Stratégie de science et d’innovation d’AAC pour le XXI^e siècle

En tant que tête d'affiche de la recherche scientifique et technologique en agriculture au Canada, Agriculture et Agroalimentaire Canada (AAC) est déterminé à faire en sorte que les investissements dans la science et l'innovation soient judicieux et que la recherche mette l'accent sur les bonnes priorités au moment opportun, dans l'intérêt du secteur agricole et agroalimentaire du Canada et de tous les Canadiens.

AAC fournit des solutions au secteur agricole, aux collectivités rurales et aux Canadiens depuis plus de 120 ans et adapte constamment son expertise et ses efforts aux nouveaux défis et débouchés. L'élaboration de solutions scientifiques pour aider le secteur et les Canadiens à faire face à ces défis et débouchés fait entrer AAC dans une nouvelle ère d'adaptation et d'orientation.

Nous avons entrepris ce nouveau processus en consultant quelque 500 représentants des associations de producteurs, des gouvernements provinciaux et municipaux et d'autres groupes d'intervenants au Canada en octobre et novembre 2005. Leurs précieux commentaires ont servi de toile de fond pour la préparation du document de la stratégie d'AAC sur la science et l'innovation (SI).

La stratégie sur la SI propose une nouvelle façon de concevoir le travail d'équipe, l'utilisation optimale de nos ressources scientifiques et la gestion de nos investissements dans la science et l'innovation, afin de nous assurer collectivement que nous créons de nouveaux débouchés pour notre secteur agricole et agroalimentaire, contribuons à sa rentabilité et à sa croissance à long terme et améliorons sa compétitivité.

Tandis que la stratégie sur la SI appelle AAC à jouer un rôle de premier plan dans la coordination et la gestion de la science et de l'innovation en agriculture au Canada, elle reconnaît aussi la nécessité de créer des partenariats avec les universités, les gouvernements et le secteur privé au Canada et à l'étranger pour faire en sorte que les investissements et les efforts des fournisseurs de recherche nationaux soient déployés au mieux des intérêts du Canada.