Aliments > Produits de viande et de volaille > Manuel des méthodes > Chapitre 19 CHAPITRE 19 ANNEXE H: PROTOCOLE GÉNÉRIQUEVersion imprimable en format PDF TABLE DES MATIÈRES
H.1 IntroductionLe protocole général savère un outil précieux pour faciliter, dune part, lapprobation des nouvelles technologies ou méthodes par les organismes responsables de la réglementation et, dautre part, leur intégration par les établissements agréés en vertu de la Loi sur linspection des viandes et de son règlement dapplication. Il précise les essais fondamentaux et les données ultérieures requis pour autoriser une évaluation scientifique. Le protocole général peut être élaboré sur mesure en fonction des besoins particuliers dun établissement. Voici des exemples de méthodes qui peuvent être testées selon ce protocole : retransformation sur chaîne ou hors chaîne; réutilisation du trop-plein deau du refroidisseur; reconfiguration des chaînes déviscération susceptibles d'influer sur la détection des défauts ou sur le dénombrement des bactéries présentes sur les carcasses. H.2 Exigences préalablesLes essais et les mécanismes de contrôle proposés doivent, dune part, sinscrire dans un système HACCP (Analyse des risques et maîtrise des points critiques - programmes préalables et plan HACCP) approuvé par lAgence canadienne dinspection des aliments (ACIA) et, dautre part, démontrer une maîtrise constante du procédé, p. ex. conformité à légard des Normes des produits finis (NPF, pour que létablissement associé puisse participer à titre dusine pilote fonctionnant selon le protocole général. H.3 PortéeLes changements proposés susceptibles de nuire à un ou plusieurs des aspects suivants doivent être évalués selon le protocole :
Toutes les opérations menées dans létablissement peuvent faire l'objet d'une proposition dans le cadre dun projet pilote, p. ex. accrochage des volailles vivantes, échaudage et plumaison, éviscération, refroidissement, dépeçage et désossage, emballage, etc... H.4 Mécanisme dappelDès que lon se demande si un changement proposé requiert une évaluation selon le protocole général, le secteur ou un inspecteur peut soumettre la proposition au chef, Programmes dinspection de la volaille, qui prendra une décision à cet égard à la suite de consultations avec les spécialistes techniques. H.5 Présentation des demandesUne demande contenant les éléments suivants doit être soumise au vétérinaire responsable (VR) :
Le vétérinaire responsable (VR) doit examiner la demande pour sassurer quelle contient tous les renseignements requis. Sil la juge complète, il la transmettra au chef, Programmes dinspection de la volaille, Division de la viande et des produits de la volaille (DVPV), en laccompagnant dune lettre signée par lui contenant ses commentaires et indiquant que toute préoccupation doit être portée à lattention du gestionnaire de programme régional, Produits de la viande. Le projet pilote ne démarrera quune fois que létablissement aura reçu une lettre dautorisation de la DVPV. Une copie des documents sur les nouvelles méthodes ou procédés susceptibles d'influer sur linnocuité des aliments sera transmise à Santé Canada (SC). Les épreuves de contrôle commencent avant la réception de la lettre dautorisation à condition que le VR accepte de surveiller lapplication des méthodes. Toutefois, il faudra peut-être ajouter dautres épreuves et méthodes pour compléter le protocole expérimental si celui-ci est modifié par la DVPV. H.6 Élaboration des politiquesDans lensemble, de trois à cinq répétitions devraient suffire pour accumuler assez dinformation pour formuler les politiques connexes, incluant tous les mécanismes de contrôle requis ainsi que les normes ou les lignes directrices opérationnelles associées qui seront incluses dans le Manuel des méthodes - Hygiène des viandes. On tiendra compte des rapports publiés et des renseignements confidentiels soumis par lindustrie pour déterminer le nombre de projets pilotes requis par le chef, Programmes dinspection de la volaille, avant de modifier le Manuel des méthodes (MM). Une ébauche de la politique proposée sera diffusée à tous les groupes concernés (y compris SC) aux fins de commentaires. Les projets confidentiels seront traités comme étant de linformation particulière à un établissement (cest-à-dire à ne pas publier), jusquà ce quil devienne évident que plusieurs établissements auront mené des projets pilotes analogues. À ce moment-là, on commencera à formuler la politique. H.7 Protocole expérimentalLincidence du changement proposé sera démontrée grâce au prélèvement déchantillons témoins et traités, conformément à un protocole expérimental approuvé par la DVPV et appliqué dans le cadre dun projet pilote sous la surveillance de lACIA. Voici quelques options proposées :
Le protocole expérimental proposé doit inclure les éléments d'information suivants :
H.8 Compétence des employésLes employés désignés doivent être formés de manière à faciliter le changement proposé. Le personnel doit être agréé au besoin pour des fonctions données, comme la présélection, la présentation-détection, la retransformation, les essais selon les NPF. Lentreprise doit conserver sur place les documents sur le programme de formation et sur la formation des employés et les mettre à la disposition du personnel de lACIA aux fins de vérification. H.9 Postes déchantillonnagePour les épreuves microbiologiques, les carcasses doivent être prélevées tel que précisé dans le Pathogen Reduction/HACCP Regulations de lUSDA, cest-à-dire au moins 1 poulet sur 22 000 ou 1 dindon sur 3 000; le poste déchantillonnage peut toutefois être changé pour répondre aux besoins de lexpérience. Léchantillonnage doit se faire de telle manière que les résultats des essais puissent également répondre aux exigences à lexportation concernant les États-Unis. Le protocole expérimental doit préciser quel sera le poste de prélèvement des échantillons pour chacune des épreuves. Le poste déchantillonnage pour les essais dévaluation de la prévalence des défauts sur les carcasses (le cas échéant) et les épreuves de vérification de la détection des défauts de la cavité interne doit être choisi en consultation avec le chef, Programmes dinspection de la volaille, pour les projets pilote comportant une reconfiguration de la chaîne déviscération. Autrement, les carcasses seront choisies :
H.10 Épreuves microbiologiquesNota : Consulter le chapitre 11 sur les exigences à lexportation concernant les États-Unis pour obtenir de plus amples renseignements sur la sélection et le traitement des échantillons pour les épreuves microbiologiques (E. coli). Les échantillons doivent être choisis au hasard et manipulés en asepsie. Il faut dénombrer les bactéries en utilisant une technique de rinçage des carcasses (diluant au phosphate de Butterfield (DPB)), à raison de 400 ml pour les poulets et de 600 ml pour les dindons ou toute autre méthode exigée par lACIA (p. ex. écouvillonnage des carcasses de dindons). Le rinçage avec le diluant peut être pratiqué dans une aire compatible de létablissement; on peut également choisir d'expédier les carcasses au laboratoire pour cette opération. Les échantillons (carcasses ou liquide de rinçage) doivent être réfrigérés à 4ºC ou moins (mais pas surgelés) jusquà ce quils soient analysés (sur place); ils peuvent aussi être emballés et expédiés au laboratoire extérieur. Les échantillons expédiés doivent être emballés dans des contenants isolés renfermant des contenants réfrigérants afin de maintenir la température à la surface de la carcasse entre 0 et 7 ºC pendant le transport jusquau laboratoire (toute la nuit). Les épreuves microbiologiques doivent commencer dans les 24 heures suivant léchantillonnage avec environ le même intervalle de temps entre le prélèvement et lanalyse en laboratoire, et ce, pour tous les échantillons. Le dénombrement total de E. coli par ml ou cm2 servira d'indicateur de la contamination fécale. Il faut aussi procéder à un dénombrement total sur plaque (DTP) pour chaque carcasse à titre dépreuve de confirmation de lincidence du changement proposé sur lhygiène du procédé et dindicateur de la durée de conservation. Pour des raisons stratégiques nationales et pour le commerce international, il se peut que des établissements fédéraux aient à démontrer qu'ils ont mis en place un programme de lutte contre les agents pathogènes, du moins contre les salmonelles. De plus, il faut mener des épreuves de dépistage dagents pathogènes particuliers comme Salmonella sp. et Campylobacter sp. une fois que des méthodes de dénombrement plus économiques seront mises au point et approuvées par la communauté internationale. Il faut déterminer la présence ou labsence dagents pathogènes donnés, dès que le Chef, Programmes dinspection de la volaille, de concert avec les experts techniques (y compris ceux de SC), ont déterminé que la méthode proposée peut favoriser la croissance ou la survie sélective dagents pathogènes particuliers ou quand on le juge nécessaire pour faciliter lapprobation des méthodes, des procédés ou des techniques dinspection nouveaux ou innovateurs par la communauté internationale. H.11 Accréditation des laboratoiresLes projets pilotes portant sur les procédés et méthodes qui ont été publiés dans des périodiques lus par des pairs ne requerront habituellement pas le recours à un laboratoire accrédité tel que déterminé par le Chef, Programmes dinspection de la volaille. Toutefois, sil sagit de nouvelles méthodes inédites, celles-ci devront être appliquées par un laboratoire accrédité au besoin pour favoriser leur approbation par la communauté internationale (et louverture de marchés dexportation), tel que déterminé par la DVPV ou tel que demandé par SC ou lACIA pour dissiper les craintes concernant l'innocuité des aliments, en particulier lorsquil sagit dépreuves microbiologiques requises pour le dépistage d'agents pathogènes responsables de toxi-infections alimentaires. Les laboratoires accrédités par le gouvernement fédéral, les provinces ou un organisme gouvernemental américain pour la conduite dépreuves microbiologiques précises ou par un organisme d'accréditation internationalement reconnu, comme le Conseil canadien des normes (CCN), seront considérés comme étant accrédités aux fins du PROTOCOLE GÉNÉRAL. Les laboratoires fédéraux, provinciaux et universitaires seront reconnus comme ayant léquivalent de laccréditation au titre du protocole. Les établissements qui veulent obtenir une reconnaissance pour leur propre laboratoire interne devront mettre en place, pour ce laboratoire, un programme de gestion de la qualité (SGQ) équivalent à ce quexige le gouvernement (SC et ACIA) pour laccréditation. Les demandes doivent être soumises au chef, Toxi-infections alimentaires, ACIA, aux fins dévaluation. Le chef ou son représentant ira une ou plusieurs fois sur place, aux frais de létablissement, pour constater si ce dernier peut obtenir un statut équivalent à laccréditation aux fins du présent protocole. Les laboratoires non accrédités doivent être inclus dans les programmes préalables de létablissement, en tant que partie intégrante du système HACCP, et être accessibles au personnel de lACIA (aux fins de vérification des méthodes danalyse, des dossiers et de léquipement) pour être acceptés selon le présent protocole. Si le laboratoire est situé loin de létablissement, lentreprise doit garantir un accès illimité au personnel de lACIA et assumer les dépenses de vérification de lorganisme sur une base de plein recouvrement des coûts. NOTA : À la fin du projet pilote mené selon le PROTOCOLE GÉNÉRAL, il ne sera plus nécessaire de faire appel à un laboratoire accrédité. En effet, les épreuves microbiologiques courantes seront réalisées dans le laboratoire désigné d'après le système HACCP de létablissement. H.12 Taille de léchantillonNOTA: Cette section décrit les épreuves requises pour les projets pilotes qui demeurent toujours conformes aux exigences et aux normes du programme, y compris les épreuves de vérification de la détection des défauts de la cavité interne et les essais NPF réalisés avant le refroidissement tel que décrit à lannexe D de ce chapitre. Consulter la section Critères d'acceptation et de refus pour les correctifs, y compris les épreuves additionnelles requises, quand les épreuves courantes ne permettent pas de démontrer que le procédé testé est maîtrisé. En labsence dune norme nationale canadienne, il faut dabord établir une norme particulière à létablissement en prélevant des échantillons pendant une période de contrôle correspondant à celle prévue pour la phase d'essai du projet pilote. Diverses études ont révélé que cest entre les carcasses dun même lot, traitées apparemment dans les mêmes conditions, que lon trouve le plus décarts expérimentaux. Cependant, on peut aussi observer beaucoup de variation dun producteur à lautre ou dun lot à lautre. Par conséquent, léchantillonnage réalisé pour les épreuves microbiologiques devrait être échelonné sur au moins 30 lots et 20 producteurs pour les échantillons témoins et de nouveau pour les échantillons traités, ou sur au moins 20 lots ou producteurs si les échantillons sont appariés. Lanalyse pour les défauts doit se poursuivre pendant les phases de contrôle et d'essai du projet pilote. H.12.1 Épreuves microbiologiques (dénombrements totaux de E. coli)100 carcasses témoins et 100 carcasses traitées, si les premières sont prélevées avant les secondes (Protocole expérimental, option i.); 50 échantillons appariés si les échantillons témoins et traités sont prélevés dans un même lot en même temps. (protocole option ii.), si le protocole expérimental et les contrôles du procédé sont considérés comme étant valables par les experts techniques consultés, et pour loption iii. Avec un taux de confiance de 95 p. 100, une puissance de 80 p. 100 et une variance groupée présumée de 0,58, un échantillon de 100 carcasses est considéré comme étant suffisant pour obtenir un écart moyen de 0,3 log10 entre les groupes témoins et traités pour le dénombrement de E. coli. H.12.2 Détection et élimination des défautsLes essais NPF réalisés avant et après le refroidissement. H.12.3 Taux de non détection des défautsÉpreuves de contrôle pour les défauts de la cavité interne, tous les deux tels que décrits à la section 19.6.2 de ce chapitre. Pour les procédés qui ne sont pas couverts par le présent "protocole générique" ou le chapitre 19, léchantillonnage et la fréquence doivent être précisés par le chef, Programmes dinspection de la volaille. H.12.4 Prévalence des carcasses comportant des défauts exigeant un examen vétérinaireCes épreuves ne sont requises que pour les changements proposés susceptibles dinfluer sur les symptômes dune maladie généralisée dimportance pour la santé publique sur les carcasses, avant la détection et linspection post-mortem. Les épreuves requises doivent être réalisées par les inspecteurs du gouvernement. Le vétérinaire responsable (VR) sassurera que la détection et linspection post-mortem ne sont pas compromises. Les cas inhabituels qui pourraient affecter la décision du vétérinaire doivent être portés à l'attention de ce dernier pendant le test de prévalence. Le directeur des opérations doit accepter de fournir le personnel qui mènera ces essais. L'évaluateur et la personne chargée de consigner les résultats doivent recevoir la formation nécessaire pour interpréter les résultats de lépreuve selon la politique nationale. Il incombe au chef, Programmes dinspection de la volaille, de déterminer la nécessité de cette épreuve en consultation avec des experts techniques, en particulier le chef, Épidémiologie et analyse des risques. Sil y a lieu, ceux-ci détermineront la taille de léchantillon et fourniront un protocole déchantillonnage détaillé pour chaque test de prévalence. En général, dans un établissement disposant de deux chaînes déviscération semblables permettant léchantillonnage apparié (p. ex. linspecteur va dune chaîne à lautre toutes les « X » minutes et passe environ le même temps à chaque chaîne pour chaque lot), il faut évaluer au total 14 000 carcasses, soit 700 carcasses/jour X 20 jours et 7 000 carcasses/chaîne. Toutefois, si lépreuve peut être répétée dans un deuxième établissement (muni également de deux chaînes) pour faciliter lanalyse statistique, il faut alors prélever 7 000 carcasses à chaque établissement pendant 10 jours ouvrables, soit 700 carcasses/jour X 10 jours et 3 500 carcasses/chaîne X 4 chaînes, ce qui donne également un total de 14 000 carcasses. Avec un taux de confiance de 95 p. 100, une puissance de 80 p. 100, un test unilatéral et un taux de prévalence national estimatif de 1,2 p. 100, un échantillon de 14 224 carcasses est considéré comme étant suffisant pour déceler un écart (chute) de 0,3 p. 100 du nombre de carcasses comportant des signes visibles de maladie ou d'affections (au poste de détection et dinspection post-mortem) et nécessitant leur retrait de la chaîne aux fins dexamen vétérinaire. H.13 Critères d'acceptation et de refusH.13.1 Épreuves continuesH.13.1.1 Épreuves microbiologiques Sil faut établir une norme particulière à un établissement, les résultats des échantillons témoins seront analysés pour calculer les valeurs requises pour la carte de contrôle choisie pendant la phase d'essai. Les résultats des dénombrements bactériens réalisés sur les carcasses traitées doivent être regroupés sur une carte de contrôle, p. ex. Shewart, Cusum ou tel quillustré dans le Pathogen Reduction/HACCP Regulations de lUSDA tels que décrits au chapitre 11, à la section sur les exigences à lexportation concernant les États-Unis. Les carcasses traitées peuvent être vendues comme étant « comestibles » si létablissement prouve à la satisfaction de lACIA que le produit est conforme à toutes les dispositions réglementaires. Elles seront considérées comme étant conformes à ces dispositions quand les résultats danalyse correspondront aux limites dacceptation ou de refus précisées dans la demande concernant le projet pilote (voir la section Présentation de la demande); p. ex, si lon utilise la carte de contrôle de Shewart, aucun dénombrement bactérien obtenu à partir de carcasses traitées ne doit dépasser la limite supérieure de contrôle (LSC) ou, si lon utilise la carte du Pathogen Reduction/HACCP Regulations (1996) de lUSDA, une fenêtre mobile dau moins 13 carcasses testées doit indiquer quau plus trois dentre elles ont dépassé la valeur marginale (m) et quaucune n'a dépassé la valeur en défaut (M). H.13.1.2 Détection et élimination des défauts Ces activités sont jugées conformes quand il nest pas nécessaire de retransformer le produit (p. ex., essais NPF réalisés avant le refroidissement). La détection et élimination des carcasses comportant des défauts sont jugées conformes quand il nest pas nécessaire de réduire la vitesse de la chaîne à la suite des épreuves de contrôle de la détection et de la manutention des carcasses comportant des défauts par les employés de létablissement. H.13.2 CorrectifsDès quun dénombrement bactérien dépasse les valeurs en défaut (échec, refus) et/ou dès que les carcasses traitées doivent être retransformées dans le cadre du programme NPF et/ou que la vitesse de la chaîne doit être réduite parce quelle ne permet pas aux employés de létablissement de repérer efficacement les défauts des carcasses, il faut alors déterminer la cause et prendre les correctifs appropriés (incluant éventuellement une modification du protocole d'essai ou lajout dun PC pour améliorer la maîtrise du procédé). Le compte de la période d'essai en jours doit être ramené à zéro, cest-à-dire qu'il faut tout recommencer. Il faut également transmettre les copies de tous les renseignements pertinents au chef, Programmes dinspection de la volaille, et mettre fin au projet pilote en cas d'échecs répétés, cest-à-dire quand celui-ci a été redémarré deux fois ou plus. H.13.3 Approbation par lACIALanalyse statistique des données doit indiquer que le changement proposé (traitement) surpasse ou du moins respecte les normes actuelles de lACIA pour nimporte lequel des points suivants visés par le projet pilote :
H.14 Dossiers, AIPRP et vérificationLanalyse des données et des statistiques associées se déroulera dans la confidentialité, et les résultats seront diffusés conformément aux dispositions régissant l AIPRP (méthodes daccès à linformation) selon une présentation générale sommaire (p. ex., établissement A, établissement B, etc.), pour que les résultats des épreuves ne puissent être attribués à un établissement dorigine en particulier. Une fois que la DVPV aura terminé lanalyse et lexamen, toutes les copies des données brutes seront remises par lACIA aux établissements dorigine. La direction de létablissement veillera à ce que les données suivantes soient conservées sur place et mises à la disposition du vétérinaire responsable ou des vérificateurs de lÉtat.
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