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![]() Le marché des ingrédients et additifs au JaponJanvier 2001![]()
Préparé par le Centre des études de marché et le Service canadien des délégués commerciaux © Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international Le Centre des études de marché produit une vaste gamme de rapports par région et par secteur à l'intention des exportateurs canadiens. Pour de plus amples renseignements, veuillez communiquer avec : Direction de l'appui aux marchés (TCM) -le FaxLink national (613) 944-4500; Division de l'évaluation et de l'analyse des marchés (DEAM) Service d'exportations agroalimentaires : Le gouvernement du Canada a préparé le présent rapport en se fondant sur des sources d'information primaires et secondaires. Aussi ce dernier ne garantit-il aucunement l'exactitude des renseignements qu'il contient pas plus qu'il n'appuie les organisations dont le nom y figure. Il appartient donc aux lecteurs de vérifier l'exactitude et la fiabilité des renseignements contenus dans le présent rapport. Ce rapport offre un aperçu du marché destiné à ceux qui sont intéressés par les potentiels du marché et ne vise pas à fournir une analyse en profondeur qui pourrait être nécessaire à l'exportateur. RÉSUMÉLe Japon est le troisième plus gros importateur d'additifs et d'ingrédients au monde, après les États-Unis et l'Allemagne. En 1999, on estimait les ventes d'additifs alimentaires à plus de 10 milliards(1) de dollars, ou trois millions de tonnes. Les analystes prévoient que le marché maintiendra sa croissance régulière dans un proche avenir, principalement en raison du fait que les consommateurs sont de plus en plus exposés à une variété de produits importés. Grâce à la prise de conscience par les consommateurs de l'importance de manger des aliments sains, les débouchés pour les exportateurs étrangers d'additifs et d'ingrédients sains devraient se multiplier. La mauvaise réputation des produits génétiquement modifiés (GM) a fait en sorte qu'environ 66 % des entreprises japonaises utilisent exclusivement des additifs et ingrédients non modifiés génétiquement. De plus, la croissance du marché des produits Kampo (une forme de traitement traditionnel à base d'herbes médicinales) et FOSHU (Foods for Specific Health Use-un cadre réglementaire élaboré pour contrôler le marché des aliments santé) a également contribué à augmenter la demande pour des produits santé au Japon. Les changements dans les goûts des consommateurs entraîneront aussi une croissance de ce marché. Au cours des dernières années, les consommateurs japonais ont été de plus en plus exposés à des ingrédients étrangers (particulièrement les épices et assaisonnements) grâce aux voyages et aux importations. Bien que les consommateurs plus âgés montrent une certaine résistance face aux nouveaux ingrédients et préfèrent les produits plus traditionnels, les consommateurs âgés entre 20 et 40 ans présentent un niveau d'acceptation élevé à l'égard des nouvelles saveurs, des nouvelles épices, des nouveaux assaisonnements, etc. TABLE DES MATIÈRESFacteurs
déterminants pour la croissance à venir Compétences locales Circuits de distribution PRINCIPAUX CONTACTS ET SERVICES DE SOUTIEN APERÇU DU MARCHÉLes statistiques sur la taille du marché japonais des ingrédients, additifs et produits à base d'herbes varient considérablement. Cette variation s'explique en partie par le fait que les sources n'incluent pas exactement les mêmes produits dans leurs études de marché. Il s'agit également d'un marché plutôt complexe dans lequel plusieurs produits font leur entrée et où l'on retrouve différentes catégories de réglementation et de circuits de distribution. Toutefois, Japanscan(2) estime que les ventes d'additifs alimentaires dépassaient en 1999 les trois millions de tonnes, soit plus de 10 milliards de dollars. Le tableau 1 indique les quantités consommées de différents additifs alimentaires.
Japanscan Food Industry Bulletin. "Food Additives Market Worth Y768.8 Billion," janvier 2000 Dans le domaine des épices, le Japon est largement dépendant des importations pour l'approvisionnement du marché et se trouve au troisième rang parmi les importateurs du monde, devancé seulement par les États-Unis et l'Allemagne. Seulement quelques produits, notamment le raifort japonais (wasabi), le poivre (sansho), les piments et l'ail, sont produits au pays. En 1999, les importations d'épices ont augmenté de 4,9 % par rapport à l'année précédente pour atteindre 32 723 tonnes. À l'heure actuelle, les restaurants sont les plus gros consommateurs d'épices. Mais la consommation domestique augmente aussi avec la popularité naissante de produits tels que le paprika, la muscade, l'origan et différents piments. Malgré le fait que les importations japonaises d'épices soient relativement faibles par rapport au reste du monde, la diversité croissante du régime des Japonais devrait entraîner une croissance soutenue dans ce secteur dans un avenir prévisible. À l'heure actuelle, on estime que les deux tiers des entreprises japonaises achètent exclusivement des produits non modifiés génétiquement. KampoLe marché des herbes médicinales Kampo représente une portion importante du marché des aliments santé au Japon. La médecine Kampo, qui signifie « médecine de Chine », s'inspire non seulement des remèdes chinois traditionnels, mais se fonde également sur la science et la technologie modernes japonaises. On estime que les ventes annuelles d'herbes médicinales Kampo s'élèvent à plus de 2,2 milliards de dollars. La médecine Kampo est largement reconnue et acceptée, tant par les consommateurs que par les médecins japonais. On estime qu'environ 80 % de la population générale utilisent cette forme de traitement pour traiter différents malaises. Présentement, plus des trois quarts des médecins prescrivent des herbes médicinales Kampo - plus de 85 % des produits Kampo sont achetés sur ordonnance, un pourcentage plus élevé (pour la médecine traditionnelle) que la plupart des pays du monde. On compte à l'heure actuelle environ 150 produits Kampo disponibles pour différents traitements. Les problèmes de santé les plus courants pour lesquels les médecins prescrivent des produits Kampo sont les problèmes de foie, le rhume, les infections des voies respiratoires, ainsi que les symptômes de ménopause. Cette forme traditionnelle de traitement est aussi prescrite pour traiter des problèmes plus graves tels que les maladies cardio-vasculaires et le cancer. Tsmura, la principale entreprise de l'industrie des produits d'ordonnance Kampo, compte pour 70 % des ventes totales. Le segment des produits en vente libre, dont les ventes se chiffrent à 445 millions de dollars par année, est dominé par Kanebo, qui compte pour 30 % des ventes. Les autres entreprises importantes dans ce marché sont JPS Seiyaku et Kotaro. Comme beaucoup de secteurs de l'industrie de la santé, les ventes de produits Kampo ont été affectées par le manque de soutien du gouvernement et le faible niveau de remboursement par les compagnies d'assurance. Au cours des dernières années, plusieurs petites entreprises ont fermé leurs portes, tandis que les grandes entreprises comme Tsmura ont essuyé des pertes. Même s'il est pratiquement impossible pour les entreprises canadiennes de fournir des produits finis dans ce marché (parce que les produits occidentaux, qui n'utilisent pas de matières premières précises, doivent être vendus comme aliments santé ou suppléments alimentaires), il peut exister certains débouchés pour les matières premières utilisées dans la fabrication de ces produits. Aliments fonctionnelsLes fabricants canadiens d'additifs et d'ingrédients alimentaires sauront peut-être profiter de la croissance soutenue du marché des aliments fonctionnels au Japon. À la fin des années 1980, le gouvernement japonais a institué un cadre réglementaire régissant précisément les aliments fonctionnels. Il s'agit du seul système au monde visant à réglementer les aliments fonctionnels (FOSHU - Foods for Specific Health Use). Pour être classés dans la catégorie FOSHU, les aliments doivent faire partie d'une des catégories suivantes :
À l'origine, les aliments attestés FOSHU devaient renouveler leur statut tous les quatre ans, mais cette exigence vient d'être éliminée et il n'y a plus de date d'expiration. Un trait important distingue les produits FOSHU : ils doivent se présenter sous forme d'aliments, contrairement aux suppléments alimentaires, qui sont généralement offerts en capsules ou en comprimés. On voulait ainsi aider les consommateurs japonais à assimiler les FOSHU à des éléments de leur régime quotidien. La plupart des aliments FOSHU coûtent un peu plus cher que les autres, mais ils restent abordables pour la majorité des Japonais. On évalue à l'heure actuelle les ventes de FOSHU entre 2,2 et 2,3 milliards de dollars. Les produits FOSHU conçus pour abaisser le risque de maladies récurrentes et pour améliorer la digestion occupent la plus grande partie du marché FOSHU. Il y a d'autres produits FOSHU, notamment pour palier à la faible teneur en calcium et en fibres du régime alimentaire des Japonais. Les produits FOSHU ont gagné de la visibilité tout au long des années 1990, et bon nombre de consommateurs japonais recherchent maintenant le logo FOSHU lorsqu'ils achètent des aliments santé. Cependant, le processus d'approbation demeure volontaire et, bien que moins de 200 produits aient été approuvés pour la vente avec le logo FOSHU, plus de 1000 produits nutraceutiques ont accédé au marché à titre de produits de santé. Ces produits, dont bon nombre contiennent les mêmes ingrédients actifs que les produits FOSHU, peuvent être vendus légalement, pourvu que l'étiquette ne mentionne aucun aspect qui touche la santé. Nombre de fabricants n'enregistrent pas leurs produits dans la catégorie FOSHU en raison de la rapidité avec laquelle les ingrédients passent de mode sur le marché japonais. Facteurs déterminants pour la croissance à venirAu cours des dix dernières années, les consommateurs ont montré un intérêt grandissant pour la gestion de leur propre santé. Cet intérêt est dû à l'augmentation des coûts des services de santé au Japon ainsi qu'au pourcentage grandissant de consommateurs qui doivent payer une partie des soins de santé. Par ailleurs, l'industrie des soins de santé a connu une baisse de crédibilité en raison des cas rapportés d'ordonnance excessive de médicaments. Ainsi, la demande d'additifs et d'ingrédients réputés avoir certains effets bénéfiques pour la santé a considérablement augmenté. Le gouvernement japonais appuie également cette tendance d'auto-gestion de la santé puisqu'elle contribue à réduire le fardeau financier du système de santé. Les gens se préoccupant de plus en plus de leur santé, les aliments transformés qui prétendent avoir des caractéristiques telles que faibles en sel, en sucre ou en gras, ont également reçu plus d'attention de la part des consommateurs. Par conséquent, la demande d'additifs ou d'ingrédients santé qui remplacent des produits moins sains augmente. Le vieillissement de la population du Japon est un facteur important de la demande de produits bénéfiques pour la santé. Même si l'espérance de vie des Japonais est la plus élevée au monde, le pays possède une des populations qui vieillit le plus rapidement parmi les nations industrialisées. En 2007, le Japon devrait compter 26 millions de personnes âgées de plus de 65 ans. Un taux de natalité comparativement faible (9,5 pour 1000) et la faiblesse de l'immigration provoquent aussi un vieillissement constant de la population. Par conséquent, plusieurs personnes âgées recherchent des produits qui les aideront à éviter ou à réduire les risques de contracter différentes maladies. Traditionnellement, les consommateurs japonais ne sont pas friands d'aliments épicés. Mais les générations plus jeunes, particulièrement les gens âgés entre 20 et 40 ans, démontrent de l'intérêt pour les aliments épicés. Cette tendance s'explique par le fait que les consommateurs sont de plus en plus exposés aux produits étrangers, que ce soit par le biais de l'importation ou en voyageant à l'étranger. Les fabricants d'épices et d'aliments épicés croient que le marché des produits épicés augmentera avec le vieillissement de la population et l'exposition accrue aux aliments épicés. L'accroissement du niveau de stress chez les travailleurs japonais a créé d'excellents débouchés pour les produits favorisant la détente. Les ventes d'herbes et de thés relaxants ont considérablement augmenté au cours des dernières années. Ce phénomène est peu surprenant dans un pays qui prétend que 10 000 personnes meurent annuellement à cause du surmenage. DébouchésLa consommation de produits à saveur naturelle, qui sont bénéfiques pour la santé, a augmenté et continuera d'augmenter, offrant de bons débouchés aux fournisseurs étrangers puisque la population japonaise accepte les bienfaits médicinaux des produits non traditionnels. Les produits tels que la vanille, le thymol et l'eugénol sont des antioxydants éprouvés. D'autres saveurs naturelles aux propriétés médicinales sont l'aloès, l'angélique, la lavande et la pelure d'orange. Il a été prouvé que l'ail réduisait l'accumulation de gras et de cholestérol dans le corps. À compter du 1er avril 2001, les fabricants doivent indiquer tous les ingrédients génétiquement modifiées sur les étiquettes de produits. Comme les consommateurs craignent que les produits GM présentent certains risques pour la santé, les fabricants ont commencé à chercher des alternatives plus saines pour remplacer les ingrédients et les additifs existants. À titre d'exemple, un fabricant local de bonbon a cessé d'utiliser un édulcorant dérivé de maïs GM pour un édulcorant déviré de pommes de terre. Dans le but d'augmenter ou de conserver leur part du marché, plusieurs producteurs japonais ont annoncé publiquement qu'ils n'utilisaient plus de produits GM. Le Japon étant le plus gros importateur d'aliments et de boissons au monde, il existe d'excellents débouchés pour les fabricants canadiens qui peuvent fournir des produits non GM aux exportateurs canadiens et américains. Plusieurs aliments transformés qui sont présentement exportés au Japon sont fabriqués avec des additifs et des ingrédients GM. Ces aliments devront également se conformer à la nouvelle réglementation à compter d'avril 2001. On prévoit que le marché des acides aminés au Japon connaîtra une croissance annuelle d'un peu plus de 3 %, pour atteindre 640 millions de dollars d'ici 2004. Le glutamate monosodique (qui provient presque exclusivement de producteurs nationaux) continuera de dominer les ventes dans ce marché, avec près de 85 % des ventes totales. Cependant, les additifs utilisés dans la production d'aliments pour animaux, notamment la lysine et la méthionine, connaîtront aussi une plus forte demande puisque le Japon a limité les terres arabes destinées au bétail (ou aux cultures destinées aux aliments pour animaux). Les principaux compétiteurs dans le marché des additifs d'aliments pour les animaux sont Ajinomoto, Kyowa Hakko Kogyo, Novus International et Sunitomo (une co-entreprise entre Nippon Soda et Mitsui Chemical). Projets actuels et prévusLe ministère de la Santé, du Travail et du Bien-être (MHLW) du Japon a annoncé qu'il projetait exiger que les fabricants alimentaires étiquettent tous les produits contenant des ingrédients susceptibles de provoquer des réactions allergiques ou autres réactions négatives chez les consommateurs. Au cours des dernières années, on a constaté un nombre croissant de cas de réactions allergiques à des ingrédients, notamment à des produits courants tels que le lait et les oeufs. Le ministère a décidé que les consommateurs doivent être informés de toute réaction potentielle qui pourrait survenir suite à l'ingestion de certains ingrédients, aussi rarement ou peu fréquemment qu'une réaction puisse survenir. À l'heure actuelle, plusieurs aliments transformés n'ont pas à indiquer leurs ingrédients, à l'exception des produits contenant de la viande ou des aliments en boîte de conserve. À compter d'avril 2001, le MHLW exigera que les ingrédients soient indiqués sur tous les aliments qui répondent à une ou plusieurs des conditions suivantes :
Au départ, on s'attend à ce que le ministère exige l'inscription de 20 à 30 ingrédients. Parmi la liste des ingrédients obligatoires, on s'attend à ce que les oeufs, le lait, les noix, les fèves de soya, les oranges, le blé, le riz, les crevettes et le crabe en fassent partie. En septembre 2000, le MHLW approuvait la vente de 34 herbes sur le marché japonais, notamment le ginseng américain et oriental, la grande camomille, l'aubépine dorée et la valériane. Cette décision dénote un assouplissement marqué de la réglementation nippone. On s'attend également à ce que cette décision entraîne un accroissement des ventes de suppléments alimentaires. Un groupe d'experts des Nations Unies (NU) sur les normes de sécurité et d'étiquetage des aliments a recommandé que les fabricants indiquent les pourcentages, en poids, des ingrédients sur les aliments préemballés. Actuellement, la plupart des fabricants indiquent seulement le nom des ingrédients que l'on retrouve dans le produit et non les quantités de chaque ingrédient. Même si ces normes n'entraînent aucune obligation juridique, elles visent à encourager les gouvernements à créer des lois internes qui s'inspirent des lignes directrices des NU. À la fin de 1999, Tokyo Tanabe vendait ses activités d'additifs alimentaires, principalement axés sur les pigments naturels, à Mitsubishi Chemical. Avant cette entente, Mitsubishi Chemical se consacrait principalement à la sacharide comme additif alimentaire, notamment les esters de sucre, les agents de fixation, l'oligotose et l'érythrite. L'entreprise produit également d'autres acides organiques, additifs et matières alimentaires. CONCURRENCECompétences localesLa production nationale des différents additifs et ingrédients varie considérablement selon le produit. À titre d'exemple, le Japon dépend largement des importations en ce qui concerne les épices. Les fabricants nationaux d'ingrédients et d'additifs santé utilisés dans la production d'aliments fonctionnels, de suppléments diététiques et d'aliments santé font une bonne concurrence aux fournisseurs internationaux. Les grandes entreprises japonaises dans l'industrie des assaisonnements et des épices sont House Foods et S & B Foods. Les ventes annuelles de House Foods s'élèvent à environ 2,3 milliards de dollars. Le cari et d'autres épices comptent pour 37 % des ventes totales, tandis que les aliments secs comptent pour 28 %, les aliments en sachets et autres, 26%, et les nouilles instantanées, 9%. Les ventes annuelles de S & B Foods se chiffrent à plus de 1,2 milliard de dollars, dont environ 57 % sont attribuables aux épices et assaisonnements. Concurrence internationaleLes États-Unis sont le plus gros exportateur d'additifs et d'ingrédients au Japon. Des pays de la région, notamment la Chine, la Malaisie, la Thaïlande, l'Inde et l'Australie, jouent également un rôle important sur le marché nippon. Toutefois, selon le produit, certains pays d'Europe et d'Amérique du Sud fournissent également le marché du Japon. Avantage concurrentiel attribuable aux politiques et initiatives du gouvernement du CanadaProgramme international du Canada pour l'agriculture et l'alimentation (PICAA)Le Programme international du Canada pour l'agriculture et l'alimentation (PICAA) est un élément clé de la stratégie internationale du Canada. Il vise à soutenir le secteur canadien de l'agriculture et de l'agroalimentaire en l'aidant à mettre sur pied des stratégies internationales à long terme qui lui permettront de bien se positionner pour réussir dans les principaux marchés, pour répondre aux exigences croissantes des consommateurs et pour faire face à l'augmentation de la concurrence mondiale. Le PICAA verse des fonds de contrepartie équivalant aux fonds investis par l'industrie pour soutenir différentes activités. Ces activités doivent rehausser et promouvoir la réputation du Canada en tant que chef de file mondial offrant des services et des produits sûrs et de grande qualité, qui répondent aux exigences changeantes des marchés mondiaux, dans les secteurs de l'agriculture, de l'agroalimentaire, des boissons et des produits de la mer. Ainsi, l'industrie agricole et alimentaire canadienne profitera d'un
meilleur accès aux marchés mondiaux et renforcera sa capacité
d'accroître ses ventes à l'échelle internationale. Corporation commerciale canadienneLa Corporation commerciale canadienne (CCC) permet aux entreprises canadiennes d'obtenir un financement et de meilleures modalités de paiement en vertu du Programme de paiements progressifs (PPP). Le concept du PPP a été élaboré sous la forme d'un partenariat entre les principales institutions financières canadiennes et la CCC. Il permet à la banque de l'exportateur d'ouvrir une marge de crédit pour un projet, si la CCC approuve le projet et si l'exportateur est en mesure de mener le projet à terme. La CCC agit également à titre de maître d'oeuvre pour les petites et moyennes entreprises canadiennes afin de leur donner une plus grande crédibilité et un avantage concurrentiel. Société pour l'expansion des exportationsLa Société pour l'expansion des exportations (SEE) propose aux exportateurs canadiens des services d'assurance et de financement des exportations. Une assurance est en outre disponible pour des transactions plus importantes assujetties aux modalités définies par l'acheteur. La SEE préfère travailler au moyen de lettres de crédit, de crédits de banque ou de garanties bancaires. Les détails et l'approbation du financement sont étudiés au cas par cas. Programme de développement des marchés d'exportationLe Programme de développement des marchés d'exportation (PDME) aide les entreprises canadiennes à pénétrer de nouveaux marchés en partageant les coûts d'activités que les entreprises ne pourraient ou ne voudraient normalement supporter seules, réduisant ainsi les risques que comporte la pénétration de marchés étrangers. Les activités admissibles incluent les visites du marché, les foires commerciales, l'accueil d'acheteurs étrangers, la mise à l'essai des produits pour la certification, les frais juridiques liés aux ententes de commercialisation à l'étranger, les frais de transport de stagiaires venant d'entreprises étrangères, les dépenses de démonstration, le matériel promotionnel et les autres dépenses nécessaires pour mettre en oeuvre le plan de développement du marché. Les coûts, approuvés au préalable, sont partagés moitié-moitié. La contribution remboursable du PDME va de 5 000 à 50 000 dollars. La préférence est accordée aux entreprises qui ont moins de 100 employés pour une entreprise du secteur manufacturier et moins de 50 employés pour une entreprise du secteur des services, ou dont le chiffre d'affaires annuel est supérieur à 250 000 dollars et inférieur à 10 millions de dollars. Les autres composants du programme concernent la préparation de soumissions internationales (soumissions pour projets d'immobilisations) et la collaboration avec des associations commerciales quand il s'agit d'élaborer des activités de commercialisation internationales pour leurs membres. Pour obtenir plus de renseignements, veuillez consulter le site http://www.infoexport.gc.ca/pemd-e.asp ou composer au 1-888-811-1119. WIN ExportsWIN Exports, une base de données sur les exportateurs canadiens et leurs compétences, est utilisée par les délégués commerciaux du monde entier et par les partenaires d'Équipe Canada Inc. au Canada pour mettre des fournisseurs canadiens en rapport avec des entreprises étrangères, et pour échanger l'information sur les manifestations commerciales. Pour s'inscrire ou obtenir des renseignements, veuillez consulter le site http://www.infoexport.gc.ca/winexports/home_e.html ou composer le 1-888-811-1119. LOGISTIQUE DU MARCHÉCircuits de distributionLes consommateurs japonais ont la possibilité d'acheter des produits à base d'herbes provenant d'outre-mer bien que ces derniers soient considérés comme des médicaments au Japon. Cependant, dans la plupart des cas, les lois japonaises acceptent un nombre limité d'emballages par commande (habituellement 24). Ces achats doivent être faits à des fins de consommation personnelle et non dans le but de faire de la revente. La disponibilité, grâce à ce mode de distribution, de produits à base d'herbes provenant de l'étranger a entraîné de nouvelles réglementations. Les dirigeants japonais ont assoupli certaines lois afin de permettre aux producteurs locaux de rivaliser avec les producteurs étrangers. La plupart des additifs et ingrédients importés sont vendus directement aux fabricants alimentaires japonais. Seul un petit pourcentage de ces produits importés est disponible, pour les consommateurs, dans les magasins de vente au détail. Distributeurs et grossistesLe système de distribution alimentaire japonais se caractérise par de multiples couches de distributeurs et de grossistes (dont bon nombre se spécialisent dans des produits spécifiques) qui ont établi d'étroites relations avec les fabricants, les détaillants, les importateurs et d'autres grossistes. Les distributeurs qui se spécialisent dans certains produits offrent aussi généralement les gammes concurrentes et se chargent de certaines ou de toutes les activités promotionnelles. Selon l'entente, les distributeurs et les grossistes supervisent aussi parfois le service à la clientèle. Le choix d'un grossiste ou d'un distributeur approprié est une étape essentielle pour accéder au marché japonais. Une étroite collaboration avec un partenaire japonais permet de s'assurer que le produit est conforme aux règlements, aux normes et aux exigences en matière de qualité, autant d'éléments essentiels pour obtenir de bons résultats sur le marché nippon. Les producteurs doivent communiquer fréquemment avec leur distributeur ou leur grossiste, ce qui inclut d'ordinaire un ou plusieurs voyages annuels au Japon. Des contacts trop sporadiques sont généralement interprétés comme un manque d'engagement. De bonnes communications vont souvent déterminer les efforts déployés par un distributeur et un grossiste pour assurer la promotion des produits d'un fabricant. Le nombre de ventes directes aux détaillants japonais a augmenté au cours des dernières années. Toutefois, les petites épiceries et les boutiques spécialisées dépendent encore des services des grossistes. Le recouvrement, les livraisons et la gestion des stocks ne sont que quelques exemples des services qu'offrent les grossistes aux petits détaillants. Quand ils recherchent les services d'un distributeur ou d'un grossiste, les exportateurs doivent tenir compte de la relation qu'ont ces personnes avec les gouvernements locaux, les acheteurs et les banques, et l'état de leurs installations. Les exportateurs doivent aussi s'assurer que le distributeur ou le grossiste est prêt à gérer des stocks et qu'il est en mesure de le faire. On conseille aux producteurs canadiens d'examiner les dispositions de la loi japonaise avec un avocat compétent avant de s'engager avec un partenaire éventuel. Agents et représentantsLes agents constituent un excellent moyen de lancer de nouveaux produits sur le marché japonais. Les agents recherchent des occasions commerciales et signent des ententes au nom de l'exportateur qu'ils représentent, mais ils ne prennent pas en charge les produits qu'ils vendent. L'exportateur doit évaluer un certain nombre de facteurs quand il choisit un agent, notamment :
Une visite au Japon est le meilleur moyen d'évaluer tous ces aspects. Les fabricants doivent aussi s'assurer que les responsabilités sont clairement définies avant d'établir une relation à long terme. Facteurs à considérer pour accéder au marchéPratiques commerciales proposéesLes entreprises japonaises sont extrêmement efficaces et s'attendent à ce que leurs associés commerciaux étrangers le soient aussi. Ainsi, arriver en retard à une réunion est inacceptable et peut ternir une relation autrement positive. Les premières rencontres avec les entreprises japonaises doivent être organisées par l'entremise d'un contact commun, comme l'ambassade du Canada au Japon. Ces premières rencontres permettent souvent d'établir des relations personnelles et de s'entendre sur des intérêts communs. Les exportateurs canadiens doivent aussi se rappeler que la plupart des initiatives commerciales japonaises commencent au bas de l'échelle et progressent ensuite. Les entreprises étrangères court-circuitent souvent les niveaux inférieurs d'administration afin d'arriver directement aux dirigeants. En adoptant cette approche, on ne réussit le plus souvent qu'à se mettre à dos les principaux décideurs. Pour nombre d'entreprises japonaises, une présence permanente sur le marché est nécessaire pour faire affaire avec des sociétés étrangères. Quelle que soit la qualité du produit, un fournisseur qui n'assure pas une présence locale pour régler (en japonais) les problèmes ou pour répondre aux demandes de renseignements aura de la difficulté à établir des relations commerciales avec les entreprises nippones. Même s'il est possible de combler ce besoin en nommant un agent ou un distributeur compétent, les producteurs doivent quand même se rendre relativement souvent au Japon. On attend d'ailleurs des exportateurs qu'ils y aillent au moins une fois ou deux par an pour assister à des réunions. On recommande fortement aux exportateurs de faire appel à des interprètes pendant les réunions d'affaires. Les interprètes permettent aux associés commerciaux japonais - même à ceux qui parlent anglais - de se sentir plus à l'aise et, peut-être, de donner plus de détails qu'ils ne le pourraient s'ils s'exprimaient en anglais. Les interprètes doivent être informés sur les entreprises concernées, les produits spécifiques et les objectifs de la réunion. Après la réunion, les interprètes devront informer les participants étrangers sur le sens du timbre de voix de leurs homologues japonais et sur leurs échanges non verbaux. La participation à quelques-uns des nombreux salons professionnels et foires commerciales spécialisés qui se tiennent au Japon est un excellent moyen, pour les exportateurs éventuels, d'évaluer le marché et d'établir des contacts. Compte tenu des nombreux préparatifs nécessaires pour participer à ces activités et de la nécessité de communiquer en japonais, le choix d'un agent ou d'un distributeur est généralement une condition préalable pour que la participation à ces salons soit efficace. Health Ingredients Japan 2001 est le plus important événement en Asie en matière d'ingrédients et additifs alimentaires. En 2000, plus de 265 exposants de domaines tels que l'aromatisation, les émulsifiants, les épices, les édulcorants et les herbes s'y trouvaient. La participation étrangère à cet événement est de plus en plus forte parce que bon nombre de producteurs sont conscients des occasions d'affaires et du potentiel de ce marché. Règlements en matière d'importationSelon les articles de la Food Sanitation Law, les additifs alimentaires de composition chimique synthétisée ne peuvent être utilisés que dans les aliments désignés par le MHLW(3). Les importations alimentaires sont contrôlées de près par le MHLW afin d'assurer que les types et les quantités d'additifs alimentaires contenus dans les produits sont conformes à la réglementation japonaise. Les producteurs canadiens d'ingrédients et d'additifs (surtout dans le cas des produits à base d'herbes) doivent examiner attentivement les lois japonaises afin de voir la classification de leurs produits; certains sont considérés pharmaceutiques, d'autres alimentaires. Les produits à base d'herbes sont classifiés à partir de l'historique du produit ainsi que selon les informations relatives à la sécurité et à l'efficacité. Ainsi, des produits classifiés comme herbes ou médicaments au Canada peuvent être considérés comme aliments au Japon et vice versa. Cependant, le MHLW a débuté un programme visant à assouplir la réglementation en ce qui a trait aux ingrédients et aux additifs. Récemment, la classification des produits à base d'herbes est devenue encore plus complexe en raison de l'apparition de plusieurs articles qui étaient auparavant inconnus ou non disponibles au Japon. Certains de ces produits (dont le palmetto, utilisé pour traiter le millepertuis) sont classifiés en tant qu'ingrédients alimentaires (utilisés habituellement dans la production de suppléments diététiques) et non en tant que médicaments pour autant qu'aucune allusion à la santé ne soit faite sur l'étiquette des produits dans lesquels ils sont inclus. Les épices sont réglementées, selon leur composition, par la Food Sanitation Law ou par la Plant Protection Law. Normes, certificats et enregistrements locauxUne série de documents d'expédition doivent être joints à tous les produits exportés au Japon. On recommande aux exportateurs canadiens d'utiliser les services d'un courtier en douane, importateur, agent ou distributeur japonais de façon à garantir que les documents requis sont préparés correctement et arrivent avec le chargement. Tous les documents doivent être rédigés en anglais et en japonais afin d'éviter des retards inutiles. Font partie de ces documents : La facture commerciale. La facture commerciale est un document émis par l'exportateur à l'acheteur et doit accompagner chaque chargement expédié au Japon. Les factures doivent être signées par l'exportateur. Les factures doivent être vérifiées avec soin puisque des erreurs ou des omissions peuvent occasionner des retards, des amendes ou même une confiscation. Les renseignements suivants doivent figurer sur le document :
L'exportateur vérifiera auprès de son agent en douane le nombre d'exemplaires de la facture commerciale qu'il doit joindre à chaque expédition, ce nombre variant selon le produit expédié. Tout renseignement promotionnel doit aussi être inclus avec la facture commerciale. La déclaration des exportateurs (formulaire B-13). L'exportateur dont l'expédition a une valeur de 2 000 dollars ou plus doit remplir un formulaire de déclaration des exportateurs. Même si, en principe, les exportateurs sont responsables, ce sont habituellement les agents, courtiers ou transporteurs qui remplissent le formulaire et le soumettent à leur place. Le bordereau d'expédition. Un bordereau d'expédition est nécessaire lorsque l'envoi comprend plusieurs paquets, sauf si la facture commerciale donne l'information requise. Le bordereau indique le nombre de paquets dans une caisse; les poids net, brut et légal de chaque caisse, et le poids total du chargement; le volume des paquets individuels, et le volume total du chargement. De quatre à sept exemplaires du bordereau d'expédition doivent accompagner chaque chargement, selon la nature du produit expédié. Le connaissement. Le connaissement est un document remis à l'expéditeur attestant la réception du chargement. Chaque expédition peut contenir une série de connaissements, dont une copie est versée au dossier et deux autres sont envoyées à l'importateur et à l'agent en douane. Le connaissement devrait inclure :
Le certificat d'origine. Un certificat d'origine confirme que les marchandises proviennent du Canada et sont ainsi sujettes à tous les droits et taxes applicables aux produits canadiens. L'emballage et l'étiquetage. Les additifs et les ingrédients offrent un net avantage sur les produits alimentaires et les boissons car ils n'ont pas à se soumettre (s'ils apparaissent sur la liste des additifs approuvés par le MHLW) à toute la réglementation japonaise d'étiquetage et d'emballage concernant les aliments transformés, frais ou congelés. On doit indiquer la présence de produits génétiquement modifiés sur l'étiquette de tous les aliments et boissons (qu'ils soient importés ou produits localement). Cependant, il existe des exceptions à cette règle. On ne doit pas en faire mention sur l'étiquette lorsque les ingrédients GM de ces produits sont dissous ou enlevés lors du procédé de fabrication. Exemptions proposées à la réglementation d'étiquetage :
Authentification de documentsLes documents qui doivent être authentifiés, comme les certificats de vente et les lettres autorisant le distributeur ou l'agent local à agir pour le compte de l'exportateur, doivent d'abord être notariés au Canada. Les exportateurs peuvent faire authentifier les documents notariés, sans frais, en les envoyant au service d'authentification et de signification de documents (JLAC) du Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international. Risques associés au crédit à l'exportation, restrictions sur les lettres de crédit et contrôle des devisesLe Japon n'impose actuellement aucune restriction à l'égard des lettres de crédit ou du contrôle des devises. En général, la méthode de paiement est négociée entre chaque fournisseur et le distributeur. Le paiement est habituellement effectué par lettre de crédit valide pour une durée de 30 à 60 jours. Dans le cas où un contrat de distribution serait conclu, on recommande à l'exportateur de préparer un contrat détaillant les principales modalités de l'entente, les droits, les responsabilités, etc. ACTIVITÉS PROMOTIONNELLES Exposition et conférence internationales des additifs et ingrédients
alimentaires Organisateur: Health Ingredients Japan 2001 Organisateur: Food Design Show Organisateur: Foodex Japan Organisateur: Hoteres & Foodex Kansai Organisateur: PRINCIPAUX CONTACTS ET SERVICES DE SOUTIENGouvernement et organismes du CanadaAmbassage du Canada Consulat du Canada-Fukuoka Consulat du Canada-Nagoya Consulat général du Canada-Osaka Chambre de commerce du Canada Montréal Corporation commerciale canadienne Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) Agriculture et Agroalimentaire Canada Alliance des manufacturiers et des exportateurs du Canada Banque de développement du Canada Conseil commercial Canada-Japon Chambre de commerce du Canada Agence canadienne de développement international (ACDI) Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international Service d'authentification et de signification de documents (JLAC) Division de la Corée et de l'Océanie (PJP) Direction de l'appui aux marchés (TCM) Société pour l'expansion des exportations Agriculture et Agroalimentaire CanadaLes contacts régionaux du Service d'exportation agroalimentaire sont les suivants : M. Al McIsaac M. Chris Pharo Mme Fay Abizadeh Shun Ishiguro Mme Shelley Manning M. Marc Chénier M. Roy Gordon M. Bernard Mallet Mme Sharon Burke M. Rodney Dlugos Centres de commerce internationalLes exportateurs canadiens peuvent obtenir des conseils et des publications en communiquant avec un Centre de commerce international local. Pour connaître le centre le plus près de chez vous, composez le 1-888-811-1119. Contacts au sein du gouvernement japonaisAmbassage du Japon au Canada Foreign Investment Promotion Development Corporation (FIND) (Corporation
de développement et de promotion de l'investissement étranger) Japan Standards Association (Association de normes du Japon) Japanese External Trade Organization (JETRO) (Organisation japonaise
de commerce extérieur) - au Canada À Toronto À Vancouver JETRO au Japon JETRO Business Support Centre (Centre d'aide aux entreprises) National Agriculture Research Centre (Centre nationale de recherche en
agriculture) National Institute of Agrobiological Resources (Institut national de
ressources agrobiologiques) Japan Health Food and Nutrition Food Association (Association japonaise
d'aliments santé et nutritifs) Japan Standards Association (Association de normes du Japon) JETRO Standards Information Service (Service d'information sur les normes
) Ministry of Agriculture, Forestry and Ficheries (Ministère de l'Agriculture,
des Fôrets et des Pêches) Ministry of Foreign Affairs (MOFA) - Standards Information Service (Ministère
des Affaires étrangères - Service d'information sur les normes) Ministry for Health, Labour and Welfare Ministry of Agriculture, Forestry and Fisheries (Ministère de l'Agriculture,
des Forêts et des Pêches) Ministry of International Trade and Industry (MITI) (Ministère du Commerce
international et de l'Industrie) National Research Institute of Agricultural Engineering (Institut national
de recherche en génie agricole) Associations commerciales/Chambres de commerce au JaponAmerican Chamber of Commerce in Japan (AACJ)-Kansai Chapter (Chambre
de commerce américaine au Japon - Section de Kansai) Chambre de commerce du Canada au Japon (CCCJ) Japan Chamber of Commerce and Industry (Chambre de commerce et de l'industrie
du Japon) Nagoya Chamber of Commerce and Industry (Chambre de commerce et d'industrie
de Nagoya) Osaka Chamber of Commerce and Industry (Chambre de commerce et d'industrie
d'Osake) Japan Food Service Association (Association des services d'alimentation
du Japon) Japan Foreign Trade Council, Inc. Japan Frozen Food Association (Association japonaise des aliments congelés) Tokyo Chamber of Commerce and Industry (Chambre de commerce et d'industrie) Banques canadiennes au JaponBanque de Nouvelle-Écosse Banque de Montréal Banque canadienne impériale de commerce (CIBC) Banque nationale du Canada Banque royale du Canada Banque Toronto-Dominion Banques commerciales au JaponAsahi Bank Bank of Tokyo-Mitsubishi Daiichi Kangyo Bank Daiwa Bank Export-Import Bank of Japan Fuji Bank Industrial Bank of Japan Japan Development Bank Sakura Bank Sanwa Bank Sumitomo Bank Agences de traduction au JaponAccess Japan Inc. Berlitz Translation Service Dynaword, K.K. Forte Inc. Inter Group Co. Ltd. I.S.S. Service Centre Inc. Japan Onvention Service Inc. Linguabank Inc. Linx Inc. Simul International Inc. Sansei International Inc. BIBLIOGRAPHIEAfrica News Service. "JETRO Pledges to Promote Spices Industry in Tanzania," 11 décembre 2000. Agence France-Presse. "Thai Herb Could Replace Artificial Sweeteners," 28 juin 2000. Business Communications Company Inc. Food Ingredient Industry Review, mai 2000. Business Wire. "DMV International Nutritionals Announces FOSHU Status Granted in Japan to a Nutraceutical Beverage Containing an Exclusive DMV Ingredient," 18 janvier 2000. Chemical Business Newsbase. "Japan: Feed Additives Consumption in 1998," 21 décembre 1999. ------. "Consumer Demand for Genetically Pure Food Creates Export Opportunity for Australian Farmers," 1er mars 2000. ------. "JCW Spotlight: Flavours and Fragrances, Steady Steps Towards Demand Recovery," 5 décembre 2000. Deutsche Presse-Agentur. "Japanese Tastes Change, Improving Market for Imports from Other Asian Countries," 15 mars 2000. Food Trade Review. "Sweetening Options for the Japanese Market," 1er juin 2000. The Freedonia Group, Inc. World Amino Acids to 2004, mai 2000. Healthy & Natural Journal. "Red Tea Comparable to Green Tea," 1er octobre 2000. ------. "Sale of 34 Herbs OK'd (by Japan)," 1er octobre 2000. Industries in Transition. "Europe, Asia Still Reject GM Products," 1er juillet 2000. International Food Ingredients. "Japan 2000: Health Ingredients," juillet 2000. Japan Chemical Week. "Mitsubishi Chemical Takes Over Tokyo Tanabe's Food Additive Business," 9 septembre 1999. Japan Management Association. Foodex Japan: Import Procedure for Food, novembre 1998. Japanscan Food Industry Bulletin. "Food Additives Market Worth Y768.8 Billion," Janvier 2000. ------. "Food Industry Production Trends," Avril 2000. ------. "Japan: Demand for Sweeteners for Soft Drinks Japan Weekly Monitor. "UN to Ask Makers to State Percentages of Food Ingredients," 5 juin 2000. JETRO. Japanese Market Report - Regulations and Practices - Spices, mars 2001. PR Newswire. "Celanese AG Announces Japanese Authorities Approve Nutrinova's Sweetener," 25 avril 2000. Prepared Foods. "Functional Foods Forecast," 1er novembre 2000. National Post. "Monsanto Completes Sale of NutraSweet," 31 mai 2000. Nutraceuticals International. "Boom in Nutraceutical Chemicals Predicted," 1er octobre 2000. ------. "Medicinal Herbs Grab Attention at Japan's Health Ingredients 2000 Show," 1er octobre 2000. ------. "Kampo Medicine Survives and Prospers Despite Japanese Recession," 1er novembre 2000. Nutraceuticals World. "The Herb/Botanical Market in Japan," juillet 2000. The Seattle Times. "Japanese Men Working Selves to Early Death," 4 juin 2000. Yomiuri Shimbun/Daily Yomiuri. "Government Plans to Require Labeling of Allergens," 5 février 2000. ------. "Surge in Popularity Seen for Multinational Cuisine," 1er janvier 2001. AUTRES DOCUMENTS DE RÉFÉRENCEJapan External Trade Organization (JETRO). Specifications and Standards for Foods, and Food Additives, (Spécifications et normes en matière d'aliments et d'additifs alimentaires, janvier 2000). Sites Internet utilesService d'exportation agroalimentaire : http://sea.agr.ca Conseil commercial Canada-Japon : http://magi.com/~cjtc Chambre de commerce du Canada au Japon : http://www.cccj.or.jp Ambassade du Canada au Japon : http://www.dfait-maeci.gc.ca/ni-ka Ministère des Affaires étrangères et du Commerce international : http://www.dfait.maeci.gc.ca Ambassade du Japon au Canada : http://embassyjapancanada.org ExpoGuide: http://www.expoguide.com ExportSource: http://exportsource.gc.ca Global Window - Guide pour réussir en affaires au Japon : http://www.anderson.ucla.edu/research/japan/mainfrm.htm Gouvernements sur le web : Japon : http://www.gksoft.com/govt/en/jp.html InfoExport: http://www.infoexport.gc.ca IngrID on the Net: http://www.ingrid.co.uk Douanes japonaises : http://www.mof.go.jp/~customs/conte-e.htm Japan External Trade Organization (JETRO): http://www.jetro.go.jp/top/index.html Japan Information Network: http://jin.jcic.or.jp Serveurs pertinents au gouvernement japonais : http://www.cao.go.jp/index-e.html Ministère des Finances du Japon : http://www.mof.go.jp/english/files.htm Sites web japonais : http://www.magnet.state.ma.us/export/govinfo.htm#japan Liens vers des agences de statistiques : http://www.stat.go.jp/148.htm Agence de gestion et de coordination du Japon, Bureau de la statistique et Centre de la statistique : http://www.stat.go.jp/1.htm Ministère de l'Agriculture, des Fôrets et des Pêches : http://www.maff.go.jp/eindex.html Ministère des Finances : http://www.mof.go.jp/english/index.htm Ministère des Affaires étrangères du Japon : http://www.mofa.go.jp Ministère du Commerce international et de l'Industrie : http://www.meti.go.jp/redirect/index_U.html National Agriculture Research Centre (Centre national de recherche en agriculture) : http://ss.narc.affrc.go.jp/index-e.html National Food Research Institute (Institut national de recherche alimentaire) : http://www.nfri.affrc.go.jp Strategis: http://strategis.gc.ca Tradeport: http://www.tradeport.org Trade Show Central: http://www.tscentral.com Ministère de l'Agriculture des États-Unis (USDA) : http://www.fas.usda.gov 1. Tous les montants en argent sont indiqués en dollars canadiens, à moins d'indication contraire. Le taux de change en dollars canadiens est basé sur les Services de renseignements de la DDI, Tradeline, décembre 2000. 2. Pour connaître le nom des contacts au sein des organismes mentionnés dans ce rapport, veuillez consulter la section Principaux contacts et services de soutien. 3. Pour une liste exhaustive des additifs alimentaires, des méthodes d'utilisation permises, des quantités maximales pouvant être utilisées ou pour toute autre limite ou restriction, veuillez consulter : Japan Management Association. Foodex Japan : Import Procedure for Food, novembre 1998.
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