ne saurait garantir l'exactitude des renseignements que renferme ce document et il n'accorde pas forcément sa caution aux entités dont le nom y figure. Il appartient aux lecteurs de vérifier l'exactitude et la fiabilité des données fournies.




Le marché en bref 

  • La biotechnologie est en Inde une industrie émergente qui bénéficie de la contribution de chercheurs et de scientifiques hautement instruits, d'un grand appui du gouvernement et d'une infrastructure en expansion.
  • Quelque 800 entreprises sont actives sur le marché, dont une cinquantaine s'intéresse aux applications de pointe de la biotechnologie.
  • L'industrie était évaluée à 3,7 milliards de dollars et devrait représenter 6,7 milliards d'ici 2010.
  • Environ 60 % des intervenants de l'industrie se consacrent aux applications en santé humaine,10 % à la biotechnologie agricole et 30 % aux applications industrielles, à la bioinformatique et à la génomique.


Débouchés 

  • Les entreprises indiennes du secteur de la biotechnologie ont des connaissances spécialisées en bioinformatique, en fabrication et en génétique, ainsi que dans des secteurs plus traditionnels de l'industrie comme la technologie de la fermentation, les enzymes industriels et les vaccins.
  • Les entreprises étrangères peuvent s'allier à des entreprises étrangères dans la découverte pharmaceutique, comme elles peuvent leur donner des contrats de recherche et de fabrication.
  • Il est également possible de former des coentreprises et de conclure des ententes de transfert technologique ou encore des partenariats de recherche stratégique avec les grands instituts de recherche indiens.
  • Le marché indien offre des débouchés dans la fabrication et la vente de vaccins et de thérapies qui répondent aux besoins des millions de démunis de l'Inde.


Principaux acteurs

  • Les principaux acteurs de l'industrie nationale sont Reliance Life Sciences, Dr. Reddy's Laboratory, Shantha Biotech, Panacea Biotech et Biocon.
  • Certaines multinationales sont également présentes sur le marché et contrôlent la majeure partie du marché des importations de produits pharmaceutiques et biopharmaceutiques.


Précisions utiles pour l'exportateur

  • Les droits de propriété intellectuelle en Inde sont plutôt mal défendus, mais la situation devrait s'améliorer. Le système de réglementation des produits biotechnologiques n'est pas entièrement transparent.


Résumé

  • La biotechnologie1 est en Inde une industrie émergente très prometteuse. Elle bénéficie d'un vaste bassin de compétences et d'un fort appui gouvernemental, tant au niveau national qu'au niveau des États. L'Inde compte le plus grand nombre de scientifiques anglophones au monde, derrière les États-Unis, et est dotée d'une main-d'oeuvre hautement instruite et qualifiée.
  • Le secteur indien de la biotechnologie compte quelque 800 entreprises, dont de 30 à 50 s'intéressent aux applications de pointe en biotechnologie. Les principaux champs d'expertise sont la recherche et la production de vaccins, le diagnostic, les enzymes et les biopesticides.
  • L'industrie était évaluée à 3,7 milliards de dollars2 en 2001 et elle employait quelque 20 000 personnes. Sa croissance devrait lui faire dépasser les 6,7 milliards d'ici 2010. Les ventes de produits biotechnologiques destinés à la santé humaine et animale ont totalisé 115 millions en 2000 et devrait continuer de croître pour approcher les 200 millions de dollars d'ici 2005.
  • Environ 60 % des entreprises et centres de recherche de biotechnologie oeuvrent dans le secteur de la santé. Quant au reste, 10 % travaillent en agriculture et 30 % s'intéressent aux applications industrielles, à la bioinformatique et à la génomique.
  • L'Industrie indienne de la biotechnologie se concentre dans l'État de Karnataka, plus au sud (à Bangalore plus précisément), tandis que les autres grappes d'activité se retrouvent dans les États West Bengal, Maharashtra, Andhra Pradesh, Hyderabad et Kerala. Surnommée «bioville», Bangalore veille à promouvoir la croissance et la convergence de ses industries prospères de la technologie de l'information et de la biotechnologie - d'où une industrie de la bioinformatique en expansion. Tous les États susmentionnés mettent au point des programmes d'incitations fiscales à l'intention des entreprises de biotechnologie (nationales et internationales) et investissent dans la construction de parcs de recherche biotechnologique.
  • Un grand nombre d'instituts de recherche financés par le gouvernement se sont dotés d'une solide base de recherche biotechnologique. Le gouvernement national a investi dans la biotechnologie plus de 750 millions de dollars depuis 1985.
  • Le gouvernement fédéral et les gouvernements des États encouragent de part et d'autre les secteurs public et privé à cofinancer des projets de recherche commercialement viables.
  • En Inde, le capital risque investi en biotechnologie est limité, mais croissant. La société ICICI Venture Funds Management Co. Ltd. est la première société de capital risque en Inde. En mars 2002, elle a annoncé l'établissement du fonds ICICI pour la création d'incubateurs de la biotechnologie et s'est fixé comme objectif la somme de 32 millions de dollars. La société a déjà investi dans des entreprises nationales de premier plan, dont Biocon et Avesthagen.
  • Le Department of Biotechnology (DBT- département de la biotechnologie)3 a également rendue publique la mise sur pied d'un fonds de capital-risque destiné aux petites et moyennes entreprises de biotechnologie. La valeur du fonds n'a pas encore été divulguée, mais celui-ci s'inscrira dans le cadre du Technology Development Fund Program (Programme du fonds pour le développement technologique).
  • Le DBT et l'Indian Council of Agricultural Research (ICAR - Conseil indien de la recherche en agriculture) ont souligné l'importance du financement public de la recherche-développement en biotechnologie, et sollicitent le gouvernement fédéral d'y réserver 560 millions de dollars dans le dixième plan quinquennal. Le DBT demande 90 millions pour 2002-2003, mais il n'a reçu que 58 millions jusqu'ici. Les fonds seront affectés à des programmes suivis de recherche sur les vaccins, de génomique, de transgénèse (animale et végétale) et de transfert technologique. Le DBT cherche également à obtenir le soutien financier des gouvernements des États dans son projet de construire des parcs de biotechnologie et des centres de recherche.
  • L'industrie indienne de la biotechnologie a plusieurs points forts, à savoir son expertise dans la fabrication de produits pharmaceutiques et les technologies de fermentation, ses compétences spécialisées dans la manipulation des microbes et des cellules animales, son expérience dans la sélection animale et végétale, ses connaissances grandissantes en bioinformatique ainsi que la solide infrastructure de nombreux centres de recherche.
  • L'industrie devra relever plusieurs défis, dont celui d'axer ses recherches financées publiquement sur certains de ses points forts, d'accroître la protection de la propriété intellectuelle et d'améliorer la réglementation tant des produits médicaux que des produits agricoles. Les critiques accusent le gouvernement de soutenir la recherche dans des domaines qui ont déjà été fouillés ailleurs dans le monde et d'effectuer des examens réglementaires inutiles de produits déjà approuvés en Europe et en Amérique du Nord. Cette volonté de « réinventer la roue » a ralenti le processus d'approbation de produits ainsi que la recherche dans certains domaines spécialisés qui font la force de l'Inde, dont la bioinformatique, la pharmacogénomique et la recherche sur les semences.
  • La All India Biotechnology Association (AIBA - Association panindienne de biotechnologie) a réclamé que le système de réglementation soit modifié pour le rendre moins bureaucratique et plus transparent. L'association prétend que, à l'heure actuelle, le système n'encourage pas l'investissement privé dans l'industrie.

Biotechnologie médicale et produits pharmaceutiques

  • Dans le monde biomédical et pharmaceutique, l'industrie indienne de la biotechnologie est dominée par les fabricants de produits génériques. Vu la protection limitée dont bénéficient la propriété intellectuelle en Inde - le processus peut être breveté mais pas le produit -, les entreprises sont en mesure de procéder en sens inverse du produit fini pour élaborer de nouveaux processus et lancer un produit semblable. Par conséquent, nombre d'entreprises de biotechnologie n'ont qu'une expérience limitée dans la découverte et le développement de médicaments. Cependant, cette situation devrait changer à mesure que les entreprises se tourneront vers l'avenir et constateront comment leur façon de faire peut grandement bénéficier d'un régime énergique de protection de la propriété intellectuelle.
  • Vu les atouts dont dispose l'Inde dans la production de médicaments génériques, ses entreprises s'emploient à accroître leurs capacités dans la transformation et la fabrication biotechnologiques en prévision d'une nouvelle série de médicaments génériques issus de la biotechnologie. Lorsque les brevets des premiers médicaments d'origine biotechnologique expireront dans les années qui viennent, il y aura un nouveau marché de médicaments génériques biotechnologiques.
  • Le marché pharmaceutique (tant les produits pharmaceutiques issus de la biotechnologie que les produits traditionnels) était évalué à 8 milliards de dollars et devrait atteindre 37 millions de dollars d'ici 2010. On compte environ 250 grandes sociétés pharmaceutiques axées sur la recherche en Inde, dont 3000 s'intéressent à la fabrication de produits pharmaceutiques (des génériques pour la plupart). L'industrie indienne emploie environ 460 000 personnes et elle est le cinquième producteur mondial de médicaments en termes de volume.
  • L'industrie indienne de la biotechnologie est troisième au monde pour ce qui est de la recherche sur les cellules souches, principalement parce que le gouvernement et le secteur privé ont lourdement investi dans des instituts de recherche sur les maladies humaines et les traitements. De même, la recherche sur la cellule souche embryonnaire n'a pas donné lieu en Inde au même débat que la question a suscité au Canada, aux États-Unis, en Angleterre ou ailleurs. En fait, un comité d'étique en biotechnologie a déterminé que la culture de la cellule souche embryonnaire humaine pouvait être pratiquée, avec le consentement éclairé du médecin, et ce, jusqu'au 14e jour de gestation.
  • Deux laboratoires de recherche - le National Centre for Biological Sciences (NCBS - Centre national pour les sciences biologiques) à Bangalore et l'entreprise Reliance Life Sciences - ont été reconnus par les Instituts de recherche en santé des États-Unis comme menant des travaux de recherche d'avant-garde. Dix lignées de cellules souches pourront être financées en vertu des nouvelles lignes directrices américaines limitant l'utilisation et l'application des cellules souches embryonnaires. Au total, 64 lignées de cellules souches ont été identifiées dans le monde entier.
  • Malgré ses travaux de pointe dans la recherche sur les cellules souches, l'Inde n'a pas encore arrêté de politique sur le clonage humain. Le gouvernement a décidé d'analyser la question de plus près et ne pense pas devoir se presser puisque le clonage humain n'est pas encore réalisable en Inde.
  • Le segment des vaccins en Inde, évalué à quelque 150 millions de dollars, constitue un marché clé du secteur biomédical. Le premier vaccin issu de la biotechnologie à avoir été mis sur le marché indien était un vaccin contre l'hépatite B (ADNr) produit par le laboratoire Shantha Biotechnics Pvt Ltd. On trouve aussi d'autres médicaments biotechnologiques sur le marché tels que l'insuline recombinante, l'hormone de croissance humaine, l'interféron alpha, le facteur VIII de coagulation sanguine ainsi que des protéines médicales telles que la relaxine, la rennine et l'interleukine.
  • Le marché du diagnostic est évalué à 75 millions de dollars et est dominé par la demande à l'égard des anticorps monoclonaux et polyclonaux, de typage tissulaire, de dosage biologique et de recherche contractuelle.
  • L'industrie indienne de la biotechnologie se transforme de plus en plus en plaque tournante internationale pour la recherche et la fabrication à contrat. Sa grande expertise, ses faibles coûts de recherche et de développement et ses incitatifs attrayants incitent nombre de grandes sociétés pharmaceutiques et biotechnologiques internationales à conclure des ententes avec des entreprises et des instituts de recherche indiens.
  • Les petits laboratoires biotechnologiques indiens se consacrent à l'heure actuelle à la recherche contractuelle dans l'optique d'accroître leur capacité avant de mettre sur pied leurs groupes de découverte de médicaments.

Biotechnologie agricole

  • De plus en plus d'entreprises s'intéressent au secteur de la biotechnologie agricole de l'Inde, estimant que les restrictions gouvernementales y sont moindres et que les investissements financiers requis ne sont pas substantiels. Cependant, l'absence d'une infrastructure de réglementation solide, le petit nombre de subventions et l'ignorance de nombreux agriculteurs relativement aux avantages des semences génétiquement modifiées (GM) se sont conjugués pour retarder la croissance de l'industrie.
  • L'Inde est le premier producteur mondial de fruits et de légumes, mais elle n'est à l'origine que de 1 % des exportations mondiales totales. L'agriculture indienne est souvent peu rentable et ravagée par les ennemis des cultures. La biotechnologie agricole pourrait grandement contribuer à nourrir le peuple indien et à élargir la part des produits indiens sur les marchés d'exportation.
  • L'Inde est aussi le troisième producteur de coton au monde en superficie cultivée; cependant, avec des récoltes d'environ 300 kg par hectare, le pays produit bien moins que la moyenne mondiale de 650 kg par hectare.
  • À ce jour, seul un petit pourcentage d'entreprises et d'instituts de recherche ont été autorisés à mener des essais en champ des cultures génétiquement modifiées. Des essais se poursuivent pour le riz, le maïs, le coton, les tomates et le chou-fleur.
  • En 2001, quelque 4000 hectares de cultures illégales de coton génétiquement modifié ont été découverts et détruits.
  • La multinationale américaine Monsanto s'est alliée à la société Maharashtra Hybrid Seed Company Ltd (Mahyco) pour la recherche et la production d'un coton transgénique pour le marché indien.
  • En mars 2002, le Genetic Engineering Approval Committee (GEAC - Comité d'homologation de génie génétique) approuvait la commercialisation de trois variétés de coton Bt génétiquement modifiées pour résister aux insectes (une quatrième hybride est encore à l'essai en champ et devrait être approuvée avant la fin de 2002). Il a fallu à Mahyco cinq années d'essais en champ avant d'obtenir l'approbation.
  • La période d'approbation de trois ans est assortie de certaines conditions dont l'obligation d'entourer les cultures de coton Bt de zones refuge de la même variété non manipulée sur au moins cinq rangs ou 20 % de la superficie totale cultivée de coton transgénique. De plus, les semences ne peuvent être vendues que dans certaines régions du pays et doivent se conformer à certaines prescriptions en matière d'étiquetage et d'emballage.
  • Les experts prédisent que jusqu'à 150 000 hectares de nouvelles variétés transgéniques seront plantées dès la première année.
  • L'approbation du coton génétiquement modifié s'est heurtée à la résistance du Communist Party of India (Parti communiste de l'Inde), de groupes environnementaux et autres organisations non gouvernementales. En général toutefois, le peuple indien est réceptif à la nouvelle espèce, en particulier parce qu'elle n'est pas destinée à la consommation humaine et que ses retombées pour l'industrie du coton et les industries textiles connexes sont très prometteuses.
  • L'industrie de la biotechnologie sera également utile à l'industrie des textiles et permettra la: création de nouvelles fibres, l'amélioration des méthodes de transformation et la création de colorants plus efficaces et écologiques.
  • Maintenant que la distribution commerciale d'un premier produit transgénique a été approuvée, on s'attend de voir l'Inde approuver d'autres cultures génétiquement modifiées comme la moutarde, le soya, le maïs et la pomme de terre dans un avenir prochain.
  • La biotechnologie agricole indienne s'intéressera plus particulièrement aux biofertilisants et aux biopesticides.
  • Le marché indien demande aussi des médicaments vétérinaires biotechnologiques ainsi que des vaccins, des outils de diagnostic et des aliments pour animaux dérivés de la biotechnologie.

Appui gouvernemental

  • Le gouvernement national et les gouvernements des divers États sont de part et d'autre d'ardents défenseurs de la biotechnologie.
  • Au sein du gouvernement national, c'est le Department of Biotechnology (DBTdépartement de la Biotechnologie) qui est le principal responsable de la question. Le DBT oeuvre à divers niveaux, depuis l'appui qu'il accorde aux centres de recherche financés par le gouvernement à sa collaboration aux travaux de divers comités consultatifs en vue de la formulation d'une politique indienne en matière de biotechnologie. Les précisions sur tous les programmes et activités peuvent être consultées en direct à l'adresse http://dbtindia.nic.in. Le département regroupe divers organismes, dont les suivants :
  • le Scientific Advisory Committee for DBT (SAC-DBT - Comité consultatif scientifique du département), conseille le DBT sur les questions d'orientation, les faits nouveaux dans l'industrie et l'application et le suivi des nouvelles technologies;
  • le DBT-ICAR, comité conjoint formé du DBT et de l'Indian Council of Agricultural Research (ICAR - Conseil indien de la recherche agricole du ministère de l 'Agriculture), qui encourage la croissance et le développement de la biotechnologie agricole;
  • le Recombinant DNA Advisory Committee (RDAC - Comité consultatif de l'ADN recombinant), qui est chargé d'établir, de revoir et d'actualiser les lignes directrices relatives à la biosécurité;
  • les Institutional Biosafety Committees (IBSC - Comités de biosécurité d'établissement), qui mettent en oeuvre et font exécuter les lignes directrices relatives à la biosécurité à l'égard de certains projets des centres de recherche, universités et autres laboratoires de recherche;
  • le Review Committee of Genetic Manipulation (RCGM - Comité d'examen des manipulations génétiques), qui approuve les conditions de confinement des expériences, les essais en milieu fermé et les essais en champ de petite échelle, et qui assure le suivi des essais pour s'assurer du respect des normes de sécurité. Le RCGM approuve également les demandes d'importations de produits requis pour les travaux expérimentaux et les programmes de formation et de recherche, tels que les agents étiologiques et les vecteurs, le matériel génétique ou encore les organites, etc.
  • Le ministère de l'Environnement et des Forêts est aussi chargé de certains aspects du système indien de réglementation de la biotechnologie. Plus précisément le Genetic Engineering Approval Committee (GEAC) réglemente les essais de grande échelle et le rejet dans l'environnement de tous les organismes génétiquement modifiés, de même que toutes les importations et exportations d'OGM. Le GEAC délivre aussi des permis après analyse de tous les rapports pertinents d'essais en milieu fermé, des études de la sécurité environnementale et d'autres documents à l'appui.
  • En janvier 2002, le DBT a défini les priorités de recherche du financement gouvernemental en biotechnologie. Ces secteurs comprennent les vaccins issus de la recherche génomique pour le choléra, la malaria, le SIDA, la rage et la tuberculose, ainsi que les biofertilisants, les biopesticides, les cultures transgéniques et la thérapie génique dans le traitement du cancer. Un document sur l'avenir de la biotechnologie publié vers la fin de 2001 trace les grandes lignes des plans qui seront mis en oeuvre au cours des dix prochaines années et qui prévoient la création de vaccins comestibles contre certaines maladies, les essais et l'approbation d'une série de cultures GM, l'élaboration d'autres vaccins et outils de diagnostic pour les principales maladies transmissibles ainsi que l'identification et la protection des « points chauds » de la biodiversité.
  • Le gouvernement indien a signé un certain nombre d'accords de coopération en biotechnologie dans le but de favoriser davantage la croissance du secteur. Par exemple, l'Inde et Maurice ont conclu un accord de collaboration en agriculture et en conduite culturale. Le protocole d'entente prévoit des échanges de scientifiques et d'étudiants et la recherche concertée dans des domaines tels que la sélection végétale et l'amélioration des cultures au moyen de la biotechnologie, la cartographie génomique et la bioinformatique, les vaccins et la protection des obtentions végétales.
  • L'Inde a également conclu un accord de collaboration en biotechnologie avec l'Indonésie en vue de la production de médicaments et vaccins à bon marché. L'accord prévoit aussi l'échange et la formation de scientifiques.
  • L'Inde et la Russie ont annoncé la création d'un centre conjoint d'excellence en biotechnologie à Allahabad, à l'Indian Institute of Information Technology (Institut indien de la technologie de l'information). Le DBT et l'Académie des sciences de la Russie cofinanceront et coordonneront les activités de recherche sur les aliments, la nutrition et la bioinformatique.

Principaux centres de recherche

  • Le National Centre for Biological Sciences (NCBS - Centre national des sciences biologiques) de Bangalore appartient au Tata Institute of Fundamental Research (Institut Tata de recherche fondamentale), lequel a été fondé par la société industrielle Tata. Le NCBS a mis au point trois lignées de cellules souches qui satisfont aux exigences américaines en matière de financement de la recherche des cellules souches enbryoniques. Le Centre n'a toutefois pas encore décidé s'il collaborerait avec les États-Unis dans ce domaine.
  • Le Tata Energy Research Institute (TERI - Institut Tata de la recherche en énergie) oeuvre dans le domaine de la biotechnologie agricole et mène actuellement des recherches sur la moutarde GM, les applications de la biotechnologie à la foresterie, l'utilisation de microbes dans la biorestauration, les biopesticides et les biofertilisants.
  • L'Indian Council of Medical Research (ICMR- Conseil indien de recherche médicale) est le point de convergence de toute la recherche en médecine et en biotechnologie liée à la santé humaine qui est menée en Inde. L' ICMR est financé par le ministère de la Santé et regroupe 21 centres et instituts permanents de recherche , six centres régionaux de recherche médicale et divers centres de recherche avancée qui se fondent sur le savoir-faire actuel et l'infrastructure des centres de formation et d'autres instituts de recherche du pays. L'ICMP octroie également des subventions et des bourses d'études pour des projets particuliers et dirige des groupes de travail sur des projets ponctuels.
  • L'ICMR a récemment obtenu du ministère de la Santé le montant de 30 millions de dollars pour exécuter un mandat de recherche de cinq ans sur la génomique, les cellules souches et la biologie structurale. Les fonds seront divisés entre divers centres de recherche et établissements médicaux relevant de l'ICMR.
  • L'Indian Council of Agricultural Research (ICAR) le pivot de la recherche agricole en Inde, la biotechnologie agricole y compris. L'ICAR coordonne la recherche, l'enseignement, la formation, les partenariats internationaux et les transferts de technologie. Il regroupe 46 instituts centraux de recherche, 10 directions de projets, 27 centres nationaux de recherche, 90 projets de recherche concertée et 261 Krishi Vigyan Kendra (centres de formation professionnelle et technique et centre de recherche pratique).
  • Le Council of Scientific and Industrial Research (CSIR - Conseil de recherche scientifique et industrielle) et ses 40 laboratoires disséminés dans toute l'Inde s'intéressent à tous les domaines de la recherche scientifique. Les applications de la biotechnologie sont l'apanage du Central Drug Research Institute (CDRI -Institut central de la recherche sur les médicaments), du Central Food Technologies Research Institute (CFTRI - Institut central de recherche sur les technologies alimentaires), du Centre for Cellular and Molecular Biology (CCMB - Centre de biologie cellulaire et moléculaire), de l'Industrial Toxicology Research Centre (Centre de recherche en toxicologie industrielle) et de l'Indian Institute of Chemical Biology (Institut indien de biologie chimique).
  • Le Centre for Cellular and Molecular Biology (CCMB) se dédie à la recherche en biologie moderne et à ses applications. Il contribue à l'avancement de la biotechnologie en Inde grâce à ses travaux de recherche fondamentale et appliquée, à ses programmes de formation et à sa collaboration avec l'industrie et fait office de source d'information en recherche biologique et biotechnologique. Ses principaux domaines d'intérêt sont la thérapie génique, la génomique, les systèmes d'administration de médicaments et l'utilisation de puces à ADN dans le diagnostic. Le CCMB a pris part à l'élaboration du vaccin contre l'hépatite B à base d'ADNr qui est maintenant fabriqué et vendu par Shantha Biotechnics Ltd., et a collaboré avec d'autres sociétés à des transferts de technologies et à des recherches concertées.


Débouchés

  • Les principaux acteurs de l'industrie de la biotechnologie prévoient que le marché indien de la biotechnologie connaîtra une croissance considérable après 2005 lorsque la protection des droits de propriété intellectuelle aura été accrue (voir ci-après la rubrique « Précisions utiles pour l'exportateur »). Les entreprises qui se trouvent déjà sur le marché font preuve de réserve dans les transferts de technologie et signent souvent des ententes de non-divulgation avec leurs partenaires. Les entreprises canadiennes qui pénétreront le marché indien assez tôt pourront mieux tirer parti de la croissance accrue et des débouchés qui s'offriront après 2005. Une pénétration précoce et une solide implantation dans le marché profiteront à celles qui seront en mesure de s'accommoder des contraintes actuelles du régime de protection de la propriété intellectuelle.
  • Les entreprises de biotechnologie et les sociétés pharmaceutiques de l'Inde cherchent à vendre leur expertise en bioinformatique, en fabrication et en pharmacogénomique dans le but de former des partenariats et des alliances avec des entreprises de découverte de médicaments. Bien que la découverte ne soit devenue une priorité que récemment pour l'Inde, les entreprises indiennes ont d'autres compétences à offrir aux entreprises canadiennes que ce marché intéresse.
  • Le marché permet de collaborer avec des entreprises indiennes déjà établies dans les sous-secteurs de la biotechnologie, dont les enzymes industriels et les biopesticides, et de leur vendre des produits et services. Les entreprises canadiennes ayant des connaissances particulières dans ces domaines susciteront un grand intérêt chez les entreprises indiennes.
  • Le marché indien permet aussi aux entreprises canadiennes d'embaucher des partenaires indiens et des chercheurs à contrat. Le pays est doté d'un vaste bassin de compétences scientifiques et les coûts d'infrastructure sont faibles à comparer avec ceux de l'Amérique du Nord ou de l'Europe. On peut y mener des recherches sur les anticorps monoclonaux, le peptide synthétique et les antigènes recombinants. Il est également possible de tirer parti de l'ampleur et de la diversité de la population indienne dans les essais cliniques et les études pharmacogénomiques. L'industrie indienne reconnaît la valeur que revêtent la biodiversité du pays et la diversité de son peuple aux fins de la recherche génétique.
  • Il est possible d'exploiter des occasions d'affaires dans la vente et la production de vaccins et de médicaments thérapeutiques qui répondent aux besoins des millions des démunis de l'Inde. Les traitements simples, efficaces et peu coûteux contre les maladies diarrhéiques, la grippe, la tuberculose, la malaria, la méningite et la pneumonie sont susceptibles de trouver immédiatement des débouchés. De plus, le marché du diagnostic est également considérable. On s'attend à voir augmenter la demande d'immunodiagnostic pour la tuberculose, la fièvre typhoïde, la malaria et autres infections microbiennes.
  • MDS Sciex, une entreprise canadienne spécialisée dans la spectrométrie de masse, a formé un partenariat en janvier 2001 avec Kshema Technologies, une société d'élaboration de logiciels, en vue de créer une chaire de recherche en bioinformatique au People's Education Society's Institute of Technology (PESIT - Institut de technologie de la Société d'enseignement populaire) à Bangalore.


Principaux acteurs

  • Les principaux acteurs de l'industrie indienne de la biotechnologie sont Reliance Life Sciences, Dr. Reddy's Laboratory, Shantha Biotech, Panacea Biotech et Biocon.
  • Des multinationales comme GlaxoSmithKline (R.-U.), Novartis (Suisse), Eli Lilly (É.-U.), Pfizer (É.-U.), Monsanto (É.-U.) et Aventis (France) sont toutes actives sur le marché indien. Les entreprises sont portées à former des partenariats avec des intervenants du pays. Pfizer et Bayer (Allemagne) cherchent à établir en Inde des entreprises de fabrication et de commercialisation en propriété exclusive.
  • La nouvelle politique annoncée par le gouvernement indien relativement aux produits pharmaceutiques permet l'investissement étranger à 100 % dans toutes les branches de l'industrie pharmaceutique, sauf pour les médicaments en vrac issus de la technologie de l'ADN recombinant, les médicaments en vrac nécessitant le recours in vivo à des acides nucléiques et certaines formulations ciblant les cellules et les tissus. Plus de précisions sur cette politique se trouvent à l'adresse
    http://www.techno-preneur.net/timeis/cgovt/
    pharmapolicy.html
    .

Activités des entreprises

  • Dabur India Ltd. a annoncé en avril 2002 qu'elle avait mis sur pied un laboratoire de diagnostic moléculaire au Rajiv Gandhi Cancer Institute and Research Centre (Institut Rajiv Gandhi pour le cancer et la recherche) à New Delhi et qu'elle entendait établir d'autres installations à Mumbai, à Ahmedabad et à Chennai. Ces laboratoires utiliseront le profilage génomique et protéomique pour détecter des changements moléculaires chez les malades atteints du cancer. L'entreprise fabrique et vend aussi 22 médicaments anti-cancer en Inde.
  • Reliance Life Sciences, membre de Reliance Industries, a commencé la construction d'un complexe de recherche en sciences de la vie à Mumba. Le site regroupera des laboratoires de recherche, des serres et des installations de fabrication expérimentale. Certains des laboratoires seront construits en 2002 et le complexe devrait être complètement terminé en 2003. L'entreprise s'intéresse aux cellules souches ainsi qu'à la biotechnologie médicale, végétale et industrielle.
  • Sept lignées de cellules souches enbryoniques créées par Reliance Life Sciences sont admissibles à un financement américain.
  • Outre sa recherche sur les cellules souches, la société a annoncé qu'elle entendait créer une banque de sang extrait de cordons ombilicaux (qui contiennent également des cellules souches) et établir des installations de fabrication de peau artificielle à l'intention des grands brûlés.
  • Sartorius, une société indienne de bioingénierie, prévoit mettre sur pied à Bengalore un centre d'incubation et de connaissances qui assurera la formation, l'aide en vue de la mise à l'échelle, la production en vue des essais cliniques, les services de laboratoires, la fabrication à contrat et autres services d'appui.
  • Strand Genomics Pvt. Ltd., a annoncé en janvier 2002 qu'elle avait consenti à une entreprise américaine une licence d'exploitation d'un logiciel d'analyse structurale tridimensionnelle des images.
  • Biocon (Bangalore), la première société de biotechnologie de l'Inde, a commencé ses activités vers la fin des années 70 et fabriquait alors des enzymes pour dissocier la pectine dans le jus de fruit. L'entreprise a continué d'oeuvrer dans le domaine de la technologie de la fermentation et a mis au point une technologie de pointe pour fabriquer un groupe de médicaments destinés à abaisser le taux de cholestérol. Blocon a également entrepris des activités de développement de médicaments du génie génétique, dont des agents anti-infectieux.
  • Shantha Biotechnics Pvt Ltd. est un fabricant de vaccins qui prospère dans la vente d'un vaccin contre l'hépatite B issu de la manipulation génétique. En avril 2002, Shantha Biotechnics et Biocon ont annoncé la formation d'une coentreprise qui fabriquerait et vendrait de l'insuline humaine recombinante. Le brevet international visant l'insuline humaine recombinante expire en 2003 et les deux entreprises se sont alliées dans le but de s'approprier une part du marché dès l'expiration du brevet.
  • Bangalore Genei, dont le siège social est à Bangalore, produit des enzymes de restriction, des polymérases d'ADN et des enzymes modificateurs - tous des outils essentiels à la recherche en génomique. Avant l'établissement de la société, ces outils de recherche devaient tous être importés par les entreprises et centres de recherche indiens. L'entreprise détient 30 % du marché indien de ces produits.
  • Dr. Reddy's Laboratory est une société pharmaceutique de longue date qui s'est récemment dotée d'une division de biotechnologie. La société a conclu avec Novo Nordisk un contrat de concession de licence pour l'utilisation de la technique thérapeutique du diabète et s'emploie à développer des protéines thérapeutiques humaines au moyen de la technologie de l'ADNr.
  • Avesthagen Graine est une petite entreprise de biotechnologie qui s'intéresse aux applications de la biologie moléculaire des végétaux, notamment au séquençage des génomes (riz Basmati), aux transformations végétales, à la sélection effectuée à l'aide de marqueurs moléculaires et à la protéomique. Elle tire ses revenus de recherches contractuelles et entend mettre au point des brevets dont elle cédera l'exploitation à des entreprises nationales et internationales.
  • Panacea Biotech Ltd., société pharmaceutique sise à Delhi, produira et commercialisera un vaccin contre l'anthrax conjointement mis au point par le Centre for Biotechnology (Centre de biotechnologie) de l'université Jawaharlal Nehru et le Department of Biotechnology. Le médicament devrait être soumis à la procédure d'approbation accélérée du régime de réglementation (se reporter à la rubrique « Précisions utiles pour l'exportateur » ci-après).


Précisions utiles pour l'exportateur

Propriété intellectuelle

  • La protection des droits de propriété intellectuelle constitue en Inde une préoccupation majeure et l'un des principaux obstacles à la croissance de l'industrie de la biotechnologie. Ce n'est que récemment que l'Inde a adhéré aux règlements de l'Organisation mondiale du commerce en matière de protection des brevets et des droits de propriété intellectuelle. Pour le moment, Le régime indien accorde un brevet de sept ans aux procédés, mais non aux produits qui en résultent. Les entreprises peuvent par conséquent analyser le produit fini et le copier en recourant à une méthode de fabrication non brevetée.
  • La législation indienne sur le droit d'auteur est considérée comme stricte, mais son application laisse à désirer et le piratage est omniprésent.
  • On devrait voir établir toute une série de droits de propriété intellectuelle en 2005.

Réglementation

  • La réglementation des produits biotechnologiques en Inde a été critiquée par le groupe All India Biotechnology Association (AIBA - Association panindienne de biotechnologie) pour sa paperasserie et son manque de transparence. L'AIBA a réclamé des révisions qui stimuleraient la croissance de l'industrie et a recommandé l'établissement d'un organisme de réglementation national qui serait seul chargé des produits de la biotechnologie sous l'autorité directe du premier ministère et qui n'aurait aucun lien de dépendance avec les divers départements et ministères gouvernementaux.
  • À l'heure actuelle, les produits de la biotechnologie doivent être soumis à l'examen de comités de surveillance de district et d'État. Les produits sont ensuite examinés par des comités nationaux, y compris ceux du DBT, du ministère de la Santé, du ministère de l'Agriculture et de celui de l'Environnement.

Biotechnologie médicale et produits pharmaceutiques

  • Tous les produits pharmaceutiques, y compris les produits biopharmaceutiques, doivent être approuvés par le Drug Controller General of India (DCGI - Contrôleur général des médicaments de l'Inde) avant de pouvoir être vendus en Inde. La New Drug Application (demande autorisation pour la mise en marché d'un nouveau médicament) doit lui être acheminée accompagnée de tous les renseignements pertinents et, en général, les essais cliniques de la phase III doivent être effectués en Inde avant que l'approbation ne soit donnée. Si un produit n'a pas été approuvé aux fins de la vente dans d'autres pays, certains essais de la phase III pourront être exigés, mais la vente du médicament en Inde restera probablement interdite tant que le médicament n'aura pas été approuvé dans son pays d'origine.
  • Certains des procédés d'approbation accélérée de médicaments qui existent à l'étranger font cruellement défaut en Inde.
  • La National Pharmaceutical Pricing Authority (NPPA - Organisme national d'établissement des prix des produits pharmaceutiques) est chargée de fixer les prix de tous les nouveaux médicaments sur le marché indien.
  • Les entreprises désireuses de fabriquer des produits pharmaceutiques en Inde doivent se procurer un permis auprès du gouvernement central. Les petites entreprises dont les investissements sont inférieurs à 7,4 millions de roupies (250 000 $) doivent s'adresser à l'organisme responsable de la santé au niveau de l'État.

Biotechnologie agricole

  • Les produits de la biotechnologie agricole doivent dans un premier temps être approuvés par un Institutional Biosafety Committee (comité local de biosécurité); il en existe plus de 160 dans toute l'Inde. Le groupe de spécialistes évaluera la toxicité potentielle et l'allergénicité du produit ainsi que tout aspect lié à la biosécurité environnementale. Lorsque le projet peut enfin quitter le laboratoire, des expériences en milieu fermé à petite échelle doivent être approuvées par le Review Committee on Genetic Manipulation (RCGM) du DBT. Le Monitoring cum Evaluation Committee (Comité de surveillance et d'évaluation) inspectera les sites témoins pour s'assurer du respect des règlements et présentera ses rapports au RCGM. L'approbation finale est accordée par le Genetic Engineering Approval Committee (GEAC), qui approuve les essais en champ à grande échelle et la mise en marché éventuelle.


Principaux contacts

Contacts au gouvernement canadien

Haut commissariat du Canada en Inde
PO Box 5208, Chanakyapuri
New Delhi, 110021 India
Tél. : (91-11) 687-6500
Téléc. : (91-11) 687-5387
Courriel : delhi.commerce@dfait-maeci.gc.ca
Internet : http://www.infoexport.gc.ca/in

Bureau commercial du gouvernement canadien à Bangalore
103 Prestige Meridian 1, First Floor, Rear Wing
29 M.G. Road
Bangalore, 560001 India
Tél. : (91-80) 559-9418
Téléc. : (91-80) 559-9424
Contact : D.P. Vittal Nath, conseiller et agent commercial
Courriel : maple@blr.vsnl.net.in
Internet : http://www.infoexport.gc.ca/in

Bureau du haut-commissariat à Chandigarh
SCO no. 33-35, Sector 17-A
Chandigarh, 160017 India
Tél. : (91-172) 716-020-24
Téléc. : (91-172) 716-025
Courriel : chcchd@glide.net.in
Internet : http://www.infoexport.gc.ca/in

Consulat du Canada à Mumbai
4th Floor, 41-42 Maker Chambers VI
Jamnalal Bajaj Marg
Nariman Point
Mumbai (Bombay), 400021 India
Tél. : (91-22) 287-6027
Téléc. : (91-22) 287-5514
Courriel : mmbai@dfait-maeci.gc.ca
Internet : http://www.infoexport.gc.ca/in

Agriculture et Agroalimentaire Canada
Direction générale des services à l'industrie et aux marchés
Immeuble Sir John Carling
930, avenue Carling
Ottawa (Ontario) K1A 0C5
Tél. : (613) 759-7744
Téléc. : (613) 759-7499
Internet : http://www.agr.gc.ca

Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international
125, promenade Sussex
Ottawa (Ontario) K1A 0G2
Internet : http://www.dfait-maeci.gc.ca
Centre des études de marché (TCM)
Tél. : (613) 996-3535
Téléc. : (613) 943-1103
Contact : Mme Michelle Van Dyk, agente de recherche sur les marchés internationaux
Courriel : michelle.van-dyk@dfait-maeci.gc.ca
Direction de l'appui aux marchés (TCM)
Tél. : (613) 996-1431
Téléc. : (613) 944-0050
Contact : Mme Patricia Filteau, déléguée commerciale
Courriel : patricia.filteau@dfait-maeci.gc.ca
Internet : http://www.infoexport.gc.ca
Direction de l'Asie du Sud
Tél. : (613) 944-1653
Téléc. : (613) 996-5897
Contact : M. Alan McBride, délégué commercial
Courriel : alan.mcbride@dfait-macei.gc.ca

Agence canadienne d'inspection des aliments
Bureau de la biotechnologie
59, promenade Camelot
Nepean (Ontario) K1A 0Y9
Tél. : (613) 225-2342
Téléc. : (613) 228-6653
Courriel : cfiamaster@agr.gc.ca
Internet : http://www.inspection.gc.ca

Santé Canada
Direction des affaires internationales
Immeuble Brooke Claxton, pièce 814A
Localisateur postal 0908A
Parc Tunney
Ottawa (Ontario) K1A 0K9
Tél. : (613) 941-3136
Téléc. : (613) 952-7417
Internet : http://www.hc-sc.gc.ca

Industrie Canada
Direction générale des sciences de la vie
PO Box 940, Station M
1505 Barrington St.
Halifax (Nouvelle-Écosse) B3J 2V9
Tél. : (902) 426-9958
Téléc. : (902) 426-2624
Contact : M. Mark Craig, responsable du secteur
Courriel : craig.mark@ic.gc.ca
Internet : http://strategis.ic.gc.ca


Contacts au gouvernement indien

Haut commissariat de l'Inde au Canada
10, chemin Springfield
Ottawa (Ontario) K1M 1C9
Tél. : (613) 744-3751
Téléc. : (613) 744-0913
Courriel : hicomind@sprint.ca
Internet : http://www.docuweb.ca/India
Consulat général de l'Inde à Toronto
1835 Yonge St. (4th Floor)
Toronto (Ontario) M4S 1X8
Tél. : (416) 960-0751
Téléc. : (416) 960-9812
Consulat général de l'Inde à Vancouver
325 Howe St. (2nd Floor)
Vancouver (Colombie-Britannique) V6C 1Z7
Tél. : (604) 662-8811
Téléc. : (604) 682-2471

Department of Agricultural Research and Education
[Ministère de la recherche et de l'enseignement
agricoles]
Krishi Bhavan
Dr. Rajendra Prasas Rd-1
New Delhi, India
Tél. : (91-80) 338-2651
Téléc. : (91-11) 338-6004
Internet : http://dare.nic.in

Department of Scientific and Industrial Research (DSIR)
[Département de la recherche scientifique et industrielle]
Technology Bhavan
New Mehrauli Road
New Delhi, 110 016 India
Tél. : (91-11) 371-7063
Téléc. : (91-11) 371-0618
Courriel : dgcsir@csir.res.in
Internet : http://dsir.nic.in

Department of Biotechnology
Ministry of Science and Technology
[Département de biotechnologie
Ministère de la science et de la technologie]
Block 2, 6-8th Floor
CGO Complex, Lodi Road
New Delhi, 110003 India
Tél. : (91-11) 436-2950
Téléc. : (91-11) 436-2884
Courriel : btic@DBT.nic.in
Internet : http://dbtindia.nic.in

Drug Controller General of India
Directorate General of Health Services
[Contrôleur général des médicaments de l'Inde
Direction générale des services de santé]
Nirman Bhawan
New Delhi, 110011 India
Tél. : (91-11) 301-8806
Courriel : dci@nb.nic.in

Directorate General of Foreign Trade
Ministry of Commerce and Industry
[Direction générale du commerce extérieur
Ministère du Commerce et de l'Industrie]
Udyog Bhavan
New Delhi, 110011 India
Tél. : (91-11) 301-1777
Téléc. : (91-11) 301-8613
Internet : http://dgft.delhi.nic.in

Ministry of Environment and Forests
[Ministère de l'Environnement et des Forêts]
Paryavaran Bhavan
CGO Complex, Lodhi Road
New Delhi, 110003 India
Tél. : (91-11) 436-1896
Courriel : secy@menf.delhi.nic.in
Internet : http://envfor.nic.in

Ministry of Health and Family Welfare
[Ministère de la Santé et du Bien-être familial]
Nirman Bhavan
Maulana Azad Road
New Delhi, 110011 India
Tél. : (91-11) 301-8863
Téléc. : (91-11) 301-4252
Internet : http://mohfw.nic.in

National Pharmaceutical Pricing Authority
[Organisme national d'établissement des prix des produits pharmaceutiques]
2E/21, Jhandewalan Extension, Link Road
New Delhi, 110055 India
Tél. : (91-11) 368-1982-86
Téléc. : (91-11) 368-2142
Courriel : nppa@hub.nic.in
Internet : http://nppaindia.nic.in


Principaux organismes de recherche indiens

Centre for Cellular and Molecular Biology (CCMB)
[Centre de biologie cellulaire et moléculaire]
Uppal Road
Hyderabad, 500007 India
Tél. : (91-40) 716-0222
Téléc. : (91-40) 716-0591
Internet : http://www.ccmb.res.in

Council of Scientific and Industrial Research (CSIR)
[Conseil de recherche scientifique et industrielle]
Anusadhan Bhavan, Rafi Marg
New Delhi, 110001 India
Tél. : (91-11) 371-0472
Téléc. : (91-11) 371-0618
Courriel : csirhq@sirnetd.ernet.in
Internet : http://sunsite.sut.ac.jp/asia/india/jitnet/csir

Indian Council of Agricultural Research (ICAR)
[Conseil indien de la recherche agricole du ministère de l 'Agriculture]
Krishi Bhawan
Dr. Rajendra Prasad Road
New Delhi, 110001 India
Tél. : (91-11) 338-2629
Téléc. : (91-11) 338-7293
Courriel : sm@icar.delhi.nic.in
Internet : http://www.icar.org.in
Note : Le site fournit les liens et les adresses des 27 centres nationaux de recherche et des 46 instituts de recherche.

Indian Council of Medical Research (ICMR)
[Conseil indien de recherche médicale]
P.O. Box No. 4911
Ansari Nagar
New Delhi, 110029 India
Tél. : (91-11) 696-2895
Téléc. : (91-11) 686-8662
Courriel : icmrhqds@sansad.nic.in
Internet : http://www.icmr.nic.in/general.htm
Note :Le site fournit les liens et les adresses de tous les centres régionaux de recherche médicale, des centres de recherche avancée et des instituts de recherche permanent.

Tata Energy Research Institute (TERI)
Bioresources and Biotechnology Division
[Institut Tata de la recherche en énergie]
Division des bioressources et de la biotechnologie]
Darbari Seth Block, Habitat Place
Lodhi Road
New Delhi, 110003 India
Tél. : (91-11) 468-2100
Téléc. : (91-11) 468-2144
Internet : http://teriin.org/division/bbdiv/bbdiv.htm


Associations indiennes

All India Biotechnology Association
[Association panindienne de biotechnologie]
"Vipps Centre" 2 Local Shopping Centre
Block-EFGH, Masjid Moth, G.K.-II
New Delhi, 110048 India
Tél. : (91-11) 648-1487
Téléc. : (91-11) 647-3089
Courriel : unmalik@aibaonline.com
Internet : http://www.aibaonline.com

Biotech Support Services
[Services de soutien Biotech]
408 Archana Building, Sector 17
Vashi, Navi
Mumbai, 400705 India
Tél. : (91-22) 789-2431
Courriel : biotechinfo@rediffmail.com
Internet : http://www.biotechsupportindia.com

Confederation of Indian Industry
[Confédération de l'industrie indienne]
23, Institutional Area, Lodi Road
New Delhi, 110 003 India
Tél. : (91-11) 4629-9947
Téléc. : (91-11) 462-6149
Courriel : ciico@ciionline.org
Internet : http://www.ciionline.org/index.html

Indian Pharmaceutical Association
[Association pharmaceutique indienne]
Kalina, Santacruz (East)
Mumbai, 400098 India
Tél. : (91-22) 612-2401
Téléc. : (91-22) 614-0480
Internet : http://www.indianpharma.org

Organisation of Pharmaceutical Producers of India
[Organisation des producteurs de produits pharmaceutiques de l'Inde]
Cook's Building, 324 Dr. D.N. Road
Bombay, 400001 India
Tél. : (91-22) 204-5509
Téléc. : (91-22) 204-4705
Courriel : oppi@bom3.vsnl.net.in
Internet : http://www.indiaoppi.com


Associations canadiennes de biotechnologie

Ag-West Biotech
101 - 111 Research Dr.
Saskatoon (Saskatchewan) S7N 3R2
Tél. : (306) 975-1939
Téléc. : (306) 975-1966
Courriel : agwest@agwest.sk.ca
Internet : http://www.agwest.sk.ca

Alberta Biotechnology Association
1150, 10180 - 101 St.
Edmonton (Alberta) T5J 3S4
Tél. : (780) 425-3815
Téléc. : (780) 423-3893
Contact : Mme Myka Osinchuk, directrice administrative
Courriel : myka@bioalberta.com
Internet : http://www.bioalberta.com

BioEast
2nd Floor, Spencer Hall
220 Prince Philip Dr.
St. John's (Terre-Neuve) A1B 3X5
Tél. : (709) 737-2682
Téléc. : (709) 737-4029
Contact : Mme Margaret Miller, directrice générale
Internet : http://www.bioeast.ca

BioAtlantech
PO Box 636, Station A
Fredericton (Nouveau-Brunswick) E3B 5A6
Tél. : (506) 444-2444
Téléc. : (506) 444-5662
Contact : M. John Argall, directeur administratif
Courriel : jargall@fundy.net
Internet : http://www.bioatlantech.nb.ca

Bio Quebec
6100 Mount Royal Ave.
Montréal (Québec) H4P 2R2
Tél. : (514) 733-8411
Téléc. : (514) 733-8272
Courriel : info@bioquebec.com
Internet : http://www.bioquebec.com

BIONova
c/o Innovacorp
101 Research Dr.
PO Box 790
Dartmouth (Nouvelle-Écosse) B2Y 3Z7
Tél. : (902) 424-8670
Téléc. : (902) 424-4679
Contact : M. Bill Mills, directeur administratif
Courriel : bmills@innovacorp.ns.ca
Internet : http://www.bionova.ns.ca

British Columbia Biotechnology Alliance
3250 East Mall, Suite 225
Vancouver (Colombie-Britannique) V6T 1W5
Tél. : (604) 221-3020
Téléc. : (604) 221-3027
Contact : M. Paul Stinson, directeur administratif
Internet : http://www.bcbiotech.ca

BIOTECanada
130, rue Albert, pièce 420
Ottawa (Ontario) K1P 5G2
Tél. : (613) 230-5585
Téléc. : (613) 563-8850
Courriel : info@biotech.ca
Internet : http://www.biotech.ca

Conseil de recherches agro-alimentaires du Canada
Immeuble 60, Maison « Heritage »
Ferme expérimentale centrale
Ottawa (Ontario) K1A 0C6
Tél. : (613) 234-2325
Téléc. : (613) 234-2330

Association canadienne des fabricants de produits pharmaceutiques
4120 Young St., Suite 606
North York (Ontario) M2P 2B8
Tél. : (416) 223-2333
Téléc. : (416) 223-2425
Internet : http://www.cdma-acfpp.org

Association médicale canadienne
1867, promenade Alta Vista
Ottawa (Ontario) K1G 3Y6
Tél. : (613) 731-9331
Internet : http://www.cma.ca

Les compagnies de recherche pharmaceutique du Canada
302-1111, promenade Prince of Wales
Ottawa (Ontario) K2C 3T2
Tél. : (613) 727-1380
Téléc. : (613) 727-1407
Internet : http://www.canadapharma.org

Association des grossistes en médicaments du Canada
5255 Yonge St., Suite 505
Toronto (Ontario) M2N 6P4
Tél. : (416) 222-3922
Téléc. : (416) 222-8960
Internet : http://www.cwda.com

Association canadienne de l'industrie des médicaments en vente libre
1111, promenade Prince of Wales, pièce 406
Ottawa (Ontario) K2C 3T2
Tél. : (613) 723-0777
Téléc. : (613) 723-0779
Courriel : ndmac@ndmac.ca
Internet : http://www.ndmac.org

Initiative torontoise de biotechnologie
P.O. Box 446, Station A
Toronto (Ontario) M5W 1C2
Tél. : (416) 392-4780
Téléc. : (416) 397-0906
Internet : http://www.torontobiotech.org

Conseil bioscientifique d'Ottawa
600, promenade Peter Morand, pìece100
Ottawa (Ontario) K1G 5Z3
Tél. : (613) 521-1008
Téléc. : (613) 521-3065
Internet : http://olsc.ca



Références

Documents imprimés

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Canada Stockwatch. « MDS Inc.-MDS Sciex to Establish Research Centre in India », janvier 2001.

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Chaudhuri, Pramit Pal. « China Surges Ahead of India in Biotech Race», Hindustan Times, février 2002.

Computers Today. « Tapping Biotechnology for Business: The Indian Scenario », janvier 2002.

Dun & Bradstreet, Inc. Exporters' Encyclopaedia, « India», 2001.

Economic Times. « Biotech-Big Bucks Exist in Contract Research », janvier 2002.

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-----. « Park to be Ready by 2003 », février 2002.

-----. «India Becoming Hub for Drug Contract Research», mars 2002.

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Vidal, John. « New Delhi Opens Door to GM Crops », The Guardian, mars 2002.


Adresses Internet utiles

Biotech Support Services : http://www.biotechsupportindia.com (renseignements détaillés sur l'industrie indienne de la biotechnologie et contacts au sein du gouvernement, de l'industrie et des centres de recherche) 

Canada. Ministère des Affaires étrangèrs et du Commerce international : http://www.dfait-maeci.gc.ca

ExportSource : http://exportsource.gc.ca

Inde. Central Board of Excise and Customs: http://www.cbec.gov.in

India Image: http://www.nic.in (point d'accès à l'information du gouvernement de l'Inde sur le Web)

Indian Initiative for Rice Genome Sequencing : http://www.genomeindia.org/index.html

InfoExport : http://www.infoexport.gc.ca


1 Le terme « biotechnologie » est employé différemment selon les pays et même selon les intervenants de l'industrie. La biotechnologie peut être divisée en deux catégories selon son degré d'évolution : la biotechnologie «traditionnelle» concerne les procédés tels que la technologie de la fermentation, tandis que la biotechnologie « moderne » fait appel à des procédés cellulaires et moléculaires dans la résolutions de problèmes ou la fabrication de produits. Les statistiques sur la taille et l'étendue de l'industrie de la biotechnologie ne font généralement pas cette distinction et intègrent aussi parfois les services de soutien et les entreprises périphériques, dont les cabinets d'avocats en droit des brevets et les fournisseurs de matériel. La plupart des données sur le marché indien de la biotechnologie semblent appliquer une vaste définition qui comprend généralement les secteurs et services de soutien plus traditionnels.

2Sauf indication contraire, tous les montants sont exprimés en dollars canadiens. Le taux de change est tiré de la base de données Tradeline d'IDD Information Services, avril 2002.

3 Pour les coordonnées des contacts dans les organisations clés mentionnées dans ce rapport, voir Principaux contacts.


Mise à jour : 2002 07 16 Avis importants